jeudi 28 juillet 2011

ANONYME BAVEUX= MORUCHO DANGEREUX

Sur le blog de la Brega, un certain courageux « anonyme » m’invective, de manière évidemment abjecte, comme savent le faire les lâches : il bave sur les gueulards, sur le « vomi de ma déception » (sic), suite à mes écrits sur la corrida d'ORTHEZ.
J’eusse aimé que la méthode de ce personnage soit traitée de la manière dont il se comporte: à propos anonymes orduriers, destination poubelle.
A croire que sa saloperie ....


Mais comme çà ne lui suffit pas, à moins qu’il ait voulu en rajouter une couche chez le même hôte et que cette fois-ci on l’ai enfin éconduit, il m’envoie un torchon sur ma boite mail, à publier.



A nouveau, obsédé par le vomi que j’aurais déversé contre un Velasco, - il me ressert une seconde fois ce terme délicat-, il m’insulte, promet de venir me saluer un jour pour « m’exposer ses sentiments » (sic), et « salue mon aficion » (resic).


Pas plus, ni moins. Un peu bizarre !
Mais les comportements de ce genre de créature, c'était aussi la méthode des cagoulards de sinistre mémoire, ceux qui pendant la guerre dénonçaient à l’occupant les dangereux communistes, les anarchistes, et tous les terroristes résistants: aujourd’hui, planqués derrière leur clavier, les mêmes courageux accusent et salissent ceux dont idées et écrits ne leur conviennent pas, ceux qui les dérangent, parce qu’ils osent émettre publiquement des avis différents des leurs.
Il est évident que je me contrefous que ce morucho salue mon aficion. Parler dans mon dos c’est parler à mon cul. Même quand on ne partage pas les mêmes idées, j’aime les gens qui n’ont pas peur de dire en face ce qu’ils pensent et ressentent, et çà ne m’empêche pas de les apprécier, jusqu’à les aimer.
Mais les saloperies de certains malades, que je n’envie pas, j’ai connu, çà ne m’impressionne pas, et j’ai mieux à faire que d’être sali puis salué par des mansos sans caste.


Anonymes car lâches.