vendredi 31 août 2012

C'EST UN JARDIN EXTRAORDINAIRE.....

....Chantait en son temps le célèbre CHARLES TRÉNET.
Le mien l'est sans nul doute tout autant, extraordinaire, même s'il n'y a pas de canards, comme dans le sien, qui parlent Anglais.


Voici le phénomène: 1kg,129.

Et voici le reste de l'échantillonnage....


                             1kg,129 + 0kg,683,+0kg,650, +0kg,632, + 0kg,764 , cela fait bien :
              3kg, 858 poids net pour ces cinq fruits, merveilles de la nature, cueillis dans mon jardin.
Et garantis sans engrais chimiques, ni pesticides.
2012 aura été un bon cru. En tomates, plus qu'en toros.


jeudi 30 août 2012

L'ORDRE ISLAMISTE EST BEL ET BIEN EN MARCHE




Tunisie, Égypte, Maroc, Libye l’ordre islamiste en marche

29 août 
TOURNANT LE DOS AUX PROMESSES QUI LES ONT PORTÉS AU POUVOIR, LES PARTIS ISLAMISTES S'ATTAQUENT AUX DROITS DES FEMMES, AUX MEDIAS, A LA CRÉATION, AUX LIBERTÉS, ET VEULENT IMPOSER PAR LA FORCE DE LA LOI UNE VISION ARCHAÏQUE ET RÉTROGRADE DE LA SOCIÉTÉ.

QUE CE SOIT EN TUNISIE, EN ÉGYPTE, AU MAROC, EN LIBYE, LES ATTAQUES CONTRE LES LIBERTÉS , LES DROITS DES FEMMES, L'ART, LA CULTURE, ET LES MÉDIAS, SONT DEVENUES MONNAIE COURANTE. GRADUELLEMENT, PAR PETITES TOUCHES, OU DE MANIÈRE FRONTALE, L'ORDRE ISLAMISTE EST BEL ET BIEN EN MARCHE
En Tunisie, d’où est parti le mouvement de protestation qui s’est propagé dans tout le monde arabe, les démonstrations de force salafistes avec menaces et agressions physiques contre les femmes, les artistes, les militants des droits de l’homme et les démocrates se multiplient avec en toile de fond des saccages d’expositions artistiques, l’interdiction par la violence de manifestations musicales, le tout sous l’œil complice du gouvernement islamo-libéral dirigé par Ennahdha. Ce dernier, loin de condamner ces violences, n’a rien trouvé de mieux qu’une proposition de loi condamnant « les atteintes au sacré », juste avant d’essayer, au moyen d’un amendement au projet de constitution, de brider les droits des femmes, celles-ci n’étant plus les égales des hommes mais leurs « complémentaires » au sein de la famille ! Les médias ne sont pas épargnés. Après avoir imposé ses hommes à la tête des médias publics, limogé le directeur de la radio nationale en avril, puis le patron de la télévision publique Al Wataniya en juin, le gouvernement a suspendu une émission satirique de la chaîne Ettounsiya créée en mars 2011, avant de placer en détention, vendredi, le directeur de la chaîne, Sami Fehri.
Inquiet de cette offensive relayée par une campagne de prêches dans plusieurs mosquées du pays, le président Moncef Marzouki est sorti de son silence vendredi, accusant à son tour ses « frères » d’Ennahdha de s’employer « à contrôler les rouages et politiques de l’État », des « pratiques » rappelant « l’ère révolue du président déchu » !
journalistes poursuivis
En Égypte, moins de trois mois après son élection, le président Morsi n’a pas perdu de temps. Après avoir mis au pas les militaires, le chef de l’État égyptien veut museler les médias jugés hostiles aux islamistes. Des journalistes sont poursuivis en justice et interdits de quitter le territoire. Dans le même registre, la chaîne de télévision El-Pharaïn a été suspendue pour un mois. Comme en Tunisie, en signe de protestation, plusieurs titres de presse ont publié des encarts blancs en lieu et place des éditoriaux. Et, sans doute inspirés par leurs petits cousins d’Aqmi au Mali, les salafistes égyptiens proposent de détruire les pyramides !
intolérance
Même le Maroc n’échappe pas à cette offensive d’intolérance politico-religieuse. Ainsi en est-il de l’interdiction de diffusion des magazines étrangers « portant atteinte à l’islam ». Et si la publicité pour les jeux de hasard a été proscrite, les chaînes de télévision publiques sont désormais contraintes de diffuser les cinq appels quotidiens à la prière et d’accorder une plus grande place aux programmes en langue arabe. Mieux, le gouvernement du Parti de la justice et du développement (PJD, islamiste) veut promouvoir un « art propre », assainir un tourisme source, selon lui, de tous « les péchés ». Quant aux protestataires du Mouvement des jeunes du 20 février, plusieurs dizaines d’entre eux sont en instance de jugement pour participation à une « manifestation non autorisée ». En Libye, où la charia est entrée en vigueur, autorisant la pratique de la polygamie, le pire est à craindre dans un pays où l’État peine à s’imposer aux groupes armés tribalo-islamistes qui font régner leurs propres lois dans les régions. L’Algérie, où les manifestations d’intolérance se multiplient (voir l’Humanité du 1er août), n’est pas en reste.
Publié par Histoire et Société, le blog de Danielle BLEITRACH

dimanche 26 août 2012

APRÈS CASAS, APARICIO: TOUT EST PERMIS, DANS LES PLAZAS.


 DÉBUTS D'APODERADO "EN FANFARE" DE JULIO APARICIO

Cela s'est passé hier, dans les arènes de la localité madrilène de COLLADO MEDIANO.

Depuis le callejòn, Julio APARICIO, nouvel apoderado de E. HUERTAS, - qui vient de se séparer de CAMPUZANO-, encourage son poulain.

Le cinquième novillo de l'excellent lot de JOSE ESCOLAR GIL  inflige une cogida spectaculaire a Emilio HUERTAS - dont j'ai plusieurs fois traité de ses actuations sur ce blog -. Pas de blessure de la corne, seulement des contusions. Au bout de quelques minutes, dans une attitude qui l'honore, HUERTAS revient face au toro et le tue, sans accomplir de faena.

Une partie du public demande l'oreille: conciliant, le président l'accorde.

Mais c'est ici que çà se corse: les membres de la cuadrilla se mettent à houspiller le personnel pour tenter d'obtenir un second trophée, et pour cela, ils empêchent les muletiers d'enlever la dépouille du novillo. Finalement, le novillero accomplit la vuelta dans l'arène en promenant son oreille, pendant que les mules d'arrastre finissent enfin par enlever la dépouille du novillo.

Pas content du tout, Julio APARICIO commence à invectiver le président de la course, lui reprochant de n'avoir pas accordé un second trophée. Le ton s'envenime, au point que, face à la situation, les policiers de la Guardia Civil présents dans le callejòn le prient de décliner son identité, ce qu'il refuse d'abord, pour ensuite finir par s'exécuter.

Par la suite, à leur tour, les membres de la cuadrilla furent priés de décliner leur identité. J'ignore si tous les présents dans le coso durent accomplir la même formalité. puisque notamment même un des garçons d'arrastre eut des mots avec le nouvel apoderado. 

Pour couronner le tout, et selon plusieurs témoignages, APARICIO et deux personnes qui l'accompagnaient ont ensuite quitté le bar de la ville où ils s'étaient arrêtés pour boire, sans daigner payer leurs consommations. 

Un monde d'honneur, un monde de gentlemen!

Organisateurs de novilladas, si vous faites appel à Emilio HUERTAS, pour vos prochains carteles, rappelez vous du nom de son apodo: Julio APARICIO, tricheur, caractériel, indélicat- c'est le moins qu'on puisse dire-, homme d'honneur, un vrai gentleman. 

 La garantie, avec une émule de CASAS, qui dicte ses exigences au palco, d'une novillada réussie. 




samedi 25 août 2012

BUENAS NOTICIAS - BONNES NOUVELLES - DE EL CHANO

 BUENAS Y TRANQUILIZADORAS NOTICIAS DE UN TORERO VALIENTE:
VICENTE YANGÜEZ " EL CHANO".



L’état de santé de Vicente YANGÜEZ « El Chano » continue d’évoluer favorablement. Depuis l’Hôpital National des Paraplégiques de TOLÈDE, où il a été admis pour être soigné suite à la blessure de ses vertèbres, parviennent des nouvelles de plus en plus rassurantes. Selon son épouse Cristina, « le cuadriceps de la jambe gauche, la plus endormie, commence à se réveiller. Ceci est une chose très importante, parce que avoir de la force dans ce muscle est primordial pour tenir debout. » A cet important progrès, il faut ajouter que «  la jambe droite réagit également un peu ». Selon Cristina, « ces petits mouvements signifient une importante évolution. C’est une joie pour nous tous, ajoute-t-elle pleine d’espoir ».

El Chano a repris grand espoir ces derniers jours , parce qu’il a passé la fin de semaine en famille, dans sa maison de PARLA  « Nous sortons de l’hôpital le vendredi, et nous y retournons le dimanche. Il était très heureux de de rentrer chez lui, de quitter l’hôpital pour quelques jours. Maintenant, nous passerons toutes les fins de semaine chez nous, où nous nous arrangeons le mieux possible, et Vicente nous y aide beaucoup. Il a beaucoup de force dans les bras, qu’il entretient en faisant des tractions avec des sangles, parce qu’il sait que sa seule force réside aujourd ‘hui dans ses bras. Ce retour à PARLA lui a donné un sacré coup au moral. 
 
Ce qui l’a beaucoup aidé également est la présence et les encouragement qu’il reçoit de tous ses compagnons, notamment le concours actif et efficace de David MORA, « cela lui apporte un bienfait particulier. Il a ainsi l’espoir de revenir un jour prochain dans l’arène. ».

Pour le moment, aucun médecin n’ose se prononcer sur l’avenir du banderillero madrilène, « pas avant trois mois, il ne pourront juger de son état avec certitude. Aujourd’hui est trop tôt pour cela, ils nous demandent de faire preuve de patience, parce que le rétablissement sera lent », nous a confié son épouse.

Traduit d'un article de Jorge CASALS, paru sur "aplausos"
Communiqué par "El Chulo"


jeudi 23 août 2012

FLOR DE JARA de PARENTIS EN BORN: PAS CE QUE L'AFICION ATTENDAIT

 Après le déluge matinal, vers 16H, l'éclaircie, et le débâchage de la piste: chapeau aux personnels, volontaires ou municipaux, pour leur boulot, et pour leur efficacité !!


Le premier novillo faiblard de FLOR DE JARA:  Javier JIMENEZ , travail méritoire, laborieux.
Mario ALCALDE n'a pas convaincu, face à son premier, noblote,  cornes éclatées.
 Rafael CERRO

Petite prestation de Rafael
Vite expédié, le second novillo, manso boiteux, de JIMENEZ
Tarde décevante: second novillo d'ALCALDE, triste image, alors que nous fondions tant d'espoirs...
Entière de ALCALDE, à son second,deux avis, et de nombreux ridicules
 "bièèènnnn, bièèènnn",depuis le burladero. Que pena!
Trop faible, lui aussi, le second novillo de CERRO, mais non dominé
El maestro TONI, aficionados acostumbrados atràs, buenos momentos para nosotros, juntos

Contrastes:
Dessus, armures abimées
Dessous: pitones de respect, intacts

mercredi 22 août 2012

EN NON PIQUÉE, LES VALDEFRESNO DE RION DES LANDES

"JIPITO" - J.P.- m'a transmis ses impressions, suite à la N.S.P. de RION DES LANDES du dimanche 19 AOÜT 2012, que je publie volontiers sans bouger, ni un point ni une virgule.


Demi arène.
Très belle présentation de ce lot de novillos de VALDEFRESNO, pour cette petite arène par la contenance, certes, mais qui affiche de plus en plus ses ambitions de placita sérieuse, organisatrice de "novilladas de feu"!
Premier novillo faiblard, qui montre toutefois un incontestable fond de noblesse. Plus costauds et avec du jeu les troisième et quatrième, également nobles, mais sans confiner à la niaiserie en vogue dans les ganaderias "modernes".
Supérieurs les deuxième et cinquième exemplaires, avec de la caste à ravir les aficionados, le sixième m'ayant paru le meilleur du lot. Les deux derniers promenaient dans le ruedo un trapio impressionnant pour la non piquée, ils me parurent dignes de figurer dans la catégorie au-dessus, un peu trop puissants en réalité pour des garçons insuffisamment préparés pour affronter ce bétail un peu trop âpre pour eux.

Jose GARRIDO a montré quelques jolis gestes au capote et à la muleta, une certaine aisance, mais échec aux aciers.
Filiberto MARTINEZ est présenté comme l'espoir d'ALBACETE: il lui faudra lui aussi progresser beaucoup à la suerte suprême.
Juan de CASTILLA a lui aussi fait illusion au capote, beaucoup d'entrega et de spontanéité, pur produit de l''école colombienne, mais comme ses compañeros de cartel, catastrophe à l'épée! 

Messieurs les apoderados, un aficionado vous en conjure: au lieu d'abreuver vos petits "protégés" de vos bêlements ridicules - bièèèèènn !!!!-, présentez leur plutôt une vraie tête de toro sur le carretòn de l'apprentissage. Et pour leur apprendre à manier efficacement les aciers, conduisez les au matadero, pour qu'ils apprennent aussi l'indispensable descabello, sans se fier à l'approximation.

Bravo pour l'organisation Rionnaise.

JIPITO

CLIN D'OEIL CERETAN, CHEZ ESTEBAN SALA, "AU P'TIT GRILL".

IL S'APPELLE ESTEBAN SALA.
Son restaurant se situe au 47, Rue St Ferreol  CERET

CERET DE TOROS, bien sûr.
C'est un petit resto où on vous accueille toujours avec le sourire, que ce soit Stéphane, -Esteban-, le patron, un personnage sympathique, avenant et haut en couleurs, que ce soit sa compagne, ou que ce soit son père: ici, ce n'est pas seulement commercial, c'est humain, amical, chaleureux.
Pour nous, depuis maintenant plusieurs années, "le P'tit Grill" est devenu le passage obligé, l'étape Cérétane incontournable: on y est bien, la table est bonne, et l'on repart toujours à regret, après un bon moment  convivial  passé avec les amis aficionados,  dans un chouette cadre familial.
Stéphane, nous te saluons, nous gardons de toi et de ton équipe un affectueux souvenir.
HASTA LUEGO,
HASTA PRONTO, ESTEBAN.

Peut-être au 15 SEPTEMBRE prochain, pour un petit coucou affectueux, le jour de la corrida à CERET des Catalans du Sud. 
Chapeau pour toi, ton coiffeur, ta coiffure, ton aficiòn.
Car çà, si ce n'est pas de l'aficion.....!!
 Abrazo fuerte

lundi 20 août 2012

VALDELLAN, PARENTIS

Ils furent intéressants, les novillos de VALDELLAN, surtout pour les aficionados amoureux de PARENTIS et de son aficion a los toros, plus que pour les novilleros, qui passèrent une après-midi pas toujours confortable. Novillos costauds, braves ou mansos, souvent imprévisibles, rien à voir avec les gentils toutous des grandes ferias en vogue dans nos plazas chéries de FR3 ou en ESPAGNE, il fallait s'accrocher, et c'est ce que tentèrent avec plus ou moins de bonheur, Imanol SANCHEZ, Cayetano ORTIZ, et Antonio PUERTA. 
Très mal piqué le premier, en trois rencontres hésitantes: PARENTIS ne nous avait pas habitué à ce gâchis de pique trasera puis dans l'épaule, au point que le novillo s'étale dès les premiers muletazos. Imanol se fait arracher la flanelle, alors qu'il tente une naturelle. Puis se croise peu, torée sur le passage, sans le dominio espéré sur un animal affaibli et noble. Qui s'agenouille à nouveau. Entière ladeada. A son second, un mansito negro, la suerte de picar sera heureusement beaucoup plus relevée que la première, en quatre rencontres de plus en plus éloignées, la dernière en partant du centre, conclue par un batacazo vite relevé. Ce n'est qu'après les premiers bâtonnets que le novillo ouvre la bouche, mais il poursuit SANCHEZ jusqu'aux planches. La faena sera quelconque, sur la défensive, avec de nombreux coups de torchon approximatifs, muleta moultes fois accrochée, sur la droite comme à gauche, petits pas en reculant, passes profilées sur le voyage d'un animal rendu avisé. Qui meurt près du toril, après une entière où le garçon a jeté toute son envie. Mais sans s'imposer avec la maturité nécessaire pour affronter des animaux qui ne sont pas des moutons pour figurones.

Petite tête pour le premier opposant de Cayetano, manso qui gratte et attend au centre du ruedo. Deux fortes piques, dont une puta trasera. Série de cinq derechazos, le novillo étale une noblesse quasi idéale. Bouche fermée, il mange la muleta, au point que le palco déclenche déjà la musique. ORTIZ fait des passes, sans se croiser, bien sûr, ni transmettre. A gauche, autre histoire: danger! Puis reprise avec la main droite, avec beaucoup de pico. Après une entière en emportant la flanelle, le novillo va mourir près des planches.
Trois rencontres pour son second opposant, en poussant très fort les deux premières, chute juste évitée, ratée et reprise la troisième sans vergogne. Puis sampiternel numéro profilé, à un novillo qui passe bien mais muleta ici aussi souvent accrochée. Faenita monotone, où ORTIZ se découvre, se met en danger, deux fois averti. Le novillo gardera boca cerrada jusqu'à la fin, une entière efficace au deuxième essai.

Antonio PUERTA laisse deux fois échapper son novillo au piquero, sans savoir le retenir pour le placer à distance. Le lancier - une vraie crapule-  pique, repique, et re-repique sans vergogne, sans être inquiété. Le novillo s'avère par la suite très noble, ce qui a le pouvoir de déclencher encore beaucoup trop tôt la musique, dès les premiers derechazos. - Certains présidents exigent d'abord une série de valeureuses naturelles, avant de sonner la peña musicale, d'autres éprouvent le besoin récurrent de répondre aux sollicitations des gogos pour qui les flons-flons sont compris dans le ticket d'entrée. Alors que la vraie musique, c'est le poignet du torero qui l'interprète, le reste n'est en général qu'accompagnement bruyant et démagogique de faenas merdiques. Pour flatter ou endormir le conclave peu exigeant.- Petite série de naturelles sans se croiser pour PUERTA, torito entier, noble, idéalement noble. Entière tendida pour conclure, le VALDELLAN se couche pour mourir devant le toril. Mouchoir bleu!!!! On cherche encore pourquoi !!!
Très armé, le dernier exemplaire destiné à PUERTA, un negro bragado, mais qui parait justito de forces. Trois embestidas sur le lancier, qui recharge encore après la troisième pique. Charge hésitante du novillo, bouche fermée, et nouveau paso doble dès les premières torchonnades d'un garçon dépassé par son sujet. Décidément, ce fut un palco plus mélomane qu'aficionado. Gauche accrochée, comme les derechazos hasardeux, PUERTA décoche une entière tendida. Efficace. 

Vivement demain matin, les RASO DE PORTILLO..... Du moins, nous l'espérions....


Venus de partout, les amis aficionados, de la Haute Garonne....

....De Nîmes, de Brodeaux, de Jegun....
Premier novillo de VALDELLAN
Imanol SANCHEZ
Second novillo, pour Cayetano ORTIZ


Troisième novillo,pour PUERTA

Quatrième de la tarde
Vuelta avec le piquero
ORTIZ face au quinto
Avec le sixième, il fallait passer au balcon!
Venus de IRUN, de TOULOUSE.....
....de Canohès, de Collioure,
....de Préchac sur l'Adour
C'était la galerie qui clôturait la novillada matinale, à l'abri sous les tentes, novillada au cours de laquelle furent "indultés", par les caprices du ciel, quatre novillos de RASO DE PORTILLO.