samedi 27 avril 2013

10 ET 11 AOÛT : PARENTIS EN BORN, CAPITALE DE L'AFICION






ADA FERIA
Salle Jean Pierre Darracq
B.P. 14
40161 PARENTIS EN BORN CEDEX

Tél/Fax 05.58.78.45.34

 Site Web : www.adaparentis.com



                                                    


  Parentis dévoile ses cartels des 10 et 11 Août prochains


L’Association des Aficionados de Parentis en Born ( ADA FERIA) et la Commission taurine viennent de rendre publics les cartels de la prochaine feria de la Sen Bertomiu qui se déroulera les 10 et 11 Août 2013.


Jesus Fernandez, Imanol Sanchez et Luis Gerpe au cartel du Samedi
Le Samedi 10 Août à 18h, l’ADA  a programmé un cartel attractif pour la venue des Raso De Portillo. En complément de Jesus Fernandez, Imanol Sanchez triomphateur en 2012 reviendra, accompagné de la révélation novilleril madrilène Luis Gerpe.

Encerrona de Angel Bravo le Dimanche matin
Le rendez vous matinal du dimanche 11 Août sera le théâtre d’une première pour les arènes parentissoises. En effet Angel Bravo, novillero salmantino a souhaité relancer sa carrière en affrontant seul les 4 exemplaires de la ganaderia de Paloma Sanchez Rico de Terrones d’origine Lamamié de Clairac qui fera ses débuts en France.

Retour d’Alcalde et forte présence Sud Américaine l’après midi
L’après midi devant les novillos de Paco Madrazo, Mario Alcalde défilera accompagné de deux jeunes novilleros sud américains : Le colombien Luis Miguel Castrillon et le vénézuelien Cesar Valencia.



7 commentaires:

pedrito a dit…

Quelques commentaires, pour le plaisir, relevés après la feria 2008.

bruno a dit…
Les absents ont toujours tord et heureusement que j'ai vu les photos et lu des resenas dont la tienne, objectives pour realiser que j'ai loupe un temps fort de la temporada et que j'ai evite un fracaso en El Puerto ,alors comme je suis tetu j'irai à Roquefort plein d'espoir laissant aux dacquois leurs sempiternelles croyances et leur mievrerie.
un saludo companero
bruno

LUNDI, 11 AOÛT, 2008
Anonyme a dit…
Grands moments lors de ces tercios de pique Tous les piqueros ont vraiement fait un effort cet a.m et ils n'ont pas été à la fête.Les voir sortir tous ensemble sous les aplaudissements du public debout, je ne l'ai jamais vu...
Grande tarde pour moi
Des photos sur leur site illustrent bien ces moments

LUNDI, 11 AOÛT, 2008
Pedrito a dit…
Pour cette tarde mémorable, un autre regard d'aficionado, d'un inconditionnel de PARENTIS et de ses toros toros, sur le blog modeste de PURAFICIONADO
Quelle tarde ! Quel souvenir !!
Pedrito

LUNDI, 11 AOÛT, 2008
Fred a dit…
Tarde inoubliable, d'autant plus qu'il s'agit d'une répétition après un cru 2007 du meme accabit. Moi aussi, je n'avais jamais vu des picadors sortir ensemble sous les accalamations. j'en ai encore les frissons de bonheur rien qu'en y pensant.

MARDI, 12 AOÛT, 2008
Anonyme a dit…
Les 17 piques de Parentis avec les Raso de Portillo sont en téléchargement sur http://dl.free.fr/jXsPDzKBr (320 Mo .rar 30 mn).
Parce qu'il faut partager certaines émotions.

VENDREDI, 29 AOÛT, 2008
Fred a dit…
Les 17 piques sont sur you tube/
Il faut taper sur Parentis 2008: la novillada aux 17 piques.
A consommer sans modèration.

pedrito a dit…

Si après çà, il est des aficionados qui hésitent pour découvrir la feria de PARENTIS.....

Anonyme a dit…

Le seul contre quatre du dimanche matin est plus que limite.....

C'est le résultat du questionnaire ?

JPc

pedrito a dit…

Effectivement je m'interroge sur cette surprenante nouveauté qui tranche avec le sérieux habituel de PARENTIS: à moins que la novilleria refuse les cartels des placitas réputées sérieuses, pourquoi 4 novillos, et pourquoi un seul chaval pour s'y atteler?
Souhaitons qqs éclaircissements...

Anonyme a dit…

La Corrida

Les cuivres ont sonné dans le ciel de Séville,
Réveillant les ardeurs des fougueux Andalous,
Séduisants Hidalgos au regard qui pétille, Aux lèvres mi-closes cachant des dents de loup.
De ces loups assoiffés du sang de leur victime,
Pauvre bête élevée pour n’avoir qu’un seul sort,
Et qui en un seul jour, en un combat ultime,
N’a jamais qu’un seul choix : y rencontrer la mort.

Il arrive au galop au centre de l’arène,
Effrayé par les cris qui montent des gradins,
De ses puissants naseaux s’échappe son haleine,
Et sa tête balance au son des tambourins.
Il regarde au lointain les capes couleur d’or,
Qu’agitent devant lui les banderilleros,
Il entend annoncer l’entrée du picador,
Qu’accueillent les vivats des aficionados.

Il ressent, au garrot, une brûlure intense,
Que provoque la pique enfoncée dans sa chair,
Douleur qui disparaît, puis revient la souffrance
La banderille a jailli semblable à l'éclair.
Le sang suinte alors de l’échine luisante
Du robuste animal, face au grand matador
Mesurant du regard cette masse puissante,
Qui gratte du sabot le sable au reflet d’or.

Puis se déclenche enfin une danse infernale,
La rouge muleta voltige devant lui,
Comme pour endormir cette force brutale,
Dissimulant le fer sur qui le soleil luit.
Le brillant torero place les véroniques,
Faisant virevolter le pauvre être affolé,
Tandis que dans les airs s’élève la musique,
Paso Doble endiablé que rythme les "Olé!".

Le silence est tombé, voilà que devant nous,
L'estocade a soudain fait tonner les bravos,
Quand devant son vainqueur il plie les deux genoux,
Qui nous dira jamais, ce que sent le taureau.
Paul Domenget.

pedrito a dit…

J'ai beau chercher, je ne trouve pas de Paul DOMENGET, - qui, où, quand?- qui semble avoir assisté à des corridas, puisqu'il décrit avec talent une certaine réalité du spectacle. Sauf qu'il fait exprimer au toro douleurs et sentiments, comme si le fauve "humain" lui avait fait des confidences.
Que d'incompréhensions, dans ce texte, et dans les discours haineux de certains esprits obtus, et combien sont-ils, parmi les êtres comme lui, tel l'anonyme qui m'a adressé ce poème et que j'ai publié parce qu'il ne comporte aucune agression ni insulte, ou comme d'autres qui s'accommodent de la viande du gibier qu'ils ont eux-mêmes abattu ou du poisson qu'ils ont pêché,
à condamner sans appel notre passion, en nous traitant, ni plus ni moins, de sauvages sanguinaires?

Anonyme a dit…

"Qui nous dira jamais, ce que sent le taureau"

=> le toro sent la vache.

JPc