dimanche 21 décembre 2014

LE BLOG "PURAFICION" FERME. CERRADO

PURAFICION : C'EST FINI.

 Les charognards ont eu raison de mon entêtement: ils ont même rendu muets ou témoins consentants quelques uns de ceux que j'ai pris un temps pour des amis sûrs et fidèles.
Des amis dont j'aurais voulu entendre parler, en certaines occasions. C'est ainsi. Ils se sont tus. 
Ce modeste outil au seul service de ma passion de la FIESTA BRAVA cesse de vivre à partir d'aujourd'hui.
Je n'ai sans doute pas le niveau de compréhension de la corrida que certains s'attribuent. C'est même probable. On croit parfois savoir, et il n'en est rien, quelqu'un ou quelque chose nous ramène un jour à la réalité, à plus d'humilité. Mais même si l'on s'est trompé,  même si c'était vrai, cela n'excuse en rien les comportements sectaires et imprévisibles, les ruptures et dos tournés que d'ailleurs d'autres ont depuis longtemps avant moi déploré.
Le cercle des autoproclamés se rétrécit, se referme, inexorablement. Car lorsqu'on emmerde à ce point les aficionados intègres, -qui, la moindre des choses, méritent respect pour leur combat au seul service de la fiesta BRAVA,- au point de les laisser insulter sur des blogs théoriquement dédiés à la corrida, ou de consacrer ses loisirs à leur chercher des poux,  à faire le beau et à les mépriser de mille manières, parce que ces aficionados vilipendent le système véreux qui ronge et déshonore la corrida,  on peut se dire que le ver est PARTOUT dans le fruit. 
Et la fin est proche.
Un abrazo à tous ceux qui continuent de me témoigner leur amitié


   https://www.youtube.com/embed/eee4-d7FUis 

PARA LOS AMIGOS QUE ME LEEN DESDE EL PAIS VECINO

Maravilloso. Este concierto interpretado en un gran almacén por jovenes artistas ma ha parecido magnigfico. Maravilloso. Como un palmo de narices a los que no quieren recordarse o admitir ni nuestra cultura propia, ni nuestros raices. La vida acaba por la muerte,y negarlo no puede borrar la realidad de siglos de tradiciones, y de su resultado final : la vida es una pelea constanta, y la pezca, caza, corrida, comer carne, bien vivir de lo que nos ofrece la naturaleza, quedan la lección aprendida después de la creación. Por eso la crueldad reprochada a la corrida por animalistos privados de sus raices mediteraneos no es nada màs que la vida crual de cada dia, de cada segunda, de quièn el hombre es el eterno testigo .
Vos invito a dar un click, y escuchar, esa obra maestra immortal de BIZET : CARMEN
https://www.youtube.com/embed/eee4-d7FUis
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Sera mi ultimo mensaje taurino de aficionado, sin duda demasiado apasionado, porque unos me han echado en cara haber condenado y combatido sin ponerme guantos muchos paràsitos que ocupan inutilmente los callejones, preocupados solo a mostrar que son gente importante, invitados amigos de los amigos, que sacan pañuelos, gritan para exigir con peones cocosos y taurinos vergonzosos trofeos baratos de la corrida « moderna » hasta lo peor : indultos de crabas exentas de la suerte de picar.
Después de ser insultado sobre unos blogues (seudo) taurinos, durante muchos meses, por « anonimos » cobardos y otros sermoneadores , acabé de concluir que a eses seudo aficionados les importa màs combatir los que molestan sus artimañas, que defender la fiesta integra de la misma manera que los que enfadan tramposos y complices.
Unos amigos que piensaba próximos, se han quedado mudos. A pesar de algunas raras protestas, los pùblicos gustan el destoreo, trofeos baratos. Por eso, pienso que los enterradores tienen manos màs libres para perfeccionar su fuesta circo.
Los enemigos son en todas partes : callejones, en la arena con los tramposos, taurinos al servicio de los tramposos, hasta los amigos que te dejan caer, que perdonan a los que nos insultan, pero no me perdonan de contestar a tramposos y lameculos con el mismo desprecio. Ejemplo : un « amigo » hoy me escribe para reprochar haber insultado Viard. El pobrecito no se recuerda cuando Viard llamaba « viandards », es decir carniceros, a los aficionados, pretendia hace poco que a los integros, los aficionados que exigian una corrida integra,con una suerte de varas autentica., solo les gustaba la carne y la sangre. El, el moderno. Nosotros, los salvajes. Incultos.
Pienso que los manipuladores tendràn siempre apoyos suficientes para acabar su obra: la muerte de la FIESTA BRAVA, quedara sola la fiesta circo, hasta sacarla su ultimo dinero. Hoy, como ayer, hay aficionados que se descubren otra actividad, otros sustentos : desde los callejones, deciden vivir de nuestra pasión. El gusano del dinero es en la fruta, y la fruta no se puede curar. Imposible : hay tantos intereses
Al punto que abandono esa pasión que importunaba los seudo aficionados. Pero quedo ciudadano.
          Ni dios, ni amo.


 

mercredi 17 décembre 2014

TOREABILIDAD: TERME RIDICULE, POUR JUSTIFIER LA PIRE DES DÉRIVES



 



 TOREABILITÉ: Un mot ridicule qui ne peut s'appliquer à un taureau brave


TORÉABILITÉ!  Terme réinventé par les taurins, pour leurs besoins de justifier la corrida "moderne", la corrida commerciale, les aficionados espagnols parlent plutôt de fiesta CIRCO. Qui n'a rien à voir avec la corrida intègre. Ce terme insensé a aujourd'hui sa place sur les carnets de notes de certains ganaderos, car il est devenu l' exigence de certains toreros. Disons de certaines "figuras". Insensé, parce que contraire à l'image et à l'existence même du toro BRAVE, par définition sauvage, donc exempt de tout soupçon de "toréabilité". Ce mot recouvre la notion de noblesse extrême, exigée par les figuritas milliardaires, jusqu'à la domec-stication. Cent passes circulaires, à poursuivre le chiffon rouge, sans dévier d'un centimètre,  peut-on parler de domination, ou de débilité? Toreabilidad! Tiens! Comme c'est étrange: cette consonance proche de la debilidad....
Ce terme est devenu incontournable aujourd'hui dans le jargon de nombreux révisteros et critiques taurins     
dans leurs chroniques - je récuse le mot "journalistes", pour le rôle néfaste que joue cette pseudo presse dans son ensemble, sauf  rares exceptions -  pour qualifier le comportement des  toros. Ce mot n'est pas nouveau, nous dit David ZAMORA dans un article qu'il consacre au phénomène de la "toréabilité", qui a pris beaucoup d'ampleur, beaucoup trop, jusqu'à la grande faiblesse du bétail  que les aficionados  déplorent à ce jour.  Le terme fut utilisé en premier par Ramón Mora Figueroa, fils du marquis de Tamarón, qui travailla à la création de la ganaderia de JPD et Nuñez de Villavicencio. Loin du contexte actuel, évidemment. C'était l'âge d'or de la recherche du croisement des encastes, en 1914, quand   Mora Figueroa acheta un lot de Parladé pour le mêler au sang des Domecq et Nuñez . Le toro était différent d'aujourd'hui, Joselito et Belmonte faisaient subir au toreo une évolution adaptée au bétail d'alors, qui ne connaissait pas encore  la dégénérescence qui le frappe aujourd'hui.

Comment la "toréabilité" peut-elle être une "qualité"? Avant d'être toréé, le toro brave doit être dominé. On le torée après avoir accompli le plus difficile, prendre le dessus sur lui. Si l'on laissait de côté cet aspect, la domination, et qu'on passe directement au toreo, le toro brave serait avant tout docile. C'est ce toro "ideal" qu'exigent les toreros des éleveurs, qui, eux, sélectionnent selon ce critère. Un toro "collaborateur", qui permet des faenas sans risques ni trop de complications. Et quand l'animal ne remplit pas parfaitement leurs exigences, les toreros disent qu'il "ne sert pas". Ils prennent l'épée et les mules d'arrastre emportent vite la dépouille .Plutôt que d'affronter avec courage les difficultés auxquelles ils pourraient être confrontés, devant un animal un peu plus retors, plus encasté, plus brave, ils préfèrent abandonner.
Ces demandes heureuses disparaissent du patrimoine génétique de l'élevage du taureau de combat. Et ces encastes et élevages de caractère qui garantissaient la pérennité et l'authenticité de la fiesta brava, disparaissent parce que ceux qui toréent le plus n'en veulent surtout pas.
Ils choisissent la sécurité, face au medio toro, au perritoro, au demi toro.
La "toreabilité" a une signification bien en rapport avec le spectacle d'aujourd'hui. En contradiction totale avec ce que doit être un toro brave, sauvage, "fiero", un terme ridicule, une insulte pour le bel et brave fauve que doit être le toro