mardi 25 mars 2014

PARENTIS 2014: LE CHOIX DU NOVILLO TORO

HABILIDOSO- Marqués de ALBASERRADA (Origine PEDRAJAS)

NOVILLO  de la GANADERIA Hubert et Françoise YONNET
POUR SON ÉDITION 2014, L' ADA - ASSOCIATION DES AFICIONADOS PARENTISSOIS -A CHOISI DES ÉLEVAGES
DIGNES DE LA  RÉPUTATION TORISTA DE SON  RUEDO: YONNET, ALBASERRADA, GUARDIOLA FANTONI, DONT VOICI LES PHOTOS DE QUELQUES EXEMPLAIRES.
NE NOUS RESTE QU'A CROISER LES DOIGTS, POUR LE SUCCÈS DE CETTE FERIA DU NOVILLO TORO
PREFERIDO - GUARDIOLA FANTONI- (Origine VILLAMARTA)
MUSICO -GUARDIOLA FANTONI-( Origine VILLAMARTA)  
On comprend mieux pourquoi certains aspirants se font tirer l'oreille pour affronter des vrais  novillos, souvent au dessus de leur pointure: c'est le cas de Jose Garrido, Lama de Gongora, Martin Escudero...qui se sont désistés. Grave, non?
Quand à Clemente, son mentor souhaite aussi le ménager.
Difficile d'affronter les encastes qui par leur seuls noms justifient l'existence de la corrida, lorsqu'on ne présente à ces novilleros que des animaux issus du mono encaste doméquisé

lundi 24 mars 2014

AMIS AFICIONADOS D'ICI ET D'ESPAGNE....



.....SI VOUS PASSEZ PAR PAMPLONA, SANGÜESA, ARNEDO, TAFALLA,
CORELLA, TUDELA, FITERO, CALAHORRA.....


POUR QUE LE SOUVENIR SOIT ENCORE MEILLEUR:


à CORELLA - NAVARRA -





Un hôtel super sympa et pas cher vous accueillera à CORELLA, à deux pas de vos arènes préférées. Trois étoiles, 30 euros la nuit, c'est déjà bien, mais surtout, surtout, les patrons ont au coeur beaucoup plus que leur label commercial: chaleureux et humains, ils méritent, si nécessaire, un tout petit détour, ils méritent  votre visite, dans leur maison accueillante et tranquille. Et la table est bonne, toujours pour un prix correct.

Allez-y, vous ne le regretterez pas.

Y para los amigos españoles que me leen :
Para que el recuerdo queda mejor, después de nuestro paseo en FITERO,
Recomendamos a todos los aficionados que podrian pasear cerca de PAMPLONA, un hotel muy simpàtico y barato en CORELLA, muy cerquita de plazas de toros famosas y preferidas de los buenos aficionados. Tres estrellas, 30 euros por la noche,  ya  es muy bien, pero sobre todo, sobre todo, el patrono Jose y su esposa llevan al corazón mucho màs que su label comercial: calurosos y humanos, acogen el estranjero como un amigo, y merecen vuestra visita, en su casa bonita y tranquil, lejo del ruido. Y ademàs, la comida es buena, y los precios muy correctos.
Nuestro agradecimiento por vuestro acogimiento,Sr Jose Martinez Andiano y  esposa,
gracias a ustedes, si la corrida fue mala, el recuerdo de nuestro paseo queda buenisimo: eso es lo màs importante.
Volveremos, seguro, al HOTEL CARACHO

QATAR: VIVE LE FOOT, OU LE MONDIAL DE LA HONTE.

 les anti-capitalistes




Le rapport de la Confédération syndicale internationale (CSI) est accablant, il révèle une vérité connue de tous : le Qatar, ami des Sarkozy et Hollande, est le pays de l'esclavage moderne, 1 400 ouvriers immigrés sont déjà morts sur les chantiers du mondial 2022.


Combien vaut la vie d'un ouvrier Népalais, quelle est la valeur des droits de l'Homme ? Bien faible à voir la discrétion de nos dirigeants sur leur situation révoltante au Qatar, eux si prompts à s'indigner quand leurs intérêts sont en jeu, en Ukraine, en Libye, en Syrie ou au Mali.


Dans des conditions de corruption à peine dissimulées, le Qatar a obtenu en 2010 l'organisation de la Coupe du monde de football 2022, avec la complicité des grandes puissances. Tout comme le gouvernement Sarkozy lui avait offert sur un plateau le Paris-Saint-Germain.


Quatre ans après, le rapport de la CSI peut ouvrir les yeux des hypocrites : « Le dossier contre le Qatar » révèle des violations des droits des travailleurs à une échelle sans précédent dans l'organisation des grands événements sportifs, au mépris des libertés, de la vie des ouvriers.


Le Qatar compte 1,5 millions de migrants sur 2 millions d'habitants. Une armée d'esclaves au service d'une caste dominante, dans le pays au PIB par habitant le plus élevé du monde. Un résumé édifiant de ce que nos dirigeants cautionnent au nom des « jeux du cirque » modernes :


Le « kafala », un système de parrains contre les droits des migrants


Les ouvriers migrants travaillant sur les chantiers sont privés de toute liberté dans le cadre du système du « kafala » : tout ouvrier migrant est sous la responsabilité d'un « kafil », un parrain qui a contrôle total sur les mouvements du travailleurs, dans le pays et à l'extérieur.


Le « kafil » peut confisquer le passeport de l'ouvrier – c'est le cas de 90 % des migrants – le priver de toute protection juridique.


Il est alors à la merci des sinistres « camps de détention »,où sont entassés plusieurs centaines d'ouvriers dans une même pièce, soumis à l'arbitraire, sans conseiller juridique ni satisfaction des besoins les plus élémentaires.


Le travail forcé, la norme au Qatar


Le régime de travail forcé est la norme pour les migrants au Qatar. Quasiment tous les ouvriers immigrés sont passés par une « agence de recrutement » qui charge les migrants népalais, indiens, philippins, indonésiens de 1 000 à 10 000 $ par tête.


Cette situation endette les migrants à des taux exorbitants. Misérables au pays rêvant de salaires permettant de faire vivre leurs familles au Népal ou en Inde, ils héritent de dettes qui les forcent à rentrer dans une situation de dépendance économique permanente avec leurs employeurs.


Les salaires paraissent attractifs – au minimum 250 $ pour les migrants asiatiques – par rapport au salaire dans le pays d'origine.


Les chiffres sont trompeurs, une bonne partie du salaire est prélevé par l'employeur pour le logement, la nourriture, les transports, dans un pays où le coût de la vie est comparable à celui des pays riches.


Sans oublier qu'un tiers (34%) des ouvriers, selon une enquête de l'Inspection du travail qatari (sic) n'ont eu aucune rémunération ces derniers mois.


L'esclavage au XXI ème siècle : c'est au Qatar que cela se passe !


Les conditions de travail sur les chantiers dépassent celles des pires mines, usines du XIX ème siècle. Des journées de 8 à 12 heures de travail, entre juin et septembre, sous près de 50 ° à l'ombre.


Et encore ceux-ci apparaissent presque comme des privilégiés face aux travailleurs domestiques. Composés essentiellement de femmes, celles-ci passent du travail forcé à l'esclavage pur et simple.


Elles ne sont protégées par aucune loi, souvent privés de nourriture, d'un logement décent, du moindre salaire, soumises aux coups, aux tortures, aux viols. L'Ambassade d'Indonésie accueille chaque jour 5 à 10 travailleurs domestiques, demandant un refuge pour fuir l'esclavage domestique.


Les conditions de vie ne sont pas meilleures pour les migrants. Cantonnés dans des « camps de travail », dans des quartiers à l'écart du reste de la ville, inconnus même des autorités internationales.


Payés par prélèvement sur salaire, leur logement n'a rien d'un « logement social » : un taudis d'une pièce occupé par huit ou dix ouvriers, souvent sans les conditions sanitaires adéquates. Nombre de logements sont équipés d'eau … salée pour se laver ou faire la cuisine !


Pour défendre de meilleures conditions salariales, de travail, de vie, bien entendu les migrants n'ont droit à aucune négociation collective, aucune organisation syndicale.


Tout mouvement de protestation peut conduire à la levée de la protection du « kafil », mettant l'ouvrier à la merci de l'arbitraire des autorités, lui empêchant même le retour au pays.


Encore plus pervers, le gouvernement qatari a créé un « Qatar National human rights committee », soi-disant pour enquêter sur les violations des droits de l'Homme. En réalité, cet organisme vise à identifier les éléments perturbateurs, protestataire pour mieux les isoler et les punir.


1 400 ouvriers morts … 4 000 d'ici 2022 ?


Effrayant, le décompte du nombre de morts est pourtant impossible à faire. La CSI part juste des chiffres de pertes révélés par les ambassades népalaises et indiennes, qui représentent la moitié des ouvriers migrants.


Selon l'ambassade népalaise, 400 ouvriers migrants sont morts depuis 2010 (dont 191 en 2013). Du côté indien, ce serait près de 1 000 ouvriers qui seraient morts, à un rythme de 20 travailleurs morts par mois pour l'an dernier. Pour deux pays seulement, cela fait 1 400 pertes en trois ans.


SELON LES ESTIMATIONS TRÈS PRUDENTES DE LA CONFÉDÉRATION SYNDICALE INTERNATIONALE, 4000 OUVRIERS IMMIGRÉS POURRAIENT ÊTRE VICTIMES DE CE SYSTÈME D'ESCLAVAGE MODERNE, SACHANT QUE 500.000 OUVRIERS SUPPLÉMENTAIRES DEVRAIENT ÊTRE TRANSPORTÉS AU QATAR D'ICI 2018.


Par rapport aux autres grands événements mondiaux, la comparaison est effarante : la coupe du monde 2010 en Afrique du sud a fait 2 morts, celle au Brésil en 2014 a fait 7 morts, celle en Russie a déjà causé la perte de 8 ouvriers. Comparés aux 1 400 déjà morts au Qatar, cela donne le vertige.


Les grandes entreprises françaises du BTP complices !


Alors que le Qatar va dépenser au moins 200 milliards de $ en infrastructures – stades, TGV, métro, tramways, centres commerciaux, villes nouvelles – il rechigne à verser quelques milliers d'euros à près de 1,5 millions d'esclaves modernes.


Parmi les complices de ce système, les grandes entreprises françaises qui font la cour à l'émirat : Bouygues, Vinci mais aussi Keolis (filiale de la SNCF) sont en lice pour de gros contrats liés à l'organisation du mondial 2022.


La CSI propose de « peser » sur le Qatar pour obtenir un assouplissement des conditions d'exploitation au Qatar, la normalisation des relations avec un État gouverné comme une « monarchie absolue », niant les droits les plus élémentaires des travailleurs.


Le rôle des syndicalistes de classe, des communistes est autre : il faut lancer un vaste mouvement pour pousser au retrait des entreprises françaises du Qatar ; au boycott du mondial 2022, et des activités liées au Qatar ; aux sanctions envers cet Etat qui finance partout dans le monde les groupes les plus réactionnaires, des activités criminelles contre les peuples, arabes avant tout.


Boycott, désinvestissement, sanctions : c'est valable pour le Qatar, enfer des travailleurs, ne faisons pas des mirages des « pain et des jeux » modernes une caution pour la violation la plus ignominieuse des droits des travailleurs.

DANS NOTRE MONDE OCCIDENTAL DIT LIBRE......

 .....ON CONTINUE DE DÉTRUIRE GENS ET NATURE
DANS L'INDIFFÉRENCE GÉNÉRALE.
 


Pendant que les magazines et les chaînes de télévision parlent de la vie des célébrités,


le Chef de la Tribu des "Kaya po" a reçu la pire nouvelle de sa vie :


Dilma, la présidente du Brésil, a donné son approbation pour la construction d'une 


énorme centrale hydroélectrique 

(la 3ème plus grande au monde).


 Le barrage inondera environ 400 000 hectares de forêt.


 C'est la sentence de mort pour tous les peuples vivant près du fleuve, 


Plus de 40 000 Indiens devront trouver de nouveaux endroits où vivre.


La destruction de l'habitat naturel, la déforestation


et la disparition de plusieurs espèces sont des faits !


 Nous savons qu'une image vaut mille mots,


et montre le véritable prix à payer


pour  la "qualité de vie" de nos modes de vie dit “modernes"


 Il n'y a plus dans notre monde de place pour ceux qui vivent différemment,


que tout doit être aplani, que chacun, au nom de la mondialisation,


doit perdre son identité, sa façon de vivre. 


 



dimanche 23 mars 2014

UKRAINE: UNE CARTE QUI DIT BEAUCOUP DE CHOSES

reflexion du jour : une carte qui dit beaucoup de choses

by histoireetsociete
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Voici une carte établie par des sociologues ukrainiens qui montre qui a pris des risques de partition et de guerre civile. 
Quand le nouveau gouvernement autoproclamé par des "insurgés" d'une place de Kiev décide comme premier acte de supprimer le Russe comme langue régionale, 
Quand aujourd'hui le même gouvernement décide de rompre avec la CEI, l'union économique et politique avec la Russie et instaure un visa avec la Russie, alors que l'est et le sud est non seulement sont russophones mais ont une industrie entièrement intégrée à l'économie russe, 
Quand cette zone est et sud est a vu le prix des denrées de première nécessité grimper de 30% et plus, 
Quand les pensions et les salaires se font attendre. 
Quand les menaces du FMI se précisent et que cette zone sait qu'elle va être la principale victime. 
Quand des personnages inquiétants viennent provoquer au nom du gouvernement de Kiev. 
Que peut-on attendre sinon une explosion généralisée, une guerre civile et qui l'aura provoquée.

Cette carte nos dirigeants politiques français la connaissent. Ils savent ce qu’elle signifie mais ils ont pris le risque d’installer aux portes de l’Europe un régime nazi, une poudrière, ils doivent être sanctionnés pour leur irresponsabilité face à nous comme face aux autres peuples y compris ukrainiens. Comment même s’ils l’ignoraient alors que la Grèce s’enfonce dans la tragédie, l’Espagne crie son refus, peuvent-ils entretenir des illusions qui nous mènent vers un drame historique sans précédent depuis la II ème guerre mondiale.
Danielle Bleitrach

vendredi 21 mars 2014

31 MAI ET 1° JUIN: FERIA D'ALÈS. ARÈNES DU TEMPÉRAS

Cartels de la féria d'Alès

˜ Samedi 31 mai corrida : Toros d'Hubert Yonnet.

pour les matadors : 

Paulita, Agustin de Espartinas et Camille Juan.

˜      ˜
Dimanche 1er juin corrida concours : 

Toros de Barcial, Puerto de San Lorenzo, Valdefresno, Adolfo Martin, Juan Manuel Criado et Camino de Santiago.

pour les matadors :

 Rafaelillo, Alberto Lamelas et Salvador Vega

mardi 18 mars 2014

FIESTA CIRCO INFUMABLE EN FITERO: SUITE ET FIN.

FITERO*: IMAGES DE L'IMBUVABLE SPECTACLE


  
 Juan DIEGO, l'ombre d'un pro.
 Pour cette peu orthodoxe estocade,
....Une oreille (!!!) pour ARANDA.
 Pico,  et pico, chez Oliva SOTO, comme chez ses 3 compères....
 Extrême faiblesse endémique : juste bons pour le matadero
 Et l'"art" d'estoquer, de bâcler l'estocade et les canons de la lidia, le même, chez tous. Ici: SOTO
Armures limpias, émotion, danger imminent pour Juan DIEGO
 .....Sans oublier la caste et le poder.
 Idem pour ARANDA: redoutables pitones....
....Autre estocade de gala, après une piètre faena....
 ....Et nouvelle oreille, pour 35 mouchoirs
 Insupportable image, mais les présents s'en moquent


 Oliva SOTO et son gatito, tantôt couché, tantôt arodillado: infumable!
 Même le vol gracieux des cigognes n'a pas pu nous distraire de cette moruchada

*Perdón: ahier me equivoqué, las imagenes son de FITERO, uno de los cosos especialistas de la fiesta circo

lundi 17 mars 2014

FITERO: A OLVIDAR PRONTO, Soto de la FUENTE, DIEGO, ARANDA, SOTO....

A 17H02, quand la "Banda Municipal de FITERO" égrène les premières notes de "La Entrada", comme je suis un incorrigible optimiste, j'ai déjà bien sagement noté sur mon calepin l'essentiel du cartel du jour: des toros de "Soto de la FUENTE", pour Juan DIEGO, Morenito de ARANDA, et Oliva SOTO. 
Sur l'affiche, les noms de l'élevage apparaissent minuscules, par rapport aux noms des trois diestros qui vont les "affronter". Mais il va s'avérer aussitôt que cette erreur ou faute de goût n'avait aucun fondement ni justification: le bétail était minable, certes, mais les piétons furent à leur diapason, ils s'appliquèrent essentiellement à caracoler devant des toritos anovillados, à distribuer des muletazos sans jamais se croiser, au contraire en perdant sans cesse du terrain: le bagage technique des toreros était aussi inconsistant que le lot entier des quadrupèdes fut faiblissime, décasté, s'agenouillant dès que la pique effleurait leur cuir, avec de toutes petites têtes honteusement "commodes", comme on dit dans le jargon des taurinos mafieux et des scribouillards "revisteros" à leurs ordres, ces complices du système occupés à fermer les yeux sur les saloperies dont ils devraient au contraire témoigner, pour assainir la corrida, mais préférant continuer envers et contre tout d'encenser l'infâme "FIESTA CIRCO" pour justifier leurs badges de "presse" et leurs enveloppes.
Évidemment, on pourra m'objecter: "Mais qu'es-tu allé foutre dans cette galère"? J'avoue que je ne m'attendais pas à une tarde "para el recuerdo". J'avais connu la plaza de FITERO il y a une douzaine d'années, c'était une découverte, et j'y avais rencontré peu d'"aficion a los toros". Mais je voulais renouveler l'expérience, sortir un peu du train train hivernal, et me rendre compte de l'évolution de la corrida là-bas, en ESPAGNE, dans un pueblo navarrais par ailleurs attachant, comme on en trouve beaucoup ici, que ce soit en Aragon, en Navarre, en Guipuzcoa, à Madrid, ou en terre extremeña....
Bref, profiter....Difrutar.... Des amis, des proches, s'en vont, les uns après les autres. Partir, rêver, n'est-ce pas le meilleur moyen de chasser le noir qui nous guette pour s'installer  très -trop-  tôt ? 
Et bien, l'expérience fut concluante! Outre le pitoyable lot de (PAS DU TOUT) cornus de Soto de la Fuente, dont le ganadero devrait plutôt se consacrer à l'élevage des chèvres ou de moutons, outre les trois  toreros qui rivalisèrent dans l'incompétence, les gestes et attitudes anti taurins, les fanfaronnades et autres desplantes minables devant des animaux sans aucun  jus, parfaitement impropres à la lidia, il faut aussi souligner l'incompétence totale du palco: exemple, sur 437 entrées payantes, il suffit de 23 mouchoirs agités et de 35 festayres vociférant pour que la "présidente", qui passe son temps à bavarder avec ses amis du palco, déploie le mouchoir qu'elle tient plié dans sa main pendant toute la durée de la course, sans doute en prévision ....Pas d'alguazil, juste une amazone - guêtrée et bien galbée -qui accomplit au galop 14 tours d'arène en retenant d'une main son chapeau pour l'empêcher de s'envoler. Puis disparait....Et revient plus tard dans le ruedo pour donner l'oreillette de carton et recevoir la bise du tricheur de turno.
Quand au public: misère!!! C'est la fête au village, et ici, comme dans toute fête, on applaudit tout, ou presque. Peu importe que les cornes soient des pinceaux distants de 35 cm, afeités, éclatés, peu importe que le trapio des bovidés soit absent, inexistant, peu importe que le "toro" s'agenouille au contact du picotazo immédiatement abrégé, peu importe la faiblesse des pattes, la mansedumbre, l'absence de caste, l'invalidité latente, les agenouillements, peu importe que ces animaux soient l'ombre de toros de combat, la buvette en haut de l'andanada ne désemplit pas, on rit, on chante, on tourne le dos au redondel: NO PASA NADA! On n'est pas ici pour voir des toros, pour penser au TORO, pour défendre la corrida intègre, on est là pour se repaître de la FIESTA CIRCO, hormis 5 ou 6 aficionados qui râlent et se désolent, tout le monde s'en fout, et la défense de la corrida ne sera jamais à l'ordre du jour, jusqu'à celui où elle disparaîtra.
LOGIQUEMENT!
Il n'y aura donc pas aujourd'hui sur ce blog de résumé quelconque d'un spectacle qui est tout, SAUF une corrida de toros, même si mundochoto y a vu trois oreilles distribuées, Paco Romera  n'a pas vu qu'il n'y avait RIEN de bon à retenir, que des tricheries devant des animaux indignes de sortir de chiqueros pour être lidiés selon les règles de la toreria. Sauf le quinto, le moins faible, avec un peu de jus et de caste, il poursuivit les peones jusqu'aux planches, mais fut gaspillé par Morenito de Aranda, qui ne se croisa jamais pour tenter un derechazo de poids ou une seule naturelle de facture. Pico, pico, pico, entière tombée.

Merci à Fernando MARTIN, - UN GRAN SALUDO, FERNANDO ! - abonné à l'Associación El Toro de MADRID! Avec sa voix claire et puissante qui portait sur les tendidos, Il n'a pas manqué de fustiger les tricheurs durant toute la tarde, matadors, peons et piqueros, sans jamais baisser le ton, obligeant ainsi le public, même sans obtenir le succès que méritait son courage, à s'interroger sur le minable spectacle auquel il assistait.
Le jour où la fiesta circo sera interdite, ces gens-là tomberont certainement de moins haut.
Honte au ganadero de Soto de la FUENTE! Ses sous-merdes  Domecquisées condamnent un peu plus tôt et plus vite la mort de la CORRIDA de TOROS.

Heureusement, le séjour et les rencontres, comme c'est souvent le cas, ont compensé avantageusement la déception aficionada. Par exemple, vous en connaissez beaucoup, des hotels, où après que vous ayez acquitté 75 euros pour la chambre, deux repas avec un Rioja de 2010 et deux petits déj, le patron vous fait goûter blanc et rouge de Navarre, et vous offre avant de partir la même bouteille de Rioja que vous avez adoré?

Hasta luego! La vie, elle est parfois chouette....

vendredi 14 mars 2014

EN UKRAINE, ON DOIT SALUER LE RETOUR DE LA DÉMOCRATIE




"Démocrates" Ukrainiens frappant une vieille dame qui va fleurir la statue de Lénine.... BIZARRE ! Ces images ne circulent pas sur nos écrans télé !