jeudi 29 décembre 2016

TROP NOMBREUX AVATARS DANS LE LE COMMERCE

APRÈS INTERMARCHÉ ET SES FOIES GRAS TROP GRAS,
(qui ne m’ont jamais été compensés)
VOICI « RIANS » , « ELLE ET VIRE » ….

Nous achetons régulièrement des yaourts nature « LA CHÈVRE » RIANS, le plus souvent dans les magasins LECLERC de TARBES et ORLEIX, parfois ailleurs, selon les circonstances.

Le 9 Décembre 2016, j’ai voulu vérifier le poids – 100 G NET - annoncé sur les pots. Résultat poids net constaté : 96 g !!! Soit 4% de vol!!

Il y a deux jours, toujours dans le même LECLERC, nous avons acheté du beurre «ELLE et VIRE »
Poids net annoncé : 250 G. Poids net constaté à la maison: 240 G !!!! Soit un manque de 10G , soit 4% de vol !!!

Récemment, mésaventure avec les cafés LAVAZZA, avec un paquet imbuvable !!!

LAVAZZA a répondu à notre réclamation : quelques bons de réduction de 2 euros.....
RIANS nous a répondu, poliment, mais çà s’est arrêté là: silence radio depuis 10 jours !!!!

Pas un domaine où le citoyen consommateur ne soit pris pour un pigeon, consciencieusement arnaqué. !
Mon voisin Jacques me dit : »Heureusement qu’il y a des gens comme toi qui réagissent pour nous, qui n’en prenons pas le temps »

Soit ! Il faut non seulement bien vérifier les étiquettes, éplucher les mots, souvent compliqués ou illisibles, mais en plus prendre le temps de peser, à la maison.

 Mais que font les services officiels: contrôle prix, qualité, répression des fraudes?

mercredi 21 décembre 2016

ALEP N'ÉTAIT PAS ALEP

LA FILLETTE SUR LES FAUSSES IMAGES «DEPUIS ALEP» PARLE DU TOURNAGE…


La fillette sur les fausses images «depuis Alep» parle du tournage…
L’héroïne des photos prétendument réalisées dans la ville syrienne d’Alep, mais en réalité faites en Égypte, a donné dans une vidéo des détails sur ce tournage. Le ministère égyptien de l’Intérieur a publié cette vidéo sur sa page officielle Facebook.
Le ministère égyptien de l’Intérieur a déclaré que la police avait interpellé un homme qui avait fait des photo-montages d’enfants blessés et de bâtiments en ruine dans l’intention de les diffuser sur les réseaux sociaux, en les faisant passer pour des clichés pris à Alep.
L’équipe de tournage, qui comprenait les assistants du photographe et les parents des petits acteurs, a été arrêtée dans la province égyptienne de Port-Saïd.
Dans ce témoignage vidéo, une fillette apparaissait dans une robe ensanglantée, tenant dans ses mains un ours en peluche également maculé de sang. La police a remarqué qu’il ne s’agissait que de peinture rouge. La fillette a raconté que le photographe, son « oncle Mustapha », les avait mis dans un bus avant de les emmener vers un bâtiment en ruines.
« Mon oncle Mustafa m’a dit que je devais mettre cette robe couverte de sang et qu’il ferait quelques photos », raconte l’héroïne de la séance photos.
« C’était pour faire croire qu’elle était couverte de sang à cause des frappes aériennes des Forces armées syriennes ? À Alep ? », interroge un policier.
« Oui, mais c’était l’idée de Mustafa, c’est lui qui a proposé de faire des photos », répondent presque à l’unisson la mère et la fille.
Le photographe a ensuite confié dans la vidéo qu’il voulait publier les clichés sur les réseaux sociaux avec comme légende « Le sang des enfants d’Alep ». Le photographe a été placé en garde à vue pour quatre jours, le temps de mener l’enquête, alors que les autres membres du tournage ont été libérés sous caution.

mardi 20 décembre 2016

COUPABLE MAIS PAS CONDAMNÉE


Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Madame Lagarde, avocate dans un grand cabinet d'affaires US, est choisie comme ministre de l'Economie par Nicolas Sarkozy président de droite de la République. Jusque là, normal. Dans ce cadre, elle autorise une procédure arbitrale privée dans un conflit entre l'affairiste Bernard Tapie et le Crédit Lyonnais. Pas de justice ordinaire comme tout un chacun petit citoyen de France. Normal là aussi, puisque c'est prévu par les hors-sol.
Et ledit machin chose privé, libre et non faussé comme il se doit, de refiler 400 millions d'euros publics, plus 45 millions autres euros publics pour préjudice moral, à Bernard Tapie. Toujours normal.
Et puis voilà-t-y pas que la justice ordinaire annule pour "fraude" la décision du tribunal privé. Bon, se dit-on chez les petites gens comme vous et moi, madame Lagarde, qui a autorisé cette fraude, va comparaître devant un tribunal normal. Non, madame Lagarde n'est pas un SDF pris en train faucher un morceau de pain parce qu'il avait faim, ce qui lui vaut une comparution immédiate devant la Justice et d'écoper de la taule ferme. Pour madame Lagarde, on a inventé la Cour de Justice de la République: 3 magistrats de la Cour de cassation, le gratin en matière judiciaire, plus 6 députés et 6 sénateurs. Il faut ce qu'il faut et c'est absolument normal que les gens biens soient jugés par d'autres gens du même métal. Et preuve du bon boulot de la CJR, elle a siégé 4 fois et jamais condamné à de la prison ferme.
Le citoyen Claude Marin, procureur général près de la Cour de Cassation, le gratin du gratin en matière de procureur de la République, lors du procès de madame Lagarde, a plaidé la relaxe pure et simple. Ben oui, un ministre, ça ne signe que des papelards entre 2 apéro dinatoires pris chez les hors-sol de France et d'ailleurs, pour que vive la France et que vive la 5ème République.
Finalement, la CJR, dans sa grande sagesse, a condamné madame Lagarde pour "négligence", pour n'avoir pas fait appel des 445 millions de fric public refilé à Bernard Tapie. Mais est-ce que madame Lagarde avait ses lunettes ce jour-là pour lire la sentence du tribunal privé? Qui le saura, la CJR n'a pas questionné madame Lagarde lors du procès. La CJR n'a pas non plus entendu Stéphane Richard, son ex-dirlo de cabinet, maintenant recasé pdg d'Orange, qui ne s'est pas présenté alors qu'il était cité comme témoin. Normal, il câblait peut-être un particulier avec de la fibre optique. Pub gratos.
Ce n'est pas toutefois bien, a dit la CJR à madame Lagarde, vous êtes déclarée coupable, mais en fin de compte dispensée de peine, parce que cela nuirait à sa "personnalité et à sa réputation internationale". Normal, madame Lagarde est la patronne du FMI, adoubée à ce poste par le capitalisme international et toujours en place sous François Hollande président. Avec le bon bilan de son quinquennat, ça aurait fait tâche que l'on condamne madame Lagarde à une quelconque peine. Non?
Bêta que je suis, j'ai omis de vous préciser que François Fillon était premier ministre de Sarkozy, quand madame Lagarde était ministre. Oui, lui, le candidat réactionnaire à la prochaine présidentielle!
Et aussi que Stéphane Richard, déjà cité, Claude Guéant, ex-secrétaire général de l'Elysée, Pierre Estrup du tribunal arbitral privé, Bernard Tapie et son avocat sont mis en examen pour détournement de fonds publics et escroquerie. L'enquête pénale a débuté depuis 2012. Ils n'ont pas été encore jugés. Pour quoi pas pour eux la CJR, ça va nettement plus vite. Et puis, être jugés sous les ors de la République, ça classe son bonhomme ou sa bonne-femme. Non?






L'Équilibre, Échelle, La Justice, La Loi

franceinfo

Affaire Tapie : Christine Lagarde est reconnue coupable de "négligences" mais

dispensée de peine


Note de Pedrito: 

Si négligemment tu glisses un fromage de chèvre à 1 euro dans ta poche parce que tu as faim, tu prends trois mois fermes.
Si négligemment alors que tu es payée et mandatée pour veiller aux finances publiques, tu laisses réussir une escroquerie de 400 millions d'euro pris dans la poche des contribuables par des escrocs en bande organisée, monsieur le juge te dira que ce n'est pas bien et te souhaitera un bon noël.(blog de canaille la rouge)

Pour un vol d'un kilo d'oranges, dans un supermarché: trois mois fermes
Pour quelques euros de tickets de réduction grattés par une caissière: la porte! 
Selon que vous serez puissant ou misérable.....la suite chez Jean de la Fontaine
Note : Pour signer la pétition exigeant un vrai procès,consulter

https://www.change.org/p/un-vrai-procès-pour-christine-lagarde?utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=signature_receipt&share_context=signature_receipt&recruiter=45747381

dimanche 18 décembre 2016

"JOURNALISTES", REVISTEROS, MÊME COMBAT....



 BAISSEZ VOTRE FROC, VOUS DEVIENDREZ FACILEMENT.....


JOURNALISTES..... ET REVISTEROS DES CALLEJONS

Vous serez journalistes.....Ou "revisteros"!

Revisteros: Vous savez? Ces gens qui écrivent sur le papier ou sur la toile pour les revues taurines inféodées au mundillo, le monde taurin seulement cupide pour la plupart, - éleveurs, empresas, jusqu'aux plus modestes organisateurs qui s'imaginent par leur présence visible  pouvoir jouer dans la cour des grands, ils finissent tous ou presque par se se prendre le melon, et depuis les callejons, organisent la claque et imposent leurs peñas "CHHHHHHHHHHUUUUUTTTTTTT",- car seul compte le fric généré par la pseudo corrida, ils ne tolèrent les uns et les autres aucune critique d'aucun aficionado opposé à la corrida cirque, cette "fiesta circo" dénoncée régulièrement et honnie par nos frères espagnols  aficionados a los toros .
Ceux qui vivent de la corrida, éleveurs, empresas, depuis des décennies, scient la branche sur laquelle ils sont assis, ils sont les acteurs  coupables et responsables de la dégénérescence de la fiesta brava, de là-haut ils comptent leur oseille mal acquise, à élever des demi-toros domestiqués, et laissent faire leurs basses oeuvres par les seconds, les sans grade, ainsi que la plupart des  photographes et "revisteros" autoproclamés ou adoubés par le système, communément qualifiés de "lameculos", ( du verbe "lamer"= lécher), squattent les callejons, en général le rôle de ces relais de la presse taurine sous contrôle consiste à passer la brosse à reluire dans le bon sens du poil, pour remercier les organisateurs, par leurs écrits élogieux, de les avoir autorisés à disposer d'une accréditation, ce sésame qui leur permet d'être vu de tout le monde, gratuitement, et donc de passer auprès des gogos assis sur les étagères pour quelqu'un d'indispensable au bon déroulement du spectacle.
Et les jeunes recrues du système font comme les anciens: au départ, on est conquis par leur audace, par leurs propos et leurs écrits  qui tranchent avec la soumission au système des "journalistes spécialistes" que l'on connaissait.
Et puis, comme leurs ainés, ils finissent par rentrer dans le rang: ils obéissent, se couchent, ils ne donneront plus jamais un coup de pied dans la fourmilière, pour faire bouger un système véreux, leur impertinence disparait. Définitivement. Ils la gardent juste contre ceux qui au début leur faisaient confiance. Et qui, eux, ne trahiront jamais leur indéfectible aficion.

jeudi 15 décembre 2016

L'HÉRITIER DES VAMPIRES

Les patrons de presse écrite, parce que patrons, fi de la concurrence, s'empressent de lui faire sa pub.
Pour lui ce sera d'autant plus gratuit que c'est payant pour le patronat : des propos comme ceux-là, coté MEDEF, c'est un investissement.
Chacun pourra noter le bain de jouvence d'une telle pensée qui ressemble bigrement à l'eau croupie stagnant dans la vase des bassins de l'Hotel du parc du maréchal de la charte du travail.
Macron ? il y a du Belin dans c't'homme.
Florilège paru dans 20 minutes du 12 décembre..
Pour Emmanuel Macron, les syndicats français font « trop de politique ». Invité dimanche sur TF1, le candidat à la présidentielle a jugé que les confédérations nationales n’avaient pas « un débat au plus près du terrain ».
« Je veux un dialogue social plus vivant, car en France on parle aujourd’hui beaucoup de dialogue social mais on a des syndicats qui au fond, font trop de politique » a affirmé l’ancien ministre de l’Economie. Et de poursuivre : « Parce que qui est fort au niveau du syndicalisme ? Les confédérations nationales qui bloquent, qui rentrent dans un débat politique comme on l’a vu sur la loi Travail et qui du coup n’ont pas un débat au plus près du terrain », d’après lui.
« Pourquoi je crois au modèle à l’allemande, à un dialogue social au niveau de l’entreprise et de la branche ? Parce que je veux qu’au plus près du terrain, on trouve les bons compromis », a souligné l’ancien secrétaire général adjoint de l’Élysée. Avec les réformes qu’il prône, « on aura beaucoup plus de Françaises et de Français qui désigneront leurs représentants pour défendre leurs propres intérêts », assure celui qui se présente comme le « candidat du travail ».
Ainsi donc il reviendrait à un banquier énarque aux propos  les plus réac sur le monde du travail, un illettré des relations sociales, un pur fruit de l'hydroponie politique et économique, croissant entre billes d'argile obligataires et laines de roche actionnaires de définir les missions du syndicalisme.
Ce type qui a rencontré Dieu le jour où il a vu le veau d'or de près en est evenu un intégriste radicalisé.
la pensée profonde et son humanisme
la pensée profonde et son humanisme
Il ne faut pas prendre ce genre de propos à la légère. le but est idéologique, pour tordre les repères et faire empreinte. Un peu comme en passant et repassant l'usager sur la meule à ronger les idées celui-ci est devenu un client dépossédé de son service public et donc "disqualifié pour le défendre".
Voila à quoi sert le Macron.
Voila pourquoi il est choyé, par tous. Entre ceux qu'il sert, ceux qui veulent s'en servir, ceux qui le veulent à leurs côtés. De Gattaz à Cambadélis en passant par LaValls et Bayrou c'est a qui lui fera du charme.
Cela éclaire bien les choix de la Solférinocratie.  Que le laniste des gladiateurs de la ludus Solferinus se batte pour avoir dans son staff celui qui se déclare non socialiste démontre l'espace politique où tous se situent  : à droite tous, à droite toute.

LES LOUPS SONT LACHÉS SUR ALEP

DÉFERLANTE DE PROPAGANDE MENSONGÈRE 
SUR ALEP 
Kadafi et la Lybie n'ont pas suffi: l'enfumage universel continue



pour voir la vidéo, cliquez ci-dessous


  http://yetiblog.org/index.php?category/Les-mots-des-autres

  La vidéo qui se passe de commentaire de la journaliste  canadienne 

Eva BARTLETT

 

 

 

 

 

lundi 12 décembre 2016

POUR NOUS, LE BOUT DU TUNNEL?


Je me décide enfin à vous répondre, à vous qui manifestez régulièrement de l’intérêt pour la santé de mon épouse. En nous écrivant, en nous téléphonant....Depuis des mois, que Gisèle a commencé son combat, jusqu’à ces jours derniers, où elle refait surface à la vitesse grand V, me manquait le gnac nécessaire pour prendre le clavier, je voulais pouvoir vous dire définitivement: « tout va ENFIN bien » !! Celles et ceux qui savent, par expérience, les épreuves où nous sommes passés, me comprendront. Je n’avais d’énergie suffisante que pour soutenir Gisèle.... et espérer. Aujourd’hui, nous voyons enfin le bout du tunnel.... Et puisque le chirurgien nous a déclaré il y a peu, que « dans 30% des cas, il n’y a pas de récidive », nous nous accrocherons à ce pronostic de l’espoir.
Mille mercis à vous toutes et tous, vos témoignages d’amitié, votre soutien, nous ont été une aide précieuse. Au point que maintenant, je suis en mesure d’évoquer pour vous, en quelques mots, mais avec confiance et espoirs revenus définitivement, le mal et la peur que, comme beaucoup, hélas, nous avons traversés.

C’est au lendemain de le notre voyage à Céret que les choses se sont précipitées. Au retour de feria, trois séances de chimio, espacée chacune de trois semaines, parfois quatre, le taux des globules blancs faisait du yoyo. Parenthèse de Parentis. Puis la chirurgie à Toulouse Oncopole, 14 jours, dont certains en quarantaine, puis retour à la maison, suivi de trois nouvelles chimios, avec les mêmes imprévus, douleurs, décalages des soins....Dans le hall de l’hôpital, une grande affiche, étalait son titre raccoleur, sensé nous rassurer :« Face à la maladie, vous n’êtes pas seul(e) » !! C’est vrai que le personnel fut formidable, dévoué, compétent, exemplaire. Et tout aussi salutaires furent les signes adressés par les amis proches ou lointains mais tout aussi attentionnés. « Il vous faudra du courage », m’avait prévenu B.B. Comme elle avait raison ! Cette épreuve aura pour nous été l’occasion de mesurer le courage et la force de Gisèle, mais aussi de croiser beaucoup de souffrances, certaines nous auront plus que d’autres encore fait prendre conscience combien nous pouvons être parfois désarmés devant le mal. L’occasion aussi de faire un bilan impromptu, nous comparer et mesurer nos propres maux face à ceux qui nous entourent, évaluer et peser les souffrances. Ils sont nombreux, de plus en plus nombreux, semble-t-il, ceux que cette saloperie atteint, alors qu’ils ne s’attendaient à rien. Ils se battent, ils luttent, contre ce putain de « mal moderne », mais aussi parfois, c’est tout aussi dur, contre l’indifférence des uns et la rustrerie des autres, qui vous oublient, ou vous tournent carrément le dos, alors que, il y a peu encore, je prenais part à leur propre deuil. Certains justement bardés de la foi dont ils se réclament, respectable chez les uns, mais qui ne peut cacher chez d’autres bedauds leur ignoble tartufferie.
Pour ceux qui le connaissent, j’en profite pour glisser quelques mots sur notre ami aficionado tarnais Pierre : lui aussi se bat avec courage, lui aussi aimerait parfois lire sur les blogs autre chose que la longueur des piques montées à l’endroit ou à l’envers.
A vous tous, les autres, qui ne nous ont pas totalement zappés, bien au contraire, nous ont soutenus, je parlerai bientôt de vive voix au téléphone, le courage revenu. En attendant, je vous adresse mon salut le plus affectueux
Pedrito
PS  Une pensée pour  Mario Tisné et ses enfants, dans l'épreuve injuste et cruelle qu'ils viennent de subir, à l'occasion du décès de Mme Tisné

FERIA DE PARENTIS EN BORN 2017




DEUX NOVILLADAS PIQUEES ( Monteviejo et Prieto de la Cal) , UNE SELECTION DE NOVILLEROS ( La Espera )
ET UNE NOVILLADA SANS PICADORS ( Prieto de la Cal)
au menu de la Feria de PARENTIS EN BORN les 5 et 6 Août 2017

L’Association des Aficionados de Parentis en Born (ADA FERIA) et la Commission taurine viennent de rendre public la nouvelle organisation de la Feria et la liste des ganaderias retenues pour la prochaine feria de la Sen Bertomiu qui se déroulera les 5 et 6 Août 2017.

Le Samedi 5 Août : MONTEVIEJO et CERTAMEN DE NOVILLEROS

Sélection de novilleros « Coso de Parentis »en ouverture de la Feria
Le Samedi 5 Août 2017 à 10h30, se déroulera une sélection de novilleros sans picadors avec
4 vaches de la ganaderia de La Espera appartenant à Jean François Majesté. Les deux meilleurs novilleros seront retenus pour la finale qui se déroulera le lendemain matin.

Victorino Martin et ses Patas Blancas de MONTEVIEJO le Samedi après-midi
Le Samedi 5 Août 2017 à 18h00, l’Ada a programmé un encierro de MONTEVIEJO, fer appartenant à la famille Victorino Martin d’origine Vega Villar/Encinas

Le Samedi 6 Août : JOURNEE PRIETO DE LA CAL

Finale de la sélection « Coso de Parentis »avec une novillada sans picadors de 4 erales
Le Dimanche 6 Août à 11h00 se déroulera la finale de la sélection de novilleros « Coso de Parentis ». Les deux finalistes du Samedi matin affronteront 4 erales de PRIETO DE LA CAL.

Clôture de la Feria de novilladas avec PRIETO DE LA CAL
Pour clôturer la Feria taurine le Dimanche après-midi, les organisateurs ont choisi un lot de novillos de PRIETO DE LA CAL d’origine Veragua



En savoir plus sur www.adaparentis.com


Association des Aficionados de Parentis en Born - Rue des Sables - BP 14 - 40161 PARENTIS EN BORN Cedex

mercredi 7 décembre 2016

LE PS VU PAR "CHALLENGE"

Manuel Valls, l’homme qui fait l’union de la gauche… ....contre lui?

 Challenge n’y va pas par quatre chemins: 
 
« A travers l’équation Valls, se mesure aussi ce qu’est devenu le Parti socialiste. Ce qu’il porte, c’est-à-dire pas grand-chose. Ce qu’il incarne, c’est-à-dire peu de chose. La prise en étau entre Mélenchon et Macron ne doit rien au hasard de l’histoire.
 
 Elle est le fruit d’un lent processus de décomposition, politique et culturel, dont Manuel Valls est l’ultime avatar. 
 
Le Parti d’Epinay, synthèse des gauches réformiste et révolutionnaire est mort, et l’illisible Manuel Valls, muni de ses seuls autoritarismes et laïcisme en guise de bannières socialistes, est le symptôme de l’achèvement du processus de décomposition. » 
 

mardi 6 décembre 2016


Lu dans l’Humanité: « Ce qui a été omis à la mort de Fidel Castro »,

par Noam Chomsky

06 Déc

Le linguiste et philosophe Noam Chomsky, figure majeure du paysage intellectuel états-unien, nous a livré ses réflexions exclusives après la mort de Fidel Castro à l’occasion d’une rencontre dans les locaux de « l’Humanité » et de « l’Humanité Dimanche ».
« Les réactions à la mort de Fidel Castro diffèrent selon l’endroit du monde où vous vous trouvez. Par exemple, en Haïti ou en Afrique du Sud, c’était une figure très respectée, une icône, et sa disparition a suscité une grande émotion.
« Aux États-Unis, l’ambiance générale a été résumée par le premier titre du « New York Times », lequel indiquait en substance : « Le dictateur cubain est mort ». Par curiosité, j’ai jeté un oeil aux archives de ce journal pour voir combien de fois ils avaient qualifié le roi d’Arabie saoudite de « dictateur ». Sans surprise, il n’y avait aucune occurrence…
« Il y a également un silence absolu sur le rôle joué par les États-Unis à Cuba, la manière dont Washington a oeuvré pour nuire aux velléités d’indépendance de l’île et à son développement, dès la révolution survenue en janvier 1959. L’administration Eisenhower a tenté de renverser Castro, puis, sous celle de Kennedy, il y a eu l’invasion manquée de la baie des Cochons, suivie d’une campagne terroriste majeure.
« Des centaines, voire des milliers de personnes ont été assassinées avec la complicité de l’administration américaine et une guerre économique d’une sauvagerie extrême a été déclarée contre le régime de Fidel Castro. Cette opération, baptisée opération « Mangouste », a culminé en octobre 1962 et devait aboutir à un soulèvement à Cuba auquel Washington aurait apporté son appui.
« Mais en octobre 1962, Khrouchtchev a installé des missiles à Cuba, sans doute en partie pour contrecarrer l’opération « Mangouste » mais aussi pour compenser l’avantage militaire dont disposait l’armée américaine dans la guerre froide, conséquence du refus par Washington de l’offre de désarmement mutuel émise par Moscou. Ce fut sans doute le moment le plus dangereux de l’histoire de l’humanité.
« Personne ne se demande pourquoi Mandela, à peine libéré de prison, a rendu hommage à Fidel Castro.
« Dès la fin de la crise des missiles, Kennedy a relancé les opérations terroristes contre Cuba ainsi que la guerre économique, ce qui a eu des implications majeures sur les capacités de développement de Cuba.
« Imaginez ce que serait la situation aux États-Unis si, dans la foulée de son indépendance, une superpuissance avait infligé pareil traitement : jamais des institutions démocratiques n’auraient pu y prospérer.
« Tout cela a été omis lors de l’annonce de la mort de Fidel Castro. Autres omissions : pourquoi une personnalité aussi respectée que Nelson Mandela, à peine libérée de prison, a-t-elle rendu hommage à Fidel Castro en le remerciant de son aide pour la libération de son pays du joug de l’apartheid ?
« Pourquoi La Havane a-t-elle envoyé tant de médecins au chevet d’Haïti après le séisme de 2010 ?
« Le rayonnement et l’activisme international de cette petite île ont été stupéfiants, notamment lorsque l’Afrique du Sud a envahi l’Angola avec le soutien des États-Unis. Les soldats cubains y ont combattu les troupes de Pretoria quand les États-Unis faisaient partie des derniers pays au monde à soutenir l’apartheid.
« Sur le plan interne, à Cuba, il y avait certes une combinaison de répression, de violations des droits de l’homme, mais à quels niveaux ces abus étaient-ils liés aux attaques répétées venues de l’extérieur ? Il est difficile d’avoir un jugement clair sur cette question. Il faut également noter que le système de santé à Cuba s’est imposé comme l’un des plus efficaces de la planète, bien supérieur, par exemple, à celui que nous avons aux États-Unis.
« Et concernant les violations des droits de l’homme, ce qui s’y est produit de pire ces quinze dernières années a eu lieu à Guantanamo, dans la partie de l’île occupée par l’armée américaine, qui y a torturé des centaines de personnes dans le cadre de la « guerre contre le terrorisme ». »
Cette entrevue fait partie d’un dossier de 28 pages paru dans « l’Humanité Dimanche » ( édition du 1er au 14 décembre 2016 ) à l’occasion du décès de Fidel Castro

 LO QUE HAN OMITIDO SOBRE LA VIDA Y LA MUERTE DE FIDEL

El lingüista y filósofo Noam Chomsky, la figura(cara) superior del paisaje intelectual estadounidense, nos entregó sus reflexiones exclusivas después de la muerte de Fidel Castro con ocasión de un encuentro en los locales de " la Humanidad " y de " la Humanidad el Domingo ".
" Las reacciones a la muerte de Fidel Castro difieren según el lugar del mundo(gente) donde usted se encuentra. Por ejemplo, en Haití o en África del Sur, era una figura(cara) muy respetada, un icono, y su desaparición suscitó una gran emoción.
" En los Estados Unidos, el ambiente general ha sido resumido por el primer título(acción) del " New York Times ", el cual indicaba en sustancia: " el dictador cubano murió ". Por curiosidad, les eché(puse) un ojo a los archivos de este periódico para ver cuántas veces habían cualificado al rey de Arabia Saudita de " dictador
  Sin sorpresa, no había ningún caso … " También hay un silencio absoluto sobre el papel jugado por los Estados Unidos a Cuba, la manera en la que Washington laboró para perjudicar a las veleidades de independencia de la isla y a su desarrollo, desde la revolución sobrevenida en enero de 1959. La administración Eisenhower intentó derribar(trastocar) a Castro, luego, bajo la de Kennedy, hubo una invasión fracasada de la bahía de Cochinos, ordenada(continua) de una campaña(campo) terrorista superior.
" Centenas, incluso millares de personas han sido asesinados con la complicidad de la administración americana y una guerra económica de un salvajismo extremo ha sido declarada contra el régimen de Fidel Castro. Esta operación, bautizada operación " Mangosta ", culminó en octubre de 1962 y debía acabar en un levantamiento en Cuba Pero en octubre de 1962, Khrouchtchev instaló misiles en Cuba, sin duda en parte para contrarrestar la operación " Mangosta " pero también para compensar la ventaja militar de la que disponía el ejército americano en la guerra fría, la consecuencia de la negativa por Washington de la oferta de desarme mutuo emitida por Moscú. Fue sin duda el momento más peligroso de la historia de la humanidad.
" Nadie se pregunta pór qué Mandela, apenas liberado por prisión, rindió homenaje a Fidel Castro.
" Desde el fin de la crisis de los misiles, Kennedy reactivó las operaciones terroristas contra Cuba así como la guerra económica, lo que tuvo implicaciones mayores sobre las capacidades de desarrollo de Cuba.
"
 " Imagine lo que sería la situación a los Estados Unidos si, en la pisada de su independencia, una superpotencia hubiera infligido tratamiento igual: jamás instituciones democráticas habrían podido prosperar allí.
" Todo esto ha sido omitido en el momento del anuncio de la muerte de Fidel Castro. Otras omisiones: ¿ por qué una personalidad tan respetada como Nelson Mandela, apenas liberada por prisión, rindió homenaje a Fidel Castro agradeciéndole por su ayuda(ayudante) para la liberación de su país del yugo del apartheid?
" ¿ Por qué La Habana envió a tantos médicos a la cabecera de Haití después del seísmo de 2010?
" El brillo(influencia) y el activismo internacional de esta pequeña isla fueron estupefacientes, particularmente cuando África del Sur invadió Angola con apoyo de los Estados Unidos.
  El brillo(influencia) y el activismo internacional de esta pequeña isla fueron estupefacientes, particularmente cuando África del Sur invadió Angola con apoyo de los Estados Unidos. Los soldados cubanos combatieron allí las tropas de Pretoria cuando los Estados Unidos formaban parte de últimos países en el mundo(gente) que sostiene el apartheid.
" ¿ Sobre el plan(plano) interno, en Cuba, había por cierto una combinación(mono) de represión, de violaciones de los derechos humanos, pero a cuáles niveles estos abusos fueron atados(vinculados) a los ataques repetidos venidos del exterior? Es difícil de tener un juicio claro sobre esta cuestión. También hay que anotar que el sistema de salud en Cuba se impuso como uno de las más eficaces del planeta, mucho superior, por ejemplo, al que tenemos en los Estados Unidos.
" Y concerniendo a las violaciones de los derechos humanos, lo que se produjo allí de lo peor estos quince últimos años se efectuó en Guantanamo, en la parte(partida) de la isla ocupada por el ejército americano, que torturó allí a centenas de personas en el marco de la " guerra contra el terrorismo "."
Esta entrevista forma parte de un expediente de 28 páginas aparecido en " la Humanidad el Domingo " (edición del 1r al 14 de diciembre 2016) con ocasión de la defunción de Fidel Castro







vendredi 2 décembre 2016

LAISSERA-T-ON LES MAINS LIBRES AU CASSEUR DE LA SÉCU?

LES AMITIÉS DANGEREUSES (*)

François Hollande ne sera pas présent à Cuba pour honorer Fidel CASTRO le 4 décembre...
Par contre, il n'avait pas hésité à se rendre par le premier avion en Arabie Saoudite lors de la mort du roi Abdallah en janvier 2015. Il avait même et longuement longuement serré la main au gouverneur de la province de Riyad et lui avait glissé :
"Je voulais être là, avec vous et avec votre famille" ...
 
Certes, à Riyad, le Président vend des Rafales et des missiles aux États arabes, qui s'en servent pour détruire le Yémen et armer les djihadistes, agresseurs de la Syrie.
Cuba ne conclut pas de tels marchés.
Fidel n'a jamais porté la guerre chez ses voisins. 
Mais son régime est socialiste...
Aussi le président français voit rouge (ce n'est qu'une image) et il boude cette île des Caraïbes tel un petit caniche de l'oncle Sam.
 
Ce geste -  ou plutôt ce manque de geste - montre le camp choisi par François Hollande, celui de l'oligarchie mondiale face au socialisme.
 
Les Français progressistes s'en souviendront le jour voulu.
 

Jean Lévy
sur son blog
 
 
(*) Nota: Le titre seul est de Pedrito. 
D'autre part, Il y a longtemps que beaucoup de "progressistes" avaient écarté de leur choix celui qui a déclaré hier qu'il ne se représenterait pas. Comme aux USA où la gauche américaine a installé un clown dangereux, la gauche française a ouvert un boulevard aux ultra réactionnaires. Avec le le retour en force de l'obscurantisme religieux, qui accompagne généralement l'arrivée des démagogues de tout poil, la majorité des citoyens ne semble d'ailleurs pas consciente du recul de civilisation qui l'attend.
 

samedi 26 novembre 2016

LA MORT D'UN GÉANT.



 
Fidel Castro est mort
L’histoire retiendra qu’il fut l’un des géants politiques du XXe siècle, et que la faune de tous les anti-castristes est bien petite à côté de ce colosse.(*) Son combat a permis l’avènement d’une Amérique latine nouvelle. De son vivant, Fidel était déjà entré dans l’histoire. L’Amérique latine perd un Libérateur, un référent, une légende.
26 novembre 2016
Je pleure. Pour mesurer la dimension du personnage, il faut le contextualiser. Cuba est une petite île ; elle n’est pas un morceau de l’ex-empire soviétique qui s’acharne à survivre sous les tropiques. Les Etats-Unis sont intervenus plus de 190 fois en Amérique du sud, une seule expédition a échoué, celle de 1961 à Cuba. L’invasion mercenaire de la Baie des Cochons, pour tenter de renverser Fidel Castro. Les archives de la CIA l’attestent : Fidel a été victime de plus de 600 tentatives d’assassinat de la part des Etats-Unis. Pendant 50 ans, il leur a tenu la tête haute.
Fidel est le libérateur, l’émancipateur, le fédérateur, il a permis l’affirmation d’une nation. Le castrisme naît d’une revendication d’indépendance nationale ; la Révolution a été le fruit d’une histoire nationale. Fidel a en quelque sorte inventé Cuba. Il est donc historiquement le fondateur, le ciment, il porte une légitimité historique que nul ne lui conteste.
Il y a eu Cuba, c’est vrai, forte personnalisation du pouvoir, résultat du charisme de cet homme exceptionnel, et du rôle qu’il a joué dans le processus historique, de sa relation directe avec le peuple, de l’agression permanente des Etats-Unis.
Cuba a inventé des structures de « pouvoir populaire », A Cuba, le parti unique est le produit de la Révolution, d’un processus long et conflictuel de la fusion des trois organisations révolutionnaires. A Cuba, c’est la Révolution qui a fait le parti, et non l’inverse.
S’il y a des hommes qui jouent des rôles irremplaçables, dans des processus historiques donnés, Fidel Castro est de ceux-là.


Hasta la victoria siempre, Commandante !
Jean ORTIZ

Note de Pedrito
(*) Parmi eux, un s'est particulièrement distingué, c'est notre cyclomotoriste présidentiel normal, qui a déclaré:
"Il avait incarné la révolution cubaine, dans les espoirs qu'elle avait suscités puis dans les désillusions qu'elle avait provoquées."
NON! M. Hollande, Fidel n'a pas INCARNÉ, il a ORGANISÉ LES ARMES A LA MAIN et DÉFENDU jusqu'à sa mort- on peut en penser ce que l'on veut, çà, c'est autre chose -  la RÉVOLUTION CUBAINE!!
Il y a eu en Amérique latine près de DEUX CENTS interventions US depuis que les impérialistes de l'"Oncle Sam" ont été repoussés de la Baie des Cochons, avec les succès que l'on sait: installation de dictatures aux ordres de la Maison Blanche, coups d'état multiples, assassinats de démocrates, de syndicalistes, d'indigènes....
CUBA est resté inviolé par l'empire du dollar.
Quand aux désillusions provoquées par la révolution cubaine, voilà un mot qui fleure bon la démagogie dans la bouche de notre illusionniste de l'Élysée: combien de promesses non tenues, de multiples rodomontades racoleuses,   de comportements indignes et odieux, juste destinés à enfumer ce peuple de gauche qui se sent aujourd'hui définitivement trahi, cocufié, jusqu'à se détourner des urnes?
En matière de désillusions, lui en sème depuis ans, s'il se met enfin à l'écoute de ses électeurs M. Hollande devrait savoir de quoi il en retourne. Et se taire!
A Miami, parait-il, on sabre le champagne.
 En Amérique Latine, ils sont certainement plus nombreux ceux qui portent le deuil de l'immense bonhomme qui vient de s'éteindre, que les milliardaires exilés cubains qui dansent sur les cendres du Commandante



APRÈS LES OBSÈQUES DE FIDEL:
CHAPEAU, MADAME ROYAL!!!




décembre 4, 2016 at 10:07
Voici ce qu'a  dit Ségolène ROYAL
FRANCEINFO
franceinfo avec AFP
France Télévisions
Mis à jour le 04/12/2016 | 10:41
publié le 04/12/2016 | 08:31

La ministre française de l’Ecologie Ségolène Royal a rendu hommage, samedi 3 décembre, à Santiago de Cuba, à Fidel Castro. « C’est un monument de l’histoire, d’abord, Fidel Castro. C’est le symbole d’une amitié très profonde entre Cuba et la France », a-t-elle déclaré à des journalistes français peu après son arrivée sur l’île pour assister samedi soir à une cérémonie d’hommage au « Comandante », puis à ses funérailles en cercle plus restreint dimanche.
Grâce à Fidel Castro, les Cubains ont récupéré leur territoire, leur vie, leur destin. Ils se sont inspirés de la Révolution française sans pour autant connaître la terreur qu’il y a eue pendant la Révolution française.

"Ségolène Royal, numéro trois du gouvernement français, est la seule membre d’un gouvernement européen, avec le Premier ministre grec Alexis Tsipras, à avoir fait le déplacement à Cuba.

« Il y a beaucoup de désinformation »
Interrogée sur les violations des droits de l’homme reprochées par l’ONU et l’opposition au régime cubain, Ségolène Royal a souligné au contraire l’existence sur l’île d' »une liberté religieuse » et d' »une liberté de conscience ». « Ecoutez, il y a beaucoup de désinformation. Ce que j’observe, c’est que jamais les relations diplomatiques n’ont été coupées avec Cuba, y compris de la part de certains responsables politiques qui me critiquent, qui critiquent la France. Jamais », a-t-elle encore rappelé.
« Il y a toujours du positif et du négatif dans les histoires, mais certains ne vont pas se rhabiller à bon compte au nom des droits de l’homme alors qu’on sait qu’ici, quand on demande des listes de prisonniers politiques, on n’en a pas. Et bien fournissez-moi des listes de prisonniers politiques. A ce moment-là, on pourra faire quelque chose », a ajouté la ministre de l’Ecologie."

Chapeau, Mme ROYAL, même si c'est peut-être un peu calculé, çà détonne, au pays de vos amis sociaux démocrates de la "gôche" caviar!!


 

mercredi 23 novembre 2016

PAUVRES POLITICIENS!!!



..........Dur labeur que le leur, à nos élus, à nos ministres! Même s'ils sont TROP bien payés - 12870 euros mensuels + le reste - ils n'ont aucun scrupule à  faire croire à d'autres, les sans dents, ceux qui leur ont fait confiance pour qu'ils améliorent leur pauvre condition, qu'ils sont trop payés avec 1457 euros. Souvent moins....
Votez, votez, bonnes gens, pour ces pauvres martyrs qui vous font la leçon, qui se font élire, qui dorment sur leurs promesses, et qui ont toujours bonne conscience. Tranquille. 

«Je pense que cette présentation est une caricature du libéralisme qui apparaît comme une purge patronale. C'est du Robin des bois à l'envers: prendre de l'argent aux pauvres pour le donner aux riches!»

Note de Pedrito
Quoi de nouveau sur la planète?
Chez nous, notre système social certes imparfait mais qui profite quand même au plus grand nombre, au peuple, bientôt entre les mains d'un Thatchérien dont le programme ultra réactionnaire se résume à : "comment enrichir plus les plus riches"? 
Comment en est-on arrivé là? Grâce aux multiples trahisons, aux promesses non tenues, depuis 1983 sous Mitterrand,, et des gouvernants socialistes successifs, dont l'unique préoccupation fut et demeure: faire la même politique que la droite, malgré de temps en temps quelques retouches personnelles, développer l'assistanat, le clientélisme, pendant que les plus modestes s'appauvrissent, que le chômage s'étend, et que des citoyens de plus en plus nombreux se détournent des urnes, jusqu'à se jeter dans le filet des démagogues les plus dangereux
Ailleurs, aux USA, vient de débarquer l'impensable, l'innommable! Un ami des Clinton, et de l'establishment politique US, un milliardaire misogyne infect, vulgaire, odieux jusqu'à la caricature, idiot, inculte, - le réchauffement climatique est selon son pauvre cerveau un leurre inventé par la Chine!!!!-  mais immensément riche, ce qui aide beaucoup, pour prendre le pouvoir, et lui a permis, grâce à l'aide de la gauche américaine incapable d'honorer ses propres promesses, de séduire les plus riches, bien sûr, mais aussi de faire rêver beaucoup d'américains parmi les plus modestes et pauvres. Son programme: le fric, le fric,  toujours plus de fric, pour ceux qui en ont déjà beaucoup trop. (*)

Dans le reste de ce continent, du centre jusqu'au Sud, de plus en plus de démocraties progressistes victimes de coups d'état factieux fomentés depuis l'empire du dollar par les premiers dirigeants de la Maison Blanche

Ailleurs, et partout en Europe: : l'Islam intégriste qui continue ses ravages, jusque dans les républiques  de l'ancienne URSS que l'on aurait pu croire épargnées par ce mal infâme.

De bien belles journées qu'on nous prépare,  pour un avenir des plus rassurants. Et comme leurs promesses, aux uns et aux autres, n'engagent que ceux qui les croient, continuons de rêver, juste ce qu'il faut. Mais pas trop, car les réveils s'annoncent difficiles, et pas pour les riches, rassurez - les, des fois qu'ils craignent pour leurs fortunes. 

dimanche 20 novembre 2016

HOMMAGE A NOTRE CHACHA NATIONAL



Les Critiques Taurins du sud-est rendent hommage à René Chavanieu

prix
La section sud-est de l’Association des Critiques Taurins de France (ACTF) a rendu hommage dimanche dernier à René Chavanieu.
Voici quelques années, le Prix Nimeño II a été créé pour rendre hommage à une personne ou une entité ayant oeuvré pour la défense de la Fiesta. Les critiques taurins du sud-est ont choisi cette année de l’attribuer à René Chavanieu. Celui qui, du haut de ses 92 printemps, doit être l’un des doyens, si ce n’est le doyen des aficionados de l’hexagone, s’est vu remettre le prix par Patrick Colléoni, président de la section sud-est, lors d’un repas organisé en son honneur dans un restaurant nîmois.
Celui qui fut l’un des plus assidus spectateurs des corridas dans l’amphithéâtre gardois a régalé ses hôtes de quelques anecdotes savoureuses au point qu’il nous fut permis de regretter qu’il n’ait pas rédigé ses mémoires. Membre de l’Union Taurine Nîmoise pendant des lustres, pourfendeur des tricheurs armés de scies et de limes, mayoral à la ganaderia Riboulet, l’homme a tout connu et n’a laissé sa place au toril bas des arènes qu’à regret il y a deux ans pour raison de santé, ce qui ne l’empêche pas d’assister aux tertulias et autres soirées taurines qui rythment toujours son quotidien.
Quoi de plus normal que de mettre en avant ce militant de la première heure, lui qui a toujours défendu la Fiesta avec passion et désintéressement. Longue vie à toi, Chacha, pour qu’il y ait encore un aficionado parmi les centenaires du nouveau siècle !
Patrick Colléoni (site web TORO BRAVO)
groupe
 (Photo de gauche à droite : Fanny et Olivier Riboulet, René Chavanieu, Agnès Péronnet, Pierre Cournac et Patrick Colléoni)

mardi 15 novembre 2016


Election de Trump : la désopilante lettre de John Cleese aux Américains(1)

14 Nov
Par Culturebox @Culturebox
Mis à jour le 14/11/2016 à 11H38, publié le 14/11/2016 à 10H48
John Cleese en septembre à Berlin
John Cleese en septembre à Berlin
© AAPimages / Sight / AAPimages/Sight / DPA
À la suite de l’élection américaine, le comédien anglais, confondateur des Monty Python, a adressé aux Américains une lettre hilarante dans laquelle il décrète la fin de l’indépendance des États-Unis et dresse une série de règles applicables immédiatement. Amateurs d’humour British, vous ne serez pas déçus.
« Aux citoyens des États-Unis d’Amérique, étant donné votre incapacité à élire un président compétent et donc de vous gouverner, nous vous informons de la révocation de votre indépendance. Cette décision entre en vigueur aujourd’hui », annonce John Cleese. Il propose donc de réintégrer les États-Unis dans le Commonwealth, « excepté l’Utah, que la reine n’apprécie guère ».
Il explique aux Américains que leur nouveau Premier ministre sera nommé par Tony Blair (« 97,8 % d’entre vous ignorant qu’il existe un monde en dehors de vos frontières »). Sénat et Congrès sont dissous. Et il ajoute une liste de 14 règles faisant effet immédiatement « pour faciliter votre transition avec la réintégration des États-Unis sous la Couronne britannique ».
Parmi ces règles : prononcer correctement le mot « aluminium ». « De même, vous apprendrez à épeler « beignet » sans sauter la moitié des lettres. De manière générale, vous devez enrichir votre vocabulaire. Recherchez « vocabulaire » », précise-t-il. « Vous devrez abandonner le football américain. il n’y a qu’un genre de football et vous aurez d’ailleurs pu noter qu’en dehors de vos frontières, personne ne pratique votre ‘football américain' ».

Interdiction du port d’armes, un permis pour l’éplucheur à légumes

« Vous ne serez plus autorisé à posséder ou porter des armes à feu, ou quoi que ce soit de plus dangereux qu’un éplucheur de légumes. Parce que vous n’êtes pas assez sensés pour manipuler des objets potentiellement dangereux, vous avez besoin d’un permis pour transporter un éplucheur de légumes », précise l’article 6.
Rouler à gauche, apprendre à faire de vraies frites (« les ‘frites françaises’ ne sont pas françaises, mais belges, même si 97,8% d’entre vous  -y compris le gars qui a découvert des frites en Europe- ignore l’existence d’un pays appelé la Belgique »), sont aussi au programme.
« Apprenez à résoudre des problèmes personnels sans arme à feu, avocats ou thérapeutes. Votre besoin d’avocats et de thérapeutes montre que vous n’êtes pas assez adultes pour être indépendant. Si vous n’êtes pas assez adulte pour régler les problèmes sans poursuivre une personne ou parler à un thérapeute, vous n’êtes pas assez grand pour manipuler un pistolet », s’amuse John Cleese. « Et dites-nous une bonne fois pour toutes qui a tué JFK, ça nous rend dingues. »
Et de conclure : « Les percepteurs du gouvernement de Sa Majesté se rapprocheront de vous prochainement pour percevoir les impôts (rétroactif à 1776). »

(1) En fait, cette lettre date de 2003, elle faisait suite à l'élection de "doble you Bûûch", mais l'humour très british de John Cleese conserve aujourd'hui toute sa saveur et son actualité, avec l'arrivée de cet autre  dangereux météorite sur la scène yankee: le milliardaire populiste réactionnaire Trump

FIESTA CAMPERA DE RION DES LANDES

Capture-d’écran-2016-11-10-à-12

vendredi 28 octobre 2016

L'ÉPINE CUBAINE DANS LE TALON DE L'EMPIRE US

L’ADMINISTRATION OBAMA ENTRE L’ENCLUME ET LE MARTEAU CUBAINS


Jacques-François Bonaldi
Quelques réflexions couchées à la va-vite…
J’attends de recevoir la dernière version de l’intervention de Bruno Rodriguez, le ministre cubain des Relation extérieures, devant l’Assemblée générale des Nations Unis qui votait ce matin la résolution cubaine contre le blocus des États-Unis, pour vous faire parvenir la traduction définitive. J’ai traduit la première, mais le ministre cubain a dû rectifier son discours devant l’annonce, faite par Samantha Power, la représentante des USA auprès de l’ONU, depuis la  tribune, que son administration s’abstiendrait au moment du vote. Il le savait déjà, bien entendu, puisque, loin d’improviser sur le moment face à cette annonce-surprise, il a lu des modifications écrites.
Je dis annonce-surprise, mais au fond je ne suis pas si sûr que ça en soit une. Déjà, l’an dernier, à cette même occasion, des bruits avaient couru que l’administration Obama s’abstiendrait, mais elle avait finalement voté non, comme les vingt-trois fois antérieures. Cette année-ci, se sachant en fin de carrière à la Maison-Blanche et ne risquant donc plus de traquenards de la part de ses adversaires du Congrès et de Miami, Obama s’est rendu à l’évidence (et dans « rendu », il y a l’idée de « reddition ») : sa bataille était perdue d’avance, le monde entier est contre cette politique, même les gouvernements qui ne sont pas franchement amis de la Révolution cubaine !
En fait, je me demande qui manipule le mieux le fameux « smart power » dont Obama a fait la pierre de touche de sa politique étrangère. À ce petit jeu, la Révolution cubaine vient de l’emporter haut-la-main. En continuant de présenter sa résolution même après la reprise des relations diplomatiques, de la réouverture des ambassades, de la visite d’Obama à La Havane en mars dernier et des cinq trains de mesures que Washington a adoptés pour alléger petitement certaines restrictions du blocus (qui reste en place pour l’essentiel, puisque sa levée définitive dépend depuis 1996 du Congrès), Cuba a coincé l’administration étasunienne entre l’enclume et le marteau et l’a contrainte, pour ainsi dire, à se dédire ou à se démentir elle-même, et à devoir cesser donc d’appuyer ouvertement une politique que toutes les administrations (dont la sienne) ont mise en œuvre avec acharnement depuis 1962. Je dis « ouvertement », parce que la dernière Directive présidentielle sur la politique cubaine de  la Maison-Blanche ne laisse aucun doute sur le fait que les méthodes ou les tactiques changent, mais pas l’objectif final : éliminer ce gouvernement trublion qui continue de s’affirmer et de s’afficher résolument socialiste et de parler de justice sociale dans un monde où le néolibéralisme fait loi et est roi.
Bien entendu, Samantha Power, durant son intervention, nous a refait le coup des droits de l’homme, que le gouvernement cubain continue censément de violer horriblement, mais aussi, ce qui est nouveau, le coup de la sensiblerie, nous racontant l’histoire de ce médecin cubain servant en Sierra Leone durant la lutte de ses plus de cent collègues qui se battaient contre l’épidémie à virus Ébola et qui a été touché par le mal, et qui a été sauvé parce que, censément grâce à la logistique des États-Unis, on a pu l’expédier sans retard à Genève pour y être traité et guéri. En fait, Samantha Power a présenté cette mission de lutte contre l’Ébola quasiment comme une initiative de son gouvernement, sans jamais mentionner une seule fois l’Organisation mondiale de la santé… Mais passons. Son intervention avait du moins un autre ton que celui des années précédentes.
Donc, Obama envoie un message à son Congrès : messieurs les représentants et sénateurs, à vous de jouer ! Moi, j’ai fait tout ce que j’ai pu (ce qui est faux, parce que ses prérogatives présidentielles, ce que Cuba ne cesse de répéter, lui permettraient d’en faire bien plus) ; c’est à vous maintenant de décider de la levée totale du blocus, formé d’un incroyable lacis de lois, résolutions, décrets et autres mesures dans lequel même les meilleurs avocats des États-Unis se retrouvent plus perdus que Thésée dans le labyrinthe. Et apparemment, pas d’Ariane dans l’administration…
Bref, une jolie victoire de la Révolution cubaine. Des 193 pays membres de l’ONU, tout le monde était en rendez-vous, aucun pays ne voulait perdre ça. Quand on a su avant le vote que les USA s’abstiendraient, bien entendu il ne restait plus qu’un seul « mystère » : qu’allait faire Israël ? Eh bien, il a fait ce que tout le monde supposait : il a suivi son plus fidèle allié dans le monde et voté comme lui. Dans les temps, on accusait Cuba d’être un satellite du Kremlin… ! Au moins, les choses sont claires.
Pour modifier un tel « records » : 191 pour contre 0 et deux abstentions, il faudra attendre l’an prochain : soit l’entrée d’un nouveau membre soit un vote « oui » des USA (et donc d’Israël), soit encore qu’un Congrès à majorité démocrate issue des prochaines élections du 6 novembre décide de lever le blocus une bonne fois pour toutes.
Le temps le dira. En tout cas, réjouissons-nous qu’il existe encore dans notre monde à la botte une Révolution capable de battre l’Empire à son propre jeu : le smart power
Article repris sur le blog histoireetsociete 

 
                                                       ¡ QUÉ AFRENTA EN LA ONU!
           LA ADMINISTRACIÓN OBAMA ENTRA EL YUNQUE Y EL MARTILLO CUBANOS

Jacques-François Bonaldi

Algunas reflexiones acostadas de prisa y corriendo …
Espero recibir la última versión de la intervención de Bruno Rodriguez exterior, el ministro cubano de la Relación, delante de la Junta general de las Naciones Unidos que votaba esta mañana la resolución cubana contra el bloqueo de los Estados Unidos, para enviarle la traducción definitiva. Traduje la primera, pero el ministro cubano debió rectificar su discurso delante del anuncio, hecho por Samantha Power, la representante de USA cerca de la ONU, desde la tribuna, que su administración se abstendría en el momento del voto. Ya lo sabía, desde luego, ya que, lejos de improvisar sobre el momento frente a este anuncio-sorpresa, él leyó modificaciones escritas.
Digo anuncio-sorpresa, pero al fondo no estoy tan seguro que esto sea una. Ya, el año pasado, a la misma ocasión, ruidos habían corrido que la administración Obama se abstendría, pero finalmente había votado no, como veintitres veces anteriores. Este año, sabiéndose al final de carrera a la Casa Blanca y no arriesgando pues más cepos por parte de sus adversarios del Congreso y de Míami, Obama vió las cosas como son (y en "devolución", hay una idea de "rendición"): ¡ su batalla estuvo perdida por anticipado, el mundo(gente) entero está contra esta política, hasta los gobiernos que no son francamente amigos(queridos) de la Revolución cubana!
De hecho, me pregunto quién manipula mejor el famoso " elegantón power " el que Obama hizo la piedra de toque de su política exterior. A este pequeño juego, la Revolución cubana acaba de llevárselo altura - la mano. Continuando presentando su misma resolución después de la recuperación(reactivación) de las relaciones diplomáticas, de la reapertura de las embajadas, de la visita de Obama en La Habana el marzo pasado y cinco trenes de medidas que Washington adoptó para aliviar(disminuir) petitement ciertas restricciones del bloqueo (que se queda en sitio(plaza) por lo esencial, ya que su levantamiento definitivo depende desde el 1996 del Congreso), Cuba arrinconó la administración étasunienne entre el yunque y el martillo y lo forzó, para decirlo así, a no cumplir o a desdecir él misma, y a deber dejar pues de apoyar abiertamente una política Que todas las administraciones (el que la Siena) puso en ejecución con encarnizamiento desde el 1962. "Abiertamente" digo, porque la última Directiva presidencial sobre la política cubana de la Casa Blanca deja alguna duda sobre el hecho de que los métodos o los tácticos cambian, pero no la meta final: eliminar este gobierno perturbador que continúa confirmándose y exhibiéndose resueltamente socialista y hablando de justicia social en una gente donde el neoliberalismo tiene fuerza de ley y es rey.
Desde luego, Samantha Power, durante su intervención, nos rehizo el golpe de los derechos humanos, que el gobierno cubano continúa como si se dijera violando horriblemente, pero también, esto Que es nuevo, el golpe de la sensiblería, contándonos la historia de este médico cubano que sirve en Sierra Leone durante la lucha de sus más de cien colegas que se peleaban contra la epidemia a virus Ébola y que ha sido tocado por el dolor(mal), y que ha sido salvado porque, como si se dijera gracias a la logística de los Estados Unidos, se pudo expedirlo sin retraso a Ginebra para ser tratado y curado allí. De hecho, Samantha Power presentó esta misión de lucha contra Ébola casi como una iniciativa de su gobierno, sin mencionar jamás una sola vez la Organización mundial de la salud … Pero pasemos. Su intervención tenía por lo menos otro tono que el de los años precedentes.

Pues, Obama le envía un mensaje a su Congreso: ¡ señores representantes y senadores, a usted de jugar! Hice todo lo que pude (lo que es falso, porque sus prerrogativas presidenciales, lo que Cuba no deja de repetir, le permitirían hacerlo mucho más); le pertenece que mantiene de decidir el levantamiento total del bloqueo, formado de una rejilla increíble de leyes, resoluciones, decretos y otras medidas en la cual hasta los mejores abogados de los Estados Unidos se encuentran más perdidos que Teseo en el laberinto. Y aparentemente, ninguna Ariane en la administración …
Total, una hermosa victoria de la Revolución cubana. 193 países miembros de la ONU, todo el mundo estaba en cita, ningún país quería perder esto. Cuando se supo antes del voto que USA se abstendría, desde luego él no se quedaba más que un solo "misterio": ¿ que iba a hacer Israel? Pues bien, hizo lo que todo el mundo suponía: siguió a su aliado más fiel en el mundo(gente) y votado como él. ¡ En los tiempos, acusábamos Cuba de ser un satélite del Kremlin! Por lo menos, las cosas son claras.
Para modificar uno tal "récords": 191 para contra 0 y dos abstenciones, habrá que esperar el año próximo: o sea la entrada de un nuevo miembro sea un voto "sí" USA (y pues de Israel), o sea aunque un Congreso a mayoría demócrata nacida elecciones próximas del 6 de noviembre decide levantar el bloqueo una buena vez para ellas todas.
El tiempo lo dirá. En todo caso, regocijemosnos que todavía existe en nuestra gente a la bota una Revolución capaz de pegar el Imperio a su propio juego: el elegantón power
Artículo repetido sobre el blog histoireetsociete