vendredi 31 janvier 2020

EXTRAORDINAIRE ET " DÉBORDANTE "AFICION PÉRUANA

 






  1. CORACORA, PÉROU.  DÉPARTEMENT: AYACUCHO. PROVINCE: PARINACOCHAS.
  2. POPULATION: 15.378 HABITANTS .
  3. AU VU DES PHOTOS, À CROIRE QU'ILS SONT TOUS  À LA CORRIDA !    




  4. IMAGES SURPRENANTES, D'UNE CORRIDA AU PAYS DE MON AMI AVOCAT AFICIONADO
  5.  GEORGES PACCINI BUSTOS  POCHO. FOULE IMPRESSIONNANTE. ATTACHEMENT  EXTRAORDINAIRE AUX TRADITIONS TAURINES, SANS PRÉJUGER DE LA QUALITÉ DE L'AFICION DE LÀ-BAS, - QUE JE SALUE PAR L'INTERMÉDIAIRE DE POCHO-  QUI SELON LES PURISTES, SERAIT LOIN D'ÉGALER LA FRANÇAISE. MAIS COMBIEN CES IMAGES NOUS PARLENT AVEC FORCE DE CES PASSIONS SUD AMÉRICAINES MÉCONNUES ICI.
Blog "Dominguillos"

lundi 27 janvier 2020

CONNAISSEZ VOUS MON VILLAGE?

MARCIAC ! Le village où je suis né . Que j’ai quitté à 19 ans pour aller travailler à ROUBAIX, dans le lointain Nord, quand j’ai du laisser les miens avec beaucoup d’appréhension. Nous étions pauvres…..Le NORD !!! C’était loin, le NORD, on disait que les gens du NORD étaient froids. Au contraire du SUD, au contraire du GERS, de mon MARCIAC, où j’étais né. Mais j’allais pouvoir gagner ma vie, et aider les miens, ma chère mère, qui s’était tant sacrifiée pour nous, pour moi, pour que j’ai un métier qui me ferait vivre. Hélas, çà ne devait pas du tout se passer comme je l’espérais. Un an après mon exode nordiste, c’était le départ en ALGÉRIE, pour les fameuses « opérations de maintien de l’ordre, de pacification », comme on disait dans les salons du Pouvoir colonial Français. Et, après seulement 3  mois, j’ai du rentrer chez nous pour une permission exceptionnelle, le 8 décembre 59, pour voir s’éteindre ma chère mère au terme de souffrances terribles : 52 ans, cancer aux intestins. Pas de rémission ! Et fini le rêve d’adoucir sa fin de vie, la remercier de mille mots, de présents, de douceurs. Et le 16 juin suivant, c’était au tour de mon père de s’éteindre, 53 ans, à l’hôpital d’AUCH, où on avait du le laisser seul, nous, ses enfants, dans l’impossibilité à l’époque de le prendre avec l’un de nous. Là aussi, seconde perm exceptionnelle. Pour l'enterrer....Quel souvenir horrible que celui de mon "service" militaire!


Avec un peu d’humour, MARCIAC, aujourd'hui, on pourrait l’appeler CLOCHE-MERLE. Avec un peu d’humour….Mais ce qui s’y est passé n’a rien d’humoristique, y règne plutôt la voyoucratie, avec la complicité du maire. Ici, comme ailleurs, on prépare les municipales, mais le chef socialiste du département a parait-il créé un certain trouble. Il a d’abord accordé son soutien, oralement, à une seconde liste socialiste, à une Marciacaise aimée et appréciée, comme sa famille, mais sans doute fatiguée de subir les méthodes indigestes de son camarade maire. Elle  a d'abord été ravie de ce soutien providentiel. Mais le grand manitou socialiste d'AUCH s’est ravisé pour finalement choisir de soutenir le maire sortant, grand « démocrate » devant l’Éternel.

Cela, serait presque comique. Car pendant qu’au plan national le Parti socialiste – ce qu’il en reste - n’en finit pas de tenter d’émerger du tsunami macronien qui l’a emporté, dispersé, atomisé, au plan local, on  continue de se déchirer, de s’étriper dans des luttes fratricides. Oh ! Certainement que les belligérants sauront se retrouver « in fine » pour recoller les morceaux….Et rendre au petit monarque « républicain » le pouvoir dont il use et abuse depuis des décennies. En attendant, il continuera jusqu’à la fin de régner et donner de lui l’image qui lui colle à la peau : celle d’un homme autoritaire, jusqu’à l’excès, insupportable pour celles et ceux qui ne supportent aucun joug, même un joug de pseudo « gôche », l’image d’un petit potentat avide de médias, de télé, préoccupé par son propre rayonnement plus encore que par celui de mon village dont il a fait SON truc, SON machin, ce village où je suis né et  que j’ai quitté par sa faute et celle de ses sbires. 

Alors que beaucoup d' habitants souffrent en silence.


Oui ! Comme Ulysse, après son beau voyage, j’ai eu le tort de vouloir finir ma vie dans mon village. Nous avons, ma femme chérie et moi, fait bâtir une maison, où nous avons vécu juste un peu plus de quatre ans. Sur un terrain clôturé avec du grillage. Face à la maison de retraite. NOUS y étions heureux. Sauf quand des abrutis se garaient régulièrement devant notre portail. Ce qui faisait rigoler le gentil toubib qui visitait la maison de retraite. Comme quoi gentil est parfois tordu....Heureux jusqu’à ce qu’une saloperie de cancer se déclare chez ma Gisèle. Peu de temps après sa leucémie lymphoïde chronique.Trois ans de souffrances, de maux terribles, avant l’agonie. Mais çà n’était pas suffisant. Mes voisins étaient propriétaires d’un chien (fugueur, je l’ai su plus tard). Un matin, nous avons retrouvé la clôture, près de la rue, cisaillée, du haut vers le bas, puis, en dessous, juste au ras du sol, le grillage présentait un grand trou, fait à la main, en écartant les mailles du grillage : avec des poils de chien collés sur le pourtour de l’orifice. Le crime était presque signé.

La suite, pour faire bref: 


Je suis allé à la Gendarmerie, pour déposer une plainte. Où l’on m’a prié de revenir, à « 14 heures ! » Je suis revenu, à 14H ! Pour rien !!!J’ai sonné, sonné, plusieurs fois, j’ai attendu un bon moment sous la pluie , je voyais la tête d’un gendarme qui bougeait dans le bâtiment, mais PERSONNE N’EST VENU me recevoir. PERSONNE ! Le lendemain, les gendarmes m’ont appelé, prétextant que JE N’ÉTAIS PAS VENU!! Vexé d'être pris pour un gland, je me suis quand même présenté. J’ai conté ma mésaventure. Je suis rentré chez moi. Puis j’ai appris, grâce à deux témoins de la scène du forfait, ce qui s’était réellement passé. Le chien fugueur était entré dans ma propriété en passant sans doute entre les barreaux d’un second portail à l’autre bout de mon terrain, puis il s’est dirigé côté rue, tout près de mes voisins ses propriétaires, pour tenter de sortir, il n’a pas eu l’idée de sortir par où il était entré,- çà n'est qu'un animal, pas comme son propriétaire, qui lui, s'est avéré pire qu'un animal -il a aboyé, aboyé, sans que je ne l’entende, son propriétaire a entendu, lui, et aidé de son copain - adjoint au maire – ils n’ont pas fait de détails: lls n'avaient sûrement pas soif, d'après les témoins, mais plutôt que de sonner chez moi, pour que j'ouvre mon portillon et que je libère l'animal, ils ont massacré mon grillage ! A la cisaille, puis avec les mains. Une belle leçon de respect de la propriété d’autrui, en plus de  la part de ses premiers voisins ! Comportement de voyous. !! On parle des banlieues? Des crapules dans les banlieues? Mais quelle différence, entre crapules des banlieues et crapules de villages? Ici, c'est pire, ce sont des faux-culs qui vous font des risettes avant de vous poignarder....
 

Avec mon épouse, qui depuis, hélas, est décédée, nous avons pris la décision la plus sage, pensions nous, la plus douloureuse: partir! Quitter ce village qui n’est plus ce qu’il était! Autrefois, avant le grand chambardement, il faisait bon y vivre. Aujourd'hui,  Il ne fait pas bon vivre pour tout le monde dans « la capitale du jazz ». Que devions nous faire? Se lancer dans un procès contre des sauvages? Et croiser chaque matin des tronches de salopards, d'abominables crapules? Qu’on voudrait voir pendues? Je suis retourné à la Gendarmerie pour retirer ma plainte. Voilà! Terminé. Le maire de Marciac, qui savait, qui a su, brillera toujours par son sens profond du respect du à ses concitoyens, pour les victimes d'abus, de crimes et de forfaits, même les plus âgées, par son goût de la justice. Du pur socialisme. Un socialiste? Qu’il se méfie de ses sbires, comme les socialistes marseillais, gangrenés par leurs maffias. Heureusement, mes amis socialistes ne ressemblent forcément pas à un maharadjah sans scrupule.

Quand aux gendarmes, ils ne sont plus, hélas,ce qu’ils étaient. Pourquoi se sont-ils foutus de moi? Le prix à payer, là aussi, quand on déplait au grand chambellan de la  commune?

A qui se fier ? Et où va-t-on ?
 

CHANT RÉVOLUTIONNAIRE - A L'ORIGINE FÉMINISTE - ITALIEN



  Dans notre France républicaine, est-il besoin d'utiliser du "matériel de guerre"  quel qu'il soit, contre des manifestations sociales?

Sauf que ce "matériel de guerre" tiré par les forces de l'ordre républicain, coupable de blessures graves et de mains arrachées sur des manifestants, n'est plus acheté depuis mai 2018 à l'entreprise gauloise Alsetex qui d'ailleurs ne le fabrique plus. Et la France était l'unique pays européen à l'utiliser.
Cela n'a pas empêché le syndicat Cfdt de la police de s'émouvoir hier contre le retrait "immédiat d'un matériel de guerre" farci de 25 grammes de TNT et pas de poudre de perlimpinpin. Merdre, il nétait pas donc au courant Laurent Berger,patron de la Cfdt,qui entre et sort à tout va des palais de la République?
Cela dit, comme me le raconte mon voisin, tant qu'il avait du grain à moudre dans le stock de GLI-F4, cela aurait été bêta de ne pas en utiliser.
A la place de la GLI-F4, la GM21 toujours cataloguée "matériel de guerre". Plus de TNT ni d'effet de souffle, mais un effet assourdissant de 165 décibels, ce qui surpasse le bruit d'un avion au décollage. Avec à la clé des oreilles mutilées? Castaner ne l'a pas dit.
En tout cas, "la France n'est pas une dictature", a proclamé urbi et orbi l'ex-banquier d'affaires siégeant dans le palais de l'Elysée pour défendre sa loi "simple et juste" de la réforme capitaliste des retraites.
En revanche, le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative républicaine française, a jugé ladite loi lacunaire, insincère, non-universelle et contraire à la Constitution.
Question: dans notre France républicaine, est-il besoin d'utiliser du "matériel de guerre"  quel qu'il soit contre des manifestations sociales?
Et si je déclare "Liberté, j'écris ton nom", suis-je passible d'une GM21 dans mes esgourdes?
Christophe Castaner, patron de l'ordre républicain: retrait "immédiat" de la grenade GLI-F4. Non mais!
Illustration de Fernand Léger du poème d'Eluard écrit en 1942 dans son Recueil clandestin
Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes maisons réunies
J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître

                                                           
                                                            Pour te nommer
Liberté.




7 Janvier 2020
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs



dimanche 26 janvier 2020

AU NOM DE LA JUSTICE ET DES LOIS SOCIALES RÉPUBLICAINES


Au nom de la loi 

Au lendemain de la Libération, après la victoire des alliés contre le nazisme et ses complices collabos les barons de l'industrie et de la finance, en promulguant les lois dont bénéficie aujourd'hui le peuple tout entier, en premier lieu les travailleurs salariés, "ILS" ont gravé dans le marbre l'Histoire Sociale de la France.
ILS: les ministres issus du Gouvernement de la Libération.
Leur sacrifice impose le respect et la reconnaissance. Leur exemple, dont se sont inspirées depuis de nombreuses nations, devrait être enseigné dans les écoles de la République. Au contraire le petit Jupiter au service des seuls milliardaires s'acharne à détruire le contrat social qui protégeait jusqu'ici TOUS les citoyens, même les plus modestes.
Au nom des lois sociales que nous devons à tous les ministres issus de le Libération, dont celui-ci, Ambroise CROIZAT, le président des riches doit mettre un terme à ses attaques contre les conquêtes sociales de 1945: il doit retirer définitivement sont projet néfaste de réforme en trompe-l'œil, qui ne servirait que les milliardaires.
NON à la pseudo réforme dont la majorité des Français ne veut pas.
 

samedi 25 janvier 2020

LES COMPLICES - LE COUPLE MACRON/CFDT-N'EN ONT PAS FINI.

Ainsi donc, la CFDT serait devenue le syndicat majoritaire?
Il est vrai que depuis 2010 elle militait pour la retraite à points, avec son allié  le Parti Socialiste. Ce parti qui, par peur d'entreprendre les vraies réformes promises à partir de 1981, nous a conduit à l'impasse actuelle: végéter, avec de moins en moins de moyens, des salaires de plus en plus minables, et choisir tous les 6 ans entre la peste et le choléra. Ajoutons à cela que l'un et l'autre ont en commun leurs racines réformistes, ce que le PS depuis longtemps englué dans l'idéologie "libérale" capitaliste ne cache même plus.....Il est loin le temps où Jaurès, fondateur du journal socialiste l'HUMANITÉ, dénonçait avec véhémence dans les colonnes de son journal le capitalisme et l' impérialisme, causes de toutes les guerres. Quand à la CFDT, née de la scission de la CFTC, il est aujourd'hui, çà n'est un secret pour personne, le syndicat des évêques, et, par sa docilité, le préféré des Macroniens. La plupart d'entre eux étant d'ailleurs d'anciens socialistes opportunistes - les carriéristes ayant quitté leur Titanic pour se rallier au candidat du cartel des banques - la CFDT avait le vent en poupe pour grossir ses effectifs, d'autant que la CGT, par de nombreuses erreurs et maladresses, notamment l'unité syndicale prônée avec des syndicats croupions, ne manqua jamais de prêter son flanc pour leur favoriser la tache.
"Pourvu qué çà doure", pourrait-on dire sur le ton des faux-culs....En souhaitant ardemment que l'infâme machination du délégué des Rotschild s'écrase contre les rochers de  l'opposition populaire.
Car il serait étonnant que les salariés les plus modestes, les plus fragiles économiquement, cautionnent encore bien longtemps cette "réforme" qui n'est qu'un retour vers le moyen âge social, un trompe l'œil, un enfumage criminel, un de plus!,  un marché de dupes qui ne profitera qu'aux fonds de pensions des milliardaires et autres capitalistes. Ils sont de plus en plus nombreux aujourd'hui les citoyens à se rendre compte qu'ils sont manipulés par des médias aux ordres d'un système pervers qu'ils veulent faire croire irréversible. Des médias incapables d'expliquer le pourquoi des luttes, mais ne savent que compter et recompter les trains qui passeront ou pas. Vous avez dit information? Déontologie? Alors que les luttes se poursuivent, que les salaires ne seront pas payés, qu'il faut du courage, de la ténacité, la conviction qu'on mène un combat juste, pour continuer de se battre, malgré l'adversité du pouvoir et des "journalistes" qui pour certains, palpent plusieurs smics par mois, la grasse récompense de leur soumission. Alors que le communisme, l'idéal communiste, est de retour, partout dans le monde. Mais qui en parle, ici? Comme si la France macronienne était le nombril du monde! Ils sont, ces Français, de plus en plus nombreux à ne plus vouloir être pris pour les moutons d'un syndicalisme de collaboration avec le patronat. Pas étonnant! A force d'entendre citer et vanter les pseudo "partenaires sociaux", par les médias aux ordres des grands groupes de presse et de la finance, certains Berger prennent l'expression à la lettre, et ils ne finissent à n'avoir de syndicalistes que le nom, ils sont les premiers souteneurs des décideurs politiques et politiciens, de tout ce système qui fabrique des milliardaires, mais engendre surtout des précaires, des pauvres, et ceux qui le deviendront parce que c'est la loi du capitalisme: tondre l'immense majorité de ceux qui vivent de leur travail, et qui enrichissent la petite caste de privilégiés qui tire les ficelles de ce théâtre de marionnettes, les premiers travaillent à moindre coût salarial pour faire  grassement vivre les seconds.
Voilà où nous conduisent l'inefficacité et le danger de l'expression qui a été inoculée par les médias: "partenaires sociaux". Les actifs, les salariés, les retraités, les travailleurs, les assurés sociaux, nous ne sommes pas, nous ne voulons pas être désignés "partenaires" des loups qui ne cherchent qu'à dévorer, lapider, nos conquêtes sociales de la Libération, sous le prétexte que certains régimes de retraite devraient être revus et corrigés. Il faut frapper à la caisse les VRAIS privilégiés, et arrêter de culpabiliser les lampistes, les salariés de n'importe quelle branche qui ont eu le courage de lutter, revendiquer, pour obtenir des moyens de vivre. Pour cela, il faut que la vraie gauche se réveille et s'impose. Une gauche résolument de gauche, et résolument rouge vert, pour que vive la planète .
Macron est bien le président des très riches. Il s'entête, il sème la discorde, le désordre.... Il se fout du sort des plus pauvres. De ceux qui souffrent. Il veut un système taillé sur mesures par et pour les plus gros possédants de la planète.
Et tant pis si le système de retraites américain - d'après l'Institut Hoover - que Macron et les siens voudrait nous imposer ici, menace là-bas de s'effondrer!!
Ici, le combat continue, n'en déplaise à Macron et son Berger garde moutons de la CFDT, ils n'en ont pas fini avec leur hold-up sur notre régime des retraites.

RETRAITES: CONSEIL D'ÉTAT CONTRE GOUVERNEMENT


Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Capture d'écran sur Fb
Capture d'écran sur Fb
La plus haute institution administrative française déplore les "projections financières lacunaires" du gouvernement et un recours aux ordonnances qui "fait perdre la visibilité d’ensemble". Cet avis de ce vendredi, journée nationale interprofessionnelle de grèves et de manifestations, est à lire sur Légifrance, site officiel  du gouvernement pour la diffusion des textes législatifs et réglementaires et des décisions de justice des cours suprêmes et d'appel de droit français.
En clair le Conseil d'Etat donne un avis salé sur la politique en la matière du gouvernement des richards et du capital.
"Projections financières lacunaires", particulièrement sur la hausse de l’âge de départ à la retraite, le taux d’emploi des seniors, les dépenses d’assurance-chômage et celles liées aux minima sociaux: Bonjour auxdits partenaires sociaux du gouvernement et du patronat, en premier lieu la Cfdt et la Cftc dont elle est issue!
Les conséquences de cette réforme mettent en cause  "sa constitutionnalité et sa conventionnalité".  En clair, elles sont contraires à la Constitution et remettent en cause les conventions collectives.
C'est, toujours le Conseil d'état, "d’autant plus regrettable" qu’il s’agit d’une réforme "inédite depuis 1945 et destinée à transformer pour les décennies à venir […] l’une des composantes majeures du contrat social". On ne lui fait pas dire!
Gageons que le Conseil d'Etat risque de se faire remonter les bretelles par des personnes autorisées. Non?
Pour autant, ce qui est écrit sur Légifrance reste écrit. Raison supplémentaire de poursuivre le combat! Et c'est bien parti, puisque même Le Parisien.fr du 24 janvier titre: Réforme des retraites : mobilisation en hausse à Paris et dans toute la France
L'intersyndicale CGT, FO, FSU, Solidaires, FIDL, MNL, UNL et UNEF appellent à faire du mercredi 29 janvier, veille de la conférence de financement, une journée massive de grève et de manifestations interprofessionnelles et intergénérationnelles. 

Note de Pedrito : 

Malgré la  trahison du syndicat croupion,
PARTOUT, JUSQU'AU BOUT, CONTINUONS LE COMBAT!!!

vendredi 24 janvier 2020

L'INTERNATIONALE

*

Vous allez aimer.....


L'Internationale, chant universel de lutte et de fraternité,  dans une version surprenante....
Un chef d'œuvre! 

jeudi 23 janvier 2020

  • Sondage : 61% des Français pensent que Macron devrait retirer la réforme des retraites



Avec AFP Sondage : 61% des Français pensent que Macron devrait retirer la réforme des retraites © Yoan VALAT / POOL Source: AFP

Un sondage Elabe pour BFMTV révélant l'opinion très maussade des Français sur Emmanuel Macron a été publié le 22 janvier. Seulement 14% des sondés jugent que l'action du président de la République est «satisfaisante», 62% qu'elle est «décevante». Plus de six Français sur dix (61%) considèrent que le président français Emmanuel Macron devrait prendre en compte les contestations contre la réforme des retraites et la retirer, une opinion en hausse de quatre points en un mois, selon un sondage Elabe publié le 22 janvier. Seuls 39% estiment au contraire que le chef de l'Etat «a raison de faire cette réforme» car «elle était dans son programme». Emmanuel Macron, jugé très majoritairement «autoritaire», «arrogant» et «inquiétant» Dans cette étude pour BFMTV, l'action du président de la République est jugée «satisfaisante» par seulement 14% des personnes interrogées (+2 points par rapport à octobre), 24% estiment qu'il est «encore trop tôt pour se prononcer» (-8 points) et 62% qu'elle est «décevante» (+7 points). L'action d'Emmanuel Macron depuis le début de quinquennat a permis «d'améliorer la situation du pays» pour 24% des personnes interrogées (-4 points) et «d'améliorer votre situation personnelle» pour 17% (-2 points). Lire aussi Manifestation convoquée par le syndicat national français Confédération générale du travail (CGT) contre la réforme des retraites, le 4 janvier 2020, à Paris (image d'illustration). Sondage : 75% des Français attendent une modification ou un retrait de la réforme des retraites Le chef de l'Etat est très majoritairement jugé «autoritaire» (72%, +1 point), «arrogant» (70%, +3 points) et «inquiétant » (64%, +7 points). Il est encore majoritairement considéré comme «dynamique» (61%, -3 points), vu comme représentant bien la France à l'étranger (52%, -1 point) et «courageux» (51%, -2 points). Pour 42% des sondés, il est «capable de réformer le pays» (+2 points), il «respecte ses engagements» (41%, +2 points), mais n'est «sympathique» que pour 35% (-4 points) et «sincère» pour 31% (-2 points). Seuls 31% estiment qu'il «obtient des résultats» (-5 points), 22% qu'il «comprend les gens comme vous» (-1 point) et 19% qu'il est «capable de rassembler les Français» (-3 points). Le pronostic de réélection d'Emmanuel Macron en cas de candidature en 2022 est également en baisse : 31%, soit huit points de moins qu'en octobre. Cette enquête a été réalisée en ligne les 21 et 22 janvier auprès de 1 002 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. La marge d'erreur est de 1,4 à 3,1 points.
Lire aussi : Les Français de moins en moins intéressés par l'actualité, selon un sondage


mercredi 22 janvier 2020


Contre les idées réacs, l'humour comme arme de destruction massive

Publié le 22 Janvier 2020

Voilà aussi pourquoi
grâce à l'hiver 2020, 
rien ne sera comme avant 
Contre les idées réacs, l'humour comme arme de destruction massive
Rédigé par Canaille le Rouge
Publié dans #feminisme, #lutte, #lutte de classe, #cgt, #syndicats, #revendications, #égalités, #social,


Contre les idées réacs, l'humour comme arme de destruction massive
Rédigé par Canaille le Rouge

DIS, PAPA, POURQUOI .......?????


Accueil > Billets d’humeur > "Dis papa, pourquoi tu veux renverser le capitalisme ?

-"Dis papa, pourquoi tu veux renverser le capitalisme ?

mercredi 22 janvier 2020 par Alain Chancogne (ANC)

-"Dis papa pourquoi tu veux renverser le capitalisme ?"
"Tu vois, fiston une enquête vient de révéler que 2183 milliardaires de la planète possèdent un capital supérieur à celui de 60 % de la population mondiale.
S’ils peuvent accumuler ces richesses fabuleuses c’est tout simplement parce qu’ils détiennent l’ensemble des moyens de production et d’échange de la planète".
-"Mais alors papa au lieu de t’en prendre à eux on pourrait pas moraliser un peu ce système ?"
"Mon fils ceux qui possèdent décident de ce qu’ils appellent la régulation, la moralisation, les réformes de leur système
Tout pour eux !
Attendre du Capital qu’il s’humanise c’est aussi ridicule que de vouloir domestiquer le renard pour qu’il comprenne qu’il ne devrait s’attaquer aux poulaillers que les jours pairs, après discussion avec une espèce de CFDT des poules !"
-"Mais papa puisque tu me dis que penser comme toi c’est être communiste. Pourquoi tu n’es plus inscrit au Parti communiste français, au lieu d’être membre de ton ANC ?"
"Mon fils, justement pour rester communiste !!!’

Reprenons tous en choeur -sur l'air de Dutronc- ( Pedrito): 
2183 milliardaires, et moi, et nous, et moi.....
Qu'attendons nous pour décroiser les bras,
Pour remettre les choses à l'endroit,
J'y pense et j'oublie pas,
La vraie vie reprendra ses droits,
Si tous, faisons un petit pas
Pour remettre tout à plat,
Ne pas compter sur Mélanchon,
Ni le Ps ni Macron ,
Ni les machins réformistes
A genou devant les capitalistes
Juste un nouveau Front populaire
Pour cimenter la Nation,
Il faut en payer le prix, 
Loin des pros des scrutins tordus
Des "alliances" à fonds perdus
C'est la vie c'est la vie
etc....etc....

MULTIPLES AVATARS DE LA JUSTICE MACRONIENNE


Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Les plus jeunes ne peuvent pas s'en rappeler. Cela s'était passé il y avait bien longtemps. Alexandre Benalla était l'un des conseillers d'un ex-banquier d'affaires intronisé dans le palais de l'Elysée. Après avoir été dans l'équipe de sécurité de la campagne présidentielle du socialiste François Hollande, ledit Benalla s'était rapproché d'Emmanuel Macron devenu le ministre du premier.
Puis de fil en aiguille, sans doute découvrant avant tout le monde un nouveau Jupiter, monsieur Benalla devient le directeur de la sûreté et de la sécurité du parti En Marche ni-droite ni-gauche dirigé par celui qui marcherait mieux que Jésus sur les eaux de la Seine à Paris.
L'ex-banquier chez Rothschild et ex-ministre d'un gouvernement de gôche devenu président de la République, par la grâce du capital, de ténors du Parti socialiste et de quelques autres qui crurent choisir entre la peste capitaliste et le coléra du même métal, bref, Alexandre Benalla est adoubé conseiller du roi de la Présidence de ladite république.
Le 1er mai 2018, comme je vous l'ai dit, il y a très longtemps, il est filmé avec des attributs de la police en train de tabasser des manifestants. Ainsi démarre l'affaire Alexandre Benalla, conseiller de l'Elysée, notamment chargé de la sécurité expresse des déplacements présidentiels officiels et privés de Jupiter d'Emmanuel Macron.
Licencié après moult circonvolutions du pourvoir des riches et du capital, il conserve toutefois ses passeports diplomatiques pour aller faire du business en Françafrique.
Troisième affaire: les contrats russes. il est reproché à Alexandre Benalla et à son ami Vincent Crase d'avoir noué des relations d’affaires avec des business russes  soupçonnés d’entretenir des liens avec le crime organisé, dès juin 2018. A cette époque, le conseiller est encore en poste à l'Élysée et des rencontres avec les businessman de Poutine ont lieu au siège de La République en marche, le parti de la société civile libre et non faussée fondé par Macron.
Toujours pas de jugement pour Alexandre Benalla. C'est vrai qu'il n'est ni GJ ni manifestant contre la politique anti-sociale de son ancien boss.
Profitant que la Justice suspende son vol, Alexandre Benalla, plusieurs fois mis en examen, demandé l’annulation de plusieurs enregistrements de discussions dévoilés par Mediapart entre lui et son pote Vincent Crase, ce dernier salarié d'En Marche et pris la main dans le pot de confiture dans les affaires ci-dessus. Les deux fans du Macronisme avaient l'interdiction de se rencontrer ou de jacter dans un bigophone, puisque placés tous les deux sous contrôle judiciaire.
J'apprends en ce moment de combat social contre la réforme des retraites à la sauce macron que des syndicalistes sont convoqués par la police, sur ordre des préfets lesquels dépendent directement du ministère de la Justice dirigée par l'ex-socialo Nicolle Belloubet.
Mais pendant ce temps, depuis un certain Premier mai 2018, les commissions d'enquête parlementaires sur l'affaire Benalla sont reparties au dodo. Quant à la Justice, comme aurait pu l'écrire Alphonse de Lamartine:
Ô temps ! suspends ton vol, et vous, Justice propice !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Afin qu'Alexandre Benalla conserve encore les plus beaux de ses jours !
Et après la poésie, l'humour de Placide en capture d'écran sur fb
Alexandre Benalla: le énième retour ou comment la Justice suspend son temps?

mardi 21 janvier 2020


105.5 Milliards d'€, un peu d'arithmétique financière, ou de comptabilité longue durée

Publié le 21 Janvier 2020 Blog de Canaille le Rouge


pour aider à prendre
la mesure des choses.

105.5 Milliards d'€, un peu d'arithmétique financière, ou de comptabilité longue durée
Comme le chantait Guy Béard dans "Suez" : " ♫Imagine qu'on ait d'l'argent et qu'on soit intelligent ♫ " (bis)
Imaginons donc.
C'est l'histoire de quelqu'un.e, né.e. le 01/01/ de l'an 1 de notre ère, qui  reçoit des bonnes fées, outre l'immortalité, de quoi alimenter une cagnotte perso lui permettant d'envisager plus que confortablement le 01/01/2020.
Problème : 
De combien devrait être la mise de fond quotidienne pour arriver en 2020 à disposer de la fortune de l'homme le plus riche de la planète (source Forbes), un certain B Arnault ?
Comme avec toutes ces manifs vous n'avez peut-être pas trop de temps, Canaille le Rouge ne vous fera pas languir trop longtemps et vous propose de suite le corrigé de l'épreuve. Vous allez voir, c'est assez croquignolet.
A raison de 365 jours par an (pour ne pas trop ciseler la "bisextilitude calendaire" qui globalement va compenser le fait qu'il n'y a pas d'année "0") 
cela fait :
365 x 2020 = 737 000 jours.
La fortune du bon copain de Trump est estimée à 117 milliards de US$, ce qui correspond à 105milliards et 460 mille euros.
En partant de 0 au 01/01/01, il faudrait chaque jour entasser 143 100 €. Soit, en gros, 120 smic mensuels (valeur 2020 par jour). 
Et après cela en rotant en quitant la salle à manger du chateau de Versaillles "on" viendra nous dire qu'il n'y a pas de quoi financer une organisation de la société calée sur des valeurs sociales.
La MEDEFDT qui persiste à trouver logique la casse structurelle menée par le marquis Touquetois de la Suffisance  porte plainte auprès du bailli du marquis contre les gueux qui contestent l'ordre de cet aristocratie du fric.
Pas inutile de rappeler cela un 21 janvier.
Peut être que cette approche ne parlera pas à tout le monde. Autre étalonage: pour 2020 dans le budget de l'états les crédits de la mission «Culture» se montent à 2,95 milliards en crédits de paiement. (patrimoine, création, transmission des savoirs et démocratisation de la culture) représente 2,96 milliards d'euros en crédits de paiement en 2020,
La fortune privé de B Arnault représente 35 années, plus d'un tiers de siècle, du budget de la culture de la 5e puissance économique mondiale.

INFO....DÉSINFO.....LA VIE, COMME ELLE VA....

Quelques "infos" relevées ces jours derniers à la "une" sur notre grand journal d'information "la NR des H. Pyrénées", qui en disent long sur la manière d'informer, et sur notre société "libérale", comme elle avance, vers le mur, dans plein de domaines, même si celui des locales et des potins, n'est pas le plus grave:
Laloubère: Le Géant ouvert sans caissière, où l'on apprend en page intérieure que Géant Casino est désormais ouvert le dimanche après midi sans caissière, mais AVEC DIX VIGILES pour assurer la sécurité (sic), parce que, précise le billet, on doit faire face à la "montée en puissance de l'e-commerce", cette initiative permettra d'accueillir une clientèle additionnelle et de "générer du travail" (re-sic), elle répond aussi aux attentes principales de la clientèle et "à leurs besoins d'immédiateté" (re-re-resic), et d'un magasin disponible où ils veulent, quand ils veulent' (fermez le ban !!!)
Un peu plus loin, toujours en "Une", on apprend que 3,7 kg de cannabis ont été saisis chez un particulier, sous le titre "DU CANNABIS A FOISON" !!!
Et puis aussi, "Lourdes Le golf "panse les plaies de la tempête" Vous voyez l'image ?  Un golf à Lourdes, qui panse ses plaies....Hallucinant !! Pauvre golf, pauvres golfeurs....Le fric, le fric....Mon garage inondé, comme plein d'autres? Pfffff.....Mais un golf qui "panse ses plaies", çà, c'est primordial.
Et Bernadette qui ne fait rien, ne peut rien.... 

Et la dernière, pour la route, toujours en première page, à la Une de la NR. Rugby: Le Stado "cloué au sol" par Blagnac! 
Cloué au sol! Ils ne sont pas battus. NON! Ils sont cloués au sol!   Pire que le Christ sur sa croix! Çà doit même faire très très mal, d'être "cloué au sol" ....Mais en plus, le pire, ils ont "laissé filé" des points !
"Laissé filé ...."
Eh non! On dit, on écrit, ils ont laissé "filer" des points- avec er, infinitif du verbe passer-. Mais la langue française n'est même plus respectée, tellement les anglicismes et la novlangue "libérale" l'ont supplantée, elle se porte aussi mal que les fins de mois des millions de salariés, en premier lieu, les grévistes qui se battent contre ce foutu brigandage fomenté par les banques et les fonds d'investissement des milliardaires, qui malgré leurs luttes risquent de connaître bientôt la retraite à la sauce Macron. Ici, dans les rédactions, adieu les correcteurs, il faut faire du fric, dans tous les domaines, à n'importe quel prix, même à celui d'escamoter notre langue, son orthographe, les conjugaisons, le sens même des mots, pourvu que l'on vende du papier.
Il y a quelques jours, sur le même journal, un papier titrait: "Une famille décimée", suite à un accident de circulation. En page intérieure, on apprenait qu'une personne sur les quatre occupants d'une voiture était décédée!!! Réponse d'un rédacteur à mon incompréhension: "du temps des Romains, décimer, voulait dire un sur dix"!!!!  
Le problème, c'est que du temps des Romains, c'était il y a bien longtemps. Aujourd'hui, décimer signifie que la plupart des victimes accidentées y ont laissé la vie. Décimer, aujourd'hui, c'est à peu près cela.
Alors, pourquoi ces titres, ronflants, souvent démagogues, parfois mensongers? 
Vous avez dit déontologie? 



LES CHIENS DE GARDE MUSELÉS PAR LEURS MENTORS CAPITALISTES L'AVOUERONT-ILS?

Espace nord-américain : Etats-Unis-Canada-Québec

 
Mardi 21 Janvier 2020

Aux Etats-Unis, 55% des femmes âgées de 18 à 54 ans préféreraient vivre dans un pays socialiste plutôt que capitaliste. Voilà ce que révèle le sondage Harris réalisé pour "Axios HBO". Une enquête qui tombe à quelques jours de l'ouverture des primaires démocrates - article et traduction Nico Maury


Aux Etats-Unis, 55% des femmes préfèrent le socialisme au capitalisme
Alors que les électeurs et électrices des primaires démocrates se préparent à se rendre aux urnes à partir de février, un sondage publié dimanche montre qu'une majorité d'étasuniennes en âge de voter, entre 18 et 54 ans, préférerait vivre sous un système économique qui ressemble davantage aux pays socialistes plutôt que dans un pays capitaliste.

Le sondage Harris réalisé pour «Axios HBO» en juin 2019 montrait que le socialisme avait gagné en popularité au cours des dernières années .

Quatre citoyens américains sur 10 et 55% des femmes affirment aspirer à vivre dans une nation socialiste plutôt que capitaliste. Le taux de femmes américaines soutenant le socialisme est passé de 40% à 55%.

Les sondées recherchent un système politique où les soins de santé sont universels, l'éducation est sans frais de scolarité et où le salaire est décent pour une journée de travail décente. Pour ces sondé.e.s, "le capitalisme a échoué au cours des dernières décennies. Il a créé une économie qui est profondément injuste".

Ce sondage est très clairement en faveur des positions défendues par Bernie Sanders. Il est le seul candidat a se revendiquer du socialisme là où les autres proposent des réformes plus ou moins fortes du système capitaliste. Ni Warren, Biden où Pete Buttigieg n'apportent de réponse à la crise sociale et économique que traverse les Etats-Unis.

Pour lire l'enquête Axios
Blog de Nico,MAURY

Note de Pedrito:
Mais les Français, longtemps privés du choix de vote communiste, contraints depuis de très nombreuses années, de confier leurs suffrages aux politiciens véreux drapés de leurs habits de la "gôche bobo" exclusivement préoccupés de dépecer les restes du Parti Communiste: que pensent-ils de ces sondages dont rien ne filtre ni ne passe dans notre presse française "libre" aux mains des milliardaires et de leurs chiens de garde, et des traitres responsables, Robert Hue en tête, de la quasi disparition du PC ?  

lundi 20 janvier 2020

TOUJOURS COUCHÉS, LES CHIENS DE GARDE DE FRANCE 2.....







Publié par El Diablo

Hier, samedi 18 janvier, le journal de France 2 de 20 h traitait de 12 sujets :
1. Sept de ces sujets étaient des sujets d'actualité : "Emmanuel Macron : une soirée au théâtre perturbée" - "Opérations coup de poing : une nouvelle forme de revendication ?" - "Grève à la RATP : le bout du tunnel ?" - "Gilets jaunes : une fin de manifestation mouvementée" - "Éducation : les premières épreuves du nouveau bac reportées" - "Incendies en Australie : quels facteurs déclenchent les incendies en série ?" -  "En Californie, la ville de Paradise, théâtre d'un incendie dévastateur, se prépare à l'été."
2. Les cinq autres sujets étaient des sujets "anecdotiques" ou "tendance", du type de ceux qui font l'ordinaire des journaux télévisés de Jean-Pierre Pernaut sur TF1. Je cite les trois premiers, car c'est sur aux deux autres que je consacrerai mes observations : "Tendance : louer ses meubles, une solution commode" - "Fabriqué en France" : des produits plébiscités ?" - "Musique : ils reprennent leurs groupes favoris."
3. Les deux sujets restants avaient pour titres : "Meghan et Harry : ils renoncent à leurs titres royaux" et "Grand format : Saint-Pétersbourg, dans le tourbillon des bals russes".

Remarque 1. Aucun des sujets possibles de politique étrangère : guerre civile en Libye, manifestations au Liban, tensions Iran - États-Unis (et toutes relations extérieures de l'Iran), Brexit, etc., n'a été traité, alors que c'est plutôt le cas dans le journal du soir, contrairement à celui de 13 h. Et je n'évoque même pas les sujets structurels, qui peuvent à tout moment fournir de solides sujets : l'Amérique latine (et, au sein de celle-ci, le Chili et le Venezuela, la Corée du Nord, Hong Kong, l'Irak...)
Remarque 2. A cet égard, les deux sujets ayant pour siège des pays étrangers (l'Australie et la Californie) sont moins à ranger sous la rubrique de la "Politique étrangère" que sous celle des "catastrophes", vieille, très vieille rubrique remontant aux gazettes d'Ancien Régime, friandes du spectaculaire, de l'inhabituel, de l'effrayant et de l'horrible. [Et à susciter chez les téléspectateurs la peu charitable pensée du "Suave mari magno..."].
Remarque 3. Ces deux sujets ("Meghan et Harry" et "Les bals de Saint-Pétersbourg") témoignent d'une fascination - à tous égards déplacée - pour l'Ancien Régime. Qui est, en effet, ce prince "Harry" (qui s'appelle en fait Henry, comme huit rois d'Angleterre) ? C'est le second fils de Charles, prince de Galles, actuel héritier de la couronne. Le prince Henry, dans le protocole, est le sixième dans l'ordre de succession au trône, après son frère aîné William et les trois enfants de celui-ci : autant dire qu'il ne s'appellera jamais Henri IX. Or, la reine, sa grand-mère, n'ayant déjà aucun pouvoir, il n'est donc, pour filer la métaphore, que la sixième roue du carrosse (et même pas la roue de secours)... Et le fait que le journal télévisé ne le nomme familièrement que par son diminutif, témoigne de son statut effectif aux yeux des médias : celui d'une espèce de vedette, d'un Beckham... sans ballon. Mais, dans les 1 mn 39 s du reportage, on entend deux fois "monarchie", une fois "prince", deux fois "altesse royale", quatre fois "reine", une fois "duc et duchesse", une fois "titre royal" et une fois "famille royale".
Même si c'est pour parler d'une dissension dans la famille royale, il n'en reste pas moins que le journal parle de cette famille. Et qu'en en parlant, il met l'information au même niveau que les luttes sociales qui agitent la France. Et que ce que retient l'oreille, tout autant que le fond de l'affaire, c'est la suite de ces noms protocolaires, qui appellent la révérence. Or, cette litanie de titres, complaisamment énumérés, tranche de façon assez déplaisante avec la façon plutôt péjorative, voire hostile, dont - quelques minutes plus tôt - ont été présentés les grèves, les grévistes et leurs actions.
Remarque 4. Le reportage sur les bals de Saint-Pétersbourg dure 4 mn 22 s. C'est un temps considérable pour un sujet de journal télévisé : par exemple le reportage sur les opérations coup de poing dure 2 mn 08 s, sur la perturbation des épreuves du bac, 1 mn 52 s, et même sur la fin des grèves (qui, in petto, réjouit Laurent Delahousse...) seulement 1 mn 08 s. Le reportage a duré largement plus de deux fois plus de temps que le plus long des sujets consacré aux luttes sociales [au cours desquels, on le notera, pas une seule fois n'ont été présentés, ni même évoqués, les arguments des opposants à la réforme des retraites...].
Remarque 5. Le reportage sur les bals à Saint-Pétersbourg s'ouvre par une vue aérienne du palais impérial et sur une musique de valse. Et cette vue, ainsi que cette musique, ne sont pas fortuites : elles sont là pour susciter, à moins de trois semaines du Nouvel an, un rappel tout frais avec le concert du même nom à Vienne, au cours duquel se produisent des danseurs qui valsent. Et où on ne manque pas de présenter des vues aériennes de la capitale autrichienne, avec ses palais de la Hofburg, de Schönbrunn ou du Belvédère. Et le rappel indirect de cette monarchie renforce l'impression de "retour béni" à l'Ancien Régime, lorsqu'il y avait encore, dans les grands pays européens (en Allemagne, en Russie, en Autriche-Hongrie), les successeurs des monarques qui terrassèrent la France de l'Empire (c'est-à-dire aussi, et surtout, celle de la Révolution), et qui, en 1848-1849, écrasèrent les Révolutions d'Allemagne, d'Autriche, de Hongrie, de Bohême et d'Italie.
Remarque 6. De même que dans le reportage sur la famille d'Angleterre, on entend ici des mots-repères, des mots-fétiches : "Romanov", "tsar", "tradition retrouvée", "impérial", "marbres" [dont le journaliste signale, admiratif, qu'il y en a dix-sept sortes qui ornent les murs de la salle de bal], "princesse", "débutante", "privilégiés", "authentiques nobles pétersbourgeois" [prononcé avec le même tremblé dans la voix que l'expression "or 24 carats"], "une ville qui vibre de nouveau", etc.
Les 74 ans de l'époque soviétique passent à la trappe, sauf pour rappeler, incidemment, que ces bals étaient "passés de monde" [sic !] à cette époque - comme si ladite période soviétique ne s'était traduite que par une transformation vestimentaire ou capillaire, à l'instar des pantalons "pattes d'eph" ou des coiffures "choucroute"... On ne rappelle même plus que la ville, durant sept décennies, s'est appelée Leningrad et a soutenu un des plus longs et plus meurtriers sièges de l'Histoire.
Remarque 7. Une impression désagréable est donnée par l'allure des filles, souvent très jeunes, petites, à peine pubères (celle qui est donnée en exemple a 13 ans), allure qui rappelle fâcheusement les concours de "mini miss" des États-Unis, où les mères affublent leurs enfants de tenues d'adultes, y compris (comble de la vulgarité) des strings, pour des fillettes de moins de 10 ans. On pressent, on discerne ici le même esprit que dans les "rallyes" ou les "bals des débutantes", lorsque les parents de l'hyper-bourgeoisie cherchent à habituer leurs rejetons - garçons ou filles - à fréquenter la meilleure société, à y nouer le maximum de relations et à s'y marier. Et donc à renforcer, par ces liens croisés, la cohésion des classes dominantes.
Remarque 8. Ce qui m'a le plus atterré est une réflexion de la jeune fille : "La vraie chose qui me stresse, c'est la fatigue, parce que le bal dure cinq heures". A ce moment, je me suis remémoré le refus d'Emmanuel Macron d'associer la notion de "pénibilité" à celle de "travail", parce que, selon lui, cela impliquerait que le travail est une douleur - ce qu'à ses yeux, il n'est pas... Ce que seront sans doute ravis d'apprendre les salariés exposés à des postures pénibles, au port de charges lourdes, aux vibrations mécaniques et aux produits chimiques, et qui devront endurer cela jusqu'à 64 ans, ce qui est autrement fatigant que cinq heures de bal pour une adolescente de 13 ans.
Elle est loin, la ville de la Révolution d'Octobre...
Je vous saurais gré de vos remarques, compléments, rectifications et critiques.
Bien à vous
AMD Tours

ENTRE 2008 ET 2019, RICHESSE MULTIPLIÉE PAR 5 POUR LES PARASITES MILLIARDAIRES

Les 7...Milliardaires ; qui sont ceux qui ruinent la France ?

Publié le 20 Janvier 2020
Classement Forbes 2019
concernant le parasitisme
en France 
Les 7...Milliardaires ; qui sont ceux qui ruinent la France ?
Ce que dit l'enquete Oxfam qui vient d'être rendue publique :
La France ne fait pas exception à cette tendance générale avec 41 milliardaires, quatre fois plus qu'après la crise financière de 2008. Qui sont-ils ? Plus de la moitié ont hérité de leur fortune et seulement cinq sont des femmes. Quant à leur richesse cumulée, 329,9 milliards de dollars, c'est cinq fois plus qu'après 2008. La France "maintient un statu quo mortifère alors qu'elle est traversée par la révolte des gilets jaunes et par la plus longue grève générale de la Ve République", selon elle.
En 2019, on compte 400 000 pauvres de plus dans l'Hexagone selon l'INSEE. "Malgré les attentes de justice fiscale, les plus pauvres restent les grands perdants des mesures budgétaires depuis le début du quinquennat : ce sont les seuls à ne pas avoir vu, depuis trois ans, leur pouvoir d'achat augmenter significativement", déplore Oxfam. Intitulé "Celles qui comptent", le rapport rappelle que les premières victimes des inégalités sont les femmes : "22 hommes les plus fortunés possèdent plus de richesses que l'ensemble de la population féminine d'Afrique." 
Des inégalités que la réforme des retraites française, qui sera présentée le 24 janvier en conseil des ministres, risque encore d'accentuer. Oxfam alerte : en allongeant la durée de travail pour toucher une retraite à taux plein ou en imposant une décote pour carrière incomplète, le gouvernement prend le risque de renforcer les inégalités. Selon l'INSEE, les femmes perçoivent en moyenne une pension de droit direct (hors pension de reversion) inférieure de 42% à celle des hommes en 2017. La prise en compte de l'ensemble de la carrière, au lieu des 25 meilleures années, va pénaliser les carrières hachées, des petits boulots ou des périodes de chômage de longue durée. En particulier pour les femmes nées en 1956, une femme sur deux a eu plus de 20% d'années incomplètes au moment de liquider sa pension, contre 6% pour les hommes.
Parmi les propositions de l'ONG : s'assurer que le système de retraites corrige les inégalités, en supprimant les systèmes de décote pour les carrières incomplètes. En revenant à un calcul de la pension basé sur les meilleures années, pour prendre en compte la réalité de l'emploi des femmes, notamment les carrières hachées ; et en renforçant la cotisation de solidarité prélevée sur les hauts revenus afin de tenir compte de leur espérance de vie plus longue.
Mais après cela, Monsieur le N°3 de la liste, propriétaire du Point (sans "g") lancera ses dogues pour dire que ce sont les grévistes et la CGT.
Un jour , il faudra bien que munis de nos G on lui fasse bouffer ces ramettes avec "T" 
Rédigé par Canaille le Rouge