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....................... 3 toros de ..............................3 toros de
....VICTORINO MARTIN .......... JOSÉ ESCOLAR GIL
....................ANDRÉS
pour
Fernando ROBLEÑO PAULITA Alberto AGUILAR
Les ganaderias moins connues des aficionados:
Ci-dessous, quelques clichés de la ganaderia de Vale de Sorraia Portugal ( Origine: Pedrajas Pinto Barreiros et Saltillo Norberto Pedroso)
Ci-dessous, quelques uns des toros de Don Felipe Bartolome Sanz, ( Séville ) origine Santa Coloma-Joaquin Buendia et Vasqueño de Surga
Voilà ce qu'écrivit de ces toros, un soir de corrida à MADRID, Joaquin VIDAL, dans sa chronique dont le titre annonçait la couleur: "VIVA LA FIESTA": Si tiene trapio y casta, ahi hay toro, y la afición lo aplaude, y cuanto ocurra durante la lidia,, adquiere un mérito singular.
Un bref résumé de ce que j'aime, de ce que j'aime moins, de ce que je n'aime pas du tout, ce qui me fera sauter pour la première fois certaines tardes. Il faut un début à tout, et là, les conditions sont requises, l'ADAC semble avoir trop changé de registre.
Les toros : quelques craintes pour les Bartolomé Sanz, les derniers échos ne sontpas très engageants. Les Victorinos? En pleine débâcle! Les Escolar Gil: Plutôt décevants, non? Les Adolfo Martin me paraissent faute de mieux, les plus sérieux prétendants à Céret, la surprise ne peut venir que des Pintos Barreiros.
Les hommes: Peu envie de revoir Mora, qui me laisse le souvenir d'avoir expédié les affaires courantes, après avoir laissé massacrer ses toros. Frascuelo: j'espérais qu'il goûte enfin une paisible retraite, Orthez m'avait guéri de sa présence. Esaü: espérons, il est jeune, a peu toréé. Robleño: deux fois, c'est trop, après ses prestations 2013. Il a beaucoup déçu, même si l'on me trouve ici ou là un peu dur, il a surtout gagné un capital de sympathie, pour affronter des encastes difficiles, mais il tue comme un fantassin, à coups de golletazos. Si çà doit suffire pour satisfaire l'ADAC, pas d'accord! Comme Dax a eu Ponce, comme Vic a eu Ruiz Miguel, il fallait à Céret son matador incontournable? Quand à Paulita, je ne l'ai jamais vu comme on aime revoir certains matadors, il m'a toujours déçu. Désolé pour ceux qui se contentent de peu - ou du mauvais - et qui me jugeront râleur insatisfait.
Non! Céret n'est plus Céret, maintenant que de nouveaux publics ont pris le chemin du haut Vallespir, en plus des nombreux aficionados Espagnols en quête de cette authenticité que nous leur vantions, les séjours cérétans prennent un caractère plus exotiques que toristas.
De grâce: plus de Victorinos à Céret!!
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