(°) Brindis: geste du torero pour honorer une personnalité. Ici, humble geste d'amour vers l'immensité qui nous entoure pour honorer la perte cruelle de ma perle chérie
Très chers amis, votre compassion me touche tellement, l'amour , le respect,l'humanisme, la fraternité, qui se dégagent de vos messages me bouleversent, j'aimerais tant que ma femme chérie les découvre, et sache combien elle mérite ces compliments unanimes qui lui sont adressés, pour la plupart par celles et ceux qui la connaissent, ces mots forts qui saluent son courage à lutter contre le mal implacable ....Mon cœur se serre, mes yeux se brouillent, mais en vous lisant j'ai voulu publier ces témoignages chaleureux et poignants, que je lui "brinde", en votre nom à tous, dans l'au-delà de notre trop cruelle séparation.
Je salue avec reconnaissance votre amitié, votre amour, votre compassion, et vous embrasse à tous de tout mon cœur.
Les prochains messages seront ajoutés en fin de page.
Bonsoir
Pierre,
Nous
savions que la médecine ne pouvait plus rien faire mais...nous
espérions malgré tout !
Nous
sommes impuissants à effacer votre chagrin mais nous tenons à
vous dire que nous sommes à vos côtés par la pensée en ces
jours si difficiles.
Nous
garderons un excellent souvenir de Gisèle et des parties de
pétanque que nous avons partagées avec vous deux.
Nous
sommes heureux que vous ayez fini par chanter à cette fameuse
soirée à Hendaye. Je pense que vous avez fait ce jour là un
beau cadeau à votre petite femme et à nous aussi !
C’est
vrai que l’on dit que la vie continue, aussi nous vous
souhaitons beaucoup de courage pour poursuivre votre vie et pour
faire vivre Gisèle à travers elle.
Nous
vous présentons nos sincères condoléances et nous vous
embrassons très fort.Et nous espérons que ces quelques mots
pourront adoucir un peu votre immense peine.
Nicole
et Christian. |
Tous ceux qui vont faire un
tour sur le blog de « L’insoumis » redoutaient
bien , à travers tes textes, ce qui vient d’arriver. On est
pourtant obligé, face à cette saloperie, d’entendre ce que
finissent par demander plus d’un malade : j’en ai marre, je
souffre trop, je veux que ça s’arrête, je veux en
finir…Insupportable à entendre mais, connaissant la personne,
ardente lutteuse, impossible de ne pas comprendre qu’elle n’en
peut plus : arrêter de souffrir reste le seul choix. Les
cancers, laissés aux mains des labos privés, font des malades des
cobayes, généralement avec des chimiothérapies coûtant la peau
des fesses mais aux résultats pour le moins peu efficaces (de plus
en plus de cancers, de plus en plus de décès, mais les « experts »
se targuent d’en guérir de plus en plus…Dilapidation de
notre système de santé et avilissement de notre « science».)
J’ai aussi connu ça dans mon entourage. Les cendres de mes
parents, mêlées à celles de chien et chat, sont au pied du vieux
chêne, à deux pas de ma baraque se délabrant doucettement. Des
trèfles vivaces les saluent chaque année et les remercient de leur
offrir bonne pitance. Aussi terrible que cela puisse être, dans la
nature, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme , comme
l’avait compris Lavoisier, et la mort peut générer aussi de la
vie. Preuve que « les gens de rien » peuvent encore
produire après leur mort.
Je ne connaissais Gisèle
qu’à travers les textes de Pédrito, mais j’avais eu la
surprise, facétie de l’informatique, de recevoir un message de
Gisouna. Aussi, faisant cendres communes avec ma famille au pied du
chêne, je lui adresse un gros bouquet de trèfles, bien plus nobles
et affectueux que des couronnes.
Marius. (Méc-créant).
Cher
Pedrito,
Dans
ces pénibles circonstances, nous vous présentons nos très sincères
condoléances. Vous nous aviez largement préparés à cette issue,
mais son annonce nous touche profondément.
Cela
a été pour nous l’occasion de nous remémorer notre première
rencontre au Mas d’en Bach à Maureillas, lors de la feria de Céret
2013, où, comme vous, nous étions logés. Très rapidement, notre
hôte avait remarqué la relation amicale qui s’était créée dès
le premier matin et avait proposé de nous mettre à la même table
pour le petit-déjeuner, ce qui avait permis de renforcer nos liens.
C’était un plaisir de vous retrouver tous les ans à Céret. Nous
vous avions rencontrés également à Vic Fezensac…
Nous
gardons à l’esprit notre dernière rencontre, cette année, à
Céret. Gisèle nous avait dit être fatiguée, mais nous l’avions
trouvée sereine et souriante. Nous n’imaginions pas que cette
saloperie de maladie progressait ainsi.
Nous
sommes de tout cœur avec vous et avons une grosse pensée pour
Gisèle. Bien évidemment, nous serons également avec vous par la
pensée mercredi prochain.
Avec
toute notre profonde amitié.
Mireille et J.P.
Bonjour
Mr Caumont,
Après avoir lu votre message d'hier, je me permets de vous adresser ces quelques mots de réconfort. Je reconnais et partage votre douleur pour l'avoir vécue moi-même il y a 6 mois. Le passage obligé par toutes les démarches administratives exacerbe l'injustice de l'absence, et augmente le sentiment de solitude (rien n'est simple dans ce cas) et surtout en attendant le jour J du vrai départ absolu. Je vous adresse mes plus vifs encouragements pour affronter la suite. Bien amicalement Ghislaine. D-P |
Pierre ,j,ai appris le
décès de Gisèle hier sur ton blog.Je sais ce que tu
éprouves mais soit fier de tout ce que tu as fait ,jusqu'à son
dernier souffle tu étais auprès d, elle avec ta tendresse et ta
souffrance. Je te présente mes sincères condoléances et
surtout prend soin de toi . Joël
Cher
Pierrot bonjour,
Je
rentre très tard après 48h d'absence et repars ce matin à 8 heures
pour une compétition.
Je
me suis empressé malgré l'heure tardive de regarder le courrier;
anxieux de recevoir de tes nouvelles.
Ce
qui paraissait inéluctable est arrivé, et c'est le cœur serré que
je découvre ton dernier message.
J'ai
été sur ton blog avant de te répondre, dans lequel, encore une
fois, j'ai pu constater la force de ton AMOUR pour TA GISÈLE, et la
violence de ta souffrance.
Les
mots sont des baumes sans grande efficacité devant cette blessure
qui te déchire le cœur,
et
en une banalité, que tu dois pourtant te répéter , " Elle a
fini de souffrir".
Et
, je tiens à t'assurer, de trop loin malheureusement, de mon soutien
affectueux dans cette épreuve qui te frappe si
douloureusement.
Annette
se joint à moi pour te présenter nos plus sincères condoléances.
Et
puisque, dans le grand doute qui nous habite face à "cet
après", on se dit que peut-être il y a quelques chose de plus
grand, plus fort qui ne peut se terminer sans espoir aucun de se
retrouver ...
Alors,
comme tu l'as suggéré, sois assuré qu nous prierons pour elle et
pour que tu trouves la force de faire face à cette terrible épreuve.
Mercredi
matin, nous serons totalement près de toi par la pensée et en
communion.
Nous
t'embrassons très fort.
Je
te serre sur mon cœur.
Pierrot
Cher camarade,
Je sais, c'est banal mais je ne peux que t'adresser mes plus
sincères condoléances.
Joël Yan
Cher Pierre
Tes précédents messages ne laissaient
hélas rien présager de bon.
Et maintenant celui que je redoutais
tant. Que dire, les mots sont tellement dérisoires devant ton
immense peine. Ce dont je peux t'assurer c'est que nous
pensions à toi et bien sûr très fort à Gisèle dont tu nous
parlais de son courageux combat qu'elle ne pouvait hélas pas gagner,
malgré ton soutien sans faille.
Pierre, nous t'embrassons très fort,
vous êtes dans nos pensées.
Mireille et Serge
Bonsoir Pierre
Merci pour ton message
Cher Pierre,
Je viens de lire ton message m’annonçant le décès
de Gisèle ta compagne. Tout mon cœur, mes pensées vont vers toi.
J’ai beaucoup de tristesse. Comme tu le dis, Gisèle a fini de
souffrir ; mais je sens aussi qu’elle aurait tant aimé
continuer le chemin avec toi.
Je l’ai peu connu mais son regard exprimait une
grande douceur, une grande gentillesse, et tu le lui rendais bien. Le
souvenir que j’ai de votre couple, même s’il fut de courte
durée, m’est toujours resté en mémoire.
Claude
Cher Pierre
j apprends que ta chère épouse vient
de te quitter
je t adresse mes sincères
condoléances
Bon courage a toi
je me permets de t embrasser très fort
Et te souhaite beaucoup de force et de
volonté pour surmonter cette terrible épreuve
Mais ne baisse pas les bras
Yvonne
c est avec une grande tristesse que nous avons appris le
décès de Gisèle , nous te présentons nos très sincères
condoléances
Pierre et Françoise
Pedrito espero estar el miercoles
contigo en la incineración para poder decirle adios a Giselle y
darte un gran abrazo, confirmando nuestro cariño y demostrate un vez
más que no estás solo. ADELANTE.
Mi querido Pierre,
Solo puedo decir lo siento! Un fuere
beso para Gisele que seguro ahora ya descansa en paz y sin dolor.
Siempre digo que las personas hay
que amarlas y cuidarlas en vida. Y tu lo has hecho diariamente. Ha
sido un placer conocerla a través de ti. Compartir esos pequeños
momentos que nos hacen más felices....
Todos los Saningnacios me
acordaré de ella y si tienes fuerzas para venir, te daré un gran
abrazo de amigo!
Sabes que aquí tienes un amigo
que te admira y aprecia. Si necesitas de mi ayuda, aquí estaré con
los brazos abiertos esperándote.
Mucha fuerza y a seguir viviendo
con pasión! Seguro que a Gisele no le gustaría verte triste y
deprimido! Eres un hombre fuerte y alegre...
Un gran abrazo de tu amigo Agustín!
Pedrito,
Requiem In Pace.
J'aurai une pensée profonde et amicale mercredi, de loin géographiquement, mais de près par le cœur.
Deni§
Requiem In Pace.
J'aurai une pensée profonde et amicale mercredi, de loin géographiquement, mais de près par le cœur.
Deni§
J’apprends par ton blog la terrible annonce du décès de
Gisèle. Que te dire ? les nouvelles que tu nous donnais depuis
plusieurs semaines ne laissaient rien présager de bon , même si
l’espoir était toujours là. On ne peut se mettre à ta place mais
j’essai de comprendre ta douleur, et d’en prendre une infime
partie.
Que ces quelques mots puissent atténuer tant soit peu ta peine et
ta tristesse. Courage pour mercredi, l’ultime épreuve qui
t’attends.je penserai à vous.
Abrazos muy forte
serge
Bonjour Pierre,
Ce sombre vautour, est venu enlever à ton
affection ton amour. J’imagine ta peine, ton désarroi devant ce
vide, ce néant, les mots sont impuissants, rien, la sale bête est
venue faire insidieusement sa sale besogne.
Je compatis à ta tristesse, ta profonde peine,
Je t’adresse toute ma sympathie,
Jacques L.
Cher Ami,
La nouvelle du décès de ta Gisèle
chérie nous attriste beaucoup, et nous t’adressons nos
condoléances les plus sincères.
J’ai suivi journellement son (votre)
calvaire sur ton blog. Quel amour ! quelle tendresse !
Bien sûr, ta peine est immense, et
nous sommes démunis devant cette adversité.
Bien sûr, les mots sont vains, mais
comment exprimer autrement notre compassion ?
Gisèle est à présent apaisée et
libérée de la douleur, et le temps passant atténuera ta peine.
L’existence est un bien précieux.
Vis ta vie en ayant la certitude que vous serez un jour réunis pour
l’éternité.
Nos pensées sont avec toi et les tiens
en ces pénibles circonstances.
Un abrazo muy fuerte !
Patrick et Isabelle C.
Mi querido amigo Pedrito. Me da mucha pena lo que estais
viviendo. Deseo de todo corazon que Guiselle este haciendo
compañia a un leon como tu Pedrito. Que estas hecho un Leon, y
guiselle una leona. No tengo palabras de consuelo, solo me gustaria
poder volver a veros por estas plazas de Dios. Un fuerte abrazo amigo
mio en estos duros momentos.
Boris Burillo
Bonjour. Je sais combien on peut être démuni face à une telle
situation et ayant compris que, depuis pas mal de temps,
« scientifiques » et « science » ne
font pas toujours bon ménage, j’avais cherché à creuser un peu
le problème. (Quand « on » nous dit qu’on guérit de
plus en plus les cancers…mais qu’ « on » est
obligé de reconnaître qu’il y de plus en plus de morts par
cancer, il y a bien un défaut quelque part !) J’avais
découvert les travaux du professeur Beljansky, biologiste rejeté
par la « communauté scientifique » (grande famille très
fraternelle !), car chassé de son Institut par Monot –notre
grand prix Nobel—auquel il s’opposait…en ayant eu raison avant
les autres (il contestait les affirmations du Nobel quant au rôle de
l’ARN…ce qui fut confirmé quand les « bons »
scientifiques, américains, redécouvrirent cette vérité). Cela ne
suffit pas à affirmer que les produits qu’il essaya de mettre au
point sont forcément efficaces mais ils ne sortent pas du
cerveau d’un farfelu (il estimait que les cancers, en plus d’avoir
souvent des causes extérieures diverses, se développait
généralement à partir de mauvaises liaisons génétiques qu’il
essaya de rétablir. Une piste semblant s’ouvrir aujourd ‘hui
mais sans doute pas creusée dans les grands labos pharmaceutiques).
Il est possible de chercher des informations sur le site « Natural
Source International, Ltd », avec pages en français (Kouchner
avait promis d’aider à financer les études d’AMM…mais
quelques mois après on faisait raser son laboratoire en
construction : d’où quelques exils jusqu’à finir aux USA).
Je ne sais pas grand-chose de tous les produits qui ont été greffés
autour (dès que ça sent le fric…). Ceux qui me semblaient
intéressants sont peu nombreux. « PaoV FM »,
« Rovol V », « Real Build » ( voire
éventuellement « GinkoV »). J’ai su, en l’entendant
à la télé, qu’un grand cancérologue d’alors (Israéli ?...)
utilisait l’un de ces produits pour son efficacité à accompagner
et faciliter grandement la chimiothérapie (meilleur action et moins
d’effets secondaires).
J’avais déjà envoyé un message en ce sens. Je ne sais pas
s’il était bien arrivé à destination aussi –ne serait-ce que
pour me donner « bonne conscience »-- j’ai tenu à le
renouveler.
On dit souvent que la vie est belle. Elle sait aussi envoyer de
gros paquets de merde.
Il n’y a pas grand-chose à dire dans ces cas-là, tout ce qu’on
peut faire c’est essayer de se battre avec tout ce qu’on peut
trouver surtout quand on trouve peu de moyens dans notre système de
santé en déconfiture et vendu à la découpe.
Embrasse ta Gisèle de la part d’un frère inconnu.
Marius Vinson (Méc-créant).
Cher Pedrito En ces
circonstances douloureuses, je vous présente mes condoléances. Même
si les mots sont vains, face à la douleur qui vous étreint, je peux
vous affirmer que j’éprouve moi aussi une grande peine.
Je vous ai rencontrés
tous deux, une première fois à St Martin de Crau, et une fois à
Céret, où nous étions assis côte à côte, et j’ai pu
ressentir, toute la gentillesse, la discrétion, et la force de votre
épouse, dont vous nous parliez ces derniers jours, et surtout tout
l’amour fusionnel qui émanait de votre couple. Je ne sais
expliquer, ni pourquoi, ni comment, j’ai eu ces sentiments en vous
rencontrant, sans doute de la même façon dont je vous ai reconnu à
votre parler sur les gradins de St Martin de Crau, peut-être parce
que vous m’aviez également confié dès notre première rencontre
les problèmes de santé dont Gisèle commençait à être
affectée .
Je dois vous avouer que
j’ai été très fortement ému, de tout ce que vous avez écrit
pour exprimer votre chagrin, toute la douleur, de voir Gisèle
souffrir et s’amenuiser peu à peu, et de voir tout l’amour qui
vous unissait et vous unit encore et pour toujours. Je suis au
quotidien votre blog, et ces derniers jours, je le consultais
plusieurs fois par jour, espérant y lire une amélioration de son
état de santé. Bizarrement comme si vous étiez des membres de ma
famille, c’est cela sans doute le bon côté des moyens modernes de
communication, lorsqu’on sent exister des « atomes crochus ».
Oui, Pedrito, au point de
pleurer avec vous, mais je sais qu’il existe en vous une grande
force naturelle enrichie de cette force supplémentaire que Gisèle
vous a transmise ces derniers jours , et qui vous permettra malgré
l’immense douleur que l’on devine d’avoir le courage nécessaire
en ces terribles instants pour vaincre votre chagrin.
Avec toute mon amitié.
Patrick S. Salon
Bonjour Pierre
Un petit mot de ma part pour vous dire que je partage votre peine ,qui doit être indescriptible. Vous êtes un homme vraiment bien et chaque femme serait heureuse d avoir ( eu) un homme aussi attentionné et gentil que vous auprès de soi.
Je pense beaucoup à vous et vous souhaite autant de courage que vous avez eu de force pour vous occuper de Gisèle.
A bientôt
Delphine
Mes plus sincères condoléances RENE
Cher Pierre,
Toutes nos pensées vont vers toi et Gisèle en ces jours si douloureux.
Nous te faisons part de nos plus sincères condoléances.
Nous t'embrassons bien affectueusement
Anny et Jean Claude
Unis à vous par la pensée!!!
Un peu loin mais bien là...
De grosses bises
Animo pedrito.
Bastien
Grosse pensée à vous...
Bonjour Pierre
Un petit mot de ma part pour vous dire que je partage votre peine ,qui doit être indescriptible. Vous êtes un homme vraiment bien et chaque femme serait heureuse d avoir ( eu) un homme aussi attentionné et gentil que vous auprès de soi.
Je pense beaucoup à vous et vous souhaite autant de courage que vous avez eu de force pour vous occuper de Gisèle.
A bientôt
Delphine
Pedrito, Mon cher ami,
La perte d’un être cher, c’est injuste, surtout trop tôt dans le temps … qui n’y est pas confronté
Ne mesure pas la blessure que cela représente … Malheureusement c’est « la vie » et notre dessein commun…
Certains se tournent vers la religion, qui, dans ses côtés positifs, est apaisante … d’autre vivent avec leurs souvenirs,
Mais là, il faut cultiver les moments heureux malgré les aléas … saches que l’Amitié est un bon remède …
Et accepter doucement la dure réalité.
Je te prie de croire, Cher Pedrito, à notre compassion et à notre fidelité… tu te dois de rester avec nous pour perpétuer
Tout ce que nous avons vécu ensemble et que nous ne devons pas oublier…Toutes mes pensées émues pour vous deux …
Je t’embrasse bien fort …
Christian
Christian
Mes plus sincères condoléances RENE
Cher Pierre,
Toutes nos pensées vont vers toi et Gisèle en ces jours si douloureux.
Nous te faisons part de nos plus sincères condoléances.
Nous t'embrassons bien affectueusement
Anny et Jean Claude
Unis à vous par la pensée!!!
Un peu loin mais bien là...
De grosses bises
Animo pedrito.
Bastien
Grosse pensée à vous...
C.C.
MERCI à vous.
André
bonjour Pierre
Je pense très fort à vous, je pense très fort à elle… que ces quelques mots soutiennent votre courage.
Moments simples, profonds et si bons, vous m’avez fait partager votre passion, quel honneur…qui peut oublier cela.MERCI à vous.
André
bonjour Pierre
je t'envoie toute mon affection en ce moment si difficile, injuste, révoltant.
Annie
Au cours de mes longues marchés, oceanes, forestières...Je penserai à toi Pierre.
Et sache que , je l'ai vérifié, la communauté tauromache est un vrai soutien, attentif et fidèle.
Abrazo
mario
Pierre
Annie
Au cours de mes longues marchés, oceanes, forestières...Je penserai à toi Pierre.
Et sache que , je l'ai vérifié, la communauté tauromache est un vrai soutien, attentif et fidèle.
Abrazo
mario
Pierre
Nous pensons à Gisèle , Nous pensons à vous .
Nous te serrons dans nos bras .
Rosine et Bernard
Bonsoir Pedrito, J'ai appris en lisant ton blog ces dernières semaines l'évolution de l'état de santé de Gisèle, vers quelque chose d'inéluctable. Un putain de crabe injuste et déguelasse. Je sais que cette période est pour toi terriblement douloureuse. Je garde le souvenir de notre rencontre, il y a plus de dix ans maintenant avec Gisèle et toi, aux arènes et à IBOS ou MARCIAC, où vous m'aviez accueilli. L'émotion est forte à l'idée de savoir partie une personne d'une telle gentillesse. Et après avoir autant souffert.
Jean Pierre et Mario m'ont donné de tes nouvelles récemment. Sois fort, comme tu l'es encore maintenant même à quasiment 80 balais. Je sais que tu sauras repenser à tous les bons moments. N'oublie pas ces instants de vie. Toi qui l'a côtoyée tant d'années, tu es le plus fidèle pour honorer la mémoire de cette si belle personne que tu as eue sur ton chemin.
A bientôt
Pierre ,
Nous t'avions fait un petit mot mais nous n'avons pas ta nouvelle adresse ; ainsi je recopie notre petit message d'amitié:
Tres peinés de cette douleur qui te touches nous gardons un souvenir d'amitiés pour Gisele et toi Pierre de moments pleins de convialités, les épreuves de la vie sont dures a supporter. Nous pensons que ta fille se rapprchera de toi dans ce passage a vide et si triste, il est dur de penser que cette finalité délivre Gisele de tout cette souffrance.
Nous t'embrassons amicalement , plein de courage . Gisele Hervé
Pedro que lo termino de leer y no lo puedo creer que se haya ido ya, pero por otra parte como tu bien dices a dejado de padecer y haceros de sufrir a los que estábais a su lado durante ese tiempo.
No hay palabras sobre la tierra para calmar ese dolor tan grande que sólo lo sabe el que lo padece. A ella le gustaría de verte féliz aunque ya no es lo mismo de todas maneras Pedro lo tienes que intentar por ella y por ti y recuerda que aquí en Alcorisa tienes unos amigos para lo que haga falta.
Un fuerte abrazo y nuestro más sentido pésame amigo
Angela y Pepe
Bonsoir Pedrito, J'ai appris en lisant ton blog ces dernières semaines l'évolution de l'état de santé de Gisèle, vers quelque chose d'inéluctable. Un putain de crabe injuste et déguelasse. Je sais que cette période est pour toi terriblement douloureuse. Je garde le souvenir de notre rencontre, il y a plus de dix ans maintenant avec Gisèle et toi, aux arènes et à IBOS ou MARCIAC, où vous m'aviez accueilli. L'émotion est forte à l'idée de savoir partie une personne d'une telle gentillesse. Et après avoir autant souffert.
Jean Pierre et Mario m'ont donné de tes nouvelles récemment. Sois fort, comme tu l'es encore maintenant même à quasiment 80 balais. Je sais que tu sauras repenser à tous les bons moments. N'oublie pas ces instants de vie. Toi qui l'a côtoyée tant d'années, tu es le plus fidèle pour honorer la mémoire de cette si belle personne que tu as eue sur ton chemin.
A bientôt
Bonjour cher Pierrot,
Annette et moi sommes en communion et prière pendant que tu accompagne ta chérie pour la dernière fois.
Très près de toi par la pensée, nous t'adressons toute notre affection.
Nous t'embrassons
Annette et Pierrot
F.Annette et moi sommes en communion et prière pendant que tu accompagne ta chérie pour la dernière fois.
Très près de toi par la pensée, nous t'adressons toute notre affection.
Nous t'embrassons
Annette et Pierrot
Pierre ,
Nous t'avions fait un petit mot mais nous n'avons pas ta nouvelle adresse ; ainsi je recopie notre petit message d'amitié:
Tres peinés de cette douleur qui te touches nous gardons un souvenir d'amitiés pour Gisele et toi Pierre de moments pleins de convialités, les épreuves de la vie sont dures a supporter. Nous pensons que ta fille se rapprchera de toi dans ce passage a vide et si triste, il est dur de penser que cette finalité délivre Gisele de tout cette souffrance.
Nous t'embrassons amicalement , plein de courage . Gisele Hervé
Pedro que lo termino de leer y no lo puedo creer que se haya ido ya, pero por otra parte como tu bien dices a dejado de padecer y haceros de sufrir a los que estábais a su lado durante ese tiempo.
No hay palabras sobre la tierra para calmar ese dolor tan grande que sólo lo sabe el que lo padece. A ella le gustaría de verte féliz aunque ya no es lo mismo de todas maneras Pedro lo tienes que intentar por ella y por ti y recuerda que aquí en Alcorisa tienes unos amigos para lo que haga falta.
Un fuerte abrazo y nuestro más sentido pésame amigo
Angela y Pepe