Avril 2022
EL DIABLO : FRANCHEMENT ANTI-MACRON
L'élection présidentielle a fait apparaître, à partir du constat des votes utiles qui ont propulsé trois poids lourds aux portes du pouvoir, l'énorme attaque contre la liberté d'opinion dans notre pays. Il y aurait les gros qu'il faudrait honorer et les petits qu'il faudrait ignorer voire haïr parce qu'ils fausseraient le jeu des rôles dominateurs et sans partage que se réservent les gros.
La 5e République a favorisé l'étouffement de tout ce qui vit en dehors du chemin imposé par les populismes en vogue. Ils agissent aujourd'hui pour faire régner non pas un État de droit mais un droit de cuissage de l'État au service du moins disant social, laissant dans le fossé toutes celles et ceux qui rêvent d'un véritable autre monde de justice et de liberté. Le règne des éléphants a changé de costume, mais ce sont toujours des éléphants.
C'est dans ce contexte malsain qu'on va nous imposer le choix entre deux versions de la contrainte antidémocratique. La première, nous la connaissons. C'est la dictature du capital, relayée directement par un de ses banquiers guerriers. L'autre nous ne la connaissons pas au pouvoir, mais elle est l'expression d'un fascisme à la française inspiré par ceux qui ont fait la France de la collaboration avec les nazis.
Nous savons nous battre contre la première. Nous savons aussi que, si la seconde gagne, un climat de guerre civile s'instaurera en n'étant pas du tout sûr de la gagner vu que l'État sera mis au service d'une répression féroce, légitimée par les élections, contre les forces démocratiques. Le choix est douloureux et je ne sous estime pas le dégoût que cela provoque. Je laisse à chacun la responsabilité de ce qu'il fera et ne veut pas polémiquer par des leçons de morale comme certains me le font en permanence.
En revanche, il est hors de question de me soumettre au diktat de ceux qui veulent éliminer le courant de pensée communiste sous le prétexte illusoire d'une urgence qui, dans un autre sens, aurait permis à Macron de se faire élire haut la main et continuer son sale boulot de nettoyage antisocial, le rapport de force entre les forces de gauche étant malheureusement très défavorable, le total des voix de droite et d'extrême droite étant d'environ 70 % et celui des gauches de 30 %.
La gauche a besoin de réveiller l'épanouissement de ses diversités, pas la contrainte, l'injonction et la haine d'un courant populiste qui veut dominer les autres avec arrogance et paternalisme d'un côté, insultes et mépris de l'autre exprimés en boucle sur les réseaux et dans les médias.
Les Jours Heureux, pour moi, c'est la possibilité pour chaque citoyen de vivre dans le respect des autres avec sur le plan social et culturel, la possibilité de vivre dignement, tout simplement. Les communistes ont présenté ce programme qui s'attaque concrètement et sans ambiguïté à la dictature des riches. Ils ont bien l'intention de ne pas l'abandonner sous le prétexte de la panique ambiante.
L'esprit de résistance, c'est ça. Ne jamais céder quand la peur invite à servir Goliath permet de ménager les conditions d'un avenir sorti de l'ombre dans laquelle les haines nous invitent à rester. Nous sommes les enfants de David, toujours auprès de ceux qui ne se laisseront jamais écraser par les règles d'un système qui nous mène à la négation de la liberté d'opinion et au règne de l'intolérance.
Yvon Huet blog TC pcf 66
La stratégie appelle les États-Unis à renforcer les alliances contre la Chine
par Dave DeCamp
Publié le
Jeudi, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a déclaré à son homologue vietnamien lors d’un appel téléphonique que la stratégie indo-pacifique américaine pourrait conduire à une « tragédie » similaire à la guerre en Ukraine.
La stratégie, qui a été publiée par l’administration Biden en février, appelle les États-Unis à étendre leur présence diplomatique et militaire dans la région indo-pacifique pour contrer la Chine en mettant l’accent sur la construction d’alliances.
« Les Etats-Unis ont essayé de créer des tensions régionales et de provoquer la confrontation en faisant avancer la stratégie indo-pacifique », a déclaré M. Wang au ministre vietnamien des Affaires étrangères, Bui Thanh Son, selon le ministère chinois des Affaires étrangères.
« Cela nuira gravement au développement pacifique durement acquis dans la région et érodera la coopération régionale qui a eu l’ASEAN au cœur de ses préoccupations », a-t-il déclaré, faisant référence à l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (ASEAN). « Nous ne pouvons pas laisser la mentalité de la guerre froide revenir dans la région et la tragédie ukrainienne se répéter autour de nous . »
L’une des principales motivations de Moscou pour envahir l’Ukraine était l’alignement de Kiev sur l’OTAN et la présence de l’alliance militaire aux frontières de la Russie. Avant l’invasion, la Russie et les États-Unis étaient engagés dans d’intenses négociations. La principale demande de Moscou était de garantir que l’Ukraine ne rejoindra jamais l’OTAN, mais le président Biden a refusé de faire cette promesse.
La Chine considère naturellement les efforts des États-Unis pour construire des alliances contre elle comme une menace similaire, et l’activité qui semble le plus irriter Pékin est le soutien croissant de Washington à Taiwan. La stratégie indo-pacifique de Biden appelle au renforcement des relations des États-Unis avec l’île.
Une délégation de législateurs américains dirigée par le sénateur Lindsey Graham (R-SC) a atterri à Taïwan jeudi et a rencontré la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen vendredi. La visite a provoqué la colère de la Chine, qui a réagi en menant des exercices militaires près de Taïwan. Le ministère chinois des Affaires étrangères a déclaré que les exercices étaient une « contre-action » de l’envoi de délégations américaines à Taïwan.
Washington a rompu les relations diplomatiques officielles avec Taipei en 1979, mais ces dernières années, les États-Unis ont envoyé des responsables de haut niveau sur l’île et les visites de délégations du Congrès ont été plus fréquentes.
En janvier, l’ambassadeur de Chine aux États-Unis, Qin Gang, a averti que le soutien de Washington à Taïwan pourrait finalement conduire à une guerre entre les États-Unis et la Chine. « Si les autorités taïwanaises, enhardies par les Etats-Unis, continuent sur la voie de l’indépendance, cela impliquera très probablement la Chine et les Etats-Unis, les deux grands pays, dans le conflit militaire », a déclaré Qin.
Publié sur news.antiwar.com
Un deuxième combattant britannique qui servait aux côtés des troupes ukrainiennes a été paradé à la télévision d’État russe après sa capture à Marioupol.
Shaun Pinner, un ancien soldat britannique de 48 ans,
17/04/2022
By Ian Miles Cheong
12 avril 2022
Un journaliste français et correspondant international principal de la publication grand public Le Figaro, Georges Malbrunot, affirme que les Américains sont « en charge » de l’effort de guerre ukrainien sur le terrain.
Malbrunot, qui est rentré d’Ukraine, après avoir accompagné des Français combattants volontaires sur le champ de bataille, a déclaré qu’il était surpris de découvrir que les Américains « commandent » les efforts sur le terrain. Le journaliste a fait ses remarques à la chaîne française d’information mondiale CNEWS, le deuxième réseau d’information le plus regardé du pays.
« J’ai eu la surprise, et eux aussi, de découvrir que pour pouvoir entrer dans l’armée ukrainienne, eh bien ce sont les Américains qui sont aux commandes », a déclaré Malbrunot.
Malbrunot a affirmé que lui et les volontaires qu’il accompagnait ont été « presque arrêtés » par les Américains, qui, selon lui, étaient en charge. Malbrunot affirme que les volontaires ont été forcés de signer un contrat acceptant de se battre « jusqu’à la fin de la guerre ».
« Et qui est en charge? Ce sont les Américains, je l’ai vu de mes propres yeux », a affirmé Malbrunot. « Je pensais que j’étais avec les brigades internationales, et je me suis retrouvé face au Pentagone. »
Malbrunot a souligné que l’Amérique a fourni à l’Ukraine des drones suicides armés à lame de commutation, comme l’avait précédemment rapporté Rebel News.
Le 10 avril, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a partagé une photo de lui-même s’adressant à des soldats ukrainiens s’entraînant sur la façon d’utiliser les armes de pointe lors d’une vidéoconférence.
Après l’interview, Malbrunot a tweeté que les unités SAS britanniques « sont présentes en Ukraine depuis le début de la guerre, tout comme les deltas américains ». Le journaliste a cité une source de renseignement Français pour son affirmation.
« Les Russes ne l’ignorent pas, ils savent ce qu’est la guerre secrète », lui aurait dit sa source.
L’affirmation selon laquelle les unités des forces spéciales britanniques et américaines opèrent sur le terrain en Ukraine va à l’encontre des déclarations publiques du département d’État américain et du ministère britannique des Affaires étrangères, qui ont affirmé qu’il n’y aurait pas de « bottes sur le terrain » en Ukraine.
https://pbs.twimg.com/media/FP6YMfdWYAgx0QW?format=jpg&name=360×360
Publié sur www.rebelnews.com
La Bulgarie manque de tout. Les Bulgares ont un revenu median de 300 euros par mois. L’inflation et la corruption sont à tous les étages. Et pourtant ce pays exsangue économiquement va acheter des F-16 étasuniens..
L’UE qui est devenue une vache à lait pour nourrir les USA risque en plus de se transformer en territoire d’affrontement contre la Russie.
Il est temps de dire stop à cette politique guerrière atlantiste qui ne profite in fine qu’aux marchands de canons, en sortant de l’OTAN le plus rapidement possible !
« La Bulgarie va recevoir des avions de combat F-16 de Lockheed Martin après le Go de Washington Par latribune.fr Plusieurs pays européens ont préféré s’équiper d’avions américains plutôt qu’européens. La Pologne dispose depuis 2003 d’avions de combat F-16 C/D Block 52+ (photo), mais leur disponibilité reste problématique, non seulement à cause de problème de maintenance mais aussi en raison du nombre réduit de pilotes à même de les piloter. (Crédits : Reuters)
En pleine guerre d’Ukraine, cette vente est destinée à renforcer le “flanc oriental” de l’OTAN, explique Washington. Mais, dans les faits, ce contrat a été initié en 2018.
Du coup, revient l’hypothèse d’un transfert d’avions de combat MIG-29 vers l’Ukraine, mais la diplomatie américaine ne semble pas l’accréditer. Le constructeur Lockeed Martin continue, lui, d’engranger des contrats après celui, record, signé il y a quelques jours avec le Canada de… 88 chasseurs F-35. La Bulgarie va pouvoir acheter aux États-Unis huit avions de combat F-16 Block 70, c’est-à-dire ceux de la 4e génération, la plus moderne. Cette acquisition n’est pas liée directement aux événements en Ukraine, même si la confirmation est faite au lendemain de la découverte des atrocités commises dans la banlieue de Kiev pendant le retrait des troupes russes, car la décision remonte au choix opéré par Sofia en 2018.
Le Département d’État américain (l’équivalent du ministère des Affaires étrangères) a annoncé hier soir, lundi 4 avril, avoir approuvé la signature entre Lockheed Martin et Sofia d’un contrat FMS (Foreign military sales) évalué à 512 millions de dollars pour la vente de ces 8 avions de chasse “made in America”, confirmant ainsi l’annonce faite l’an dernier, en avril, par le ministère de la Défense américain (DoD). Renforcer le “flanc oriental” de l’OTAN Objectif des États-Unis: “renforcer la sécurité” de ce pays membre de l’OTAN, sur fond de guerre menée par la Russie en Ukraine.
Selon la diplomatie américaine, la vente de F-16 “va améliorer la capacité de la Bulgarie à faire face aux menaces actuelles et futures, en permettant à l’armée de l’air bulgare de déployer régulièrement des avions de chasse moderne dans la région de la mer Noire” dont l’Ukraine est aussi riveraine. Le vote du Congrès reste à obtenir pour que cette vente soit définitivement acquise, et le département d’Etat américain a déclaré dans ledit communiqué lui avoir notifié son intention de vendre ces chasseurs et des munitions à ce pays d’Europe de l’Est pour un montant de 1,67 milliard de dollars.
Le renforcement du “flanc oriental” de l’OTAN fait partie de la stratégie de Washington pour répondre à l’invasion russe de l’Ukraine. Pas de transfert d’avions de combat à l’Ukraine, dixit John Kirby Cette vente pourrait relancer les spéculations sur un transfert à l’Ukraine d’avions de combat de fabrication soviétique, dont dispose la Bulgarie. Mais le Pentagone a semblé écarter cette piste. Son porte-parole John Kirby, interrogé sur la question, a appelé à ne pas tirer de telles “conclusions”. “Ce serait une mauvaise interprétation”, a-t-il assuré. Kiev réclame de ses partenaires occidentaux des Mig-29 que ses militaires savent déjà piloter, et dont disposent une poignée de pays d’Europe de l’Est. Un possible transfert de tels avions russes depuis la Pologne avait été discuté début mars, avant que les Etats-Unis ne s’y opposent, redoutant que la Russie puisse y voir une trop grande implication directe de l’OTAN dans le conflit. Pour rappel, le 9 mars dernier Washington a rejeté la proposition de la Pologne de mettre ses avions Mig-29 à la disposition des Etats-Unis pour, ensuite, les livrer à l’Ukraine afin de l’aider à faire face à l’invasion russe, jugeant que l’offre était source de “sérieuses préoccupations” pour l’Otan. Cette solution était jugée source de “sérieuses préoccupations pour l’ensemble de l’OTAN”, par John Kirby: »
« La perspective d’avions de combat +à la disposition du gouvernement des Etats-Unis+ partant d’une base Etats-Unis/OTAN en Allemagne pour voler vers un espace aérien disputé avec la Russie au-dessus de l’Ukraine suscite de sérieuses préoccupations pour l’ensemble de l’Otan. »
En blanc, zones du Donbass occupée par l"armée ukrainienne
La PREUVELe numéro de série du missile Tochka-U qui a frappé la gare ferroviaire de Kramatorsk, le 8 avril 2022, est (en russe) Ш91579 ou (en anglais) Sh91579. Ce numéro de série marque le stock de missiles Tochka-U en possession de l’armée ukrainienne. Seules les Forces Armées Ukrainiennes ont des missiles Tochka-U. La Russie n’en a pas depuis 2019 : ils ont tous été désactivés. Les Républiques Populaires de Donetsk et Lugansk n’ont pas et n’ont jamais eu de Tochka-U.
La direction du cône et de l’empennage (ou section de queue) du missile qui a atterri sur le terrain proche de la gare ferroviaire de Kramatorsk montre clairement qu’il été lancé par la 19eme Brigade de Missiles Ukrainienne, basée près de Dobropolie à 45 km de Kramatorsk.Précédemment les Forces Armées Ukrainiennes ont utilisé des missiles Tochka-U de la même série comme des Ш915611, lancés sur Berdyansk et un Ш915516, lancé sur Melitopol. Les mêmes missiles ont été utilisés contre Donetsk et Lugansk.Manlio Dinucci,lundi 11 avril 2022, pour PANGEA Grandangolo News :
Le 24 avril prochain, pourra devenir une date très importante : celle où il a été possible de casser la dynamique néolibérale sans frein qui démolit notre pays et maltraite son peuple. Oh bien sûr, le 25 avril ne sera pas un lendemain qui chante, mais verra un coup d’arrêt à une entreprise qui si elle perdurait encore cinq ans rendrait notre pays méconnaissable de façon irréversible. Et les premières victimes en seraient les gens d’en bas, les invisibles, ceux de la France périphérique, expulsés de la vie publique, dont la parole n’est jamais prise en compte, à qui on applique des lois discutées et adoptés par des institutions où il n’y a pas un ouvrier ou un salarié d’exécution des services. Que l’on matraque, éborgne, ampute, emprisonne s’ils ont le malheur de se mettre en colère ou de vouloir protester.
Il se trouve que ceux-là, la moitié des Français si l’on en croit les études d’opinion ont choisi Marine Le Pen pour provoquer cette rupture. Le bloc élitaire en panique, les insulte et les traite de fascistes, voire de nazis et nous ressort son grand barnum.
Bien sûr, pour 1000 raisons ce choix ne m’enchante, pas mais je sais très bien que ce chantage au fascisme est simplement un mensonge et qu’il n’est que le masque de la peur des gens d’en haut, du bloc élitaire de perdre son emprise sur notre pays. Je n’ai pas besoin d’en appeler aux mannes de mon camarade Louis Aragon pour dire qu’il est impératif de tout faire pour essayer de battre Macron. D’expulser du sommet de l’État le fondé de pouvoir du Capital oligarchique et de la bureaucratie bruxelloise.
J’explique quel est pour moi l’enjeu du deuxième tour de l’élection présidentielle. Je vais donc « faire barrage à Macron » le 24 avril prochain. Ma décision va m’attirer insultes quolibets et anathèmes, ceux qui me connaissent imagineront facilement ce que j’en ai à foutre. Ayant quelques titres à faire valoir, en matière d’antifascisme je n’ai de leçons à recevoir de personne.
Cette décision va aussi susciter de l’incompréhension chez des gens que je considère comme des amis. J’espère simplement qu’ils m’accorderont le bénéfice de la sincérité et celui de la cohérence dans le choix cinquantenaire d’être du côté des couches populaires de ce pays.
CLARIFICATION
À la lumière de quelques réactions, je me suis dit que mon statut d’hier, où je publiais une citation familiale, était peut-être un peu ambigu.
J’entends le clarifier aujourd’hui. En utilisant la même technique, celle de la citation.
Cette fois-ci c’est Winston Churchill qui s’y colle. En partant toujours du 22 juin 1941 et du lancement de l’opération Barbarossa avec l’agression par l’Allemagne nazie de l’Union soviétique.
Churchill avait été interpellé aux communes et il s’était vu reprocher, lui le très solide anticommuniste, d’avoir immédiatement indiqué que la Grande-Bretagne était désormais l’allié de l’URSS de Staline dans la guerre.
Il avait répondu la chose suivante : « Si Hitler avait envahi l’enfer, je me serais débrouillé pour avoir un mot gentil pour Satan ».
Maintenant c’est suffisamment clair, n’est-ce pas ?
Régis de Castelnau
Ils avancent masqués...
Il nous promettait, en 2017, de nous apporter autre chose, du neuf en politique et le changement dans notre vie quotidienne...Et aujourd'hui, pour en remettre une couche pour cinq longues années, il a besoin comme renfort de tous les battus du suffrage universel, ceux de ces vingt-cinq dernières années, les Jospin, les Sarkozy, les Hollande, eux et leurs équipes, tous chassés du pouvoir par les Français !
Tous font chorus : "Il nous faut Macron encore à l'Elysée !"..
Pour éviter Marine et ses "fachos".
Ils ont bonne mine : en vingt-cinq ans, le FN, muté en Rassemblement National, n'a fait que progresser. De 16,86% des suffrages en 2002, les Le Pen sont passés à plus de 23%, et à plus de 30% si on ajoute Zemmour, au premier tour des présidentielles, ce 10 avril... Et cela grâce à la politique menée par la fausse gauche et la vraie droite au pouvoir ces dernières décennies. Aux ordres de Bruxelles, tous sont des mercenaires de l'Union européenne, poulailler librement ouvert aux renards de la finance mondialisée.
Cette trahison des intérêts nationaux, de Jospin à Hollande, et de Sarkozy à Macron, leur soumission aux maîtres de Wall Street et à leur Légion étrangère, l'Otan, ils veulent tous la perpétuer avec un second bail donné à l'ancien banquier, l'hôte de l'Elysée.
Voulons-nous en reprendre pour cinq ans, avec un danger de guerre aggravé, ce qui reste de nos conquêtes sociales, Sécurité Sociale, retraites liquidées ?
Pour faire face à ces lourds dangers, il suffit, pour l'instant, de bien voter le 24 avril contre le danger principal, Emmanuel Macron, en mettant dans l'urne le bulletin de sa concurrente, seul moyen de nous en protéger..
Jean LEVY
Tous pour Macron ! Pas nous !
Note de Pedrito:
Pas moi non plus !!!!!