jeudi 2 janvier 2020

LES OLIGARQUES MACRONIENS VONT-ILS RÉUSSIR À BOUSILLER LE PROGRAMME DU CONSEIL NATIONAL DE LA RÉSISTANCE?




«Le programme du gouvernement est clair, 

IL S'AGIT DE DÉFAIRE 

MÉTHODIQUEMENT ET DE DÉTRICOTER LE PROGRAMME DU CONSEIL NATIONAL DE LA RÉSISTANCE.

 » La Sécu était déjà dans le collimateur. 

Commentaire de Jean LEVY


Le Medef, avec Denis Kessle, r disait déjà hier :  «Le programme du gouvernement est clair, il s’agit de défaire méthodiquement et de détricoter le programme du CNR. » La Sécu était déjà dans le collimateur. Commentaire de Jean LEVY
Le Medef, avec Denis Kessle, r disait déjà hier :  «Le programme du gouvernement est clair, il s’agit de défaire méthodiquement et de détricoter le programme du CNR. » La Sécu était déjà dans le collimateur. Commentaire de Jean LEVY

Réaliser le rêve du Medef, Denis Kessler qui a déclaré : « le programme du gouvernement est clair, il s’agit de défaire méthodiquement et de détricoter le programme du CNR. »
Voilà en réalité les espoirs cachés de Macron. 

"canempechepasnicolas " : 
Depuis l'installation d'Emmanuel Macron à l'Elysée, directement - sans intermédiaires - l'oligarchie s'est emparée du pouvoir politique. Son objectif, c'est la  déstruction de toutes les conquêtes sociales acquises par la lutte syndicale et populaire. Ces avancées constituent des entraves à la mise en oeuvre de l'objectifs de l'oligarchie européenne : l'éradication  des lois sociales, des délais parlementaires, des taxes et impôts, des frontières à l'intérieur de l'espace européen, c'est-à-dire à tout ce qui fait obstacle à la concentration du capital financier et à la réalisation la plus rapide possible de profits les plus amples. 
La mise en cause de la Sécurité sociale entre dans ces objectifs, avec la perspective de transférer celle-ci aux assurances privées...
Et dire que nombre d'assurés sociaux sont tombés dans le piège tendu par le capital et ont voté Macron...pour éviter  "le Fâchisme" avec Marine Le Pen, assurant ainsi le succès du danger N°1, la dictature directe du capital financier.
Nous payons aujourd'hui le prix de ce choix. 
(BLOG "ÇÀ N'EMPÊCHE PAS NICOLAS")