dimanche 17 juin 2018

FEMME VOILÉE! ET LE RESPECT DES LOIS DE LA RÉPBLIQUE?

 LE VOILE ISLAMISTE : PRISON RIDICULE,
INSUPPORTABLE ET DANGEREUSE ! L'APPLICATION STRICTE  DES LOIS DE LA RÉPUBLIQUE: C'EST POUR QUAND ?

Une femme voilée a blessé deux personnes au cutter dimanche dans un supermarché de la Seyne-sur-Mer (Var) en criant "Allah Akbar", avant d'être maîtrisée, les enquêteurs cherchant à déterminer si l'auteure des faits est radicalisée ou simplement psychologiquement déséquilibrée.
Non seulement, l'ouverture des magasins en France le dimanche s'est dangereusement généralisée, banalisée, mais il faut encore aux employés affronter des gens agressifs camouflés derrière des cagoules "religieuses" rétrogrades, des attardés asservis aux politiciens intégristes fascistes, qui ne respectent ni ceux qui les accueillent dans les services, ni la République et sa laïcité,  avec leurs lois bienveillantes pour tous, même pour ceux-là mêmes qui se croient ici en république islamiste et  qui ne comprennent pas le prix et la valeur de la liberté et de ses bienfaits dont ils profitent. 
Pas d'amalgame? Surtout pas !!! Mais tout de même, ras-le-bol de ces faits trop nombreux faits divers où des intégristes manipulés et fêlés viennent régulièrement remettre le feu aux poudres du racisme imbécile.
Alors qu'il suffirait que nos politiciens de m..... quels qu'ils soient aient le courage de dire : STOP! Çà suffit!! Ceux qui veulent appliquer les lois islamistes sont invités à chercher ailleurs, dans ces beaux pays où les femmes sont des objets, la terre d'accueil dont ils rêvent!
Le courage politique !!! Pas la démagogie électoraliste dont crève notre pays écartelé entre le mensonge et la peur du résultat des élections de toute façon truquées: entre la peste et le choléra, des citoyens de plus en plus nombreux choisissent le repli, le silence, la rancœur.
Note: contrairement à ce qui a été déclaré peu après les faits, il parait qu'elle n'était pas voilée.... Mais le problème reste le même: ces gens là, à qui l'on n'a pas appris que les mécréants sont gens aussi normaux et sociaux qu'on peut l'être, contrairement à leurs gourous pseudo religieux, doivent être renvoyés dans un pays de leur choix où règnent ces lois islamistes surannées, sans autre liberté pour elles que de se coucher devant des dictateurs sanguinaires manipulés par d'obscurs princes comme par hasard milliardaires.
Les habitantes y sont si heureuses derrière leur niqab qu'elles n'ont hélas n'ont d'autre choix que de subir l'ignoble cruauté de leurs bourreaux. 

POGNON DE DINGUE? MACRON PLUTÔT DINGUE DE POGNON !!!

 


Quand le Président communique...


La conseillère en communication d'Emmanuel Macron, Sibeth Ndiaye, a partagé sur Twitter une vidéo dans laquelle on voit le président donner sa vision de la politique sociale qu'il veut appliquer en France. L'extrait, devenu viral, est pourtant le fruit d'une communication savamment orchestrée.
"Moi, je ferai un constat de dire que tout le système social, on met trop de pognon, on déresponsabilise et on est dans le curatif (...) La politique sociale, regardez, on met un pognon de dingue dans les minimas sociaux, les gens sont quand même pauvres". La phrase est signée Emmanuel Macron. On le voit dans une vidéo, publiée sur le compte Twitter de Sibeth Ndiaye, la conseillère en communication du président de la République. Le président de la République s'attaque aux minimas sociaux.

Emmanuel Macron s'est inspiré de Barack Obama

Cette vidéo semble être volée, et pourtant, il s'agit d'une opération de communication. "Les équipes de communicants de l'Élysée, à travers les publications de cette vidéo, veulent faire une opération de communication qui n'ait pas l'air d'une opération de communication", analyse Florian Silnicki, spécialiste de communication politique. "On veut faire croire aux Français que c'est une opération naturelle, quasiment coulisse. On veut démontrer que c'est une vidéo quasiment volée du président, un instant caché de la vie de l'Élysée. Or, c'est une opération très maîtrisée, le président se sait filmé, et donc il n'y a rien de naturel dans cette opération".
Emmanuel Macron utilise des expressions comme "pognon de dingue". Des propos un peu familiers. "Le président Macron ne peut pas tenir dans son discours les propos qu'il a tenus dans cette vidéo. C'est pourquoi cette vidéo prend le format d'une vidéo volée qu'on diffuse pour démontrer ses propos naturels. On voit que le langage utilisé par Emmanuel Macron est quasiment brutal, direct et provocateur. C'est un langage qui vise à dire 'je vais changer les choses'", explique Florian Silnicki. Une opération de communication qui n'est pas sans rappeler celles de Barack Obama. "C'est une vidéo inspirée des techniques de communication de Barack Obama, assure-t-il encore. Ҫa vise à mettre en scène un président de la République au travail d'une façon assez simple et naturelle. Il n'y a pas de veste, tout est mis en scène, tous les codes sont travaillés pour faire croire que cette communication n'est pas travaillée et anticipée", conclut-il.

COMMENT ROBERT HUE .....(°)

.....Comment Robert Hue a changé notre politique européenne sans en discuter…

Résultat de recherche d'images pour "robert Hue et Jospin"
Pourquoi avons-nous tant de mal à avoir une positon claire sur l’Europe ?
Parce que la démocratie du parti n’a pas été respectée…
Parce qu’il y a eu un brutal changement de notre politique pour lequel l’assentiment des militants n’a jamais été sollicité.
Il n’y a pas eu discussion mais inflexion au jour le jour sans la moindre ligne directrice autre que de suivre le pS. Notons que la manière dont aujourd’hui, alors que les élections européennes s’approchent, notre secrétaire national affirme qu’il faut une liste qui regroupe la gauche (sauf le PS), en oubliant que sur cette question européenne, des gens comme les Verts et Benoit Hamon ont la même position que le PS de hollande et celle de Macron. On comprend que dans ce cas « les ambiguïtés », le mot est faible, de Robert Hue n’ont pas à être analysées pas plus d’ailleurs que le Congrès de Martigues et la destruction de notre parti , ce qui fait que cela vide le COngrès dit extraordinaire de son contenu. La dérive se poursuit alors qu’il faut un Congrès extraordinaire qui s’empare de cette question, comme d’autres.
L’actuelle proposition de base commune ne correspond pas à cette exigence.
Sur l’ensemble des questions internationales, le militant n’est pas plus sollicité et pour les mêmes raisons. Cette perte de souveraineté qui consiste à ne pas avoir de politique autonome du moins lisible pour ses militants a été initiée par Robert Hue.
c’est un ami Pascal Brula qui récemment reprenait dans une brève l’origine du changement à 180 ° de la politique du parti à l’égard de l’Europe. « Julian Mischi dans son livre « Le communisme désarmé(1) », écrivait-il, nous apprend que Hue a accepté de participer au gouvernement Jospin sur la base d’un changement de la politique européenne du PCF. On a vu ce que ça a donné, notamment avec Gayssot qui a mis en œuvre la directive qui ouvrait la voie à la privatisation de la SNCF. Je me souviens qu’après son arrivée à la direction du parti, Hue a changé le thème d’une manif qui avait été décidée par l’équipe Marchais et devait avoir lieu à Dunkerque, de manif contre l’euro en manif pour l’emploi ! Il faut relire les analyses de la bataille contre le traité de Maastricht (Casanova, Picard-Weyl…). Avec Hue, la seule décision sur laquelle les adhérents ont eu à se prononcer, est l’adhésion au PGE, objet d’un vote ; toutefois, l’argumentation pour voter oui, devant la résistance très forte du parti, avait été de dire  » cela ne nous engage en rien et nous permettra de toucher les subventions«  »
Il faut effectivement revoir ces questions des subventions de l’Europe et ce à quoi elles nous contraignent dans l’appréciation de notre propre passé. Là encore notons le tour de passe passe récent de Pierre Laurent et de son équipe à propos de l’exposition sur Georges Marchais, le livre confié à quelqu’un comme Gérard Streiff et la volonté de nous présenter Georges Marchais comme le chantre de l’Eurocommunisme. J’ai déjà écrit là-dessus en notant que c’est parce que nous nous opposions aux restructurations industrielles voulues par l’Europe et le plan Davignon que nous avons quitté le gouvernement. Comment Mitterrand furieux de nous voir échapper à son piège avait fait pression sur deux ministres communistes,Fitterman et Rigout avec l’aide de Berlinguer pour introduire la crise dans le parti et un assaut contre Marchais devenu en quelques jours un grotesque par ordre de Mitterrand à ses médias.
S’il existe encore un parti communiste à l’inverse de  ce qui se passe en Italie, c’est qu’il y a eu une résistance de Marchais et de la majorité du Comité central à la liquidation qui se développait en Italie. La question de l’Europe était bien sûr au centre de notre refus de nous aligner. On ne peut pas l’évviter et nouer des alliances sans avoir dégagé notre propre politique.
il y a des choses qu’il faut savoir dire: Hue a représenté une socia démocratisation accélérée du parti, une destruction de tout ce qui en faisait la capacité révolutionnaire. Il a détrut les cellules, d’entreprise en particulier. Et les deux secrétaires qui ont suivi qui ont été cooptés dans le groupe créé par Robert Hue dans un lien étroit avec le pS. Hue a , entre autres, changé notre politique vis-à-vis de l’UE à 180°, sans qu’il y ait eu de discussion, et à fortiori, de décision ; et il ne faut pas avoir peur de le dire clairement, c’est un élément de notre histoire.
Comme il faut avoir présent à la mémoire la ridicule opération « Bouge l’Europe », une liste pour les élections européennes de 1999,  composée par moitié de gens qui voulaient envoyer au sol une armée avec les Américains et les Allemands contre la Yougoslavie et la Serbie et d’autres qui refusaient l’intervention. Sous prétexte d’ouverture, nous avions mis en position d’être élus des gens envoyés par le PS. C’est de cette liste et de la confusion totale qu’elle entretenait que date mon opposition à la Politique de Robert Hue. Je me souviens lui avoir écrit après qu’il ait déclaré à propos de cette liste et de la position contradictoire de ses membres sur le soutien à l’intervention en Yougoslavie : »c’est comme une famille, les uns sont pour, les autres sont contre, et ils sont de la même famille ». Je lui avais écrit: « Ma tante Berthe est une abominable réactionnaire, j’aime bien cette femme, mais il ne me viendrait pas à l’idée de la mettre sur une liste du PCF ». J’ai écrit alors dans la Pensée un article intitulé « La troisième guerre mondiale a commencé à Sarajevo ».
J’étais tout à fait consciente que la fin de l’URSS ne signifiait pas la paix mais un nouveau type de guerre, un pillage au nom des droits de l’homme, la fin des souverainetés sous couvert de combattre des tyrans. Il est vrai que j’avais découvert Cuba, sa résistance héroïques aux USA, alors même que certains et non des moindres dénonçaient déjà la tyrannie de Castro comme Marie Georges Buffet et Patrick le Hyarec, qui lui poussera l’abandon des principes jusqu’à faire parrainer un « dissident »présenté par Rober Ménard et publiera des articles de Régine Desforges qui ne parleront que des putes cubaines. Il est vrai qu’à cette époque là si la majorité des femmes cubaines se bat avec un courage exemplaire pour survivre, la misère est telle que l’on trouve des gamines de 15 ans pour un euro. Comme dans les autres îles, mais de ce combat là aussi les Cubains sortiront vainqueurs. Il y eut encore l’article d’un Bernard Lavilliers que publia l’humanité alors que le cyclone Michelle ravageait l’île martyre, cet article décrivait Castro comme un vieillard nauséabond, un tyran, et pour cela il l’identifiait à l’automne du patriarche, le livre de Gabriel Garcia Marquez consacré à dépeindre Trujillo, le tyran pro-USA, anticommuniste de Saint Domingue dans l’île voisine. C’était d’autant plus immonde que « Gabo », l’écrivain lui restait fidèle à son ami Fidel jusqu’au bout. Que l’humanité ait accepté d’inscrire cette tâche sur  Bernard Lavilliers et sur d’autres artistes que l’on encourageait en ce sens est incroyable. J’avais honte, je me sentais coupable devant cette trahison d’un journal que je considérais comme le mien. Parce que j’ai résisté à cette débâcle morale j’ai été interdite dans l’humanité et la censure tient toujours. Pour l’article de la Pensée sur la Yougoslavie, j’ai eu droit aux interdits de jacques Fath, le même qui nous invita à participer à la guerre en Libye et qui dirigeait alors. le secteur international du PCF. La seule différence entre eux et moi, c’est que je peux dire aujourd’hui ma position de hier, celle qui m’a valu la haine dont ils me poursuivent encore aujourd’hui.
Tous ceux qui comme moi ont prétendu résister à cette déchéance programmée ont été écartés, humiliés, diffamés, certains ne sont plus au parti, mais tous sont restés communistes. Si j’écris mes mémoires ce sera un hommage que je leur consacrerai, l’histoire d’une résistance au coeur même d’un parti qui avait pris l’habitude de croire en ses dirigeants quels qu’ils soient.
Danielle Bleitrach
blog de Danielle "Histoireetsociete"

(°) Ajout de pedrito :  Robert HUE .... "le fourbe"

LE PETIT JUPITER EST A NU !!!!

Ces Français qui voulaient un Roi

PERSONNE
Macron a bien réfléchi : « Tout le système social, on met trop de pognon, on déresponsabilise, on est dans le curatif ». Bien inspiré, Henry de Montherlant écrivit : « La plupart des hommes recèlent en eux-mêmes leur propre caricature. Et cette caricature ressort un jour, à l’improviste, sous le coup de l’événement. »
 .....La suite sur le blog : " Le grand soir " . A lire.....

VIVE LES RICHES! A BAS CES FUMIERS DE PAUVRES!!

Macron utilise son Falcon pour 110km : « un pognon de dingue » !
Jeudi dernier, le président de la République, après ses allusions au « pognon de dingue » alloués aux minimas sociaux, a utilisé son Falcon présidentiel toute la journée, au point de l’utiliser pour un déplacement de 110km !
Si pour le président, l’État donne trop d’argent aux chômeurs et aux allocataires de minimas sociaux, le compte bancaire de l’Elysée chauffe sans modération en ce moment : après les 500 000 euros de vaisselle dépensés par la présidence pour changer les assiettes du président, Emmanuel Macron s’est permis ce jeudi d’utiliser sans modération son Falcon présidentiel (un jet privé signé Dassault), dont le coût de vol est de près de 4000€ de l’heure, équipage et carburant compris. Les trajets du jour ? Paris-Montpellier, où un discours devait se tenir, puis Montpellier-La Roche-sur-Yon, où le président devait inaugurer un musée à la mémoire de Clémenceau (c’est vrai qu’au moment où les CRS répriment les grèves, quoi de mieux que d’inaugurer un musée à l’honneur de celui qui avait fait tirer les gendarmes sur les grévistes en 1908 ?). Finalement, le président a utilisé son avion pour faire 110km entre la Roche-sur-Yon et Rochefort, pour aller rencontrer des militaires sur l’aéroport de cette même ville. Autant de déplacements  payés par le contribuable.Le service présidentiel a assuré que c’était la solution « la plus économique », étant donné que le président devait reprendre l’avion pour rentrer à Paris. C’est un signal de plus à destination des hyper-riche : ne vous cachez plus ! Les « assistés », eux, doivent se passer des minimas sociaux car ils coutent un « pognon dingue ». De son côté, Emmanuel Macron ne semble pas inquiété par ses fastes dépenses, alors qu’il avait déjà été épinglé pour avoir pris ce même Falcon pour aller voter au Touquet, à seulement 3h de voiture de Paris…