lundi 20 mars 2023

Publié par El Diablo

 

MESSAGE de Jacques MYARD

Membre Honoraire du Parlement

Maire de Maisons-Laffitte

Président du Cercle Nation et République

Président de l'Académie du Gaullisme

 

 

L’adage est connu ; le peuple sait pertinemment que la faillite de tout organisme, de tout pouvoir est la faute des élites dont la fonction est d’assumer leurs missions sans faiblir.

Si les élites renoncent à leurs missions et démissionnent, l’échec est couru d’avance.

L’emploi du 49-3 pour faire passer le projet des retraites à l’Assemblée nationale illustre parfaitement l’échec du gouvernement et surtout du Président de la République qui ont présenté et défendu un projet ni fait, ni à faire, un projet bâclé, rejeté par plus de 70% des Français ; ils sont les seuls responsables de cette situation.

Mais l’échec de Macron ne se limite pas à l’enjeu des retraites. On ne peut qu’être atterré par son attitude lors de son dernier voyage en Afrique, au Congo Kinshasa, où il a tenu des propos critiques à l’égard de son hôte congolais en déclarant : « depuis 1994, ce n’est pas la faute de la France si vous n’avez jamais été capables de restaurer la souveraineté ni militaire, ni sécuritaire, ni administrative de votre pays ».

Ces nobles propos sont allés droit au cœur du Président congolais Felix Tshisekedi qui lui a répondu vertement : « Respectez-nous, arrêtez de nous regarder avec un œil paternaliste ». Parfaite ambiance diplomatique !

Le summum de Macron-Jupiter a été atteint par des images proprement incroyables où l’on découvre le Président de la République française la nuit dans une rue à Kinshasa près d’une boîte de nuit, en tenue vestimentaire débraillée, buvant une bière à la bouteille ...Sic.

Les Africains n’avaient jamais vu un Président français se trémousser de cette manière dans la foule, eux qui cultivent le respect et vénèrent l’autorité du chef !   

Toutefois l’aveuglement des élites est aussi l’apanage de nos alliés qui s’identifient à l’Occident, sûr de lui-même et dominateur. Cet Occident a décidé qu’il incarnait la vérité et a voulu rallier à lui la planète pour condamner la Russie coupable à ses yeux de conduire une guerre d’agression contre l’Ukraine ; le vote à l’ONU est édifiant sur la réalité du monde.

Le 23 Février dernier l’Assemblée générale des Nations unies a approuvé à une très grande majorité des États la résolution qui exige de la Russie de cesser son agression contre l’Ukraine les trois-quarts des pays ont approuvé cette résolution - mais la majorité démographique de la planète s’est abstenue ou n’a pas participé au vote.

« La vérité, c’est que les Américains finiront par se faire détester par tout le monde. »

Charles de Gaulle, 6 novembre 1963

« L’Occident ne mesure pas toujours la haine que lui vouent des peuples humiliés. »

Alain Peyrefitte, 13 août 1990.

L’Occident sûr de lui-même et dominateur est tout simplement minoritaire sur la planète. Inutile de fantasmer, la réalité est là, c’est la chute historique attendue par tous les peuples humiliés depuis plus de deux siècles.

La Présidente de la commission de l’Union européenne (UE), sûre de sa mission, excelle dans sa volonté d’être la Reine de l’Europe. Elle multiplie les initiatives pour forcer les États à reconnaître qu’elle incarne le sens de l’Histoire.

L’élargissement de l’UE à l’Ukraine un pays où règnent la probité et l’honnêteté à tous les étages 😄 -  en est un très bel exemple. C’est là le meilleur moyen pour ruiner l’UE, déjà fort malade et traversée par de multiples forces centrifuges

Ursula von der Leyen devrait méditer Raymond Aron 

« Ce sont les hommes qui écrivent l’Histoire, mais ils ne savent pas l’Histoire qu’ils écrivent. »  Pas certain qu’elle ouvre les yeux

L’aveuglement politique des princes que nous gouvernent est saisissant. Il confirme que les élites comme les poissons pourrissent toujours par la tête, c’est une constante de l’Histoire.

Que ces élites aveugles prennent garde, 

« Quand les brebis enragent, elles sont pires que les loups »

Jacques MYARD

 

Socialisme, démocratie et système politique à parti unique

18 Mars 2023 , Rédigé par Réveil Communiste Publié dans #GQ, #Qu'est-ce que la "gauche", #Front historique, #Théorie immédiate, #Mille raisons de regretter l'URSS, #classe ouvrière, #Élections, #Chine, #Cuba

Socialisme, démocratie et système politique à parti unique

A propos de l’instrumentalisation de la démocratie par l'Occident, alors que la RP de Chine revendique le rôle dirigeant du parti communiste, face aux pressions impérialistes, à lire ici.

Il existe actuellement cinq pays officiellement socialistes dans le monde, qui sont tous dirigés par un parti unique, ou placé institutionnellement au pouvoir, ce qui revient presque au même. Cela ne signifie pas que ces pays ne sont pas des démocraties. Ce sont : Cuba, La RPD de Corée, la RP de Chine, le Viet Nam, et le Laos.

On a toujours martelé l’accusation : les communistes seraient les fossoyeurs de la liberté.

Et en effet, nous sommes les fossoyeurs de la liberté du capital, des capitalistes, et de leurs agents et des hommes et des femmes dont ils ont lessivés le cerveau. Et cela fait de nous des défenseurs presque exclusifs de la liberté réelle dans ce monde sur-aliéné à l'argent, à la marchandise et au spectacle .

La liberté, pour reprendre la rigoureuse définition de Friedrich Engels, c'est la conscience de ce qui doit être fait nécessairement, et non le droit d'ignorer superbement autrui en faisant tout ce qu'on veut (tout ce qu'on a fait vouloir), ou de scandaliser pour se faire remarquer.

Dans la société bourgeoise, loin que la liberté de l’individu s’arrête aux bornes de celle d’autrui, comme l’affirme la déclaration des droits de l’homme, la liberté illimité de l’argent y écrase complètement la liberté d’autrui.

Si on veut la démocratie, il faut l’imposer aux minorités qui accaparent la puissance politique : les nobles, les riches. Sinon, on n’en aura que l’apparence.

Il ne faut pas confondre démocratie, et régime d’assemblée. Même la démocratie étymologique, celle de Périclès, à Athènes, au Vème siècle avant Jésus Christ, où l’assemblée du peuple était toute puissante, était fondée sur la guerre, l’impérialisme et l’esclavage, et n’en était pas une au sens actuel.

Tant que les partis communistes ont revendiqué et défendu le système de parti unique qui prévalait dans les pays socialistes, ils ont été de puissantes forces politiques, des contre-pouvoirs démocratiques efficaces dans les pays capitalistes, et des bornes posées par la classe ouvrière à la dictature du capital sur ces pays. Les peuples occidentaux comprenaient très bien qu'il était consistant et logique pour un pays socialiste d'interdire aux représentants du capital sous ses formes diverses de briguer le retour au pouvoir. Mais dès que ces partis ont accepté de se soumettre à l’État de droit tel qu’il est défini par le libéralisme politique leur puissance s’est évaporée.

Les pays qui se revendiquent du socialisme méritent le titre quand ils empêchent les capitalistes étrangers ou à domicile de jouer un rôle politique.

Cet interdit, s’il n’est pas suffisant pour préserver le socialisme, est nécessaire. Il comporte des risques mais il est inéluctable pour la maîtrise de l’échelle temporelle de la révolution de longue durée dont il est question. Personne n'a jamais voté pour le remplacement du féodalisme par le capitalisme, et ce ne sera pas le cas non plus quand celui-ci laissera la place au socialisme. Un petit nombre de personnes ont conscience claire de ce qui est décisif, au moment du choix décisif, et même comprennent son caractère décisif.

Le parti communiste, comme Gramsci l'a défini dans les prisons de Mussolini, est la forme moderne et collective du Prince de Machiavel, qui instruit ce petit nombre et le met au service de la classe prolétarienne. Le parti objectif n’est pas toujours celui qui porte ce nom, ce que chacun sait (ce serait trop simple).

Réclamer le multipartisme à Cuba ou en Chine, c’est réclamer le retour au capitalisme. C’est d’ailleurs tout à fait revendiqué par le discours impérialiste dominant des "révolutions colorées" qui tente de pousser les gens à descendre dans rue contre le socialisme au nom du pluralisme, sans autre programme.

Mais alors demandera-t-on avec un peu d’inquiétude : quelles sont les garanties pour la liberté individuelle s’il n’y a pas de pluralisme ?

Il n’y en a pas. Mais ces fameuses garanties n’existent en réalité nulle part : la bourgeoisie pose des règles, et lorsqu’elles ne lui conviennent plus, elle les change. L’inscription dans le marbre des libertés fondamentales des individus ne pèse pas lourd en face des intérêts matériels. Et son pluralisme n'est que celui des grands intérêts.

De toute manière, la démocratie n’est pas individualiste. Son grand paradoxe dans l’histoire est que lorsqu’elle est véritable, elle est toujours aussi une dictature exercée sans faiblesse l’encontre de ses ennemis, contre les classes privilégiées de la naissance et de la fortune et contre leurs agents culturels. Ce qui explique le fait que dans toute la culture politique classique de l’Antiquité à 1848, la démocratie entendue au sens étymologique, « le pouvoir populaire », est détestée et redoutée par les élites qui donnent le ton dans la culture. C’est le règne de la tourbe, de la racaille, de la canaille, de la foule puérile et cruelle de Gustave Le Bon qui opprime la mince couche sociale civilisée et cultivée qui revendique pour elle-même et pour elle seulement le caractère humain.

Or au contraire la démocratie reflète la prise de conscience des masses, et cela ne peut advenir qu’après avoir éliminé la puissance d'influence mécanique de l’argent qui reproduit à l’infini la foule sans conscience des aliénés.

Un exemple actuel particulièrement frappant de cette puissance mécanique est le développement depuis un demi-siècle du courant politique réactionnaire islamiste qui a fait couler tant de sang et encore plus d’encre, et qui n’a pu se développer dans de telles proportions, que grâce à l’injection massive de fonds pétroliers, et sous la haute protection occidentale. Mais ce qui est dénoncé chez "l'autre" islamique existe aussi chez nous.

Ni les réactionnaires religieux musulmans, ni les églises affairistes évangélistes, ni les courants conservateurs de l’Église catholique, ni les partis chauvins de tous les pays n’ont obtenu la moindre influence par leurs mérites éthiques, ou par leurs analyses et leur compréhension du monde réel et de ses enjeux. Leur seule inspiration provient des fonds illimités de leurs donateurs, et leur seule intelligence est le martelage publicitaire à la manière de Goebbels.

Curieusement personne ne se demande pourquoi contre toutes les lois de la probabilité les résultats des élections "libres" convergent en général vers la constitution de deux camps de force à peu près égale, qui obtiennent des scores très proches, de l’ordre de 50 % pour chaque camp [au Pérou, le 6 juin 2021, Pedro Castillo - exception d'une alternance véritable qui confirme la règle - a obtenu 50,12% des voix!], au lieu de présenter une variation aléatoire de résultats. On présente une victoire à 52% comme un immense succès alors qu'elle comporte une large part de raisons aléatoires qui auraient aussi bien pu justifier le résultat inverse et qu'elle n'implique aucune prééminence morale ou théorique. Cette convergence s’explique par la pratique concrète des partis électoraux  : ils ne mesurent leur action qu'à la résistance du camp d’en face, ce qui fait que chaque effort du coté "bleu" provoque une réaction similaire du coté "rouge" . Autrement dit, ces partis sont complémentaires dans une totalité stable, ont à peu près la même capacité de recueillir des fonds, ce qui se fait toujours en dernier ressort auprès des capitalistes, et participent en commun à la construction, autour d’enjeux factices ou dépassés, d’une vision purement idéologique du monde, sans prise sur le réel.

La démocratie véritable ne résultera jamais de la confrontation électorale où le slogan anti-apartheid « one man, one vote » est retraduit « one dollar – one vote ». La démocratie en action ne provient pas de la confrontation et des compromis de clans ou de partis qui sont autant de mafias, et dont le jeu libre ferait apparaître magiquement l’intérêt général ou l’optimum politique. Il ressort au contraire du cirque électoral presque universellement méprisé du bon sens populaire mais révéré avec idolâtrie par la culture des Instituts d'études politiques un spectacle complètement nul qui est le contraire parfait de la participation véritable et en connaissance de cause du peuple aux décisions qui le concernent.

Toutes les associations, des confréries mystiques aux clubs de supporters, prétendent partager un idéal, ou une éthique, ou pour parler avec les concepts relâchés de l’époque, « des valeurs », mais on constate que dans l’univers libéral cet affichage moralisant cède le pas aux relations concrètes qui lient entre eux les individus ambitieux qui les constituent, et dont l’ambition personnelle est souvent la seule qualité. Les organisations du pluralisme ont comme objectif rationnel rien autre chose que le beefsteak de leurs adhérents. La franc-maçonnerie est l’archétype de ce fonctionnement à deux vitesses : un idéal commun fumeux à la limite de la puérilité qui recouvre des relations d’affaire et des conflits d’intérêt, avec un double recrutement de naïfs et de pourris, et de naïfs qui pourrissent sur pied au fur et à mesure qu’ils s’affranchissent.

Donc l’idéal du parti communiste n’est pas de ce type. Le parti n’est pas un trafiquant d’influence qui produit des discours et des récits trompeurs mais un maître d’œuvre qui recrute des membres à l’esprit constructif, pour reconstruire le monde.

Le parti bourgeois, par contre, (y compris le parti bourgeois d’extrême gauche) est en fait un lieu de survie tissé par des réseaux d’ordre économique, des trafics, et par des réseaux sexuels.

Pour éviter de lasser le lecteur, concluons : le socialisme et la démocratie réelle qu’il permet et qu’il implique ne sont pas un système libéral, parlementaire, où les représentants du peuple s’insultent en public et magouillent amicalement en privé, et dont les fausses querelles peuvent malheureusement pousser les gens ordinaires à s’entre-tuer, comme hier en Yougoslavie, et en 2019 dans le Caucase (et même aux États-Unis !) .

Simple question : la démocratie règne-t-elle davantage maintenant en Arménie, et en Azerbaïdjan ? Ou régnait-elle plutôt sans en avoir l’air à l’époque où ces deux pays formellement indépendants, aujourd’hui engagés dans un conflit absurde, étaient deux des républiques soviétiques, au sein de l’Union, sur un pied d’égalité avec la Russie ? Et a fortiori, en Ukraine et en Russie ?

Le plus mauvais gouvernement socialiste vaut mieux que la meilleure démocratie libérale, parce qu’en cette pseudo-démocratie, c’est le capital qui gouverne. Il vaut mieux être gouverné par des êtres humains que par des choses. Et ce n’est pas la montée en puissance l’Intelligence Artificielle qui va nous démentir !

GQ, 17 novembre 2020, relu le 14 juin 2021

PS : L'intention de l'article, qui est destiné aux nouvelles générations de militants, n'est pas forcément de promouvoir le système de parti unique, qui a des défauts, comme c'est indiqué dans le texte sans développer, mais de leur montrer qu'y recourir quand c'est nécessaire pour préserver le but est parfaitement légitime. C'est un système que les bolcheviks ont été contraints d'appliquer pour faire face à la contre-révolution, à partir de l'été 1918, et qui a perduré parce que jamais la bourgeoisie mondiale n'a admis la légitimité de l'État issu de la Révolution d'Octobre, ni des autres États socialistes fondés par la suite au XXème siècle. Si le gouvernement américain actuel n'admet pas la légitimité du gouvernement chinois sous la conduite du parti communiste, ce n'est pas parce qu'il n'est pas pluraliste, mais parce qu'il est socialiste et souverain dans une mesure qu'il trouve déjà excessive, et il réclame l'introduction du pluralisme en Chine (ou à Cuba) pour pouvoir y favoriser librement l'action de ses agents, qu'ils le soient objectivement ou qu'ils soient directement patentés. Le pluralisme considéré comme fétiche dans le système de l'Empire globalisé est la garantie qu'à long terme ses clients, financés , publicisés, et légitimés par ses médias et se diplomates l'emportent partout.

 

QU'ATTENDONS NOUS POUR SORTIR DU PIÈGE ATLANTIQUE DE L'EUROPE QUE DE GAULLE NOUS AVAIT ÉPARGNÉ?

 

 

Si nous ne sortons pas de l’Union Européenne, et surtout de l’OTAN, la France est condamnée à disparaitre, purement et simplement !
En effet, depuis 1945, les Etats-Unis s’ingénient à faire de la France, l’un des districts du 51ème état américain : l’Europe !
Mais à part quelques rares exceptions, les dirigeants européens sont trop lâches ou trop idiots pour prendre la seule décision qui puisse nous sauver.
Et pourtant, la Constitution Européenne prévoit cette possibilité ( article 50, et article 13 du chapitre consacré à la défense pour quitter l’OTAN, comme l’avait fait de général De Gaulle ).
Il n’y a même pas besoin d’unanimité des pays-membres pour le faire !
Vous me direz : regardez l’état économique de la Grande-Bretagne !
Et alors ? D’abord je ne vais pas pleurer sur le sort d’un pays qui, en provoquant la guerre en Ukraine, avec les Etats-Unis et la Pologne, nous a foutu dans une merde noire !
Ensuite et surtout parce que la France n’est pas une île, contrairement à la ” perfide Albion ” !
Notre pays est un hub autoroutier, ferroviaire, maritime, et aérien, pour tout le trafic import-export de l’Union Européenne !
Si nous sortons de ce ” piège à cons ” tramé sournoisement par les Etats-Unis, nous retrouverons notre souveraineté, notre monnaie, notre Banque de France, et notre indépendance militaire ( demandez à François Asselineau, il vous l’expliquera mieux que moi http://www.upr.fr ).
Bien sûr notre monnaie sera dévaluée ( ce qui boostera nos exportations et encouragera le tourisme ), mais rendra nos importations plus chères, notamment pour le gaz et le pétrole !
Mais si nous renouons nos accords commerciaux avec la Russie, nous pourrons retrouver les contrats à long terme que nous avons perdu par imbécilité !
Je n’ai d’ailleurs toujours pas compris ce que nous pouvions reprocher à la Russie étant-donné qu’elle ne nous a jamais attaqué, et qu’au contraire elle nous a débarrassé du 3ème Reich, au prix de 27.000.000 de morts, dont 14.000.000 de soldats ! ( les Etats-Unis 292.000 volontaires ).
Sauf si nous adorons les nazis, ce qui semble être le cas de François Hollande, de Nicolas Sarkozy, et d’Emmanuel Macron !
Mais je suis sûr que la majorité des français n’en a rien à foutre de l’Ukraine, qui ne fait partie, ni de l’Union Européenne, ni de l’OTAN !
L’ONU a-t-elle décidé d’une guerre en Ukraine ? Bien sûr que non !
Alors si les Etats-Unis veulent la peau de la Russie, qu’ils aillent eux-mêmes sur le terrain, personne ne les en empêche !
Mais pour ça, il faut en avoir dans le froc, et ce n’est pas  la qualité du G.I. moyen !
Comment être motivé, quand vous vous battez à 10.000 km de chez-vous, contre un pays qui ne vous a jamais agressé ?

 

VOUS VOUS SOUVENEZ? EH BIEN PARTOUT ÇÀ CONTINUE!!!

Peut être une image de 2 personnes
 
C'ÉTAIT IL N'Y A PAS SI LONGTEMPS : LA DÉMOCRATIE US- LA BARBARIE OCCIDENTALE PUISQUE NOUS SOMMES LES VALETS DE L'IMPÉRIALISME AMÉRICAIN, DE TRUMP LE DÉBILE OU DE BIDEN LE SÉNILE- EN ŒUVRE EN IRAK. CE PAYS ASSASSINÉ PAR L'IMPÉRIALISME US. ET LAISSÉ DANS UN    CHAOS VISCERAL.....
ADMIREZ LE SOURIRE DE LA SOLDATESQUE FÉMININE: RIEN A VOIR AVEC LA POÉSIE DE JEAN FERRAT. LA CRUAUTÉ A L' ÉTAT LE PLUS SAUVAGE, PRIMAIRE, QUE LA GUERRE IMPÉRIALISTE AMÉRICAINE EN UKRAINE VOUDRAIT NOUS FAIRE OUBLIER.
ICI, LA FEMME N'EST PAS L'AVENIR DE L'HOMME
ET ILS PRÉTENDENT LES UNS ET LES AUTRES ALLIÉS DU "BLOC OCCIDENTAL JUSTICIER" LANCER UN MANDAT D'ARRÊT INTERNATIONAL CONTRE POUTINE.....
ILS N'ONT PAS DE MÉMOIRE! 
MAIS DANS QUEL MONDE DE FOUS FURIEUX VIVONS NOUS ?

 LA PHRASE DU JOUR

 

 Blog de Saïd BOUAMAMMA

 

Le racisme n’est pas une « essence » ou un simple trait pervers de l’humanité : Il est le produit de conditions historiques déterminées dans le sillage du colonialisme et du capitalisme.

 

 

Note de Pedrito : 

Il est étrange que des êtres instruits, donc prétendument humains, tels le pervers, l'ignoble politicien fasciste Zemmour, qui se prétendent chrétiens, donc charitables, parce que chrétiens, ils seraient toujours des gens charitables - ce qui reste à prouver, j'en connais de toutes catégories, des bons et des pires, la preuve -  ils seraient sans doute plus humains que moi, qui suis athée, et bien, justement, au lieu d'empathie, de compassion, de bienveillance et pourquoi pas de charité, ils n'éprouvent pour les humains de couleur de peau différente que la leur, que cette haine insupportable, odieuse, guerrière, dont ils nourrissent chacun de leurs discours dans leur vie de tous les jours, ils les égrènent comme une tare qui leur colle au rictus: ils sont ignobles, parce qu'ils sont fiers de cette haine génétique, ils passent leur vie à la distiller contre l'autre, seulement parce l'autre est différent d'eux , eux, les blancs chrétiens, eux,  les dangereux fascistes,  ici pour ce qui concerne ce billet du jour, lui, Zemmour l'abominable facho, toujours présent et invité sur les merdias obligeamment mis à sa disposition par des milliardaires de la presse néo capitaliste, qui, eux,  font leurs choux gras de sa haine qui fait vendre du papier. De l'info. Font leur fortune de ce commerce nauséabond.

Lui prétend aimer la France. Mais il aime surtout étaler quotidiennement la haine de ceux qu'il considère moins Français que lui. Parce que ils sont noirs, ou gris, ou jaunes, mais pauvres avant tout, mais çà, il ne le voit pas, car son coeur est de pierre. Il y aurait pour lui de place sur terre que pour gens de sa couleur.

Dieu, dans tout çà, son Dieu, leur Dieu, serait-il fou?

Et nous, qui subissons sa présence insupportable sur les plateaux télé, quand il revient nous vendre sa propagande haineuse et guerrière, nous aimerions donc la France des droits de l'Homme, notre France immense pays des libertés et de la LIBERTÉ moins que lui, ce pur produit du racisme imbécile, allié abject du capitalisme impérialiste source de toutes les guerres?