vendredi 27 juillet 2012

ENCORE 18 JOURS.....

                                              ....ENCORE 18 JOURS DE GALÈRE


18 JOURS D'OCCUPATION, DE FRUSTRATIONS, POUR SES HABITANTS




Avant que MARCIAC ne redevienne le village paisible que nous aimions.

 18 jours encore où il nous sera interdit de pouvoir circuler, nous rendre jusqu'à la boulangerie, la pharmacie, le marchand de journaux, le marché hebdomadaire: toute voie est bouchée, sens uniques, sens interdits, stationnement totalement anarchique, devant les entrées de maison, sur des chemins privés- çà, c'est même toute l'année -, la place publique ne nous appartient plus, le stade municipal, les rues, les trottoirs, les arcades, tout appartient au réseau PS gersois / JIM / La Dépêche.

D'un festival de jazz on finit par faire un plan d'occupation des sols communaux:  à ses débuts, quelques jours! 
Aujourd'hui, entre montage et démontage, SIX SEMAINES!!!!!

Un village d'à peine 1200 âmes, à qui on impose un régime qui n'est pas fait pour lui, pour ses structures, pour ses capacités, sans qu'il soit tenu compte des gens, à qui l'on impose tout, jusqu'à l'insupportable.
1200 habitants, et un quart d'heure pour en faire le tour! Quand on y vit tous les jours, avouez que çà pose problèmeSSSS.

Au nom de quoi? Et à quel prix? Pourquoi ne jamais penser à celles et ceux qui ne vivent ici que par choix, par amour du pays, et non par un quelconque intérêt?

Certains y font un peu de beurre. Soit! Mais n'est-il  pas indécent d'imposer, à ceux qui n'en attendent ni n'en retiennent aucun intérêt,  ce sacrifice de plus en plus long, de plus en plus insupportable?

Dans des grandes villes, la feria dure au plus une semaine: dans Son tout petit royaume de MARCIAC, la fête du PS asphyxie le village pendant  presque un mois et demi .( A titre de comparaison, trois ou quatre jours à MAUBOURGUET, pour la fête de PS, avec les "Rencontres"de GLAVANY)

Pitié pour les gens normaux qui ne demandent rien que de vivre sans entraves dans leur village.

ENCORE 18 JOURS DE GALÈRE AVANT LA LIBÉRATION PROGRESSIVE!

Merci, mesdames messieurs les élus, de commencer à réfléchir à tout.

TOUT!!
Même ce qui pourrait indisposer votre chef!