vendredi 4 mars 2022

JUPITER DIT UN JOUR.......

 

 ....Que tout ce qui respire

S'en vienne comparaître au pied de ma grandeur.....(La Fontaine: "La besace")

 

La Propagande EN MARCHE : Le vainqueur a déjà été désigné, encensé, proclamé, adulé fêté

vendredi 4 mars 2022 par Patrice Gibertie et JP/ANC

Le système médiatique entend pousser les Français à la résignation et donc à l’abstention. Le candidat du système, Macron sera battu si les Français en ont conscience et transforment l’élection en référendum anti Macron, le temps du choix du programme viendra ensuite avec les législatives, mais auparavant il faut se débarrasser du virus.

Le vainqueur a déjà été désigné, encensé, proclamé, adulé fêté…Philippe Seguin en 1995. [1]

« On se dit, on y va, c’est la guerre, on arrête Sputnik, Russia Today. On arrête des chaînes d’information en prétendant que c’est de la propagande, mais si on arrête les chaînes de propagande, arrêtons Radio France. Je suis moi-même interdit de France Inter. Il y a des radios qui ne sont pas dans la logique du pluralisme » Michel Onfray (Pour une fois qu’il ne dit pas une connerie, mais quand même avec tujours la présence d’un égo hors cadre !NDLR)

On arrête quand la propagande de l’Ortf et celle des oligarques de Macron ?

J’ajouterai les pires chaînes de télévision comme France 5 où l’ignoble Cohen n‘a cessé d’insulter Raoult. Que dire de France 2 avec une Anne Sophie Lapix qui ne cesse d’agresser ceux qui s’opposent à son bien aimé…

Ici. avec Le Pen

Ici avec Mélenchon

et Ici avec Zemmour

Comment la considérer ainsi dans son rôle de journaliste ?
Où est l’objectivité journalistique lorsque l’on démontre autant d’admiration béate ?
Où est la critique objective, le questionnement de bon sens, la perspicacité interrogative ?
Où est la vérification des sources qu’elle aurait dû demander à son interlocuteur ?
Où est la neutralité quand on affiche tant d’admiration servile ?

Et, cerise sur le gâteau, le président Emmanuel Macron, interrogé ce mercredi soir par Anne-Sophie Lapix (France 2) et Gilles Bouleau (TF1)


  • Ce que nous désignons toujours par « opinion publique » ne repose que pour une part minime sur l’expérience personnelle et sur les connaissances des individus ; par contre, elle est en majeure partie suscitée, et cela avec une persévérance et une force de persuasion souvent remarquable, par ce qu’on appelle « l’information ». De même que les convictions religieuses de chacun sont issues de l’éducation, et que ce sont seulement les aspirations religieuses qui sommeillent au coeur de l’homme, ainsi l’opinion politique de la masse est l’aboutissement d’une préparation de l’âme et de l’esprit souvent incroyablement opiniâtre et profonde.
  • La part de beaucoup la plus forte prise à la « formation » politique, que l’on désigne en ce cas d’une façon très heureuse par le mot de propagande, incombe à la presse. Elle assume en tout premier lieu le travail d’« information » et devient alors une sorte d’école pour les adultes.
    Adolf Hitler
  • S’il est un sol où la propagande pousse vite, c’est un cerveau incapable de réfléchir.
    Jacques Nteka Bokolo

 Note de Pedrito

Son arrogante majesté -qu'on attendait plus-  pourra remercier POUTINE: il lui doit bien sa réélection. 

Et la démocratie, dans tout çà ? Bof.....Les élections, çà sert à quoi, au fond, quand tout est ficelé d'avance....


 La RUSSIE peut tenir 2 ans !!!

La FRANCE : 2 mois !!!

 

L’ordre mondial s’est effondré

vendredi 4 mars 2022 par Francesco Piccioni (rédacteur de Contropiano.org)

Dans une guerre, les points de vue “bipolaires” correspondant aux intérêts en jeu s’affirment. Dans une guerre entre pays capitalistes – la différence entre les oligarchies multinationales et les oligarchies presque exclusivement nationales a très peu d’importance – le point de vue du “peuple” disparaît ou est écrasé par celui de “son” capitalisme.

L’ordre du pouvoir est toujours le même : « mettez de côté vos doutes et vos objections, enrôlez-vous sous notre commandement », en paraphrasant le discours de Mario Draghi devant le Parlement italien.

La guerre en Ukraine ne fait pas exception. Mais cette fois, il y a une différence substantielle dans la réaction de la “gauche”. Un désarroi et une incertitude qui ne peuvent être attribués uniquement à la faiblesse évidente des systèmes théoriques, des visions du monde et de la capacité à analyser des questions complexes.

Cette fois, il y a une nouveauté stratégique, qui marque aussi le passage d’une phase historique.

Nous nous étions habitués – nous tous, “occidentaux” – aux “guerres américaines” contre des pays beaucoup plus faibles (les “guerres asymétriques”). Il s’agissait de guerres qui ne pouvaient pas être menées militairement, dans lesquelles l’establishment et les médias européens ont soutenu de manière plus ou moins convaincante la position des États-Unis, laissant une certaine place à la critique douce ou au doute.

Dans ces cas, les gauchistes et les pacifistes ont pu prendre parti, manifester, écrire et promouvoir des appels. Il n’y avait pas trop de conséquences, et le pouvoir n’était pas autant perturbé. Le seul “incident” a été le cas de deux sénateurs de gauche qui, en 2008, ont mis le gouvernement au pied du mur à propos de la guerre en Irak et en Afghanistan.

Aujourd’hui, la situation est radicalement différente. Il y a quelqu’un d’autre qui “frappe”, avec des méthodes et des violences pas trop différentes de celles utilisées depuis 30 ans par l’impérialisme USA/NATO. Nous pouvons faire des distinctions sur les détails – il est vrai qu’il n’y a toujours pas de bombardements en tapis sur les villes ukrainiennes comparables à ceux des USA/OTAN sur Bagdad, Falluja ou Belgrade – mais très peu parviennent à saisir ces différences. Notamment parce que les médias du régime ont effacé toute mention de ces événements…

Mais les effets sont assez similaires : victimes civiles, populations en fuite, radicalisation des haines mutuelles entre des “voisins” qui, il y a peu, faisaient partie de la même “famille”.

L’Occident néolibéral se trouve donc cette fois dans une position très différente, tant sur le plan subjectif que dans la perception commune. Après 30 ans d’expansion imparable à l’Est, de guerres au Moyen-Orient, en Afghanistan, en Afrique, de coups d’État déguisés en “révolutions orange” aux quatre coins de la planète, il doit maintenant mesurer chaque pas pour ne pas alimenter une escalade aux conséquences incontrôlables.

Il a même été stupéfait par l’échec de la dissolution du gouvernement ukrainien, dont il avait prévu la fuite au point d’offrir publiquement un “taxi” vers une capitale européenne.

Dans ce cas, la “malédiction” sur la Russie et Poutine se serait déroulée selon les gestes habituels – sanctions économiques, promotion des “opposants internes”, campagnes médiatiques ad hoc – mais sans jamais toucher à aucune clé réellement dangereuse.

L’occupation militaire russe et le front ukrainien obligent plutôt à rechercher une réponse opérationnelle plus visible, pour l’instant limitée à la fourniture d’armes qui ont peu de chances d’arriver – une fois qu’elles ont franchi la frontière – dans les mains de quelqu’un qui peut les utiliser car, dans la guerre contemporaine, celui qui contrôle l’espace aérien peut détruire n’importe quel convoi.

Faire “plus”, comme le demandent tant de combattants de l’opérette (comme Enrico Letta, secrétaire du Parti Démocrate), signifie faire un pas vers l’inconnu. Admettre l’Ukraine dans l’OTAN ou l’accepter dans l’Union européenne, qui plus est avec des procédures très spéciales et immédiates (comme l’espère la majorité du Parlement de Strasbourg, heureusement – il faut le dire dans ce cas – dépourvu de tout pouvoir législatif) reviendrait à amener l’UE à la guerre.

Tout simplement impensable, à l’heure actuelle et avec l’autonomie stratégico-militaire actuelle de l’Europe.

Mais un “ordre mondial” s’est effondré. Peut-être définitivement.

Cependant, l’intervention militaire russe donne à l’Occident néolibéral une formidable occasion de nettoyer son image vis-à-vis de ses propres peuples, après 30 ans de lâche agression, l’accroissement effrayant des inégalités sociales, la gestion criminelle de la pandémie, la responsabilité du changement climatique, etc.

De plus, en investissant les peuples ukrainiens, elle les livre au nationalisme le plus réactionnaire, déjà présent dans ce pays de manière violente, répandu et légitimé par tous les gouvernements de ces huit dernières années, avec des milices et des partis néo-nazis qui alimentent chaque jour l’agression militaire dans le Donbass.

Comme si cela ne suffisait pas, la diaspora ukrainienne dans les pays européens – actuellement amplifiée par le flux de réfugiés – devient ainsi le terrain dans lequel une présence nazie opérationnelle peut se développer au sein des “démocraties occidentales”, tolérée et peut-être utilisée si nécessaire contre l’opposition sociale et politique interne.

Au niveau macro, les sanctions contre la Russie accélèrent un processus en cours depuis un certain temps : la séparation des macro-zones économiques de dimensions continentales, officialisant la fin complète de la “mondialisation”.

Outre les manœuvres financières – qui se décident et se font rapidement –, un nombre incalculable d’entreprises “physiques” doivent redessiner leurs chaînes d’approvisionnement, recalculer leurs coûts de production en raison de l’explosion des prix des matières premières (énergétiques et non énergétiques, compte tenu des records atteints par le blé, par exemple), changer leur “clientèle”, etc.

La relance du néolibéralisme occidental – au nom duquel des millions de vies ont été sacrifiées en deux ans de pandémie pour ne jamais arrêter la production – trouve ainsi des limites de plus en plus rigides à franchir. Et les petits subterfuges – comme l’absence de sanctions sur les livraisons de gaz de la Russie – ne changent pas l’équation globale, puisque le flux pourrait facilement être interrompu par l’autre partie, dès que les accords pour des livraisons supplémentaires à d’autres “clients” (Chine, Inde, etc. ; en d’autres termes, près de la moitié de l’humanité) seront conclus.

Ce n’est pas fini.

On abandonne de fait la transition écologique – les centrales à charbon restent en activité, les centrales à gaz devront faire face à la hausse des prix et à la baisse de leur disponibilité –, on multiplie les “exceptions” à la taxonomie des sources d’énergie et des technologies à considérer comme “vertes”, on allonge les délais de remplacement des technologies les plus polluantes, etc.

Et nous savons que la limite naturelle – l’évolution catastrophique du changement climatique – a un pouvoir “physique” du même type qu’une guerre nucléaire.

Cette liste certainement incomplète de problèmes très concrets soulevés par la décision de Poutine d’imposer un arrêt traumatique à l’expansion de l’OTAN à l’est nécessiterait des réponses à la hauteur de la situation.

Il faudrait des décideurs politiques, et non des “administrateurs tiers” d’institutions étatiques qui ont longtemps été asservies aux besoins banals des multinationales (maximisation des profits, réduction de la redistribution des richesses, réduction des coûts de main-d’œuvre, appropriation de matières premières).

Ce qu’il faut, ce sont des hommes d’État capables de placer les intérêts de l’humanité et des peuples au-dessus des intérêts privés. Ce qu’il faut, c’est une vision et une conception différentes du monde ; un multipolarisme non compétitif mais coopératif, et non la tentative nostalgique – réactionnaire – de restaurer l’ordre mondial qui, depuis 1989, a préparé le désastre dans lequel nous sommes maintenant entrés. Mais la classe dirigeante dont dispose l’Occident n’est rien face à tout cela.

La tendance est assez claire depuis un certain temps. Dans les pages de notre journal et de notre magazine, vous trouverez, pendant les années précédentes et plus récemment, des anticipations bien détaillées du scénario que nous avons sous les yeux. Nous avons souvent dû nous “battre” avec une gauche italienne et européenne qui regardait ailleurs.

Mais aujourd’hui, le “tournant” se produit dans les faits, l’Histoire prend le dessus et les solutions pour arrêter le désastre doivent être mises en place ici et maintenant.


Ukraine : pas d’intervention directe de l’Otan pour éviter "une guerre totale en Europe"

Jens Stoltenberg
Homme d'État norvégien

Le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, s'est exprimé vendredi 4 mars à l'issue d'une réunion d'urgence. Il a annoncé que les membres ont rejeté la demande de Kiev de créer une zone d'exclusion aérienne en Ukraine. "Les Alliés ont convenu que nous ne devrions pas avoir d’avions de l’Otan opérant dans l’espace aérien ukrainien ou des troupes de l’Otan au sol, car nous pourrions nous retrouver avec une guerre totale en Europe". Décryptage de Jean-Jacques Héry.

 

Note de Pedrito

Infox....Intox....Fake news.... Non seulement le lavage de cerveaux est permanent, - impossible d'échapper à la propagande guerrière de quasiment tous les médias de tous les pays européens, donc la France, à la botte  des USA qui chaperonnent  l'OTAN, cet outil de guerre planétaire, même si l'on sait depuis longtemps que l'armée ukrainienne sème la terreur dans les républiques du Donesk et Lougansk depuis 2015 - mais de plus, on apprend ainsi aujourd'hui que les "alliés" ont convenu que nous ne devrions pas avoir d'avions de l'OTAN dans l'espace aérien ukrainien car nous pourrions nous retrouver avec une guerre totale en Europe.

Ces américains -et leurs sbires- sont vraiment trop bons. Pour élargir leur empire politique et économique jusqu'aux portes de la RUSSIE, les USA, après avoir laissé Israël écraser la Palestine depuis des décennies sans lever le petit doigt pour protéger ce peuple martyre des appétits féroces de l'état juif, - sans parler de tous les pays où ils ont semé  guerres, crimes, ruines, tortures, souffrances....,- aujourd'hui ils laissent l'Ukraine assassiner ses voisins rebelles au nom de la "Liberté".  

Tout en prenant le soin de déclarer, magnanimes, vraiment trop bons, ces yankees, ne pas envoyer leurs bombardiers en Europe, eux qui sont loin, à l'abri de toute guerre, par une initiative jugée par eux et leurs vassaux trop dangereuse, car elle pourrait  provoquer une guerre totale, disons mondiale.

Eux et leurs amis chefs d'états croupions  n'ont pas peur du ridicule, ni de se moquer de nous, les peuples. 

Jusqu'à quand va -t-on nous faire avaler ces énormes couleuvres  qui abêtissent les citoyens du monde pour les enfermer chaque jour un peu plus sous la dictature de la pensée unique?

DE L'HUMOUR.....ET DU PLUS SÉRIEUX......

 

 .....GLANÉ ÇA ET LA SUR UN BLOG QUI DONNE MINE DE RIEN DE VRAIES INFOS SUR LA  GUERRE UKRAINIENNE

 

Un peu d’humour :  :« Poutine devait être prix Nobel de Médecine,… en 3 jours, il a éliminé le Covid de tous les médias français  ! On ne parle plus du Covid,… Mais moi, ça me manque !! Où sont les médecins de plateaux ? »

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Ils ont été remplacés par d’autres pingouins, tous « experts en PoutinoPhobie ». Tous bien formatés et estampillés Zelensky/ Otan/ UE/ USA. Aucun ne posera la question : « Pourquoi les États-Unis et l’OTAN n’ont jamais été sanctionnés pour avoir déclenché des guerres. Pourquoi ?

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Finalement, du COVID à l’Ukraine : les ingrédients changent, mais les ficelles mondialistes restent les mêmes :  »Alors que le danger militaire prend forme, la caste au pouvoir entend bien en faire un récit sur les mêmes bases que le COVID, pour en obtenir les mêmes bénéfices : obéissance des peuples, extension du pouvoir élitaire, restriction des libertés. Mais aura-t-elle les moyens de ses ambitions ?etc


Merci Christelle !!

La propagande en France bat son plein ! On nous dit que les médias sont le quatrième pouvoir ! Où ? Dans quel pays ? Certainement pas en France d’aujourd’hui ! On a l’impression que les écoles de journalisme ont cessé d’exister. La presse écrite, la radio et la télévision ont atteint certaines limites dans la logique d’information. Dans la presse écrite française, on engage des gens qui n’ont aucune idée du monde d’aujourd’hui... et peu importe que ce soit Le Figaro ou Marianne. Il en va de même pour ceux qui s’occupent de l’information à la fois à la radio et à la télévision en général. Peu importe qu’il s’agisse d’une télévision privée ou d’une télévision d’État. Le mode de diffusion est le même. Un comme un «  journaliste » et quatre invités qui n’ont aucune idée du sujet en question. Cela ressemble plus à un rassemblement social remplissant le temps d’antenne entre les blocs de publicité qu’à une émission d’analyse de nouvelles du monde.






    • doctorix, complotiste

      Oui, c’est le temps des médicastres de plateau et des journalopes en chambre.
      Tout ce petit monde creuse sa tombe depuis deux ans.
      Les actions des journaux et des télés sont en chute libre, ne vivent qu’avec nos sous, et les media alternatifs les remplacent, dans le cœur des français et dans leurs choix.
      Malheureusement les mémés apeurées et vaccinées à mort vont encore nous coller du macron pendant 5 ans. La France des collabos est revenue

       

       

      J’ai décidé de n’intervenir que dans les articles de Christelle. Pour deux raisons : ici il y a le moins de trolls qui ne font que salir la discussion, et pour ne pas faire des doubles de messages dans différents articles.

      Christelle, merci de parler parfois aussi de l’Ukraine. Car la RPD et la RPL ne font plus part d’elle, Dieu merci. Et je ne vois personne autre à pouvoir en parler. Vous feriez bien de vous approprier un correspondant ukrainien. 

      P.ex., sur le combat et l’incendie près de la centrale nucléaire de Zaporojié.

      Mais je peux vous assurer que tout là-bas est déjà sous le contrôle de la Russie.

      Ah oui, j’oublie toujours d’ajouter pour tous les autres ici que Christelle devient peu à peu une personne médiatique RUSSE. Elle apparait aux chaînes TV centrales de la Russie de plus en plus souvent. Mes félicitations sincères.

      Il paraît que les deux républiques deviendront très bientôt russes.


      Nous entrons dans une période d’hystérie collective.

      Après la Covidémence, voilà la RussiPhobieDémence...

      « La Fédération féline internationale interdit les chats russes de toutes les compétitions ». "La fédération internationale de chats a interdit à tous les chats détenus et élevés par des Russes de participer à des compétitions internationales, une décision qui ne manquera pas d’arrêter l’attaque de Poutine contre l’Ukraine.... " 



      parlez plutôt des conséquences des sanctions de l’Axe du Bien sur les sociétés occidentales, par exemple la Société Générale a admis qu’elle va perdre plus de 1 milliard (ou 2 milliards) avec les sanctions.
      Et cela ne va qu’empirer, mais pour nous tous simples personnes avec la hausse du prix de l’énergie, etc, etc.
      Les pourritures au pouvoir pensent que la Russie va se laisser faire sans rien faire. Grave erreur

      Note de P.   

      Heureusement  qu'il reste quelques points d'infos vraies, dans cet océan de propagande impérialiste US, aux mains de la presse des milliardaires et de ses chiens de garde.

      La vérité va finir par se faire jour, entre ceux qui mettent le feu dans toutes les parties du monde - ici depuis 8 ans dans ce pays, l'Ukaine, aux mains des pro nazis qui bombardent et assassinent impunément les états voisins - et ceux qui tentent d'éteindre l'incendie entretenu par l'empire de la "Liberté" .

RPD – Les soldats ukrainiens ont pillé les magasins de Bougas avant de fuir, laissant les civils sans nourriture

Le 3 mars 2022, nous nous sommes rendus dans le petit village de Bougas, près de Volnovakha, en RPD (République Populaire de Donetsk), qui a été récemment repris par la milice populaire et l’armée russe. Sur place, les habitants réfugiés pour certains dans les caves de leur habitation, nous ont raconté comment les soldats ukrainiens ont pillé les magasins d’alimentation avant de fuir devant l’avancée de la milice populaire de la RPD et de l’armée russe, laissant les civils sans nourriture.

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Comme indiqué hier, après l’encerclement de la ville, la bataille de Marioupol a commencé, avec des combats dans la banlieue ouest, mais aussi dans la ville elle-même à l’est.

D’ailleurs, alors que nous arrivions sur Bougas, nous avons pu voir l’artillerie russe tirer sur les positions de l’armée ukrainienne, depuis un champ. Assez loin du village pour éviter que les tirs de réponse potentiels ne puissent toucher les civils, mais malgré cette précaution, plusieurs bombardements ukrainiens toucheront la périphérie du village pendant que nous nous y trouvions, heureusement sans faire de victimes.

Ces précautions pour protéger les civils ne semblent pas faire partie du manuel des soldats ukrainiens. En effet, les habitants de Bougas nous ont appris que les soldats ukrainiens avaient pour habitude d’installer leurs lance-roquettes multiples dans leurs jardins, voire près de l’école du village !

Ces tirs répétés de lance-roquettes multiples par les soldats ukrainiens dans la zone résidentielle ont non seulement mis en danger la vie des habitants, mais en prime, ils les ont privés de la possibilité de cultiver fruits et légumes afin d’améliorer leur quotidien. En effet, ces tirs réguliers (sûrement à cause des produits contenus dans les moteurs des roquettes) ont tué la végétation.

Et comme si cela ne suffisait pas, les soldats ukrainiens ont pillé les magasins de Bougas avant de fuir devant l’avancée de la milice populaire de la RPD et de l’armée russe, emportant avec eux non seulement la nourriture, mais aussi les caisses enregistreuses et même les frigos ! Résultat depuis plus d’une semaine, les habitants n’ont plus de pain, et plus grand-chose à manger. Dès leur arrivée dans le village, les soldats de la milice populaire et ceux de l’armée russe ont donné aux civils une partie de leurs rations, afin qu’ils puissent tenir jusqu’à l’arrivée d’une aide humanitaire plus complète (comme à Melitopol où l’armée russe a commencé à distribuer de la nourriture aux habitants).

Voir le reportage filmé à Bougas avec sous-titres en français : (supprimé)

Le témoignage le plus poignant et le plus déchirant, fut sans aucun doute celui d’Alexandre, 81 ans, qui a passé une bonne partie de son enfance dans les sous-sols pendant la Seconde guerre mondiale, afin de se protéger des bombardements, et qui une fois devenu grand-père, voit ses petits-enfants subir la même chose.

En Ukraine pendant ce temps-là l’avancée de l’armée russe se poursuit. La bataille de Kharkov est toujours en cours, alors que l’armée russe a pris le contrôle de Balakleya (au sud-est de Kharkov) où se trouve un important dépôt de munitions (qui avait pris feu et explosé en mars 2017 et mai 2018 et dont les images de l’explosion spectaculaire sont réutilisées par la propagande ukrainienne pour faire croire que c’est le résultat des bombardements russes sur Kharkov).

L’armée russe est aussi arrivée devant Izioum (au sud-est de Kharkov), mais la ville est toujours contrôlée par les forces armées ukrainiennes qui bombarde les zones périphériques qui sont sous contrôle russe. L’ancien ministre ukrainien de l’Intérieur, Arsen Avakov, a d’ailleurs été envoyé à Kharkov pour coordonner les bataillons néo-nazis et diriger la défense de la ville.

Cette influence des combattants néo-nazis sur la façon de traiter les civils se ressent particulièrement à Kharkov et à Marioupol, où les civils qui tentent de fuir ces villes sont abattus par les unités néo-nazies (voir la vidéo très choquante sur notre chaîne Telegram d’un couple qui tentait de fuir Marioupol).

À Nikolayev, l’armée russe essaye désormais de refermer le chaudron autour de la ville. Une colonne russe est passé au nord de Kherson et au nord-est de Nikolayev, mais le contournement de la ville est bloqué par l’armée ukrainienne au nord-ouest de la ville. L’aviation russe bombarde donc cette zone pour débloquer ce verrou. Les forces armées ukrainiennes ont aussi fait sauter un pont près de Kalinovka, au nord-est de Nikolayev alors qu’un char d’assaut T-72 russe passait dessus. Un navire civil a été endommagé dans le port de Nikolayev et, sans surprise, les troupes russes en ont été accusées.

Dans la région de Zaporojié, environ 200 soldats ukrainiens ont été tués dans une zone fortifiée au nord de Tokmok, et la défense de Vassilievka s’est effondrée. Au nord, les troupes russes sont à l’arrêt. Par contre au sud, l’armée russe est entrée dans Energodar où se trouve la centrale nucléaire de Zaporjié.

À Datchnoye, à 15 km au nord d’Odessa, un missile sol-air ukrainien a échoué à toucher un missile de croisière russe et est tombé sur une maison, tuant la personne qui y habitait. Et dans la région de Kherson, un Su-25 ukrainien a été abattu par la défense anti-aérienne russe, et son pilote a été fait prisonnier.

À Kiev, le front n’a pour l’instant pas bougé, mais des missiles Kalibr ont frappé les infrastructures militaires de la capitale. Par contre quelques unités de défense territoriales soutenant la Russie sont apparues.

Depuis le début de l’escalade militaire dans le Donbass, 26 civils ont été tués et 105 blessés rien qu’en RPD, alors que les négociations entre la Russie et l’Ukraine semblent ne pas vouloir aboutir rapidement à un accord

Une autre civile est morte à Yasnoye, et deux ont été blessés à Dokoutchayevsk, qui a de nouveau été lourdement bombardé par l’armée ukrainienne aujourd’hui. À Yassinovataya, 11 habitations, une école, et le bâtiment de l’administration communale ont été endommagés. Dans le district de Petrovski à Donetsk, trois civils ont été blessés, et trois hôpitaux ont été endommagés. Et dans la soirée, il a été annoncé qu’une civile de plus avait été tuée et un civil blessé dans le district de Kirovksi, à Donetsk.

De plus, ce soir à 21 h 55, une roquette ou un missile de l’armée ukrainienne a frappé et endommagé une des tours de refroidissement de la centrale électrique à charbon de Zougres, dans l’est de la RPD. Un trou est désormais visible à 100 m de hauteur sur l’une des tours de refroidissement. 

 

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Christelle Néant

 

4 mars 2022 blog pcf littoral

L'Union au sommet  à gauche comportait des désaccords de fond sur l'OTAN, le nucléaire, l'industrie, les critères de Maastricht par exemple.  L'exercice du pouvoir en a fait des gouffres. Mais la politique extérieure n'était pas le désaccord le plus voyant.

 La guerre crée  désormais deux  orientations à gauche, non plus idéologiques comme autrefois mais  dans le réel.

Le Drian, Jadot, BHL et tant d'autres ne sont pas loin de rejoindre les va-t-en-guerre qui souhaitent le peuple russe à genoux. A l'épreuve du temps certains propos de Le Drian, en feront le champion de l'abjection molle. Anne Hidalgo dans l'Humanité est franche,  elle est du côté des USA et Mélenchon un antiaméricain primaire.

En face on ne trouve pas les partisans de Poutine mais tous ceux qui pensent que cette guerre n'est pas celle des peuples russe et Ukrainien mais des oligarchies pour le gaz et le pétrole.   Roussel bien sûr, mais les communistes ne sont plus seuls.

Si vous ne lisez pas l'Huma je vous apprends que Murielle Guilbert de Solidaires, Ariane Ascaride comédienne, Renée Mignot qui fut présidente du MRAP,  Corinne Makowski du Secours populaire, malik Salemkour président de la ligue des droits de l'Homme, Yvan Ricordeau secrétaire national de la CFDT, Roland Nivet du mouvement de la Paix, Mathilde Panot de FI, Philippe Martinez  de la CGT, chacun à leur manière font entendre une  autre musique. Seule la voie de la négociation peut être l'option de  gauche.

Il n'est pas difficile de constater  que certains  viennent de la gauche socialisante, retrouvant les racines jauressiennes.  Ce panel  ultra représentatif est un immense succès dans la voie du rassemblement pour la paix et  pour un autre positionnement de la France à l'international.

Si Macron pensait que l'Ukraine anesthésierait le débat interne, il s'est lourdement trompé.  Et rien ne sera plus comme avant à gauche.

Zakharova : la décision de Berlin soulève la question de l’éradication du nazisme en Allemagne même.

ON vous dit que vous êtes les héros de la liberté non vous ne l’êtes pas plus que quand on a envoyé les armées contre la yougoslavie, contre la libye, contre l’IRAK, partout ça a été les mêmes crimes et désormais les masques tombent ce sont les allemands qui renouent avec leur passé pour attaquer la Russie avec l’aide des banderistes et on vous envoie dans la guerre, dans le malheur, dans la misère et il ne se trouve pas un politique pour en finir avec cette trahison. (note de danielle Bleitrach traduction de Marianne Dunlop)


28 février 2022, 21:40
Photo : service de presse du ministère des Affaires étrangères/RIA Novosti
Texte : Valentina Grigorenko

Les livraisons d’armes de l’Allemagne à l’Ukraine amènent à se demander dans quelle mesure le processus de dénazification en Allemagne même a été achevé, a déclaré la porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Maria Zakharova.

“Les livraisons d’armes aux héritiers idéologiques du collaborateur nazi S. Bandera nous amènent à poser, bon gré mal gré, une question rhétorique : dans quelle mesure le processus de dénazification a-t-il été complet et exhaustif en Allemagne après la défaite de la Seconde Guerre mondiale ?” – a déclaré Mme Zakharova dans un commentaire publié sur le canal Telegram du ministère russe des affaires étrangères.

Zakharova a souligné que “dans ce contexte, les remarques désobligeantes de Scholz, qui, lors de la conférence sur la politique de sécurité de Munich le 18 février 2022, a déclaré “ridicules” les faits révélés de génocide de civils dans le Donbass par l’armée ukrainienne, deviennent maintenant, hélas, compréhensibles.”

“Rien n’est nouveau sous la lune. Une fois encore, comme de nombreuses fois dans l’histoire, des armes provenant du sol allemand seront dirigées contre des soldats russes. Dans ce contexte, les assurances de Scholz sur l’importance du processus de réconciliation historique entre les peuples d’Allemagne et de Russie semblaient particulièrement cyniques”, a-t-elle souligné.

Selon elle, par cette décision, la RFA ne fait pas appel aux fantômes de la guerre froide, mais à ceux d’une guerre très chaude. Trop d’associations tristes sont évoquées par la perspective d’une nouvelle aide “militaire” de Kiev par Berlin, qui en outre, apparemment, ne sait pas que dans la situation actuelle, les armes fournies peuvent facilement devenir la proie des néo-nazis, des terroristes et des maraudeurs sur le territoire ukrainien”, a ajouté la responsable du ministère des affaires étrangères.

Auparavant, la ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Berbock, avait déclaré que le moment était venu pour Berlin d’opérer un virage à 180 degrés dans sa politique de livraison d’armes à l’Ukraine. Ces derniers mois, Berlin a répondu aux demandes de Kiev de fournir des armes que la politique de l’Allemagne restait inchangée – elle ne fournit pas d’armes aux régions en crise. Hier, le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré que l’Allemagne avait approuvé des livraisons d’armes à l’Ukraine.

En outre, jeudi, M. Berbock a déclaré que les sanctions contre la Russie et la chute des marchés boursiers affecteront également l’Allemagne, Berlin ripostera pour défendre l’ordre existant en Europe.

Nous rappelons que le porte-parole présidentiel, Dmitriy Peskov, a déclaré que les livraisons d’armes par les pays occidentaux à l’Ukraine peuvent devenir un facteur de déstabilisation qui ne contribuera pas à rétablir l’ordre dans le pays

 

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L'OTAN c'est la guerre : stop aux provocations de l'OTAN en Pologne ! -  INITIATIVE COMMUNISTE

Par Manlio Dinucci
 
La commissaire Ursula von der Leyen a annoncé que l’Ue met au ban l’agence de presse russe Sputnik et la chaîne Russia Today afin qu’«elles ne puissent plus diffuser leurs mensonges pour justifier la guerre de Poutine avec leur désinformation toxique en Europe». L’Ue instaure ainsi officiellement l’orwellien Ministère de la Vérité, qui en effaçant la mémoire réécrit l’histoire. On met hors la loi quiconque ne répète pas la Vérité transmise par la Voix de l’Amérique, agence officielle du gouvernement USA, qui accuse la Russie d’«horrible attaque complètement injustifiée et non provoquée contre l’Ukraine». Me mettant hors la loi, je rapporte ici en extrême synthèse l’histoire des trente dernières années effacée de la mémoire. 
 
   En 1991, tandis que se terminait la guerre froide avec la dissolution du Pacte de Varsovie et de l’Union Soviétique même, les États-Unis déchaînaient dans le Golfe la première guerre de l’après guerre froide, en annonçant au monde qu’«il n’existe aucun substitut au leadership des États-Unis, restés seul État avec une force et une influence mondiales». Trois années plus tard, en 1994, l’OTAN sous commandement USA effectuait en Bosnie sa première action directe de guerre et en 1999 attaquait la Yougoslavie : pendant 78 jours, décollant surtout des bases italiennes, 1.100 avions effectuaient 38 mille sorties, larguant 23 mille bombes et missiles qui détruisaient en Serbie ponts et industries, en provoquant des victimes surtout chez les civils.    Tandis qu’elle démolissait avec la guerre la Yougoslavie, l’OTAN, trahissant la promesse faite à la Russie de “ne pas s’étendre d’un pouce à l’Est”, commençait son expansion vers l’Est, de plus en plus près de la Russie, qui allait l’amener en vingt ans à s’étendre de 16 à 30 membres, en incorporant des pays de l’ex-Pacte de Varsovie, de l’ex-URSS et de l’ex-Yougoslavie, et en se préparant à inclure officiellement même l’Ukraine, la Géorgie et la Bosnie-Herzégovine, de fait déjà dans l’OTAN (il manifestoL’expansionnisme OTAN en Europe- ou : Ce qu’est l’élargisssement de l’OTAN vers l’Est et pourquoi il est dangereux, 22 février 2022). Passant de guerre en guerre, USA et OTAN attaquaient et envahissaient l’Afghanistan en 2001 et l’Irak en 2003, démolissaient par la guerre l’État libyen en 2011 et commençaient par l’intermédiaire de l’ISIS la même opération en Syrie, en partie bloquée quatre ans après par l’intervention russe. Rien qu’en Irak, les deux guerres et l’embargo tuaient directement environ 2 millions de personnes, dont un demi-million d’enfants.
 
   En février 2014 l’OTAN, qui depuis 1991 s’était emparée de postes clé en Ukraine, effectuait par l’intermédiaire de formations néo-nazies entraînées et armées à cet effet, le coup d’état qui renversait le président ukrainien régulièrement élu. Ce coup était orchestré sur la base d’une stratégie précise : attaquer les populations russes d’Ukraine pour provoquer la riposte de la Russie et ouvrir ainsi une profonde fracture en Europe. Quand les Russes de Crimée décidaient par référendum de rentrer dans la Russie dont ils faisaient auparavant partie, et les Russes du Donbass (bombardés même au phosphore blanc par Kiev) se retranchaient dans les deux républiques, commençait contre la Russie l’escalade guerrière de l’OTAN. Elle était soutenue par l’Ue, dans laquelle 21 des 27 pays membres appartiennent à l’OTAN sous commandement USA.    Dans ces huit années, des forces et bases USA-OTAN avec capacité d’attaque nucléaire ont été déployées en Europe, encore plus adossées à la Russie, en ignorant les avertissements répétés de Moscou. Le 15 décembre 2021 la Fédération Russe a consigné aux États-Unis d’Amérique un projet articulé de Traité pour désamorcer cette situation explosive (il manifesto,“Manoeuvre agressive” russe : Moscou propose la paix, 21 décembre 2021). Non seulement le projet aussi a été repoussé mais, en même temps, a commencé le déploiement de forces ukrainiennes, de fait sous commandement USA-OTAN, pour une attaque à vaste échelle contre les Russes du Donbass. D’où la décision de Moscou de stopper l’escalade agressive USA-OTAN avec l’opération militaire en Ukraine. 
 
  Manifester contre la guerre en effaçant l’histoire, signifie contribuer consciemment ou non à la frénétique campagne USA-OTAN-Ue qui marque la Russie comme ennemi dangereux, et qui casse l’Europe pour des desseins impériaux de pouvoir, en nous entraînant à la catastrophe. 
 
Édition de mardi 1er mars 2022 d’il manifesto
Traduit de l’italien par M-A P

 

Un néo-nazi ukrainien nommé gouverneur d’Odessa

Pendant qu’il pleurniche à la télévision Zelenski agit de la manière dont il a toujours agi comme un fasciste qui pour s’en mettre plein les poches s’appuie sur les nazis de son mentor Igor Kolomoysky, et il nomme dans Odessa, la ville russe par excellence, celle du Potemkine, comme gouverneur un néo nazi jusqu’ici à la tête du bataillon Aidar dont les crimes ont été dénoncé par Amnisty international. Depuis des années le silence est organisé y compris dans la presse communiste sur les horreurs qui ont lieu dans l’est et le sud de l’Ukraine. Nous présentons par ailleurs qui sont ces néo-nazis avec des articles de wikipedia et de mediapart ‘amnisty international, et des bataillons.

wikipedia : batailllon aidar | Histoire et société (histoireetsociete.com)

On a créé dans le PCF une méconnaissance totale de ces faits et après on les invite à manifester aux côtés de ces gens là. C’est une forfaiture. Est-ce que la mairie de Marseille qui se souvient qu’elle est jumelée avec ODESSA va continuer à soutenir un néonazi après avoir ignoré l’assassinat de la maison des syndicats dont un jeune communiste de 17 ans. (note de danielle Bleitrach traduction de Marianne Dunlop)

3 mars 2022, 08:22
Photo : Valentyn Ogirenko/REUTERS
Texte : Ainura Aliyeva

M. Zelensky a décidé de nommer gouverneur d’Odessa Maksim Marchenko, qui s’était auparavant fait connaître dans le Donbass en tant que commandant du bataillon Aidar. Des poursuites pénales ont été engagées contre Martchenko en Russie pour crimes de guerre. Odessa a toujours été considérée comme l’une des villes les plus pro-russes d’Ukraine. Quel message Kiev envoie-t-il aux Odessites ordinaires avec cette nomination démonstrative ?

Le président ukrainien Vladimir Zelensky a nommé mercredi Maxim Marchenko, qui commandait auparavant le tristement célèbre bataillon d’assaut Aidar, à la tête de la région d’Odessa, rapporte RIA Novosti. En Russie, Marchenko est suspecté dans des affaires pénales concernant des crimes commis par les forces de sécurité ukrainiennes dans le Donbass. Le bataillon Aidar a participé à l’opération militaire dans le Donbass. Il a été financé par l’oligarque Igor Kolomoysky, contre lequel une procédure pénale a également été ouverte en Russie.

On sait qu’après son service à Aydar, Martchenko a été promu – en 2017, il est devenu commandant adjoint de la 92e brigade mécanisée et ensuite il est devenu commandant de la 28e brigade mécanisée, note Ukraine.ru. Quant à l’ancien gouverneur de la région d’Odessa, Sergei Grinevetsky, ses actions dans des conditions de combat ont été jugées “non qualifiées” à Kiev, et il a également été soupçonné d’être loyal envers Moscou, a rapporté la chaîne de télévision Channel 9.

La région d’Odessa est essentiellement devenue une ligne de front après que la ville de Kherson soit passée sous le contrôle total de l’armée russe mercredi matin. La voie vers Odessa est désormais ouverte pour l’armée russe, a déclaré l’expert militaire Andrei Prokaev au journal VZGLYAD à ce sujet. “Dans la direction de la côte, le point le plus important sera Nikolaev. Déjà après cela, l’opération vers Odessa se déroulera. Il est tout à fait possible d’y effectuer un débarquement amphibie avec le soutien des forces de Nikolaiv”, a suggéré l’interlocuteur.

Le terrain près d’Odessa est favorable à une opération de débarquement, explique l’ancien chef d’état-major de la flotte de la mer Noire, le vice-amiral Pyotr Svyatashov. “Dans ce cas, des tâches spéciales seront confiées non seulement aux forces terrestres, mais aussi aux forces navales et aux unités de marines”, a suggéré le vice-amiral dans une interview accordée au journal VZGLYAD.

Selon l’évaluation de M. Svyatashov, il ne faut pas s’attendre à une opposition sérieuse de la marine ukrainienne dans les eaux d’Odessa. Comme on le sait, après la réunification de la Crimée avec la Russie, la principale base de la flotte ukrainienne est devenue Odessa, et plus précisément, la base navale “Yug”, située dans le Port Pratique d’Odessa.

“Sur les 16 bateaux ukrainiens, six ont déjà été coulés et les autres sont endommagés”, a noté Svyatashov. Quant au navire amiral de la marine ukrainienne, la frégate Hetman Sagaidachny, il était en réparation à Mykolayiv lorsque l’opération russe a commencé. Selon plusieurs sources, notamment le portail Avia.pro, le Hetman Sahaydachny a déjà été coulé – par la décision de son propre équipage.

Seules les unités terrestres qui restent dans la ville peuvent représenter un certain danger dans l’opération d’occupation d’Odessa, prévient Svyatashov. “Bien sûr, les forces de l’AFU à Odessa vont essayer de résister dans un premier temps”, prédit l’interlocuteur. – Mais j’espère que cela ne durera pas longtemps, ils auront assez de bon sens pour se rendre à temps afin que plus de sang ne soit versé.”

La nouvelle de la nomination de l’ancien commandant du Front national Aydar au poste de gouverneur est un mauvais signal, reconnaît l’ancien conseiller municipal d’Odessa et historien Aleksandr Vasilyev. “Aidar est peut-être la plus odieuse des grandes unités militaires de l’Ukraine. Elle s’est distinguée par des crimes de guerre de masse, dont même la presse hostile à la Russie a parlé, car ils ne pouvaient tout simplement pas être ignorés”, a souligné M. Vasilyev. La nomination de M. Martchenko risque de multiplier les victimes civiles en cas d’assaut de la ville, estime l’interlocuteur.


Il est vrai que l’on peut espérer que le maire sortant, Guennady Trukhanov, “fera tout ce qui est en son pouvoir” pour empêcher les pertes massives et les destructions, car c’est dans l’intérêt des citoyens, et même dans l’intérêt personnel de Trukhanov, ajoute Anatoly Wasserman, député né à Odessa.

“C’est clair : même si Trukhanov reçoit l’ordre direct de commencer à mobiliser la population pour la défense, il essaiera de mettre cet ordre en veilleuse.”, – croit savoir le politicien . L’ancien résident d’Odessa partage les craintes de ceux qui pensent que le commandement ukrainien va tenter de transformer Odessa en une forteresse assiégée comme Kharkiv. En outre, Wasserman craint que l’ancien chef d’Aydar n’organise des rafles massives dans la ville contre les personnes soupçonnées de sympathiser avec la Russie. Le sentiment pro-russe a toujours été fort parmi les habitants d’Odessa, et la Maison des syndicats incendiée en mai 2014 est devenue un symbole de résistance au régime nationaliste de Kiev.

“En théorie, Marchenko a le temps d’organiser des opérations de ratissage dans la ville, mais il faut espérer que ces actions seront bientôt déjouées par les unités des forces armées russes qui s’approchent déjà de la ville”, a déclaré M. Wasserman.

“Je suppose que Marchenko ne pourra pas la défendre longtemps. Lorsque nos troupes atteindront Odessa, il n’y aura pratiquement personne pour résister sérieusement, simplement parce que la plupart des troupes prêtes au combat sont restées dans le sud-est de l’Ukraine. Kiev a concentré pratiquement toutes ses ressources aux frontières des républiques du Donbass, alors qu’il se prépare à une nouvelle offensive. Le fait que ces terroristes continuent de bombarder les républiques populaires en est la preuve. Maintenant, ils tirent déjà sur des gens, juste par désespoir”, s’indigne notre interlocuteur.

“Marchenko ne s’occupera pas de secourir les Odessites, de les évacuer. Au lieu de cela, il essaiera clairement de faire un maximum de dégâts aux troupes russes, et avant de partir, il détruira également le potentiel industriel de la ville, comme ses installations portuaires. La situation y sera donc difficile”, estime également Konstantin Sivkov, vice-président de l’Académie russe des sciences des fusées et de l’artillerie. “Afin de ne pas mettre en danger les habitants de la ville, compte tenu du fait qu’Odessa a une forte densité de population et que la ville elle-même est importante en termes de superficie, il est probable que nos militaires choisiront des tactiques différentes de celles utilisées à Kherson”, estime l’expert.

Il n’est pas exclu que la décision soit prise d’encercler Odessa et de la laisser “dans cet état” pendant une période relativement longue, estime M. Sivkov. “Les unités de l’AFU stationnées dans la ville n’ont pas d’armes sérieuses, donc Odessa sera fermée sans aucune possibilité pour tout ce public de sortir de là. Et nous avancerons – peut-être vers la Transnistrie”, prédit l’expert.

 


Le fascisme en Ukraine… mais jusqu’à quand ferons-nous semblant de ne rien voir?

Comme promis: voilà ce qui s’est passé durant des années et que la France qui se raconte qu’elle aime les Ukrainiens a refusé de voir. Oùl’on retrouve cette vieille crapule de Igor Kolomoïsky, le parrain de Zélenski dont ce dernier est la marionnette, l’informateur de BHL. Cet article provient du parti communiste ukrainien et il décrit, non seulement à quel point les clubs de foot sont les lieux de recrutement des néo-nazis, mais aussi que l’on craint pas de faire la peau des juifs quand ils sont pro-russes et voici l’histoire du maire de KHARKOV qui a été destitué par ces fascistes par un attentat, ce qui explique qui fait régner la terreur dans la deuxième ville d’Ukraine et aujourd’hui la fifa exclut la Russie alord qu’elle a fermé les yeux sur la réalité des clubs… (Note de danielle BLEITRACH pour HISTOIREETSOCIETE)

28SEP

Il faut bien mesurer ce qui est en train de se développer en Ukraine et qui va se déverser sur le reste de l’Europe… Il y a les bataillons de mercenaires néo-nazis financés par les oligarques mais aussi par les Etats-Unis et dont on constate les crimes incroyables dans les charniers du Donbass… On parle désormais de plus de 4000 morts occasionnés par cette expédition punitive qui a reçu l’assentiment de nos dirigeants européens et de nos médias complices… Mais le pourrissement de la société ukrainienne est poussé encore pus loin… C’est toute une société qui est désormais endoctrinée sur le modèle des bandéristes…

Un exemple particulièrement caractéristique est celui des clubs de foot, plus inquiétant encore bien sûr est le recrutement massif dans la police de pareilles brutes et la manière dont l’impunité est assurée à leurs exactions… C’est cela aussi le sens de ce qui s’est passé à Odessa.

Comment le fascisme dans les stades est-il encouragé en Ukraine et dans d’autres pays…  les oligarques ont leur équipes…  L’oligarque désormais célèbre au moins pour les lecteurs de ce blog Igor Kolomoïsky , a été nommé par Tourtchynov (président de la rada suprême président par interim) le  2 mars 2014  gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk dont il a aussitôt pris en charge le club de foot. Parce qu’une équipe de foot cela coûte de l’argent et son entretien est aussi celui des bandes de hooligans utilisables pour faire régner le désordre et la terreur, Opération qui a été menée à Kharkov où l’attentat contre le gouverneur du parti des régions s’est opéré lors de la venue des supporters de Kolomoïsky (pour la petite histoire le maire de Kharkov considéré comme pro-russe est également juif et a du se réfugier en Israël pour se soigner, c’est dire à quel point ces histoires de voyous excèdent les appartenances religieuses). 

De même  le massacre d’Odessa par le même individu s’est opéré également à l’occasion de la venue de supporters… SOUS LE COUVERT DE L’ÉQUIPE DE FOOTBALL DYNAMO KIEV, LES  ULTRA NATIONALISTES DÉVELOPPENT DANS  LA SOCIÉTÉ LE  FASCISME ET LE NÉONAZISME.  AU LIEU DU SYMBOLE NAZI HABITUEL, LA CROIX GAMMÉE NAZIE,  EST   UTILISÉE UNE AUTRE CROIX, LA CROIX CELTIQUE BIEN CONNUE EN FRANCE DES BATAILLONS DE L’EXTRÊME-DROITE. LE SITE DU PART COMMUNISTE D’UKRAINE NOUS EXPLIQUE QUE DÉSORMAIS CES ATTRIBUTS SONT RÉPERTORIÉS SUR LES MURS, SUR LES PORTAILS SOUS FORME DE GRAFFITI DANS LA VILLE DE KIEV.

А УКРАИНЕ НЕТ ФАШИЗМА? ПОД ПРИКРЫТИЕМ ФУТБОЛЬНОЙ КОМАНДЫ ДИНАМО КИЕВ  УЛЬТРА НАЦИОНАЛИСТЫ ВНЕДРЯЮТ  В ОБЩЕСТВО ПРИВЫКАНИЕ К ФАШИЗМУ И НЕОНАЦИЗМУ. В ДАННОМ СЛУЧАЕ ВМЕСТО ПРИВЫЧНОЙ НАЦИСТСКОЙ  СВАСТИКИ ИСПОЛЬЗУЕТСЯ ДРУГОЙ СИМВОЛ НАЦИЗМА КЕЛЬТСКИЙ КРЕСТ. КТО НЕ ЗНАЕТ ПОСМОТРИТЕ В ИНТЕРНЕТЕ ИНФОРМАЦИЮ О НЕМ  И ПУСТЬ НЕ ГОВОРЯТ ЧТО В УКРАИНЕ НЕТ  ФАШИЗМА!!! (F-ФУТБОЛЬНАЯ) (C-КОМАНДА) (D-ДИНАМО) (K-КИЕВ) ДАННАЯ АТРИБУТИКА НАБЛЮДАЕТСЯ НА СТЕНАХ,ЗАБОРАХ В ВИДЕ ГРАФФИТИ В ГОРОДЕ КИЕВЕ.
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Supporters manifestant leurs opinions  dans les stades face à leur équipe…

2

Rappelons égalment que le 21 novembre 2014, la 3e Commission de l’Assemblée générale de l’ONU vote la résolution L56, présentée par le Brésil et la Russie, visant à « lutter contre la glorification du nazisme, du néonazisme et toutes autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée » .
La résolution est adoptée à la majorité, mais le détail des votes se passe de commentaires :
-* POUR : 115 (dont tous les pays membres des BRICS )
-* CONTRE : 3 ( USA, Canada, Ukraine )
-* ABSTENTION : 55 (dont tous les pays membres de l’UE, France et Allemagne comprises )


ARAC
ASSOCIATION RÉPUBLICAINE  DES 

A N CIE N S  COMB A T T A N T S ,
 P O U R L' A MIT IÉ, LA SOLI DARITÉ, LA MÉMOIRE, L 'ANTIFASCISME, E T LA PAIX

Villejuif, le 24 février 2022

« L’intelligence défend la paix, l’intelligence a horreur de la guerre »
Paul Vaillant-Couturier, fondateur et président de l’ARAC.


L’ARAC condamne l’intervention russe en Ukraine. Elle est contraire aux lois internationales, aurespect de la charte des Nations Unies, au respect de la souveraineté des Nations.

 
Nous devons prendre le temps de la réflexion sur cette situation et surtout comprendre pourquoi les Etats-Unis ont tout fait, depuis 30 ans, pour la créer (ex-Yougoslavie, Afghanistan, Irak,Libye...). Il faut en chercher les causes et avoir le courage de les dénoncer.

 
De tous temps, l’économie américaine s’est appuyée sur une politique de guerre, d’agressionspour développer son industrie, accroitre son influence et sa mainmise politique dans le monde.

 
L’élargissement de l’OTAN est une arme au service des Etats-Unis pour isoler la Russie et maintenir les pays d’Europe sous tutelle américaine d’autant plus que l’OTAN aurait dû être dissoute avec la disparition du pacte de Varsovie.

 
L’enjeu aujourd’hui est, devant la situation, de créer par le débat, l’échange, la négociation, les conditions d’une sécurité dont l’Europe, l’Ukraine et la Russie ont tant besoin.

 
La France ne doit pas prendre part à ce conflit sous quelques formes que ce soient.

 
L’ONU doit jouer tout son rôle pour trouver une solution acceptable par toutes les parties, et les pays européens doivent en toute indépendance de l’OTAN et des Etats-Unis prendre les initiatives qui s’imposent en termes de sécurité collective. Toutes sanctions économiques disproportionnées auront des répercussions dramatiques pour l’ensemble des peuples d’Europe.

 
Il faut engager une politique de désarmement universel de tous les Etats avec la signature par la France du Traité « TIAN » de juillet 2017.

 
L’ARAC contribuera à cette volonté de paix en participant à toutes initiatives qui se  dérouleront.

La paix est un combat quotidien difficile demandant détermination et lucidité. L’ARAC mène ce combat depuis sa création (1917).

Le Secrétariat National

2 Place du Méridien- 94807 Villejuif cedex Tél. 01 42