mardi 5 juillet 2022
Le visage de monsieur tout le monde, Alexander Karabinenko est pourtant un bourreau et a avoué dans un article de presse les tortures qu'il a infligé à des "espions" du Donbass dans la région de Marioupol et comment ils furent enterrés. Il pourrait être le voisin sympa, le collègue de boulot, comme les nazis après 1945, il se fondra dans la foule. Sa famille est peut-être réfugiée en France, et le pire c'est qu'il s'agit également d'un Russe de Crimée... qui a trahit non seulement son sang, mais ses parents (qui ont refusé de quitter Sébastopol), et sa terre de Crimée. Les mains dégoulinantes de sang, c'est un des coordinateurs et activistes des mouvements de vétérans et bouchers de l'opération ATO dans le Donbass. Rares sont les aveux publics de leurs crimes, n'oublions pas ce visage, l'homme est recherché par les Russes pour crimes de guerre. L'Occident lui soutient les assassins depuis le Maïdan et persiste. Justice devra cependant être rendue, dans ce monde ou dans l'autre.
Jean-Jacques Lee
Il
est certain que nous allons en retrouver quelques uns en France. Terre
d'asile particulièrement propice à l'installation de tous les trafics.
On va assister, dans les mois à venir, à une guerre des territoires par
des bandes mafieuses ukrainiennes e…
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LE RETOUR DES ASSASSINS DE LA MÉMOIRE
- admin5319 Blog histoire et société
Mon plein et total accord avec cette analyse, mais le pire pour moi est quand ce négationnisme est porté par des juifs qui dans leur dérive à droite, voire à l’extrême-droite ne connaissent plus de limites dans la trahison de la mémoire des victimes du nazisme, on se demande ce qui peut justifier cela. (note de Danielle Bleitrach histoireetsociete)
« La première victime de la guerre, c’est la vérité. » La fameuse citation attribuée à Clemenceau ou à Kipling trouve à nouveau à s’illustrer après l’intervention russe en Ukraine. Il est difficile de savoir comment est organisée la propagande russe, puisque tous les canaux d’informations en provenance de Russie sont interdits, et répercuter ce qui vient de ce pays expose à une censure très rapide. On peut en revanche apprécier le délire russophobe qui a saisi les élites occidentales. L’auteur de ces lignes a une certaine expérience des luttes idéologiques de la guerre froide et des souvenirs cuisants qui avaient suivi l’invasion de l’Afghanistan par l’URSS en décembre 1979. Au regard de ces excès, il est aujourd’hui contraint de constater que, comme l’antisionisme est souvent le masque de l’antisémitisme, l’antisoviétisme était le masque de la russophobie. On ne reviendra pas ici en détail sur le triste brouet que sont les narratifs à base de petits bouts de réel, de partialité militante présente partout, d’ignorance crasse de l’histoire et de la géographie et de soumission servile aux récits concoctés aux États-Unis et par les officines de communication qui entourent Wolodymir Zelensky. Si ce n’est la prétendue « débandade de l’armée russe », particulièrement savoureuse à la lumière des volte-face de ceux qui en furent les relais enthousiastes.
Il y a pourtant un point étrange qui mérite développement : celui du déni de l’importance du courant ultranationaliste, voire néonazi existant en Ukraine, et son poids sur la vie politique du pays. Parce que l’on assiste à la négation d’une évidence pourtant reconnue il y a encore quelques mois par ceux qui aujourd’hui nous assurent que tout va bien et qu’il n’y a là que du folklore. Ce qui est invraisemblable, c’est que cette propagande débouche sur un véritable négationnisme qui porte, excusez du peu, sur les génocides de la Seconde Guerre mondiale ! Le paroxysme a été atteint en début de mois lors des commémorations du débarquement allié en Normandie, lorsque la presse a publié en première page une photo de la cérémonie officielle où l’on voyait le drapeau ukrainien déployé au milieu des drapeaux alliés sur la plage, salué dans le ciel par la patrouille de France. Pardon ?
Le 6 juin 1944, il y avait effectivement des Ukrainiens au combat sur la côte normande, mais ils étaient dans l’armée nazie et s’opposaient à l’avancée des libérateurs. Car il s’agit bien de négationnisme, puisqu’en ce même mois de juin 1944, ceux qui sont aujourd’hui honorés en Ukraine et présentés comme des héros officiels, y étaient aux côtés des nazis pour procéder aux massacres des juifs et des Polonais. Si l’on comprend bien, le négationnisme c’est comme le cholestérol ou les chasseurs, il y en a un bon et un mauvais. Et la fin justifiant les moyens, le négationnisme au soutien de l’Ukraine, serait un bon négationnisme ?
Dès le début de l’intervention russe, Vladimir Poutine avait mis en avant l’existence de groupes néonazis actifs dans l’appareil d’État ukrainien et parties prenantes des répressions subies par les populations russophones du Donbass depuis 2014. Il en faisait une des raisons de l’intervention militaire. La presse occidentale en général et française en particulier qui s’étaient désintéressées pendant huit ans de la guerre civile en Ukraine, ont minoré l’existence de ces courants, en les présentant comme un folklore marginal.
Une réalité problématique
Comment se pose pourtant le problème ? Un certain nombre de signes pour le moins préoccupants ont été relevés par toute une série d’ONG anglo-saxonnes de défense des droits de l’homme, par la presse israélienne, par des membres du congrès américain, des sénateurs et des hommes politiques français. Il s’agissait de l’existence de groupes violents numériquement importants, se livrant à des démonstrations de force à base de défilés de milices et de retraites aux flambeaux en brandissant des insignes directement nazis. Beaucoup plus grave, ces groupes se livraient régulièrement à des violences allant jusqu’au meurtre contre les représentants des populations russophones, victimes d’une discrimination incontestable depuis le coup d’État de 2014. Human Rights Watch et Amnesty International ont régulièrement dénoncé ces actions et pointé la responsabilité personnelle d’un certain nombre de dirigeants de ces groupes qu’on retrouve aujourd’hui au plus haut niveau de l’appareil d’État.
Comme par exemple Maksym Marchenko le gouverneur d’Odessa avec lequel BHL s’est affiché sans complexe. C’est un ancien dirigeant du bataillon Aidar présenté de la façon suivante par un rapport de l’OFPRA portant sur « les exactions attribuées aux groupes paramilitaires ultranationalistes ukrainiens depuis 2014 dans la zone de conflit du Donbass et les autres régions d’Ukraine à l’encontre des personnes soupçonnées de soutien aux républiques séparatistes de Donetsk de Louhansk ». La lecture du rapport est édifiante.
Les exemples de ce type sont très nombreux, qui tous dressent le portrait d’ultranationalistes à sympathies néonazies, dirigeants de groupes connus pour leur violence. On pourrait citer aussi le créateur du bataillon Azov Andriy Biletsky nommé par Zelensky conseiller du chef d’état-major de l’armée ukrainienne ou encore la nomination au poste de directeur de la police ukrainienne de Vadym Troian, « promotion qui laisse entrevoir une porosité inquiétante entre la police et les milieux paramilitaires, entretenue par Arsen Avakov, le ministre de l’Intérieur lui-même », comme le soulignait la presse suisse.
Une simple recherche sur Internet permet de se faire une idée de cette réalité et de l’inquiétude qu’elle suscite dans les organisations de défense des droits de l’homme. Bien sûr, histoire de présenter l’Ukraine sous un jour favorable, on nous a expliqué qu’à partir de 2015, les milices ont été intégrées aux forces régulières et largement purgées des néonazis et suprémacistes en vertu des Accords de Minsk. Sauf que cette invocation de l’application des accords de Minsk est une plaisanterie, puisque précisément l’Ukraine, quoique signataire, n’a jamais voulu les appliquer sous la pression des groupes néonazis. Rappelons que ces accords prévoyaient une modification préalable de la constitution pour permettre une fédéralisation du pays. Tous ceux qui ont osé l’évoquer furent immédiatement menacés de mort. Il est d’ailleurs intéressant d’entendre l’ancien président Porochenko mis en place par le coup d’État de 2014 venant benoîtement confirmer que cela n’avait jamais été dans leurs intentions. Il s’agissait pour eux de gagner du temps pour arrimer militairement l’Ukraine à l’OTAN. Quant à la purge, l’examen des corps des membres d’Azov qui sortaient d’Azovstal après leur capitulation démontre que cette purge ne prévoyait pas de retirer les tatouages nazis et en particulier celui qui fait fureur : le brassard à croix gammée sur le bras… Très à la mode en Ukraine comme viennent de le révéler des photos de policiers prises par l’agence Reuters à Kiev.
Honorer les complices du nazisme
Mais en fait, le problème est bien la pénétration de l’idéologie et des hommes dans l’appareil d’État ukrainien. Dont l’expression se retrouve dans la référence permanente par celui-ci à ceux qui durant la Deuxième Guerre mondiale ont fait alliance avec les nazis, participé à toutes les abominations, et en particulier la Shoah par balles et le massacre des Polonais en Volynie. Là aussi, on invite à une petite promenade sur Internet qui permet de voir à qui on affaire et de mesurer l’ampleur de l’ignominie.
Depuis quelques années, l’Ukraine passe son temps à honorer des gens qui se sont livrés à une collaboration militaire active avec les nazis. Collaboration ayant fait de la participation aux massacres de juifs, de Polonais et de partisans soviétiques une priorité. Ces gens-là se sont trouvés au premier rang lors de l’invasion nazie mais également lors de la retraite en participant en Ukraine et en Biélorussie à la mise en place de ce que les Allemands appelaient « les terres mortes ». De multiples avenues, boulevards et rues portent le nom des génocidaires, et en particulier celui de Stepan Bandera.
On leur a érigé des statues et d’immenses portraits sont placardés sur les façades d’immeubles. Pires ces gens-là et quelques autres ont été nommés « Héros de l’Ukraine » par les autorités de l’État, et celui-ci organise annuellement des commémorations officielles à leur sujet. Au cours desquelles on voit défiler des groupes arborant sans complexe toute une panoplie de symboles ouvertement nazis. Jusqu’aux livres scolaires expurgées de toute référence négative au rôle des génocidaires pour les présenter comme de bons patriotes.
Pour savoir ce qui s’est réellement passé pendant la Deuxième Guerre mondiale, j’invite bien sûr à consulter les pages Wikipédia (en anglais) relatives aux exploits de Bandera et de Roman Choukhevytch, et à relire les ouvrages de Raul Hilberg (Exécuteurs, victimes, témoins : la catastrophe juive 1933-1945), de Timothy Snyder (Terres de sang), Marie Moutier‑Bitan (Les champs de la Shoah) où sont décrits la contribution à l’horreur de ceux présentés aujourd’hui comme des héros. Hilberg raconte que la multiplication des bataillons de supplétifs ukrainiens inquiétait Hitler lui-même comme : « risquant d’étayer d’éventuelles velléités d’indépendance de leur pays. Mais rien ne put briser l’élan ». Ajoutons que les collaborateurs ukrainiens ajoutèrent à leur sinistre palmarès le massacre de 80 000 Polonais de Volynie, par peur que la Pologne ne réclame ce territoire après la guerre.
Assassiner la mémoire
On dit souvent à propos d’un passé qui ne passe pas qu’il s’agit de l’Histoire, que celle-ci est tragique et qu’il faut savoir tourner les pages. Le problème est que la page n’est pas tournée ! Rappelons qu’il y avait des Ukrainiens en grand nombre dans l’Armée rouge, et dans les rangs des partisans et qu’ils ont payé un lourd tribut à l’écrasement du nazisme. On peut même dire que le peuple ukrainien fut majoritairement du bon côté. Le problème est justement qu’aujourd’hui, les monuments aux morts qui rappellent leurs sacrifices sont détruits, saccagés, interdits par ceux qui se présentent comme les héritiers les collaborateurs du nazisme.
Et lorsque l’on interroge Zelensky sur ces honneurs officiels qui leur sont rendus, il répond qu’il trouve cela « cool » ! Trouve-t-il aussi formidable que l’avenue qui mène au site commémoratif de Babi-Yar, plus grand massacre ukrainien de la Shoah par balles auxquels ses partisans participèrent, porte le nom de Bandera ? Il y a eu un pouvoir collaborationniste en France, des supplétifs qui se sont mis au service des exactions allemandes, eh bien il n’existe pas en France, d’avenue Pétain, de collège Pierre Laval ou de place Joseph Darnand. Et leurs portraits ne décorent pas la façade des immeubles. Pas plus que la rue qui conduit à la stèle commémorative de la rafle du Vel’ d’Hiv’ ne porte le nom de René Bousquet.
Il n’y a pas de milice d’extrême droite brandissant des oriflammes néonazies, incorporée telle quelle sous son nom comme régiment dans l’armée française. Lorsqu’Éric Zemmour s’est avisé de prétendre (à tort) que Pétain avait sauvé des juifs, il s’est immédiatement retrouvé en correctionnelle. Et ceux qui font silence sur les dérives ukrainiennes ont été les premiers à appeler au barrage contre le fascisme imaginaire de Marine Le Pen, en votant pour Macron.
Mais finalement, ce qui est difficilement supportable dans l’affrontement des propagandes autour de ce conflit, c’est l’aptitude au déni de nos propres élites médiatiques. Y compris en invoquant l’argument inepte de la judéité de Zelensky, rendant impossible ces dérives. Il est difficile de penser qu’elles méconnaissent cette réalité problématique que nous venons de décrire. Simplement, elles la nient aujourd’hui parce qu’elle ne colle pas avec la rhétorique du « bon » et du « méchant » dont elles pensent qu’elle leur est utile.
Pierre Vidal-Naquet dans un ouvrage indispensable avait qualifié les négationnistes « d’assassins de la mémoire ». Aujourd’hui, les tenants de cette propagande négationniste méritent ce qualificatif.
Et ce commentaire de D. A., qui parle avec le réalisme de celui que le fascisme de Franco a marqué dans sa chair de la réalité de la guerre ukrainienne en réponse à celui, plus timide, concupiscent - tous les canaux d'information en provenance de RUSSIE sont interdits !!!!, donc il faudrait chercher ailleurs les vrais infos, ce que ne cherchent ni ne donnent pas les chiens de garde de la presse française et occidentale pro américaine- de Y.LB
D.A.:
"Ni vous ni moi ne sommes sur le terrain aujourd’hui et devons faire avec les informations qui nous parviennent.
Pour ma part je me source sur des documents visuels provenant d’une journaliste au Donbass depuis 8 ans et son équipe de Donbass Insider, d’un journaliste britannique Graham Phillips également au Donbass depuis 8 ans et d’un ancien marines américain Patrick Lancaster également au Donbass, ceci pour le camp des journalistes de terrain occidentaux, puis côté Russe le projet Wargonzo avec Symeon Pegov, et quelques tchétchènes dont Kadyrov.
Les multiples documents vidéos et témoignages sont disponibles a qui veut se donner la peine de chercher un peu.
“La stratégie de la Terre brûlée russe” il faut tout ignorer des moyens militaires modernes pour dire une telle chose. La Russie dispose de la MOAB Mother Of All Bombs, la bombe conventionnelle la plus puissante du monde, aussi dévastatrice qu’une bombe nucléaire tactique, sans les effets radioactifs.
Les soldats tchétchènes font du combat urbain, de la chasse ciblée, ils prennent plusieurs jours pour libérer chaque quartier alors qu’avec la méthode yankee ils auraient rasé la ville par avion avant de capturer la ville en deux jours.
L’humeur de ces soldats russes c’est de libérer leurs frères et tous
les ukrainiens de la pourriture nazie, écouter les discours de Kadyrov
et dites moi où il y a de la haine contre les ukrainien.
Kadyrov devant les troupes de volontaires leur dit clairement les
objectifs libérer l’Ukraine des fascistes, nazis, et des “chaïtans” ces
tchétchènes wahhabites qui ont mis à feu et à sang le Caucase et le
Moyen-Orient, l’autre forme du nazisme engendré par le capitalisme.
La Russie et pas Poutine, ça c’est pour les idiots occidentaux qui accordent tant d’importance à l’individu, ont laissé le choix et laissent le choix aux soldats ukrainiens de rendre les armes pour retrouver leurs familles sains et saufs ; ils ont même été appelés à renverser le gouvernement nazis ils ne l’ont pas fait, pas plus que la police trouillarde ukrainienne qui n’a pas arrêté les criminels nationaliste en 2014.
Les gouvernements ukrainiens post Maïdan glorifient les nazis, l’OUN, Bandera le criminel de guerre, les symboles nazis, tiennent des propos d’incitation au génocide comme Porrochenko qui souhaitent que les enfants russes vivent dans les caves pendant que les “enfants ukrainiens” iront à l’école.
Curieuse conception de l’Ukraine où l’ont souhaite l’unité territoriale mais sans la moitié du peuple contre lequel on lance des appels aux meurtres, que l’ont peut écraser avec un char et dont les filles peuvent être violées à volonté pour satisfaire une armée dans laquelle servent des criminels et des drogués.
Ce sont des faits !
Vous vous posez des questions sur qui est le plus fasciste ?
Comme cela rappelle qui est le plus totalitaire ?
Hitler = Staline
nazisme = communisme
Vous trouvez pas que ça pue ?
Vous nous invitez à ne pas être partial à ne pas choisir le côté de la barricade.
Pour cela il faut arriver a nier la nature de coup d’état nazis de l’Ukraine post Maïdan et là vous contredisez des faits.
Faut-il être impartial devant des adorateurs de ceux qui ont brûlé vifs, mitraillé, violé par millions des enfants, des femmes, des vieillards ?
Pour ma part le camps est choisi avant même ma naissance par les
fascistes eux même qui ont massacré une partie de ma famille et déporté
mon père suite à la grève des mineurs en 1962 dans les Asturies, me
privant ainsi de la moitié de ma famille. Dans l’autre moitié de ma
famille mon autre grand père a été enrôlé de force dans l’armée
franquiste et deux autres membres instituteurs dans un petit village de
Burgos ont été assassinés le jour même de l’arrivée des franquistes à
l’entrée du village avec leur cadavres abandonnés au bord de la route
pour l’exemple. Leur cachette avait été trahie par un habitant “normal”
du village, leur seul crime être instituteurs de la République ; ils n’étaient pas même communistes.
A cela toutes les horreurs de mise à mort industrielle ou comme celles
décrites dans le film de Klimov “Requiem pour un Massacre” “Come and
see”.
Avec tout cela vous ne choisissez toujours pas de camps ? Comment faites-vous ? Doutez-vous encore ?
Je trouve admirable que les Russes osent encore échanger des combattants d’Azov, certes estropiés, qu’ils les aient soignés et nourris.
J’aurais fait un très mauvais juge à la place des Russes du Donbass, avec moi aucun membre Azov ne respirerait plus après lui avoir extorqué les informations nécessaires à la lutte, je dis bien aucun et sans aucune circonstance atténuante. Oui je hais les fascistes !
Quant aux pauvres “spotteurs” ukrainiens qui donnent les positions russes par téléphone ils semblent vous faire plus de pitié que les victimes de l’artillerie ukrainienne.
Donnez des informations militaires est une action de combat, nos résistants le savaient.
Ces spotteurs sont des acteurs de la guerre en
retardant la démilitarisation de l’Ukraine et la fin du conflit,
victimes probablement de la propagande et voulant probablement se
défendre, c’est dommage pour eux, il fallait faire comme les Biélorusses
à la chute de l’URSS se battre pour conserver le socialisme. A la
guerre s’il faut tuer un éclaireur même civil pour sauver des dizaines
et des milliers d’autres civils ça me pose aucun problème, c’est triste
pour sa famille, mais il fallait agir avant la guerre pour survivre,
quant on fait un acte militaire il faut en prendre l’entière
responsabilité.
Oui la guerre tue et souvent des innocents civils ou soldats, ça tous les soldats du monde le savent et savent que la guerre est une chose sérieuse et pas un jeu léger contrairement aux décideurs politiques bien à l’abri, qui continuent à faire la fête avec leur court.
On devrait au contraire admirer la retenue et la patience dont ont fait preuve les Russes depuis huit ans et le peuple soviétique depuis la fin de l’URSS et maudire les bien pensants de salons faux culs qui se moquent de combien de morts au Donbass ou au fond de la Méditerranée, cherchant toujours un prétexte pour justifier les crimes du capitalisme. Cette droite travestie en gauche trompeuse incapable d’analyser la réalité et refusant de choisir le camp contre la barbarie.
La raison géopolitique de cette barbarie s’appelle l’impérialisme dont le nazisme n’est qu’une forme dont la cause est le capitalisme et les parents nourriciers la bourgeoisie donnant les moyens à des criminels sans aucune morale.
Il n’y a pas de troisième voie, c’est dialectique, l’antagonisme prendra fin avec la destruction de sa cause.
J’espère que vos doutes ne sont que le reflet de la longue propagande inculquée par le réformisme et cette fausse gauche de compromis, qui va parfois jusqu’à relativiser l’engagement des nazis en les faisant passer pour des résistants à l’autre “totalitarisme” “Bandera résistant”.
N’oubliez jamais le fascisme tue, persister dans le doute, hésiter et se compromettre c’est se rendre complice de ces barbares."
Les troupes américaines sont sur le terrain en Ukraine
Article de Andre Damon du WSWS Org le 5 juillet 2022, traduit avec www.DeepL.com/Translator
Le New York Times a rapporté lundi que des dizaines de forces spéciales américaines opèrent sur le terrain en Ukraine et que des officiers supérieurs américains dirigent des parties importantes de l'effort de guerre ukrainien depuis l'intérieur du pays.
Après les révélations selon lesquelles les États-Unis ont été directement impliqués dans la coordination et la planification de l'assassinat de généraux russes et du naufrage du Moskva, le navire amiral de la flotte russe de la mer Noire, le rapport réfute une nouvelle fois la fausse affirmation de l'administration Biden selon laquelle les États-Unis ne sont pas en guerre contre la Russie.
Dans son rapport, le Times écrit : Des Américains sont en Ukraine. Un nombre inconnu se bat sur les lignes de front. D'autres se portent volontaires pour faire partie des équipes d'évacuation des blessés, des spécialistes du déminage, des experts en logistique et des formateurs. Au moins 21 Américains ont été blessés au combat depuis le début de la guerre, selon une organisation à but non lucratif qui les évacue.
Deux ont été tués, deux ont été capturés et un est porté disparu au combat. En février, le président américain Joe Biden a déclaré : "Nos forces ne sont pas et ne seront pas engagées dans un conflit avec la Russie en Ukraine." En mars, Biden a réitéré : "L'idée que nous allons envoyer des équipements offensifs et avoir des avions et des chars ... qui vont y aller avec des pilotes américains et des équipages américains, comprenez bien, ne vous faites pas d'illusions, quoi que vous disiez tous, cela s'appelle la Troisième Guerre mondiale."
Depuis cette annonce, les États-Unis ont fourni plus de 200 véhicules blindés de transport de troupes et plus de 20 hélicoptères à l'Ukraine, ainsi que des obusiers blindés automoteurs M109, des missiles antinavires Harpoon et des missiles à longue portée HIMARS.
En plus de ces armements militaires, il est maintenant clair que les États-Unis ont envoyé des troupes. L'armée américaine affirme que ces forces, dont un colonel et un lieutenant-colonel, opèrent de leur propre chef et ne sont pas sous le commandement de l'armée américaine.
Mais ces démentis sont un mensonge, destiné à tromper le peuple américain, qui s'oppose massivement à ce que son gouvernement entre en guerre avec la Russie.
Les officiers l'ont admis, déclarant au Times que leurs actions donnaient aux États-Unis une "possibilité de déni plausible". Le Times a interviewé Andrew Milburn, un colonel retraité des opérations spéciales du corps des Marines sur le terrain en Ukraine, qui a déclaré que ses actions et celles des dizaines de soldats américains "exécutent la politique étrangère des États-Unis d'une manière que les militaires ne peuvent pas faire". S'exprimant par téléphone depuis un village situé à environ 15 miles des lignes de front dans l'est de l'Ukraine, M. Milburn a déclaré que ses efforts soutenaient les objectifs américains tout en isolant les États-Unis de toute implication. "Je suis un déni plausible", a-t-il dit. "Nous pouvons faire le travail, et les États-Unis peuvent dire qu'ils n'ont rien à voir avec nous". De manière significative, les officiers américains "aident à planifier les missions de combat", servant de conduit critique pour la direction américaine de l'effort de guerre. Le Times fait état de l'existence d'un "groupe Mozart" composé de dizaines de soldats américains qui participent activement à la formation de milliers de soldats ukrainiens à l'utilisation des armes fournies par les États-Unis, telles que les missiles antichars Javelin.
Le rapport du Times ne constitue pas un reportage d'investigation mais plutôt une diffusion contrôlée d'informations destinées à conditionner la population américaine à accepter l'impensable : Une "guerre chaude" entre des puissances dotées de l'arme nucléaire. Petit à petit, l'affirmation mensongère de Biden selon laquelle les États-Unis ne sont pas en guerre avec la Russie est remplacée par la réalité selon laquelle les États-Unis sont, en fait, en guerre avec la deuxième plus grande puissance nucléaire du monde.
La population américaine doit simplement être mise devant le fait accompli et accepter les faits sur le terrain, à savoir qu'ils sont en guerre. Ce plan d'action se heurte à une opposition populaire écrasante. Dans un sondage YouGov publié cette semaine, 40 % des personnes interrogées ont déclaré que les États-Unis devraient être "moins engagés militairement dans les conflits dans le monde", contre 12 % qui ont déclaré qu'ils devraient être plus engagés."
Dans ce sondage, 46 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles "s'opposent à ce que l'armée américaine s'implique directement dans les combats de la guerre entre la Russie et l'Ukraine", contre seulement 23 % qui soutiennent une telle démarche. Malgré une série de revers militaires pour l'Ukraine, les États-Unis n'ont fait qu'intensifier leur implication dans la guerre. Le Congrès a officiellement alloué 54 milliards de dollars d'aide militaire et économique à l'Ukraine depuis le début de la guerre, soit au moins 418 millions de dollars par jour.
Les États-Unis et leurs alliés ont envoyé plus de 100 000 armes antichars, des centaines de drones, des centaines de véhicules blindés et des dizaines d'hélicoptères et autres avions. Depuis le début de la guerre, les États-Unis ont déployé en permanence 20 000 soldats supplémentaires en Europe. La semaine dernière, à l'issue du sommet de l'OTAN qui s'est tenu à Madrid, en Espagne, les membres de l'OTAN, dont la plupart des États européens ainsi que les États-Unis et le Canada, ont adopté un document stratégique dans lequel ils s'engagent à "fournir la gamme complète des forces" nécessaires "pour des combats de haute intensité et multi-domaines contre des concurrents pairs dotés de l'arme nucléaire".
Ce langage n'a pas été publié dans le New York Times, le Washington Post, le Wall Street Journal ou l'un des principaux réseaux de diffusion. Dans le dos du peuple américain, le gouvernement des États-Unis prépare une guerre mondiale, dont le conflit en Ukraine n'est que la première salve.
LA PHRASE DU JOUR.
....Relevée sur le blog Agora Vox.
Article de Olivier Cabanel, sur "Macron dans la mélasse", accompagné du dessin ci-dessous
S’il faut en croire le Canard Enchaîné, généralement bien informé,
"il n’y a plus que 3 enquêteurs pour lutter contre la fraude fiscale (pour 468 dossiers), et en contrepartie, l’état a engagé 400 agents pour contrôler les chômeurs"
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Des fonctionnaires chinois corrompus et les réseaux sociaux
Les détails sur ce qu’ils avaient accumulé et sur leur mœurs provoquent stupéfaction et indignation sur les réseaux sociaux. Notez que la corruption, les détournements du service public sont mis sur le même plan que le viol d’une jeune fille de 14 ans et relèvent de la peine capitale. Sous Xi la lutte contre la corruption n’est plus de l’ordre du gadget, la description des fonctionnaires chinois corrompus soulève l’indignation sur l’internet chinois en raison de leur énorme richesse autant que les abus de leur appartenance au parti. Le socialisme à la Chinoise ou la démocratie poussée jusqu’au bout avec l’épuration de l’Etat et du parti… qu’est-ce que le socialisme, quel est le rôle du parti, de l’Etat ? Il faut revenir sur ces concepts et sur leur relation avec le mouvement historique qui transforme l’ordre des choses existant. Notez que l’article émane du site officiel russe. En Russie, la lutte anticorruption chinoise est très populaire et pas seulement du côté des communistes. Le capitalisme et la démocratie qui va avec sont vécus comme tous les droits accordés aux pilleurs et comme la base de toutes les inégalités. On ne comprend pas “la nostalgie” pour l’URSS et y compris pour Staline si l’on ne mesure pas cette indignation. (note et traduction de Danielle Bleitrach)
publié:2 avril 2021 21:41 GM
Ils possédaient 69 propriétés et plus d’une centaine de voitures de luxe d’une valeur de 470 millions de dollars.
Lundi dernier, une émission du réseau public chinois CCTV a révélé les richesses massives détenues par trois frères accusés de corruption dans la province du Heilongjiang. Depuis, l’affaire est devenue virale sur le réseau social Weibo, accumulant plus de 60 millions de vues et plus de 18 000 commentaires, rapporte le Global Times.
« Je pensais que je savais déjà à quel point les fonctionnaires corrompus peuvent être riches, mais j’avais clairement tort », a déclaré un utilisateur de Weibo.
Les défendeurs sont Li Wei, ancien directeur adjoint du Harbin Electric Power Office, une filiale de la Société chinoise du réseau électrique, et ses deux jeunes frères, Li Tong et Li Jian. Ensemble, ils contrôlaient 77 % de l’ensemble du système électrique local et menaient un mode de vie plein de luxe.
Les frères Li possédaient 69 propriétés, à l’intérieur de laquelle un grand nombre d’antiquités ont été trouvées. De plus, de nombreux fonds et plus d’une centaine de voitures de luxe d’une valeur de 470 millions de dollars.
La police a découvert que les Li avaient mené des projets d’externalisation illégale. Li Wei a généralement attribué les projets d’alimentation électrique à son frère Li Tong, ancien directeur général de la Harbin Industrial Electric Power Corporation, qui les a ensuite externalisés à son frère Li Jian.
« Les entreprises qui voulaient de l’électricité devaient d’abord passer par les frères Li. Si vous demandiez de l’électricité par des canaux normaux, ils ne vous le fourniraient peut-être pas, mais vous pourriez demander directement aux frères Li », a déclaré l’une des victimes du système corrompu, ajoutant que les gens qui n’obéissaient pas aux ordres ont été battus et expulsés de la ville.
Les frères Li étaient également soupçonnés d’un total de 24 crimes, dont le viol d’une jeune fille de 14 ans et le rassemblement d’un grand nombre de personnes pour se livrer à des actes de promiscuité sexuelle. Après avoir été reconnus coupables, Li Wei et Li Tong ont été condamnés à mort.
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