lundi 15 décembre 2014

A FOÎOS, CE 7 DÉCEMBRE, LE SORO - EL CERO - ÉTAIT DE RETOUR

 


 
14 MAI 1985 : Les Arènes de VALENCIA transformées en ring de boxe par el Soro



El Soro y Manzanares, a puñetazos

El espectáculo taurino más bochornoso del año lo ofrecieron El Soro y Manzanares en la plaza de toros de Valencia. Era la corrida de la Virgen, la agresión del torero de Foyos llegó cuando Manzanares acababa de realizar el quite a un toro de El Soro, y se disponía a adornarlo.
El Soro comentó que José Mari le intentó estropear el toro, “le dio nueve chicuelinas tocándole los costados, y eso en mi casa no se puede consentir porque aquí mando yo”. Los espadas, sus cuadrillas y los mozos de estoque se enzarzaron en una tangana, con bofetadas y puñetazos. Mientras, el toro estaba cerca de la escena y pudo haberse organizado una masacre de arrancarse hacia ellos.
El Soro, a comisaría
El presidente de la plaza, Jacinto Pérez Acosta, mandó detener al valenciano. Los motivos fueron alteración del orden público y desacato a la autoridad, los guardias irrumpieron en el ruedo y lo llevaron a comisaría y al juzgado. En su defensa, El Soro declaró que el alicantino le había llamado “loco y payaso” y pidió perdón al público.
Por otra parte, la Diputación de Valencia es, desde este año, la primera corporación pública que autogestiona una plaza, que además es de primera. Cumplido el arrendamiento con la empresa que gestionaba la explotación, la Diputación socialista ha apostado por la gestión directa, enfocando la fiesta taurina como una actividad más.

Entre Le Soro et Manzanares, bataille à coups de poings



Cela se passait en 1985, au cours d’une corrida dans les arènes de VALENCIA. Manzanarès et El Soro ont offert au public le spectacle le plus lamentable de l’année C'était la course de taureaux de la Vierge, l'agression du matador de Foyos – El Soro – eut lieu après que Manzanares venait de réaliser un quite à un taureau du Soro, et il se préparait  à conclure d’un adorno.

Le Soro prétendit que José Mari avait essayé d'abîmer « son » taureau, "il lui a donné neuf chicuelinas en lui touchant les côtes, et ici, à Valence, c’est chez moi, c’est moi seul qui décide et commande ce qui peut être fait" – dixit Soro -. Les toreros, toutes les cuadrillas, jusqu’aux valets d’épée, tout le monde se mit à se battre avec forces gifles et des coups de poing. En attendant, tout près des belligérants, le taureau observait la scène sans broncher, il aurait pu s’offrir un massacre sans qu’aucun d’entre eux ne s’en inquiète.


  1. Le président de la corrida, Jacinto Pérez Acosta, ordonna d'arrêter le valencien. Pour motifs de troubles de l'ordre public et de désobéissance à l'autorité. Les gardes firent irruption dans l'arène et ont transférèrent le Soro au commissariat de la ville, puis au tribunal. Dans sa défense, Le Soro a déclaré que l'Alicantin l’avait traité de  "fou et de clown", puis il demanda pardon au public.(!!)



  POUR MIEUX COMPRENDRE QUI EST CE « CERO » DE RETOUR (1)


Voilà qui est le Soro.
Torero Valencien retraité des ruedos de longue date puisqu’il ne pouvait plus marcher. Blessé à Madrid par un Baltasar Iban en Mai 87. Une prothèse de genoux lui permet maintenant hélas de remarcher puisqu’il en profite pour se remettre devant ce qu’il appelle des toros. Un petit coup cet été au Mexique à Xativa, et là, dans son pueblo natal de la huerta valenciana où il y avait toute sa claque d'inconditionnels et d'ignares, ce qui en l'occurrence, n'est pas incompatible.

Il est revenu donc faire le pitre dans l’arène portative de Foïos en compagnie de Vicente Barrera avec qui il donnait l’alternative à un illustre inconnu, Rafael de Foïos !
Ce qu’il y a fait est tout simplement une illustration de la « Fandinisation » de ce que l’on appelle encore Corrida. Il fait partie des centrifugeurs à toros, ceux qui envoient le jus à l'extérieur grâce au tourniquet...Comme une essoreuse à salade....
Des veaux en face de lui ! Gachos en plus. Surpiqués. Et le Zéro (ca devrait être son nouvel apodo) qui fait le pitre en jetant la muleta à terre et ceignant ce fauve de pacotille, immobile comme un iceberg, sortant de ce desplante en hurlant et montrant ses biscotos à la foule en délire.
La Honte continue.
Il faut stigmatiser ces fossoyeurs de la fiesta brava.
Et rappeler que cet olibrius a fait se battre au vu et su de tous en pleine arène, - voir texte ci-dessus- toutes les cuadrillas présentes à la corrida de Valencia en 1985, se chiquant ferme avec Jose Mari Manzanares au milieu du ruedo. Tout ca parce que J2M1 (=JMM1er, maintenant il y a l'autre J2M2, copie conforme version pipole surfriquée de feu son papa) lui avait asséné quelques vérités sur son toreo dans le creux de l'oreille après un quite à son toro que le Zéro avait trouvé trop dévastateur, le pauvre biquet.



(1)Texte transmis par G.D., ami aficionado de Paris,  et que je m’empresse de publier. Car nous ne dénoncerons jamais de trop ces clowns de la corrida. Celui-ci – le zéro, el cero, - vient en effet de se distinguer une nouvelle fois de manière lamentable, à Foïos, dans une arène portative, au cours d’une tarde qui relevait davantage de la fiesta circo que la fiesta brava, comme le relate fort justement Denis....Que je remercie pour ce texte qu'il m'a envoyé et avec l'esprit que je partage totalement.


Arte de engañar del ( zozo ) Cero