lundi 12 février 2018

PEÑA "A LOS TOROS" MONT DE MARSAN

La Peña A Los Toros


PARLONS "TOROS" du Samedi 24 février 2018, 19h30

Pour ce cinquième rendez-vous du cycle des conférences 2017/2018, la Peña Taurine A Los Toros de Mont de Marsan est fière de vous faire découvrir le métier en pleine évolution de picador. Nous aurons le privilège de recevoir deux des spécialistes de la discipline : Oscar Bernal & Alberto Sandoval, le samedi 24 février à 19h30.
Une ombre demeurait au "palmarès" de la Peña A Los Toros ; celle de ne plus avoir reçu de picadors en conférence depuis Eva Ermenta en 1998. Parce qu'ils sont désormais quelques uns à rendre au premier tercio l'importance qu'il devrait toujours avoir, ce sera chose faite. Oscar Bernal et Alberto Sandoval réussissent l'exploit d'obtenir conjointement la reconnaissance du milieu taurin et des aficionados. Ils nous expliqueront comment l'on devient picador, les secrets de la profession, ce qu'est le tiers des piques et ce qu'il pourrait être. Ils répondront évidemment à toutes vos questions.

Entrée libre.
Ouverture des portes au public dès 19h.
--

Association fondée en 1975
2 rue Léon Lalanne - 40000 Mont de Marsan 
contact@pena-alostoros.fr
www.pena-alostoros.fr         

SI L'ONU FAISAIT SON TRAVAIL......

lundi 12 février 2018, par Comité Valmy

Illustration : un checkpoint tenu par l’armée syrienne

Face aux accusations d’attaques chimiques en Syrie,
Philippe Migault appelle à la prudence

Tandis que les Occidentaux accusent le gouvernement syrien de mener des attaques chimiques, ce que dément Damas, le directeur du Centre européen d’analyses stratégiques appelle à la prudence et analyse les enjeux derrière ces accusations.
Les Occidentaux, se basant notamment sur les informations du controversé Observatoire syrien des droits de l’homme, dirigé depuis le Royaume-Uni par Rami Abdel Rahmane, accusent Damas d’avoir bombardé, avec des barils de chlore, les habitants d’Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie, et de la Ghouta, à l’est de Damas, depuis le début de l’année 2018.
Sur RT France, Philippe Migault, directeur du Centre européen d’analyses stratégiques, appelle à la plus grande prudence quant à ces accusations.
« Quand bien même il y aurait des attaques au chlore, encore faut-il pouvoir déterminer qui en est l’auteur », estime l’expert, soulignant que, sur le terrain, cela est « extrêmement difficile ».
Quant aux conséquences politiques en cas de confirmation de ces attaques présumées, elles ne seraient pas les mêmes en fonction de l’identité de ses auteurs, d’après Philippe Migault.
« Si l’auteur de cette attaque chimique est une faction opposée a Bachar el-Assad, il n’y aura aucune espèce de représailles de la part des Occidentaux puisque ce sont nos alliés, ce sont ceux que nous armons », estime le directeur du Centre européen d’analyses stratégiques.
Auteur : RT France
Il poursuit : « En revanche, si c’est Bachar el-Assad [qui est responsable d’attaques chimiques], théoriquement la ligne rouge aurait été franchie et nous devrions intervenir, du moins si nous nous référons aux déclarations d’Emmanuel Macron. »
Depuis le 6 février 2018, une enquête a été ouverte par l’ONU afin de déterminer l’implication ou non du gouvernement syrien dans l’utilisation d’armes chimiques dans son pays. Ces accusations sont démenties par le gouvernement syrien et qualifiées par Moscou de « campagne de propagande ».
11 février 2018