samedi 16 juin 2018

MERCI CLAUDE !

SI LE POUVOIR DE L'AMOUR ÉTAIT PLUS FORT 

QUE L'AMOUR DU POUVOIR,
 
LE  

MONDE VIVRAIT EN PAIX.

 C'est le message que je viens de recevoir de Claude, mon ami, mon camarade, un frère,
dont l'engagement sans faille hantait le repos  des directions de la Poste et de France Télécom.
J'ai adoré, et je vous le livre : merci cher Claude,  comme autrefois, te savoir là me redonne le gnac que les casseurs bigourdans de nos services publics tentaient de nous arracher. 
Sans succès! 
La preuve!!

UN PC DE SOURDS: QUAND VA-T-IL SE RÉVEILLER?









Nous sommes en pleine phase ascendante du mouvement social car la politique macronienne du MEDEF commence à ouvrir les yeux à de nombreuses couches sociales composant 80% de la population . Cependant nous sommes devant un peuple "divisé" sur le plan du pouvoir d’achat , sur le plan culturel , sur le plan économique et sur l’avenir du pays . Macron and co joue sur cette division en opposant jeunes et vieux , riches et pauvres , gros patrons contre petits patrons , usagers contre grévistes , forces de répression contre casseurs , Etat contre les communes , premiers de cordée contre les riens du tout , européens contre souverainistes . Cette politique de division exprime bien l’idée du capitalisme d’aujourd’hui d’approfondir les fractures entre les gens pour faire survivre son système d’exploitation avec le moins de frein possible . Face à cette stratégie bourgeoise de rompre avec tout statut social hérité des dures luttes de nos anciens , les nouvelles générations ont du mal à comprendre , on le voit dans les quartiers populaires et à l’université , qu’il faut lutter quotidiennement dans l’unité pour abattre ce pouvoir d’oligarques corrompus qui nous nargue à travers ses médias de propagande et essaye de nous mener en bateau . Macron parle de "Pognon de dingue" pour aider les pauvres alors que c’est la planche à billets de la dette qui paye et assujettit la France à la finance internationale pour enrichir ces salauds de milliardaires qui ne savent pas quoi faire de leur fric . Il y a longtemps que l’illusion de la monnaie dite de singe fait marcher l’économie sur un enfer qui la brûlera à un moment où à un autre sans crier gare .
Le capital est au bord du gouffre et il ne tient qu’aux révolutionnaires de le précipiter au fond avec une bonne chape de plomb en guise de cercueil .
La prise de conscience du mouvement social se fait dans les luttes comme le font les cheminots et d’autres professions touchés par les licenciements , la convergence de ces luttes se construit chaque jour malgré la collaboration de classes comme le syndicat de la CFDT sait si bien la faire . Les résultats vont venir et il ne faut pas baisser les bras face aux chiens de garde du capital . L’assemblée nationale peut voter toutes les lois qu’elle veut pour solidifier les profits des milliardaires , elle n’a aucune légitimité vu son audience dite électorale limitée ( avec près de 70% d’abstention) . Gouverner sans relais avec des préfets nommés c’est l’échec assuré . Ce bel ouvrage de la 5ème république mis en place en 1958 par la grande bourgeoisie, à cause de la guerre d’Algérie , pour solidifier son pouvoir pour longtemps a réussi pendant 60 ans (ce qui est quand même un long temps historique ), se lézarde à plusieurs endroits et peut s’écrouler sur les coups de boutoir coléreux du peuple . Les révolutionnaires doivent donc se mobiliser avec intelligence pour être dans le peuple comme un poisson dans l’eau (dixit Mao) et contribuer à créer ces "soviets" , cette idée lumineuse de Lénine qui a été galvaudé par le stalinisme et c’est ce qui a empêché l’URSS de perdurer . Ces conseils ouvriers ou de salariés sont l’avenir pour une production économique efficace pour satisfaire les besoins des populations au fil des années et des générations . Poutine d’ailleurs l’a compris puisqu’il redonne du sens à cette idée Léninienne pour développer son pays après la phase destructrice de Eltsine . La société communiste se construit chaque jour , y compris dans cette phase moribonde du capitalisme .
Notre congrès extraordinaire doit proposer au peuple la construction de cette société communiste de nos rêves comme alternative crédible et heureuse pour les citoyens et sa jeunesse . L’histoire du capitalisme doit devenir un musée au plus vite , il en va de l’avenir de l’humanité 

Note de Pedrito: Oui! Le PC a disparu des médias, il est inaudible,  le peu qui reste tire à hue et à dia. C'est devenu un appendice de nos croque-morts socialistes!
Quand Laurent et les siens vont-ils réagir avec toute la vigueur indispensable?

L'IMPÉRIALISME US

16.juin.2018 // Les Crises

Les USA et le destin du monde

Source : Inder Comar, Consortium News, 23-05-2018
Ce n’est pas une exagération d’affirmer que le destin de la civilisation dépend des Américains selon leur façon de déterminer comment ils veulent interagir avec le reste du monde, affirme Inder Comar dans son commentaire.
Les Américains devraient être plus honnêtes au sujet leur l’interventionnisme militaire. Il devrait y avoir un débat sérieux à ce sujet. A la place, il semble que l’on ait trois camps retranchés en matière de politique extérieure qui ne se parlent jamais.
Le premier est constitué d’impérialistes avoués. Ils sont faciles à identifier, car ils sont au pouvoir. Ce sont ceux pour qui il n’y a pas de mauvaise guerre. Ils ont probablement poussé les États-Unis à s’engager dans un changement de régime en Iran. Et actuellement, ils mènent une approche parfaitement agressive pour tenter de diminuer les tensions avec une Corée du Nord équipée d’armes atomiques – une approche qui connaîtra des retours de flamme au final. Ce camp serait aussi le plus fort pour nier qu’il y ait un impérialisme américain.
Il y a aussi des gens qui rejettent totalement l’impérialisme sous toutes ses formes, commis par tout pays, comme une grave erreur. Ce sont des gens qui reconnaissent qu’il doit y avoir d’autres valeurs qui lient les relations entre les nations – des valeurs partagées sur le droit international, les droits de l’homme, la liberté individuelle et spirituelle, et la loi.
Je pense qu’il s’agit d’un très petit camp.
Et enfin, il y a un troisième groupe, que j’imagine avoir des opinions partagées. Ils pensent qu’il est possible de maintenir une politique étrangère armée, tout en disant également qu’ils utilisent la politique étrangère pour diffuser les valeurs civilisées. Ils veulent se complaire dans la fausse gloire qui provient de l’empire et s’en accommoder.
Les discours politiques actuels aux États-Unis – qu’il s’agisse des médias, des think-tanks ou des principaux acteurs politiques – se répartissent dans l’un de ces trois camps. Par exemple, la plupart des Républicains et Démocrates utilisent le discours des droits de l’homme et de la liberté pour exprimer leurs idées.
La guerre d’Obama par drones (Artiste Meme inconnu.)
Cacher un fil conducteur d’interventionnisme
Mais la réalité de leurs actions, et les conséquences de ces actions, rend impossible de cacher un fil conducteur impérialiste sous-jacent. Les personnes qui réfléchissent ne peuvent ignorer que c’est un démocrate, le président Barack Obama, qui a augmenté l’utilisation des drones militaires dans plusieurs pays, qui a envahi la Libye, maintenu et accru la présence américaine en Afghanistan, et même engagé 1 000 milliards de dollars pour renforcer l’arsenal nucléaire américain.
Il n’y a jamais eu un moment plus urgent pour que les gens analysent et reconsidèrent vraiment la politique étrangère américaine et posent des questions fondamentales sur le rôle de l’Amérique dans le monde. Il y a des gens au pouvoir aujourd’hui qui jouent littéralement avec le feu avec un pays doté de l’arme nucléaire (la Corée du Nord) et qui poussent un autre pays (l’Iran) à se doter d’armes nucléaires afin de se défendre contre la menace ouverte d’une invasion américaine.
Une politique étrangère impériale est une politique qui rend le monde entier beaucoup moins sûr, y compris les États-Unis. Nous ne sommes pas si différents en tant qu’humains. Les humains, partout, finissent par en avoir assez d’être intimidés. Et ils finissent par se défendre. Ou même contre attaquer.
Il y a aussi un autre point qui mérite d’être souligné. Les leaders sélectionnés qui arpentent les couloirs du pouvoir, leurs facilitateurs de réflexion et de nombreux Américains, trouvent très souvent un réconfort faux et pervers dans la domination, l’exploitation et la souffrance de personnes qui ne sont pas des Américains. C’est vraiment une chose méprisable, et il faut le dénoncer. C’est ce type de pensée qui a engendré le génocide aux États-Unis, contre les nations premières et les peuples autochtones [NDT : les Indiens]. C’est ce type de pensée qui a tué, et qui continue de tuer, des dizaines de millions de personnes à l’étranger.
Il y a un choix fondamental que les Américains doivent faire. Et c’est de savoir s’ils seront d’accord avec l’impérialisme comme caractéristique déterminante de leur politique étrangère. S’ils veulent être connus comme un peuple impérialiste. Je pense qu’un jour viendra, plus tôt que la plupart des gens le souhaiteraient, où ce choix devra être affronté de face.
Le pire crime de tous
Des soldats irakiens tirent un obus d’artillerie M198 de 155 mm au cours d’un exercice d’entraînement dans une école d’artillerie à Abu Ghraib, en Irak, le 2 avril 2018, 15 ans après l’invasion illégale de l’Irak. (Photo de l’armée française par le Maj Chames Bouriche)
Je pense notamment au terrible crime qui a été commis en 2003, lorsque les États-Unis ont envahi l’Irak. Beaucoup de gens rationnels se demandent pourquoi les prétendues « leçons » de la guerre agressive contre l’Irak n’ont pas été comprises par les démocrates ou les républicains de haut rang, et pourquoi le gouvernement américain continue de faire des menaces sans fondement contre d’autres pays, ou de menacer de guerre sans justification légale suffisante. Après tout, d’un point de vue humain et civilisé, la guerre en Irak n’était pas seulement une catastrophe : c’était un crime international, et le pire de tous les crimes de guerre, le crime d’agression.
Mais du point de vue de l’impérialisme, l’Irak a été à bien des égards un succès – il a conduit à la destruction d’un centre de pouvoir régional, a donné aux États-Unis une couverture pour continuer à s’impliquer au Moyen-Orient à perpétuité, et a cimenté une alliance croissante avec Israël et l’Arabie saoudite, deux pays qui sont désireux de continuer à acheter une grande quantité d’armements américains.
Les Américains ont beaucoup de chance. Ils ont eu la chance de ne pas avoir un autre grand pays qui leur impose sa volonté. À l’exception de Pearl Harbor, les Américains n’ont jamais été forcés de ressentir le poids des politiques impérialistes qui ont conduit à la mort par drone ou à la mort par missile pour les membres de la famille, les voisins ou les amis. Les Américains n’ont jamais vu leur pays étouffé à cause des blocages commerciaux et économiques d’une nation plus dominatrice. Et les Américains n’ont pas eu à faire face à des coups d’État violents, à des parodies d’élections et à des dictateurs qui rendent compte à une élite dirigeante vivant à des milliers de kilomètres de distance, qui ne se soucient même pas de parler la même langue, qui exploitent les ressources du pays et qui se moquent pas mal du sort et de la vie des gens tous les jours.
C’est le triste sort de nombreuses sociétés au cours des 100 dernières années, dont le seul crime était d’être un intérêt stratégique pour le gouvernement américain.
Mais même alors, en tant qu’Américain, je commence à avoir un avant-goût de ce que à quoi ces choses ressemblent. Parce que les politiques impériales à l’étranger s’enracinent maintenant aux États-Unis et s’épanouissent en tant que politique intérieure. La police tue indistinctement les manifestants et les personnes de couleur. Les immigrants sont ciblés en tant qu’objets de haine. Les pauvres et la classe moyenne sont pratiquement démunis – plus de 40 % des Américains luttent pour se nourrir et se loger. Et le processus électoral américain est manifestement sous le contrôle des ploutocrates, qui s’enrichissent aux frais du gouvernement, alors que chaque jour les gens souffrent.
L’impérialisme à l’étranger crée l’aristocratie chez nous ; et ensemble, ils ne produisent que la progéniture démoniaque de la corruption, de la dictature et de la guerre totale.
Il nous appartient à tous, en tant que citoyens, de remettre en question le récit dominant de l’impérialisme. Et il ne suffit pas de dénoncer les impérialistes avérés – ils sont faciles à voir.
Leurs paroles et leurs actions sont très claires.
Il est également essentiel à ce moment-ci d’interpeller gens qui pensent qu’ils peuvent avoir le beurre et l’argent du beurre – qu’ils peuvent être fiers de l’empire et des droits de l’homme en même temps, qui pensent qu’il est possible de promouvoir la liberté par le canon d’une arme à feu.
Ces gens doivent être interpellés sur cette façon de penser. La paix et la liberté sont promues par des moyens pacifiques et libres. Vous ne tueriez jamais un homme dans la rue en prétendant l’avoir sauvé. Ce qui est vrai dans la rue l’est aussi entre les nations. Et les « leaders d’opinion » et les politiciens qui prétendent qu’ils peuvent faire avancer un programme civilisé et humanitaire au moyen d’armes, de menaces, de coups d’État et d’invasions, ne se trompent pas seulement, ils sont volontairement malhonnêtes – soit envers eux-mêmes, soit envers le monde entier.
Les Américains ont besoin d’un dialogue civique axé sur la primauté du droit, les normes relatives aux droits de la personne et les valeurs communes et civilisées. Les Américains ont besoin d’une politique étrangère qui affiche ces mêmes valeurs de manière significative et respectueuse, et qui utilise ces valeurs dans ses relations avec les autres pays. Pas par la guerre, la domination et l’exploitation. Cela semble simple à dire, mais la meilleure façon de mettre fin à l’impérialisme est de simplement mettre fin à l’impérialisme.
Il est temps pour l’Amérique de cesser de compter sur ses armes et de commencer à s’appuyer sur des principes éthiques et civilisés.
Le destin des États-Unis et peut-être du monde repose sur la recherche d’une meilleure façon de traiter avec eux-mêmes et avec les autres. Il n’y aura pas de réponse significative et de préparation au changement climatique, à l’extinction des espèces et aux grandes crises de réfugiés à venir, à moins que les États-Unis n’utilisent leur pouvoir de manière positive et ne contribuent à un monde où le dialogue, la coopération et la promotion de la paix sont les fondements d’un ordre civilisé.
Cet article est d’abord paru sur le blog d’Inder Comar.
Inder Comar est le directeur exécutif de Just Atonement Inc, un organisme juridique sans but lucratif voué à l’édification de la paix et de la prospérité durable, et l’associé directeur de Comar LLP, un cabinet d’avocats privé œuvrant dans le domaine de la technologie. Il est un expert reconnu sur le crime d’agression, la légalité de la guerre en Irak et les droits de l’homme au niveau international. Il est titulaire d’un diplôme en droit de la New York University School of Law, d’une maîtrise ès lettres de la Stanford University et d’une licence ès lettres de la Stanford University. Son pseudo Twitter est @InderComar.
Source : Inder Comar, Consortium News, 23-05-2018

LA "RÉFORME" DE LA SNCF.....(°)


LA RÉFORME DE LA SNCF
SERAIT LE DÉBUT DE LA DÉSAGRÉGATION DE L’ÉTAT 


                      par Roland Hureaux

samedi 16 juin 2018, par Comité Valmy

LA RÉFORME DE LA SNCF SERAIT
LE DÉBUT DE LA DÉSAGRÉGATION DE L’ÉTAT

Beaucoup, en particulier à droite, n’ont pas saisi le danger que représenterait pour notre pays un éventuel succès de Macron dans la réforme du statut des cheminots.
Si ce statut saute, c’est, dans la brèche ainsi ouverte, le statut de la fonction publique elle-même qui serait remis en cause.
Les libéraux s’en réjouiront. Ils n’ont pas saisi que cet effacement des statuts sera la porte ouverte à un recrutement massif de contractuels dont on peut d’ores et déjà prévoir les critères, au vu de l’état d’esprit qui règne dans les hautes sphères de l’État : priorité à la diversité, discrimination positive, haro sur les « mâles blancs » !
L’État français, l’État républicain, avec ses forces et ses faiblesses – et les faiblesses tiennent bien plus aux reformes hasardeuses qu’on lui a infligées depuis trente ans qu’à un vice congénital -, représente le dernier bastion d’une certaine France. Recrutés parmi les nationaux, au travers de concours qui n’ont longtemps pas laissé place à la faveur, les fonctionnaires de l’État assurent la pérennité nationale à travers les générations.
On dénigre, aujourd’hui, beaucoup le corporatisme mais c’est lui qui a fait la force de la France. Les Ponts et Chaussées ont équipé le territoire, les Mines accompagné le développement industriel, le Génie rural celui de l’agriculture ; instituteurs, postiers, gendarmes avaient d’abord le souci de faire du bon travail jusqu’à ce que des réformes destructrices ne démoralisent ces professions.
La doctrine dominante, d’inspiration anglo-saxonne, veut remplacer l’esprit de corps par un système de primes de type « pavlovien » : quelle régression que de passer d’un agent de l’État fier d’appartenir à un corps et d’être reconnu par ses pairs à un employé anonyme courant après les primes, lesquelles sont déjà, là où le système a été mis en œuvre, distribuées dans l’opacité et l’arbitraire !
Au Royaume-Uni, une gestion entièrement libéralisée est loin de faire l’unanimité : hausse incontrôlée du prix des billets, trains supprimés et réduction du personnel conduisent près de deux Britanniques sur trois à souhaiter une renationalisation complète, comme le rapportait un article de La Tribune en janvier 2017. Un rapport récent du Parlement met en cause les effets délétères, tant pour le personnel que pour les voyageurs, de la gestion, selon ces nouveaux principes, d’une filiale de la SNCF outre-Manche.
La réforme de la SNCF, comme celle qu’on veut appliquer à l’État, est la mise en œuvre des principes dogmatiques de libre concurrence qui inspirent les directives de Bruxelles, lesquelles ne tiennent aucun compte de la spécificité des pays. Peut-être même ont-elles l’ambition sournoise de détruire celle de la France, d’araser la spécificité de notre pays – pour, quelque part, l’affaiblir.
Spécificité particulièrement remarquable de notre pays : un monde rural vivant, ordonné et diversifié que des forces obscures s’attachent à normaliser, lui aussi : l’extension de la logique libérale à la SNCF conduira, n’en doutons pas, à un délaissement supplémentaire des territoires.
Face à ce libéralisme dogmatique, beaucoup d’économistes pensent que la libre concurrence intégrale n’est pas adaptée et que, dès lors qu’il n’est pas question de dédoubler les réseaux, une gestion intégrée est préférable.
Beaucoup, à droite, se targuent aujourd’hui de se dire « conservateurs » : eh bien, qu’ils le soient jusqu’au bout, qu’ils se soucient donc de conserver cette grande réussite qu’ont été nos « chemins de fer français » !
Roland Hureaux
Essayiste
Dimanche 3 juin 2018



(°) ¨note de Pedrito : parce que leurs "RÉFORMES" signifient DÉMANTÈLEMENTS au profit des banques, des financiers, des milliardaires parasitaires de tout poil, choses que de trop nombreux citoyens n'ont pas encore intégrées