mercredi 22 novembre 2023

Les mercenaires occidentaux se déplacent d’Ukraine vers Israël   

(Patrice Bravo son site )

Avec le conflit en Palestine avec Israël, les priorités changent. L’Ukraine n’est plus la raison de vivre pour l’Occident. Israël passe avant. Ainsi, des mercenaires occidentaux ont été transférés d’Ukraine vers Israël pour combattre le Hamas.  

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Des mercenaires occidentaux, dont des Américains, ont été transférés d'Ukraine vers Israël pour combattre le Hamas, fait savoir Military Watch Magazine. Auparavant, selon le média anglophone, ils étaient stationnés dans la région de Zaporojie et participaient à des combats aux côtés des forces armées ukrainiennes. L’armée israélienne affirme ne pas être informée de leur présence. 

Mercenaires US, mais aussi français combattent pour Israël. Selon le journal espagnol El Mundo, avec les combattants sous contrat US, des mercenaires militaires occidentaux, qui se trouvaient en soutien des opérations militaires en cours de l’armée ukrainienne contre les troupes russes ont, également, été redéployés en Israël pour des opérations contre les milices palestiniennes dans la bande de Gaza. Les Forces de défense israéliennes (FDI), affirment, aussi sur ce point, ne rien savoir d'un tel transfert. À cette annonce, le député français,Thomas Portes, a publié sur X : « Suite aux révélations du journal espagnol El Mundo indiquant que des mercenaires français seraient actuellement aux cotés l’armée israélienne pour participer aux opérations militaires, j’ai ce matin saisi la Procureure de la République de Paris afin qu’une enquête soit ouverte ». 

Le nombre des mercenaires US, qui combattent du côté ukrainien, ainsi que leur rôle varie considérablement. En général, les combattants étrangers peuvent être divisés en trois catégories : les membres anciens et actuels d'armées et de services de renseignement étrangers, que le Washington Post a qualifié de « réseau secret » de la CIA en lui attribuant un « rôle important dans l'effort de guerre » ; des combattants mercenaires envoyés par diverses sociétés militaires privées ; des volontaires du monde occidental qui participent aux combats pour des raisons idéologiques. 

Le transfert de mercenaires d’Ukraine vers Israël est facilité par le conflit qui a éclaté au Moyen-Orient. Ce conflit a détourné l’attention occidentale du front ukrainien. De plus, l’intensification des combats entre les forces israéliennes et les milices libanaises du Hezbollah menace de détourner davantage l’attention occidentale de l’Europe de l’Est. Les rebelles libanais disposent de capacités bien supérieures à celles du Hamas. Les combats entre Israël et le Hamas ont commencé le 7 octobre alors que les forces ukrainiennes se remettaient d’une offensive ratée de plusieurs mois qui avait perdu des dizaines de milliers de combattants. 

L’échec de l’offensive coûteuse de l’armée ukrainienne, organisée en grande partie grâce à des fonds occidentaux, ne devrait que renforcer les appels à une réévaluation de l’aide supplémentaire à destination de Kiev. La nécessité d’armer et de soutenir en priorité Israël a déjà détourné les États-Unis pour un financement supplémentaire de la campagne militaire ukrainienne. 

Base US en Israël. Il a été, selon Military Watch Magazine, confirmé que des officiers supérieurs et des drones américains étaient impliqués dans le soutien aux opérations israéliennes. Et, la participation d’unités terrestres américaines contre les forces du Hamas a été largement rapportée. Les États-Unis auraient, également, pris des mesures pour étendre leur base militaire de la zone 512 dans le désert israélien du Néguev, à moins de 30 kilomètres de la bande de Gaza. 

The Intercept a même rapporté que « cette base américaine est une installation radar qui surveille le ciel pour détecter les attaques de missiles contre Israël », mais que « lorsque des milliers de roquettes du Hamas ont été lancées, le site 512 n’a rien vu – car il est concentré sur l’Iran ».

D’après The Times of Israel, cette base US existe depuis 2017 et elle est « située à l’intérieur de la base aérienne de Mashabei Sadeh de l’armée de l’air israélienne, à l’ouest des villes de Dimona et Yerucham ».
 
Pierre Duval 

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Source : https://www.observateurcontinental.fr/?module=articles&action=view&id=5437

 



Condamnation du Professeur Joyeux

par GASTY son site

blog AGORA VOX 

Après avoir dénoncé plusieurs illégalités médicales pratiquées en France sur les risques associés à plusieurs produits pharmaceutiques, le Professeur Joyeux s'est vu condamner par le conseil de l'ordre des médecins.

Le Pr Joyeux a donc décidé de s’exprimer suite à la décision de l’Ordre des médecins dans un communiqué officiel. Voici son communiqué.

COMMUNIQUÉ du Professeur Henri Joyeux

Ce communiqué s’adresse au grand public envers lequel nous avons des responsabilités d’information complète – comme en Belgique, selon la Loi de 2002 sur la protection des patients et en France selon l’article R.4127-35 du code de la santé publique -, qui nous impose, à nous médecins, d’informer nos patients de manière complète, pour obtenir leur consentement libre et éclairé. Il s’adresse aussi à tous mes collègues soignants.

LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ET DE PRESCRIPTION EN QUESTION

La médecine française serait-elle fragilisée ? Doit-on capituler ou résister ?

J’ai pris acte de la sanction de la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins, notifiée le 1er septembre 2023 :

« Interdiction d’exercer la médecine pendant 2 ans du 1er janvier 2024 à 0 h au 31 décembre 2025 à minuit ».

Je la respecterai. Je ne pourrai pas prescrire quand c’est nécessaire à ceux qui me font confiance, ni vacciner ceux qui me le demandent et qui en ont vraiment besoin, en considérant les risques épidémiques.

Je rappelle ce que savent tous les patients qui m’ont fait et me font encore confiance :

  • pendant mon activité médicale à l’Institut du cancer de Montpellier durant 50 ans, j’ai toujours et exclusivement exercé dans le domaine public ;
  • mes actes médicaux sont toujours restés gratuits depuis l’arrêt de mon activité de chirurgien du cancer à l’âge de 69 ans.

Je serai donc empêché d’exercer mon métier de médecin pendant 2 ans.

Ma première réponse au harcèlement dont je suis l’objet (exposé ci-dessous) sortira prochainement dans mon ouvrage que vous trouverez sous peu en librairie :

PASSIONNÉMENT MÉDECIN, LE SENS D’UNE VIE

Réveille-toi, petit Homme

Ai-je commis la moindre erreur ou la moindre faute envers des patients ? Non ! Leur ai-je dissimulé des informations médicales ? Pas plus. Ai-je abusé d’ordonnances dites « de complaisance » ? Toujours pas. Ai-je escroqué la Sécurité sociale ? Certes non, mes actes médicaux sont gratuits depuis 2019 et je recommande l’allègement des ordonnances pléthoriques, dans les EHPAD notamment.

J’ai dénoncé certains abus vaccinaux et, par ce fait, je serais devenu ce que les médias appellent « un lanceur d’alerte ».

Une position imprudente car elle expose aux foudres institutionnelles. La confiance qui m’est faite est due à mon indépendance envers l’industrie pharmaceutique d’une part, envers les institutions politiques d’autre part.

Les abus vaccinaux… Qui désire recevoir une 4e dose de vaccin à ARN messager contre le coronavirus ? Pendant cette période de Covid-19, j’ai vacciné plus de 300 personnes contre le virus (certains en ayant besoin du fait de leur état de santé ; d’autres, pour raisons professionnelles) et beaucoup ont quand même développé la maladie en étant vaccinés.

Savez-vous qu’il est prévu jusqu’à 10 doses sur vos dossiers médicaux concernant la vaccination anti-covid dès 2024 : 2 doses par an pour les plus de 65 ans et 1 dose annuelle pour tous les autres, enfants compris ? Y aurait-il des stocks vaccinaux à écouler ?

Pour le Conseil national de l’Ordre des médecins et – osons le dire – pour certains gros laboratoires pharmaceutiques, je représente le caillou dans la chaussure ! Ma voix dérange. Donc, on doit faire taire le Pr Joyeux : « Attention ! c’est un ANTIVAX, un complotiste ! », pour ne citer que les qualificatifs les plus absurdes… 

En Belgique, la révolte gronde contre le Conseil de l’Ordre des médecins, la perte de confiance des médecins s’installe. Ils ne se sentent plus représentés par cette institution : « Pire que tout ce que nous aurions pu imaginer de la part de notre Ordre, censé défendre la déontologie médicale, nous constatons que vous continuez, avec acharnement, à persécuter des dizaines de nos confrères les plus consciencieux en les sanctionnant lourdement »1.

En France, grand silence pour le moment : par prudence, pour éviter les ennuis, les sanctions du conseil de l’ordre, du département, de la région, du national…

Le débat scientifique peut déranger quand il ne va pas dans le sens d’immenses intérêts, économiques et/ou politiques.

Souvenez-vous comment a été traité mon collègue et ami le Pr Luc Montagnier (Prix Nobel), y compris par ses collègues de l’académie de médecine ! Que penser de ces attitudes ?

Liberté d’expression : entre science et conscience

La sanction émise à mon encontre touche essentiellement à la liberté d’expression d’un professeur de médecine (de deux disciplines : la cancérologie et la chirurgie digestive) à propos des abus vaccinaux. Les connaissances à propos de l’immunité et des vaccins sont indispensables à tout cancérologue (vaccins et immunothérapie).

L’État nous préparerait-il, sans preuves scientifiques sérieuses, au TOUT vaccinal contre toutes les maladies, sorte de « vaccination miraculeuse de toute la population » ?

Dès lors, le médecin n’aurait plus besoin de discerner les indications vaccinales face aux risques de telle ou telle pathologie. Le ministre décide pour vous chers collègues ! Est-ce cela que nous voulons ?

Contrairement aux discours gouvernementaux, préparés par des spécialistes de la communication, la vaccination au pays de Pasteur se discute.

Discuter, argumenter scientifiquement les avantages et les inconvénients des nouveaux vaccins fait partie de la démarche scientifique, parmi les missions d’un professeur de médecine (soigner, enseigner, chercher). 

Certaines vaccinations sont nécessaires, aucun médecin sérieux ne pourrait le contester. D’autres en revanche restent discutables car elles mettent en question l’équilibre de la balance bénéfices-risques pour le patient et même pour le grand public. Le vaccin covid19, empêche-t-il la transmission ? NON, c’est pourtant le bénéfice remarqué de tous les vaccins.

C’est ce que je nomme « les abus vaccinaux ».

Tous mes écrits – Les Vaccins, comment s’y retrouver, éd. Rocher (2016) et les lettres publiées sur mon site – démontrent l’efficacité des vaccins, et leur rôle central dans la relation médecin-patient.

Chronologie d’un harcèlement

Cette chronologie s’étale sur plus de 7 années. Elle est fastidieuse à lire – et sans doute non nécessaire pour un non-médecin –, mais fut plus pénible encore à subir. Je ne peux faire l’économie du jargon juridique car elle retrace un jeu de ping-pong invraisemblable entre les institutions elles-mêmes. Mes collègues médecins pourront se rendre compte d’une réalité inquiétante : l’acharnement des autorités de santé et l’incohérence de leurs jugements (radié-blanchi-reradié-reblanchi-suspendu, jusqu’où ?). L’unique cohérence serait-elle un but visé, atteint, réussi : écarter toute insoumission ?

Première alerte 

— 8 juillet 2016 : le Conseil national de l’Ordre des médecins ne supporte pas deux pétitions diffusées au grand public. Sur sa plainte, la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon me radie. 

Première pétition – Non à la vaccination massive des enfants contre le papillomavirus. (Je précise que je n’ai pas changé d’avis en 2023 avec des arguments scientifiques solides référencés qui ne sont pas pris en compte par les autorités, pas plus que par les médecins du Conseil national de l’ordre). Certains enfants en auront besoin, d’autres non.

Deuxième pétition – Non à la présence de l’adjuvant aluminium qui n’appartient à aucune réaction biologique dans l’organisme humain (l’aluminium est persistant et accumulable dans différents organes dont le cerveau) dans 8 des 11 vaccins imposés par l’ÉTAT dès janvier 2018 à des nourrissons de 2 mois.

Je souligne que le vaccin ROR (contre la Rougeole, les Oreillons, la Rubéole) est un vaccin sûr. Il contient 3 virus vivants inactivés, et donc n’a pas besoin de contenir l’adjuvant d’aluminium. Il doit être fait à 1 an quand l’enfant est en pleine forme pour le recevoir, afin qu’il le supporte au mieux.

Je constate avec soulagement que vient de sortir le nouveau vaccin IMOVAX POLIO (contre la poliomyélite) qui ne contient pas d’aluminium. Il démontre qu’administrer séparément les vaccins (un vaccin contre chaque maladie) n’implique pas obligatoirement la présence de l’aluminium. On peut aussi avoir recours à un autre adjuvant plus naturel, le phosphate de calcium qui a fait ses preuves, ou encore à un adjuvant d’origine végétale. 

C’est le rôle du médecin de poser l’indication de la vaccination selon l’état du patient, l’importance de l’épidémie et de sa transmission. Cette fonction médicale essentielle lui est de plus en plus retirée, il devient “contrôleur des vaccinations”, et reçoit une prime pour adhérer à cette fonction.

Sur le conseil de mon avocat, j’ai fait appel de ma radiation devant la chambre disciplinaire nationale, car l’appel suspend cette radiation. Cela n’a pas empêché certains grands médias de diffuser largement que « Le Pr Henri Joyeux est radié ». Ah la belle rigueur de certains journalistes !

J’ai continué à pratiquer mon métier de médecin sans rétribution supplémentaire aux émoluments de la retraite.

J’ai poursuivi ma mission de professeur de médecine : suivre jour après jour de très près les publications scientifiques les plus sérieuses pour informer le grand public dans tous les domaines de la prévention.

— 26 juin 2018 : la chambre disciplinaire nationale du Conseil de l’Ordre me blanchit totalement.

Après m’avoir entendu, mon avocat m’ayant parfaitement défendu, ainsi que le président du conseil de l’ordre de mon département, la chambre disciplinaire nationale a rendu son verdict : aucune accusation de la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon n’est acceptée.

La liberté d’expression, reconnue en juin 2018, ne le serait plus en septembre 2023 ?

Mais le Conseil national de l’Ordre n’a pas supporté que je sois blanchi par sa propre chambre disciplinaire. Il a porté l’affaire devant le Conseil d’État. Son but ? Faire annuler la décision. Cette décision qui n’avait retenu aucune faute envers moi. 

— 3 juillet 2018 : devant le Conseil d’État (CE) en procédure accélérée

La personne, membre du CE et chargée d’exposer mon dossier, m’a présenté ainsi : « Vous connaissez tous Henri Joyeux : médecine naturelle. » Est-ce dans la précipitation qu’elle a omis – bien involontairement, à coup sûr – que j’étais d’abord médecin, professeur de cancérologie et chirurgie, prix international de cancérologie, avec à mon actif plusieurs centaines de publications nationales et internationales, et que j’avais opéré des milliers de patients dont aucun n’a eu à porter plainte contre moi ?

La présentation de mon dossier a ensuite été enveloppée d’un verbiage juridique dont le seul objectif était de casser le jugement précédent qui me blanchissait.

Le rapport était à tel point dévastateur à mon encontre que l’avocat du Conseil national de l’Ordre n’a rien eu à ajouter : le travail de sape était fait par le Conseil d’État lui-même.

La Science ne serait donc rien pour le Conseil d’État ?

Quelle confiance donner à cette institution chargée de conseiller l’État et de défendre les citoyens ? Le plus inquiétant est que je suis loin d’être le seul à connaître cette grave dérive institutionnelle.

— 24 juillet 2019 : le Conseil d’État obéissait donc au Conseil national de l’Ordre : le jugement qui a blanchi le Pr Henri Joyeux est annulé. La radiation n’a toujours pas lieu, mais je suis renvoyé par le Conseil d’État devant une nouvelle chambre disciplinaire nationale.

Nouvelle contrainte, nouvelle attente, jusqu’au 28 juin 2023…

Entre-temps :

— Avril 2022 : je publie « Refusez l’aluminium dans tous les produits de santé. Pour des vaccins sûrs et sans danger ».

Ce livre, visant à me défendre de façon rigoureuse, avec toutes les références scientifiques, était destiné à mes collègues et au grand public. Aucun média n’en a parlé, aucun collègue n’a osé l’attaquer point par point. Les juges du Conseil national de l’Ordre, tous médecins, ne s’y sont pas intéressés. J’y défendais pourtant la sécurité vaccinale.

Cet ouvrage est en total accord avec mon collègue britannique, le Pr Christopher Exley, numéro 1 expert mondial des méfaits de l’aluminium chez l’humain. Il a été exclu de son université, car il sort, lui aussi, de l’orthodoxie vaccinale internationale.

Je rappelle que l’aluminium a disparu des plus importants vaccins vétérinaires du fait de l’apparition de cancers graves (sarcomes) dans la zone de vaccination ou ailleurs dans le corps de l’animal. Pourtant, l’aluminium persiste dans les vaccins pour l’humain ! Si l’enfant développe un sarcome, cela n’a – bien sûr ! – aucun rapport avec les vaccins, affirme-t-on aux parents. Aucune recherche n’a été réalisée sur ce sujet… On parle de temporalité et pas question de chercher la causalité !

Le Conseil de l’Ordre, pourtant informé, ne s’intéresse pas au domaine scientifique : il sanctionne, suspend, interdit, impose des protocoles thérapeutiques élaborés par Big Pharma (une poignée de groupes détenant un très grand nombre de laboratoires pharmaceutiques), grâce à la connivence de certains collègues en liens d’intérêt, pour leur service hospitalier, leur labo, leur recherche (! ?).

Souhaite-t-on transformer les médecins – généralistes et spécialistes – en bons soldats obéissant aveuglément ? Finie la liberté de prescription ? À quoi bon tant d’années d’études pour devenir médecin, si peu considéré désormais ?

— 18 avril 2023 : nouvelle comparution sur plainte du Conseil national pour avoir donné des conseils scientifiques et de bon sens pour la prévention de la Covid.

J’ai dû comparaître devant la chambre disciplinaire de la Région Occitanie, sur plainte du Conseil national, pour avoir donné ces conseils que le vice-président du National a considérés comme « charlatanesques » ! Attribuer ce qualificatif à un professeur de cancérologie et de chirurgie est insultant voire diffamatoire.

— 26 juin 2023 : le jugement a rejeté l’accusation du Conseil national du 18 avril 2023.

Encore une fois, harcèlement, le Conseil national ne supporte que j’aie pu être blanchi. Il a fait immédiatement appel devant la chambre nationale en ajoutant une autre plainte :

« Le professeur Henri Joyeux a soigné la covid avec des médicaments qui n’avaient pas l’AMM dans ces indications ». Ceux de mes collègues Raoult et Perronne, les plus compétents en infectiologie… Je risque encore une fois la radiation.

En plus des vaccinés une ou plusieurs fois (plus de 300), j’ai effectivement soigné plus de 500 personnes : aucune des personnes atteintes du coronavirus n’a perdu la vie, ni dû être hospitalisée en réanimation.

— 28 juin 2023 : je comparais devant une nouvelle chambre disciplinaire nationale.

La commission est présidée par une conseillère d’État assistée de 5 collègues.Il s’agissait du renvoi du Conseil d’État qui avait cassé le jugement me blanchissant totalement en juin 2018.

Le verdict est tombé le 1er septembre 2023 : « interdiction d’exercer pendant 2 ans. »

Il me reste un recours : le pourvoi en cassation, retour devant le Conseil d’État.

Conclusion

La confiance en notre Ordre atteint ses limites.

Mes chers collègues médecins, posez-vous cette question : à quoi servent les cotisations que vous impose la loi, celles du Conseil de l’Ordre des médecins ?

En bonne partie à payer des avocats qui ont pour mission de vous faire radier en utilisant, à leur façon, de multiples articles du Code de santé publique. Médecins, vous n’avez plus la liberté de prescrire ce que votre science et votre conscience vous dictent.

Cette persécution m’a rappelé une époque trouble : le Conseil de l’Ordre des médecins a servi, pendant la Seconde Guerre mondiale, à ficher l’origine religieuse des médecins. Certains ont été interdits d’exercer et envoyés dans des camps de concentration. François Mitterrand avait proposé, en 1981, de dissoudre le Conseil national de l’ordre…

Qu’en est-il aujourd’hui de son indépendance face aux intérêts de la finance et de la politique ? Je pose la question, redoutant la réponse.

Plus récemment, le Conseil, à tous ses niveaux, a poursuivi des médecins COURAGEUX refusant d’être vaccinés ou de vacciner leurs patients contre la Covid, avec des vaccins qui ont prouvé leur faible efficacité et, plus récemment, leurs dangers.

Plusieurs collègues me conseillent le pourvoi en cassation devant le Conseil d’État.

Je ne l’envisage pas pour le moment. Je prends le temps d’y réfléchir.

Mon expérience m’a suffisamment exposé aux méandres de cette juridiction. Je ne dois pas ignorer non plus ce que cela représente comme poids pour mon budget familial.

Ce serait pourtant la seule solution pour porter le fer devant la Cour européenne des Droits de l’Homme et obtenir que la France soit condamnée pour non-respect de la liberté d’expression d’un professeur de médecine français.

Je vous laisse juge du harcèlement – un mot tristement d’actualité – dont je suis l’objet.

Pour ma part, j’ai des choses plus importantes à faire dans le temps qui me reste, à 78 ans (grâce à Dieu, en bonne forme) : informer le plus grand nombre et faire connaître les meilleurs moyens de prévention des maladies de civilisation qui ne cessent de gagner du terrain. 

Si je perds mon titre de médecin pendant 2 ans, je reste professeur de médecine et tout ce qui est attaché à cette fonction.

Il en va de la LIBERTÉ D’EXPRESSION ET DE PRESCRIPTION

Henri Joyeux


 

Publié par El Diablo

 

 

14,5 % de la population française vit sous le seuil de pauvreté. Il n’y a jamais eu autant de pauvres depuis 1996.

Le constat est sans appel. Il est signé de Insee, l’institut national de la statistique publique, dans une étude publiée le 14 novembre. Les chiffres dévoilés par l’Insee concernent l’année 2021, alors que c’est surtout en 2022 que l’inflation des prix a commencé.

Quelle est l’impact de l’envolée des prix sur le niveau de vie des Français les plus défavorisés ?

La situation des plus modestes s’est dégradée pour nombre d’entre eux. A contrario, les plus riches ont vu leurs revenus confortablement augmenter.

La France comptait 9,1 millions de pauvres en 2021 : vivant avec moins de 1 158 euros par mois. C’est 552 000 de plus qu’en 2020 et 196 000 de plus qu’en 2019 !

C’est le nombre absolu de pauvres le plus élevé depuis 1996, date à laquelle commence la série statistique de l’Insee. Il n’y a jamais eu autant de pauvres en France depuis 25 ans.

De plus en plus nombreux et... de plus en plus pauvres

En 2021 on passe de 13,6 % de la population à 14,5 %. Le ministère des Solidarités tente de cacher la situation, en appelant à « remettre en perspective » cette hausse du taux de pauvreté et en soulignant que cela traduisait « un retour à la situation d’avant la crise sanitaire ». Faux, la moitié des personnes en situation de pauvreté ont un niveau de vie inférieur à 924 euros par mois, soit 20,2 % de moins que le seuil de pauvreté.

Des riches plus riches

Le niveau de vie de la moitié des Français a reculé en 2021. Une baisse plus prononcée pour les 20 % des ménages les plus modestes.

L’autre moitié de la population voit son niveau de vie augmenter, particulièrement chez les plus aisés : le niveau de vie du huitième décile augmente de 1,6 % et celui du neuvième de 1,1 %. « Le niveau de vie plancher des 5 % des ménages les plus aisés (95e centile) augmente de 5,6 % avant redistribution et de 4,5 % après redistribution (prenant notamment en compte les impôts et contributions sociales) », détaille l’Insee. Leurs salaires sont repartis à la hausse, mais aussi les revenus qu’ils tirent de leur patrimoine, grâce aux dividendes, des inégalités

Double peine pour les chômeurs

Cela ne devrait pas s’arranger en 2022, ni en 2023. En cause l’inflation, la réforme punitive de l’assurance chômage entrée en vigueur à partir d’octobre 2021, puis de celle qui est appliquée depuis février 2023, réduisant d’un quart la durée d’indemnisation des demandeurs d’emploi.

Déjà, en 2021, le taux de pauvreté des chômeurs a fortement augmenté pour atteindre 35,1 %. Or non seulement les chômeurs vont être moins bien indemnisés, du fait de la réforme, mais ils seront également plus nombreux, comme les derniers chiffres du chômage viennent de le confirmer.

Enfin, « la réforme des allocations logement visant à tenir compte des revenus des ménages en temps réel » est également entrée en application au mois de janvier 2021, rappelle l’Insee, avant d’ajouter :

« Elle a conduit à une baisse du montant total d’aides au logement versé par rapport à ce qu’il aurait été sans réforme. »

Encore plus de raison pour développer l'offensive face au gouvernement et au patronat et faire entendre la voix des travailleurs, des retraités, de la jeunesse !

 

Cinq choses que vous devriez savoir sur la surutilisation du téléphone cellulaire

ceci pour les “complotistes” qui se méfient de tout sauf de l’usage excessif d’un objet passé dans les moeurs. C’est du moins ce que nous disent les Cubains qui sont des gens sérieux. Lire des livres ce que je vous recommande, comme marcher, a au moins l’avantage de vous préserver des luminosités. Bon j’arrête l’écran( note et traduction de Danielle Bleitrach)

Prendre la position de se pencher pour utiliser les téléphones cellulaires est plus fréquent que nous l’avions imaginé, cependant, lorsque cela se produit pendant une longue période de temps, cela peut avoir de graves conséquences pour notre santé

Auteur: Yaditza del Sol González internet@granma.cu

10 novembre 2020 23:11:57

La postura asumida para revisar el teléfono celular afecta igualmente la salud del esqueleto humano, y entre las enfermedades asociadas está el desalineamiento de la columna. foto: Ariel Cecilio Lemus
La position prise pour vérifier le téléphone cellulaire affecte également la santé du squelette humain, et parmi les maladies associées est le désalignement de la colonne vertébrale. Photo: Ariel Cecilio Lemus

Il ne fait aucun doute que pour beaucoup de gens plus qu’un appareil électronique, les téléphones cellulaires intelligents ou les téléphones intelligents sont presque une partie extensible de leur corps, comme un organe supplémentaire sans lequel il serait déjà très difficile pour eux de continuer à vivre.

Sans avoir à tomber dans trop de métaphores, la vérité est que, dans une société de plus en plus numérisée, ces « dispositif » sont devenus nos principaux moyens de communication, non seulement par les outils associés tels que la caméra, lecteur de musique, GPS, mais aussi par toutes les micro-interactions qu’il permet, de l’examen de l’e-mail, les réseaux sociaux, l’Internet et d’autres applications mobiles.

Cependant, comme presque tout dans la vie, les excès ici deviennent nocifs. Selon des recherches récentes, menées par des scientifiques de l’Institut suisse de alpha en Suisse, l’utilisation constante de téléphones mobiles pourrait affecter notre mémoire, en particulier la mémoire à court terme.

L’étude, menée auprès de plus de 700 adolescents, a montré que les champs de radiofréquences électromagnétiques dans les téléphones mobiles peuvent avoir des effets néfastes sur la performance de la mémoire dans des régions spécifiques du cerveau.

La distraction, dans ces cas, est un facteur décisif. Lorsque nous utilisons le téléphone, nous ne sommes souvent pas concentrés sur une chose, mais nous interagissons dans différentes applications, et ce manque de concentration peut entraîner que de nouvelles informations ne puisse pas être stockées dans notre mémoire à long terme, selon les experts .

Bien que les analyses sur ce sujet ne soient pas concluantes, il existe d’autres risques physiques que nous devrions connaître et prendre en compte, car une exposition prolongée à ces appareils mobiles peut affecter notre santé d’une manière que nous n’imaginons parfois même pas.

NEURALGIA OCCIPITAL

Cette douleur musculaire, également connu sous le nom de syndrome du cou cassé, est principalement causée par la prise sur une mauvaise posture lors de l’utilisation des téléphones cellulaires, ce qui nous conduit parfois à pencher nos têtes.

Cette position forcée peut entraîner de graves conséquences pour le cou et le dos, car plus l’inclination à regarder le téléphone est grande, plus le poids sur nos épaules est élevé.

Pour éviter cette condition, qui provoque habituellement une brûlure dans le cou, qui commence à la base de la tête et s’étend à travers le haut du cuir chevelu, il est recommandé de garder la colonne vertébrale étendue avec les oreilles alignées avec les épaules et le téléphone cellulaire au niveau des yeux.

DOMMAGES À LA COLONNE VERTÉBRALE

La posture prise pour vérifier le téléphone cellulaire affecte également la santé du squelette humain, et parmi les maladies associées est le mauvais alignement de la colonne vertébrale, la perte de la capacité de volume pulmonaire et même une hernie discale.

Une étude publiée dans Surgical Technology International a estimé qu’une tête humaine pèse entre quatre et cinq kilos, mais en l’inclinant pour regarder l’écran du téléphone cellulaire, la tension que nous exerçons sur la colonne vertébrale augmente à 27 kilos, si nous plions le cou à environ 60 degrés.

Cet avertissement est fait, avant tout, par les médecins et les physiothérapeutes, préoccupés par le nombre de patients, en particulier les enfants et les adolescents, qui restent connectés à ces dispositifs pendant des heures, augmentant le risque de complications dans ces parties du corps.

Le stress excessif sur les vertèbres cervicales entraîne une perte future de courbure naturelle (bosse), d’usure prématurée et de dégénérescence, préviennent les spécialistes.

DOULEUR ET RAIDEUR DANS LES MAINS ET LES DOIGTS

Passer la plupart de votre temps avec votre téléphone cellulaire dans vos mains peut également aboutir à des fractures. Le mouvement répétitif dans les doigts cause des dommages aux tendons et aux nerfs des mains, et nous pouvons même remarquer quelques picotements. La maladie la plus courante est la tendinite, à la suite de l’inflammation du tissu qui relie le muscle à l’os.

Insomnie

Certaines recherches ont indiqué que les lumières LED des comprimés, des téléphones cellulaires et d’autres dispositifs peuvent interférer avec les mécanismes du cerveau qui produisent la mélatonine, hormone du sommeil.

La luminosité de l’écran fait penser à notre cerveau qu’il fait encore jour et que nous pouvons rester plus éveillés, disent les experts . Pour éviter cela, il est conseillé de ne pas utiliser le téléphone lorsque vous allez dormir ou de diminuer la luminosité supplémentaire sur l’écran.

Nous ne pouvons pas oublier que la santé mentale et le sommeil sont liés, et dormir mal ou peu peut causer la dépression et des problèmes physiques tels que l’hypertension artérielle, le diabète et l’obésité.

AFFECTATIONS DANS LA VUE

Selon une étude publiée dans Scientific Reports, des chercheurs de l’Université de Toledo, Ohio, Etats-Unis, a constaté que la lumière bleue des téléphones cellulaires et des écrans d’ordinateur portable provoque des dommages irréversibles à la vue, et peut accélérer les processus de cécité.

Une exposition prolongée à ce faisceau du spectre lumineux provoque des molécules toxiques à générer dans les cellules de l’œil qui sont responsables de voir, les scientifiques se réfèrent. Ce processus peut causer la dégénérescence maculaire, un trouble qui détruit lentement la vision centrale et aiguë.

Quand il s’agit d’experts, la lumière bleue a plus d’énergie et une longueur d’onde plus courte que d’autres couleurs, de sorte qu’il endommage progressivement l’œil.

D’autre part, si nous prenons en compte que les lettres sur le téléphone cellulaire sont très petites et nos yeux doivent faire un plus grand effort pour lire toute la journée, notre vue finit par plus fatigué et floue en raison d’une exposition prolongée, qui provoque des dommages à court terme, tels que la myopie temporaire.

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