jeudi 29 octobre 2020

Vous avez dit culture ? Vous avez dit santé ?

Publié le 29 Octobre 2020

Le mot culture jamais prononcé

et pour la santé,

sur les 15 dernières années

environ 70 000

lits d'hopitaux ont été

par lui et sa toute sa bande

concassés.

Vous avez dit culture ? Vous avez dit santé ?
Oyez, oyez.
Confinator a parlé.
Le Medefland est sauvé.
Les libertés vont trinquer.
la culture sera noyée
Et la santé pas mieux soignée

Rédigé par Canaille Lerouge

 

 

Nice, Avignon : la France frappée

par l’islamisme et l’extrême droite

 dans la même journée

Nice, Avignon : la France frappée  par l’islamisme et l’extrême droite   dans la même journée

 

Une semaine seulement après l’assassinat atroce de Samuel Paty, la France est une nouvelle fois frappée d’effroi. Ce jeudi 29 octobre, trois personnes ont été tuées lors d’une attaque au couteau d’un terroriste islamiste dans la Basilique Notre-Dame de Nice. Ce même jour à Avignon, un militant d’extrême droite a été abattu après avoir menacé un commerçant maghrébin avec une arme de poing. Ces deux évènements tragiques rappellent que les terroristes islamistes et l’extrême droite ont une volonté commune : diviser le peuple Français. La paix civile est en jeu.

 

Un attentat terroriste à Nice, un membre de génération identitaire abattu à Avignon

Ce jeudi 29 octobre aux alentours de 9 heures du matin, la France a de nouveau été frappée d’effroi. Après l’attentat contre l’ancien siège du journal Charlie Hebdo le 25 septembre, l’atroce assassinat de Samuel Paty le 16 octobre, c’est un nouveau drame. Un homme a lâchement attaqué des croyants au couteau à la Basilique Notre-Dame de Nice, tuant trois de nos concitoyens. Après la liberté de savoir et la liberté d’expression attaquées il y a dix jours, c’est la liberté du culte qui est aujourd’hui attaquée. Un pilier de notre République, la laïcité en France étant l’héritière d’une bataille implacable pour la liberté du culte.

Dans la foulée, vers 11h15 : un homme a été abattu par la police à Avignon après avoir menacé des passants avec une arme. Le journal d’extrême droite Valeurs Actuelles s’empresse de tweeter que l’Homme aurait crié «Allah Akbar». Selon les informations de Mediapart, l’homme de 33 ans qui a été abattu par la police après avoir menacé d’une arme de poing un commerçant maghrébin était en fait membre du groupuscule d’extrême droite Génération identitaire. Le Monde indique d’ailleurs que l’homme avait revendiqué son appartenance à Génération identitaire quand il a menacé le commerçant en fin de matinée, à Montfavet, quartier d’Avignon. Une information confirmée par le procureur de la République d’Avignon.

L’extrême droite et les islamistes ont un intérêt commun :

couper la société en deux camps

C’est bien la paix civile qui est en jeu. Les militants d’extrême droite et les islamistes poursuivent un même dessin : fracturer le pays. Tracer une ligne de démarcation entre les Français musulmans et les Français non musulmans. Il ne faut pas céder. 

 

Blog de Michel Dandelot

URGENCE ALIMENTAIRE POUR CUBA

Une urgence pour cuba !Participez au financement de premiers projets 

Les causes de ce déficit de production – tant extérieures qu’intérieures - sont multiples et tiennent en particulier au blocus imposé par les États-Unis, blocus singulièrement renforcé par le Président Donald Trump. Les conséquences de la pandémie de la Covid-19 ont considérablement dégradé une situation déjà compliquée. Dans ce contexte, les autorités cubaines ont décidé de faire de la souveraineté alimentaire, la priorité des priorités.Cuba Coopération France, tout en poursuivant la mise en œuvre de projets concrets de coopération décentralisée, a décidé de s’inscrire dans cette démarche et a demandé aux responsables de la Province de Cienfuegos de lui proposer une série de projets que l’association pourrait prendre en charge. Cuba souffre d’une production alimentaire insuffisante pour les besoins de la population cubaine, tant en agriculture qu’en élevage. Elle devait compenser cela en ayant recours massivement à des importations, rendues aujourd’hui difficiles compte tenu de la situation économique du pays.10 projets ont été transmis. Ils ont été examinés par le «collectif agriculture » de Cuba Coopération France. 4 projets ont été jugés dignes d’intérêt et ont été retenus par le Conseil d’Administration du 26 septembre 2020 :

 1 Projet de transformation lié à l’apiculture,développement de la production de produits dérivés du miel. 

2 Projet d’ atelier de transformation de viande en produits finis sur le site d’un élevage de porcs, une ferme, entreprise de type UBPC (Unités Basiques de Production Coopérative).

 3 Projet de réalisation d’une unité de mise en conserve d’une partie de la production de fruits et légumes d’une coopérative de type CCS (Coopérative de Crédits et Services). 

4 Projet sur la pêche et l’aquaculture pour développer la production et la conservation des produits.Cuba Coopération France ne pourra probablement pas prendre en charge la totalité de ces 4 projets. Des renseignements et des explications complémentaires ont été demandés par le « collectif agriculture » aux autorités de Cienfuegos pour permettre à l’association d’arrêter un choix sur 1 ou 2 de ces projets.

 

INTERLUDE AVEC L'EMBELLIE - JEAN FERRAT


 DANS CE MONDE EMPRISONNÉ.....L'EMBELLIE, QUI RENAÎTRA BIEN UN JOUR

POUR NE PAS LAISSER DÉTRUIRE NOTRE MÈRE NATURE....SORTIR DU CAPITALISME


PIQÛRE DE RAPPEL: QUI SONT LES COMPLICES DU FASCISME ISLAMISTE?


Publié par Marianne
 Nazir Hakim, président du groupe scolaire Al Kindi, situé à Décines-Charpieu, dans la métropole lyonnaise, est proche d’une organisation suédoise, The Commission for the Protection of Civilians, qui a procuré des armes à Al-Qaïda en Syrie.Depuis 2007, date de l’ouverture d’Al Kindi à Décines-Charmieu, grosse bourgade de près de 30 000 âmes située à un coup d’accélérateur de Lyon, cet établissement scolaire privé musulman mène une vie plutôt discrète. Le collège et le lycée ont signé en 2012 un contrat d’association avec l’Éducation nationale. En revanche, l’école primaire ne bénéficie que d’un contrat simple. Certes, un ancien proviseur adjoint a posé un congé sabbatique après avoir été élu sur une liste présentée par le parti Ennahda en Tunisie. Un autre s’est porté candidat au nom du Parti égalité et justice, qui ne cache pas ses liens avec le pouvoir turc. Mais, jusqu’à nouvel ordre, il n’est pas interdit en France d’appartenir à la mouvance des Frères musulmans. Ni de faire profiter le demi-millier d’élèves d’Al Kindi des « lumières » d’Hani Ramadan, sulfureux directeur du Centre islamique de Genève et frère du non moins sulfureux Tariq, plusieurs fois mis en examen pour diverses affaires de « viol » et « viol sur personne vulnérable ». Ou encore de Nabil Ennasri, fondateur de l’Observatoire du Qatar, invité pour des conférences. Évoquant ses activités spirituelles et citoyennes, le site d’Al Kindi nous apprend qu’en novembre 2014, « l’établissement a organisé, en collaboration avec l’ONG humanitaire CBSP, une course solidaire pour Gaza, à laquelle ont participé tous les élèves du collège et du lycée. » CBSP, c’est le Comité de bienfaisance et de secours aux Palestiniens. Une ONG parfois soupçonnée, même si elle s’en défend, de liens financiers avec le Hamas. Malgré ce CV que d’aucuns jugeraient un peu chargé, après douze années d’existence, cet établissement privé musulman n’avait jamais attiré l’attention des autorités locales ou nationales. DES FINANCEMENTS VENUS DU QATAR ? Mais les quelques lignes que lui consacrent Christian Chesnot et Georges Malbrunot dans l’ouvrage Qatar papers : comment l’émirat finance l’islam de France et d’Europe (Ed. Michel Lafon), paru le 4 avril, risquent de provoquer des remous, bien au-delà de la métropole lyonnaise. Ainsi, l’association Al Kindi, à l’origine du projet du lycée du même nom, aurait perçu aux environs de 133 000 euros en mai 2008 provenant de l’Association musulmane d’Alsace (AMAL). Plus précisément, il s’agit de deux versements, l’un de 45 935 euros, le 5 février 2008, et l’autre de 87 360 euros, le 28 mars 2008. Problème : l’argent a été versé précédemment à l’AMAL par la Qatar foundation, financée par la famille régnante de l’émirat gazier, comme le révèle un document de la Direction générale de la police nationale (DGPN). Ce cheminement, pour le moins complexe, ne révélerait-il pas une volonté de dissimuler le véritable donateur ? Les sommes devaient initialement permettre l’édification d’une mosquée.  Par ailleurs la personnalité même de Nazir Hakim, fondateur et actuel président du groupe scolaire Al Kindi, ajoute aux interrogations que suscite cet étrange établissement. Les deux auteurs de Qatar papers racontent l’avoir croisé en novembre 2012 à Marrakech, lors d’une conférence des amis de la Syrie. Nazir Hakim leur confie que « toutes les armes étaient bonnes à utiliser contre Bachar al-Assad, y compris celles du Front al-Nosra », filiale d’Al-Qaïda en Syrie. Or, les États-Unis venaient juste d’inscrire le Front al-Nosra sur la liste des organisations terroristes. Cela n’a pas empêché François Hollande de recevoir Nazir Hakim à l’Élysée, avec d’autres opposants syriens, lit-on également dans le livre de Chesnot et Malbrunot. “NOUS SOMMES PARTOUT”Plus perspicaces, les autorités suédoises, comme Marianne le révèle aujourd’hui, ont mis leur nez dès 2013 dans un trafic d’armes vers la Syrie via une organisation baptisée The Commission for the Protection of Civilians (CPC). Elle a été fondée par un certain Haytham Rahmeh, né à Homs, d’origine syrienne et naturalisé suédois. Il s’agit d’un ancien imam d’une mosquée de Stockholm. Les armes et munitions étaient acheminées depuis la Libye et la Bosnie et entraient en Syrie par la frontière turque. Le 1er novembre 2013, la radio nationale suédoise Sveriges Radio était en mesure d’affirmer que la CCP n’est autre qu’une émanation du Syrian national council, créé à Doha en novembre 2011, dont Nazir Hakim, né à Alep en 1950, est l’un des fondateurs. Le président du Groupe scolaire Al Kindi aurait d’ailleurs reconnu sur les ondes de la radio suédoise que son organisation comptait 2 000 combattants en Syrie et qu’elle collaborait avec des groupes djihadistes, comme le Front al-Nosra (rebaptisé depuis Jabhat Fatah al-Sham), lié à Al-Qaïda. Le plus tranquillement du monde Nazir Hakim précisait même que cette « milice » opérait à « Halab (Alep), Al-Asor (Deir ez-Zor), Latakia (Lattaquié), Hama, Homs and Damaskus (Damas). » Concluant : « Nous sommes partout. » Étonnamment, depuis 2013, ces informations ne semblent jamais être parvenues aux oreilles de la lutte antiterroriste française. Les services suédois n’ont, il est vrai, apparemment pas conduit des investigations très poussées pour en apprendre un peu plus. Pourtant Haytham Rahmeh, citoyen suédois, aurait pu être au minimum poursuivi pour avoir fait commerce de matériel militaire sans autorisation… UN MATRICULE PAS BANAL Quant à Nazir Hakim, il n’a jamais fait mystère de ses liens avec les Frères musulmans. Dans un portrait publié sur le site de la Coalition nationale des forces de l’opposition et de la révolution syrienne, on apprend qu’il a rejoint le mouvement politique islamique en Syrie et a été contraint de quitter le pays en 1976 pour échapper au régime, en raison de son « activité dissidente ». Il serait titulaire de trois doctorats en informatique et en microélectronique, obtenus en France. D’autre part, Nazir Hakim affirme avoir « enseigné dans les universités françaises ». Ce matricule pas banal avait tout de même attiré l’attention d’Alain Morvan, spécialiste de la littérature anglaise et ancien recteur de l’académie de Lyon. Pour s’être publiquement opposé à la création du groupe scolaire Al Kindi, qualifiant d’« intégristes » les porteurs du projet, le fonctionnaire a été débarqué sans ménagement en mars 2007 par Gilles de Robien, alors ministre de l’Éducation nationale. Accusé de « manquements multiples à l’obligation de réserve », l’ancien recteur a réglé ses comptes dans un livre intitulé L’Honneur et les honneurs. Souvenirs d’un recteur « kärcherisé » (Ed. Grasset). Selon Morvan, Nicolas Sarkozy aurait pareillement exercé des pressions pour que l’ancien recteur de Lyon assouplisse son attitude… Quant à Nazir Hakim, alors vice-président de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) – proche, elle aussi, des Frères musulmans – il organisait des manifestations sous les fenêtres du rectorat de Lyon aux cris de « Morvan taliban ! » Contacté le mercredi 3 avril, le président du Centre scolaire Al Kindi n’a pas répondu à notre appel. Par Ian Hamel

Note de Pedrito: Il y a longtemps que le feu couve sous la marmite, mais qui s'en est inquiété, parmi nos gouvernants? Qu'ont-ils fait, sinon l'attiser?