Il fallait le faire : il l'a fait !!!
Il fallait oser le dire: "Il " a osé!!
Sur les cadavres encore tout chauds de l'équipe de CHARLIE HEBDO, assassinés de sang froid par les barbares fascistes du jihad, organisation criminelle au moins aussi cruelle que celles des SS nazis, Viard a osé publier une saloperie innommable, se comporter en citoyen Français indigne: il a déclaré en espagnol - sur un tweet adressé aux Espagnols - que
"Charlie est le journal le plus violent (sic) ! qu'il y ait eu en France ", concluant par:
"Yo no soy Charlie"!!
et citant, pour étayer ses propos, un article anti corrida diffusé en son temps par l'hebdomadaire satirique qui publie régulièrement, comme c'est son droit, ses pamphlets et dessins contre la corrida.
Propos écoeurants! Révoltants! Indignes!!
Et c'est ce type qui représente les cultures taurines....
Propos écoeurants! Révoltants! Indignes!!
Et c'est ce type qui représente les cultures taurines....
Il a, depuis, fait marche arrière, sans doute après s'être fait vertement remonter les bretelles par ses amis de l'ONCT, pour cette outrance criminelle. Sur le blog de la FSTF, heureusement un article de M. Dhomps exprime clairement une opinion sans concession contre les auteurs de la tuerie: condamnation du crime, de tous les crimes, et des atteintes à la liberté d'expression... Toutefois, je n'ai relevé aucune allusion aux écrits de Viard, aucune condamnation à ses éructations inqualifiables. Depuis, monsieur "no soy" a publié une déclaration où il regrette sa réaction spontanée. Trop tard!! Lorsque j'ai appris personnellement, il y a quelques années, que des criminels avaient tenté d'incendier son domicile, à Vieu Boucau, je ne me suis surtout pas réjoui du forfait de ces misérables "justiciers de l'ombre", au contraire, même si je trouve que Viard est loin d'être le meilleur des ambassadeurs pour représenter l'ONCT. Sa dernière forfaiture confirme, si besoin était, que lui et moi nous n'avons pas les mêmes valeurs, je ne parle même pas d'aficion, puisque son fonds de commerce est sa motivation première. Viard n'est pas un perdreau de la dernière couvée, il a depuis longtemps choisi ses amis, ses alliés du mundillo, du pognon roi, des affairistes....
Savoir reconnaître humblement le courage vrai, celui d'artistes qui continuent de lutter, armés de leurs seuls crayons, dessin après dessin, semaine après semaine, contre l'obscurantisme moyenâgeux, jusqu'à en mourir, des artistes seulement passionnés de paix, même si nous étions leur cible anti taurine, assassinés par des connards incultes, au cerveau probablement irrigué par une infusion de yaourt et de cannabis: est-ce si déshonorant? Rendre enfin hommage à ces martyrs, sans mégoter, sans chicaner, sans se chercher, pour lui, pour ses intérêts mercantiles, de minables alibis anti taurins, sa boutique dût-elle en souffrir: est-ce à ce point difficile et contraignant de descendre de ce tout petit piédestal où il s'était juché et où il continue, sin vergüenza, de se cramponner?
PS J'ai lu, par ci par là, que mon blog étant fermé, je continuais malgré tout d'y écrire. C'est vrai, pour la seule raison que je tente de le transformer en ce titre, "L'INSOUMIS", tel qu'il figure en haut de cette page. Il me manque juste la méthode...Et si quelqu'un peut venir techniquement à mon secours, il sera le bienvenu ...
En attendant, je ne peux rester coi, ni soumis.
Savoir reconnaître humblement le courage vrai, celui d'artistes qui continuent de lutter, armés de leurs seuls crayons, dessin après dessin, semaine après semaine, contre l'obscurantisme moyenâgeux, jusqu'à en mourir, des artistes seulement passionnés de paix, même si nous étions leur cible anti taurine, assassinés par des connards incultes, au cerveau probablement irrigué par une infusion de yaourt et de cannabis: est-ce si déshonorant? Rendre enfin hommage à ces martyrs, sans mégoter, sans chicaner, sans se chercher, pour lui, pour ses intérêts mercantiles, de minables alibis anti taurins, sa boutique dût-elle en souffrir: est-ce à ce point difficile et contraignant de descendre de ce tout petit piédestal où il s'était juché et où il continue, sin vergüenza, de se cramponner?
PS J'ai lu, par ci par là, que mon blog étant fermé, je continuais malgré tout d'y écrire. C'est vrai, pour la seule raison que je tente de le transformer en ce titre, "L'INSOUMIS", tel qu'il figure en haut de cette page. Il me manque juste la méthode...Et si quelqu'un peut venir techniquement à mon secours, il sera le bienvenu ...
En attendant, je ne peux rester coi, ni soumis.