lundi 15 juin 2020

 Une bonne nouvelle contre l'autoritarisme de Macron:

 Le Conseil d’État suspend l’interdiction générale et absolue de manifester sur la voie publique

Publié le par Front de Gauche Pierre Bénite
Une bonne nouvelle contre l'autoritarisme de Macron : Le Conseil d’État suspend l’interdiction générale et absolue de manifester sur la voie publique
Le juge des référés du Conseil d’État estime que l’interdiction de manifester n’est pas justifiée par la situation sanitaire actuelle lorsque les « mesures barrières » peuvent être respectées.
Dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire instauré pour faire face à l’épidémie de covid-19, l’article 3 du décret du 31 mai 2020 interdit les rassemblements, réunions ou activités réunissant plus de dix personnes dans l’espace public. Divers associations et syndicats ont demandé au juge des référés du Conseil d’État de suspendre l’application de cette interdiction pour les manifestations dans l’espace public.
Le juge des référés relève que le Haut Conseil de la santé publique ne préconise, dans ses recommandations du 24 avril 2020, aucune restriction à la circulation dans l’espace public tant que les « mesures barrières » sont respectées (distanciation d’un mètre ou port du masque notamment), et qu’une reprise de l’épidémie n’est pas constatée.
Alors que la liberté de manifester est une liberté fondamentale, le juge des référés en déduit que, sauf circonstances particulières, l’interdiction des manifestations sur la voie publique n’est justifiée par les risques sanitaires que lorsque les « mesures barrières » ne peuvent être respectées ou que l’événement risque de réunir plus de 5 000 personnes.
Le juge rappelle par ailleurs que, conformément à la loi, toute manifestation sur la voie publique doit faire l’objet d’une déclaration préalable à la mairie ou la préfecture, et qu’elle peut être interdite par les autorités de police ou le préfet, s’ils estiment qu’elle est de nature à troubler l’ordre public, y compris pour des motifs sanitaires, ou lorsque les circonstances locales l’exigent.
En conséquence, le juge des référés suspend l’exécution de l’article 3 du décret du 31 mai 2020, pour les manifestations sur la voie publique soumises à l’obligation d’une déclaration préalable.
 

JUSQU'À QUAND DES TYPES AUSSI DANGEREUX POURRONT-ILS MENACER LA PAIX DU MONDE SANS DEVOIR RENDRE DES COMPTES, AVANT D'ÊTRE MIS HORS D'ÉTAT DE NUIRE?
DÉFINITIVEMENT.....

(Il est aussi vrai que ce rictus m'en rappelle un autre, géographiquement beaucoup plus proche, mais tout aussi dangereux car significatif  de cette folle soif de gouverner qui fait de nous leurs otages à la merci de leurs outrageantes prétentions)

BFM TV et Cie détestent les Gilets jaunes
mais adorent le Comité Adama Traoré
par Dominique Muselet

lundi 15 juin 2020, par Comité Valmy «  Extraits  de l’article de Dominique Muselet»

Pourquoi les médias sont-ils en extase
devant le comité de soutien à Adama Traoré ?

Il y a évidemment la fascination qu’opère la rédemption sur le commun des mortels. Voilà une famille dont les mauvaises langues prétendent qu’elle est composée d’un père, de quatre mères et de 17 enfants, dont 5 seraient des délinquants qui feraient régner la terreur dans certains quartiers, et qui, tout à coup, frappée par la tragédie, se convertit à ce qu’il y a de plus beau au monde aux yeux de médias, puisque ça nous vient des Etats-Unis, l’empire voyou du bien, et que ça arrange le gouvernement qui veut faire oublier sa gestion calamiteuse de la crise sanitaire et la cure de précarité qu’il nous concocte, je veux bien sûr parler de l’antiracisme. Une cause qui semble même avoir dépassé en beauté, en vertu, en urgence, et même en popularité, l’antisémitisme. Ce n’était pas gagné !
Loin de moi l’idée de me moquer de la rédemption, de l’antiracisme ou de l’antisémitisme, encore plus loin de moi l’idée de nier la douleur de perdre un être cher et la grandeur du combat pour la justice et la vérité.
C’est juste que tous les ingrédients sont réunis pour que les médias s’emballent. Et quand les médias s’emballent, tout devient possible. On a vu comment, aidés par la science, ils ont terrorisé toute la planète avec la pandémie du coronavirus, au point de nous faire tous enfermer pendant deux mois, de décourager les familles de renvoyer leurs enfants à l’école, de causer la faillite de centaines de petites entreprises et commerces, d’appauvrir toujours plus la population.
Le seul obstacle à leur adhésion totale et inconditionnelle au Comité Adama Traoré, c’est la police. Hélas, la police ne partage pas leur engouement pour la famille Traoré, ni leur foi du charbonnier dans sa rédemption. La police est méfiante par nature et le récent lâchage de son ministre l’a rendue plus méfiance encore. De plus, ce ne sont pas les simples policiers qui ont décidé de la militarisation de la police sous l’égide d’Israël qui a acquis, en plus de 50 ans de répression barbare des Palestiniens, une expertise reconnue par tous les pouvoirs policiers dans le domaine de la guerre contre son propre peuple. Ils n’ont pas non plus décidé de la nouvelle doctrine du maintien de l’ordre. On comprend qu’ils n’aient pas envie de servir de boucs émissaires à ce pouvoir en perdition.
Les médias qui ont soutenue aveuglément la police malgré toutes les exactions qu’elle a commises, avec la bénédiction de sa hiérarchie et de la justice, contre les gilets jaunes et dans les banlieues, ne peuvent pas se permettre de se fâcher avec elle. La sécurité est leur fonds de commerce et il y a une marge entre jouer avec le feu de la délinquance et se priver de ses sources dans la police. Que feraient-ils de leurs innombrables consultants justice police ?
Heureusement, les médias sont passés maîtres dans l’art de dire une chose et son contraire, de soutenir tous les camps (sauf les gilets jaunes), de ménager la chèvre et le chou, de critiquer, dénoncer, reprocher, mais pas trop, quitte à nier la réalité, à l’instar de la Macronie qui, fidèle à sa doctrine du en même temps, a choisi de « laisser manifester mais pas trop » comme l’explique avec un demi-sourire un policier du syndicat Unité SGP.
Et donc, les présentateurs tentent de se maintenir sur le fil du rasoir et de ne contrarier ni Assa Traoré, ni la police. Vont-ils faire un faux-pas ? Le suspense est grand. «  Tout de même, on a envie d’avoir une police irréprochable », entend-on avec stupeur un commentateur de BFM TV dire à un syndicaliste de la police. Comment la police n’est pas irréprochable ? BFM TV ne nous a-t-il pas toujours affirmé que les Gilets jaunes étaient les seuls responsables de leurs malheurs ?
Si seulement les médias étaient aussi irréprochables qu’ils demandent à la police de l’être !
Sur le coup de 19 heures, juste au moment où on avait enfin trouvé sur les plateaux un bouc émissaire qui mettait tout le monde d’accord, la police, le comité Traoré et les médias, à savoir la justice, sa lenteur, ses ratés et son deux poids deux mesures, le Juge des référés du Conseil d’état, ayant sans doute pris en pitié les pouvoirs en place et leurs porte-paroles médiatiques, a fait cesser le suspense, en décidant de suspendre l’interdiction générale absolue de manifester sur la voie publique. Ouf, il était temps. Ça devenait vraiment casse-gueule ! Même Macron aurait eu du mal à expliquer, pendant son allocution solennelle (enregistrée et retransmise) de dimanche soir, pourquoi on ne pouvait pas se réunir à 10 pour un mariage mais qu’on pouvait se réunir à 15 000 pour une manif de soutien à Adama Traoré.

À la différence des Gilets jaunes, le mouvement antiraciste ne menace pas le pouvoir

La seconde raison pour laquelle les médias adorent la famille Traoré et haïssent les Gilets jaunes, c’est parce que la famille Traoré, qui demande un procès équitable au nom de l’antiracisme en se réclamant de Black Lives matter, ne menace pas le pouvoir en place.
Ce n’est pas un mouvement social, à la différence des Gilets jaunes, comme Yves Veyrier l’a très bien dit sur LCI : « Un mouvement social a des revendications sur les salaires, les retraites, le chômage, là, non ». Le mouvement des Gilets jaunes était subversif. Il voulait que le peuple reprenne le pouvoir pour construire une société plus égalitaire et plus libre. Il s’attaquait pèle-mêle au capitalisme, à l’UE, à l’impérialisme, aux privilèges, aux actionnaires, aux banques, à Macron. Les luttes syndicales contre les réformes libérales sont elles aussi de moins en moins tolérées et de plus en plus durement réprimées.
Mais Black Lives matter, dont s’inspire le Comité Adama Traoré, s’accommode très bien du capitalisme et de l’ordre social établi, ainsi que nous l’explique Paul Street dans un article tout à fait passionnant intitulé : Qu’est-ce que les Black Panthers penseraient de Black Lives Matter ?  : «  Black Lives Matter fondé par trois militantes professionnelles des associations à but non lucratif et de la collecte de fonds (Garza, Cullors et Opal Tometi) ayant depuis longtemps des « liens étroits avec des entreprises, des fondations, des universités et des agences gouvernementales » – ne représente aucune menace similaire aux Black Panthers envers l’ordre établi … Il n’appelle pas à une large rébellion populaire contre les structures d’oppression combinées et interconnectées du racisme, du capitalisme, de l’impérialisme et du patriarcat. »
D’ailleurs, en août 2016, BLM a « obtenu 100 millions de dollars de la Fondation Ford et d’autres philanthro-capitalistes d’élite (dont la Fondation Hill-Snowden, la Fondation NoVo, Solidaire, JPMorgan Chase et la Fondation Kellogg) ». Dis-moi qui te finance et je te dirai qui tu es…
Croyez-vous vraiment que BFM TV, Castaner, les démocrates étasuniens et tous les progressistes occidentaux qui peuplent les allées du pouvoir encenseraient les manifestants comme ils le font et leur déclareraient allégeance en pliant le genou devant eux, si leur mouvement était véritablement révolutionnaire, au lieu de n’être qu’un mouvement « progressiste, rempli des dernières et meilleures idées libérales et sociales-démocrates pour créer un capitalisme américain plus juste, plus inclusif, plus démocratique et plus durable sur le plan social, économique et racial. »
Rien à voir avec les black panthers, comme l’explique encore Paul Street : « Nous croyons », écrivait en 1969 le ministre de l’Information des Panthers, Eldridge Cleaver, « à la nécessité d’un mouvement révolutionnaire unifié … informé par les principes révolutionnaires du socialisme scientifique. » Formés par de jeunes intellectuels noirs qui avaient lu Marx, Lénine, Mao, W.E.B. Du Bois, Malcom X et Frantz Fanon, les Panthers avaient fusionné le nationalisme noir avec le marxisme dans une opposition militante à tous les maux cités par King, en accord avec sa conclusion selon laquelle la « vraie question à affronter » au-delà des questions « superficielles » était « la reconstruction radicale de la société elle-même ».
La solution, selon les Panthers, était la révolution, une transformation de toute la société, à réaliser en combinant les forces des « prolétariats » noir, brun, jaune, rouge et blanc en opposition à l’empire capitaliste et raciste américain. Cette idée était le « Black Power » mais aussi et, plus largement, le « Power to the People » (« Pouvoir pour le peuple »). Comme l’a expliqué le jeune et légendaire Black Panther de Chicago Fred Hampton dans un discours prononcé en 1969 :
Nous devons faire face à certains faits. Que les masses sont pauvres, que les masses appartiennent à ce que vous appelez la classe inférieure, et quand je parle des masses, je parle des masses blanches, je parle des masses noires, et des masses brunes, et des masses jaunes aussi. Nous devons admettre que certains disent que le feu est le meilleur moyen de combattre le feu, mais nous disons que l’eau est le meilleur moyen d’éteindre le feu. Nous disons qu’on ne combat pas le racisme par le racisme. Nous allons combattre le racisme par la solidarité. Nous disons qu’on ne combat pas le capitalisme en rejetant le capitalisme noir, mais qu’on combat le capitalisme par le socialisme. »
Les Panthers, comme les Gilets jaunes, comme les Communards, comme tous ceux qui remettent en cause les fondements du capitalisme et le pouvoir de la bourgeoisie, ont fait, font et feront toujours face à une répression féroce, c’est même à cela qu’on les reconnait.
Dominique Muselet
15 juin 2020

Discours de la servitude volontaire — Wikipédia LA BOÉTIE (Étienne de)]

Discours de la servitude volontaire

par D'Estienne de La Boétie

 Le Discours de la servitude volontaire
 a été écrit par La Boétie alors que celui-ci n'avait que 18 ans (1574). Le texte fut édité à titre posthume.

Pour écouter le discours d'Etienne de la Boétie
CLIQUEZ CI-DESSOUS
https://www.youtube.com/watch?v=b5lbSgILCrY
Et lisez ces quelques lignes, vous en mesurerez l'actualité
  Pauvres gens misérables, peuples insensés, nations opiniâtres à votre mal et aveugles à votre bien ! Vous vous laissez enlever sous vos yeux le plus beau et le plus clair de votre revenu, vous laissez piller vos champs, voler et dépouiller vos maisons des vieux meubles de vos ancêtres ! Vous vivez de telle sorte que rien n’est plus à vous.
Il semble que vous regarderiez désormais comme un grand bonheur qu’on vous laissât seulement la moitié de vos biens, de vos familles, de vos vies. Et tous ces dégâts, ces malheurs, cette ruine, ne vous viennent pas des ennemis, mais certes bien de l’ennemi, de celui-là même que vous avez fait ce qu’il est, de celui pour qui vous allez si courageusement à la guerre, et pour la grandeur duquel vous ne refusez pas de vous offrir vous-mêmes à la mort.
Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire.
D’où tire-t-il tous ces yeux qui vous épient, si ce n’est de vous ?
Comment a-t-il tant de mains pour vous frapper, s’il ne vous les emprunte ?
Les pieds dont il foule vos cités ne sont-ils pas aussi les vôtres ?
A-t-il pouvoir sur vous, qui ne soit de vous-mêmes ?
Comment oserait-il vous assaillir, s’il n’était d’intelligence avec vous ?
Quel mal pourrait-il vous faire, si vous n’étiez les receleurs du larron qui vous pille, les complices du meurtrier qui vous tue et les traîtres de vous-mêmes ?
Vous semez vos champs pour qu’il les dévaste, vous meublez et remplissez vos maisons pour fournir ses pilleries, vous élevez vos filles afin qu’il puisse assouvir sa luxure, vous nourrissez vos enfants pour qu’il en fasse des soldats dans le meilleur des cas, pour qu’il les mène à la guerre, à la boucherie, qu’il les rende ministres de ses convoitises et exécuteurs de ses vengeances.
Vous vous usez à la peine afin qu’il puisse se mignarder dans ses délices et se vautrer dans ses sales plaisirs. Vous vous affaiblissez afin qu’il soit plus fort, et qu’il vous tienne plus rudement la bride plus courte. Et de tant d’indignités que les bêtes elles-mêmes ne supporteraient pas si elles les sentaient, vous pourriez vous délivrer si vous essayiez, même pas de vous délivrer, seulement de le vouloir.

    Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres. Je ne vous demande pas de le pousser, de l’ébranler, mais seulement de ne plus le soutenir, et vous le verrez, tel un grand colosse dont on a brisé la base, fondre sous son poids et se rompre.


les Libertés, un combat à ne jamais abandonner. Honneur à ceux qui le portent sans faiblesse

Publié le 14 Juin 2020


Coup de pieds au cul
pour les cogneurs
                                                 du macronat 

 le Conseil d’État a rendu ce samedi soir une décision qui «suspend l’interdiction générale et absolue de manifester sur la voie publique». Interdiction encadrée par l’article 3 du décret du 31 mai 2020 sur l’état d’urgence sanitaire, selon lequel aucun rassemblement de plus de dix personnes sur le territoire national n’est permis. Un décret qui empêchait, de fait, les manifestations.
Cette décision fait suite à trois requêtes, déposées devant le conseil d’État par plusieurs syndicats et associations comme la CGT la FSU et la Ligue des droits de l’homme.
les Libertés, un combat à ne jamais abandonner. Honneur à ceux qui le portent sans faiblesse
Que le jour même des manifestations monstres contre le racisme et les violences policières le conseil d’Etat impose le retour du droit constitutionnel de manifester montre la nature, le sens et la dimension antidémocratique que ce pouvoir en place a décidés et mis en œuvre. 
Que ce même jour, s’attendant à cette décision, le kéké de Beauvau couvert par le concierge du MEDEF à l’Elysée et le maquignon de Matignon ait lâché la bride à son préfet de police pour monter une triple provocation policière en un seul lieu ce même jour montre la hargne du dit préfet et le peu de sens républicain du titulaire du maroquin de l’intérieur.
Triple provocation ? Oui. Sauf à ce que grâce à Sarkozy et ses successeurs les RG - DGSI soient devenus un repère d’incapables (ce que le capital ne supporterait pas) la provocation des nazillons identitaires et son déroulement traduit une tolérance pour le mois étonnante. 
Ensuite les rumeurs dans la manif d’antisémitisme non étayées véhiculées par une feuille "oas-sienne zemouro-lepeniste" avec, sans preuve, le berger Lallement qui dans le quart d’heure fait jouer l’article 40 du Code de Procédure Pénal pour une suspicion, article qu’il n’a jamais utilisé pour des faits avérés de racisme dans la police (commissariat du 12 ou du 19e par exemple) même avec les vidéos et témoignages qui aurait du l’y contraindre, confirme si besoin était où et comment se positionne le Papon de Macron.
Enfin, ce nassage antidémocratique et violent entassant des dizaines de milliers de personnes, interdisant toute distanciation physique imposée par les textes, et mettant en danger sanitaire et mettant délibérément les nassés hors la loi ceux rendant coupables les victimes qui protestent contre les exactions de ceux chargés d’encadrer ces trois provocations.
Que l’homme lige de la PP soit éjecté au plus vite pour engager la thérapie anti-gangrène dans la police en Île de France est une évidence. A ce niveau une part de chirurgie se révèle indispensable.
Mais que ce Préfet ait pu s’appuyer sur des textes arrêtés en conseil des ministres pour aggraver une dévastation déjà bien engagée démontre que les causes ne se résument pas à l’état major de la police parisienne.

Bouter Lallement hors de l’Île de la Cité, c’est en gros prendre masque et gants pour désinfecter le "cluster" (Canaille le Rouge préfère dire foyer d’infection.) mais il faut aussi traiter la maladie sur le fond et donc virer les agents pathogènes responsable de la situation. 
Si les idées et pratiques du RN ont court dans la police, c’est que le choléra en escarpins bleus à ponctionné et adopté les idées de la peste bottée de brun et que dans ce bouillon de culture une symbiose idéologique fabrique les miasmes de destruction de la démocratie.
Le jour d’après pour l’être vraiment exige le démantèlement de ce laboratoire et la mise en quarantaine de ces Dr Folamour s’épaulant pour agir contre nos libertés.
Il ne s’agit pas ici de 2022, de sollicitation de blanc-seing, de plébiscite pour être en haut de l’affiche pour après-demain, de recruter des colleurs d’affiches, mais bien de la capacité à immédiatement appeler tout un chacun pour co-élaborer un projet permettant un rassemblement faisant tsunami démocratique pour emporter et anéantir les forces de la réaction.
Sur ce terrain, on ne voit strictement rien poindre à l’horizon politique. 
Le mouvement social va devoir reprendre cette partie trop longtemps oubliée de sa double besogne. 
L’appel-pétition des organisations du mouvement social est en ce moment la piste qui s’y engage le plus elle demande soutien et aide à son enrichissement dans son contenu.
les Libertés, un combat à ne jamais abandonner. Honneur à ceux qui le portent sans faiblesse
Dédié à ceux qui ne voiit dans le syndicalisme et la CVGt qu'un exutoire ) leur sdtérile impatience de clavierr
uin 2020
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

« Nous n’avons pas à rougir de notre bilan » a ainsi affirmé l'ex-gérant de la banque d'affaires Rothschild  dans un exercice d’auto-promotion pour la présidentielle de 2022.
Ben oui, aux oubliettes dans le 5e pays capitaliste le plus riche au monde : l'absence de tests massifs, de masques,  de manques d’équipements dans les hôpitaux, le maintien du travail dans les productions non-essentielles, l'effroyable surmortalité dans les EHPAD, les plus de 30 000 morts.
Ayez confiance au CAC 40 et aux chaînes d'infos qui portent mon message libre et non faussé!
Ce dimanche soir, Macron s'est parlé dans son miroir: travaillez plus pour le capital et saluez l'héritage clonial
Avec moi, j'ai une bonne équipe!
Ce dimanche soir, Macron s'est parlé dans son miroir: travaillez plus pour le capital et saluez l'héritage clonial
En d'autres temps, quand le patronat et les élites de notre pays collaboraient à l'effort de guerre nazi, quelqu'un d'autre s'inscrivait dans l'histoire de notre pays.
Ce dimanche soir, Macron s'est parlé dans son miroir: travaillez plus pour le capital et saluez l'héritage clonial
Mais cette très vieille histoire n'a vraiment rien à voir avec l'actualité présente.
La chef de l'extrême droite française soutient la candidate de Sarkozy à la municipale de Paris. Et sa nièce, Marion Maréchal  qui n'est plus Le Pen (si je mens je vais en enfer)  ne met pas le genou à terre contre l'héritage colonial. Pile poil comme Macron hier à la téloche.
Dans le Mantois, pour les municipales à Limay, la droite de Sarkozy-Fillon s'unit à la droite macroniste. Ben oui, les deux partis sont de supplétifs du capital. contre la maire sortant communiste.
Si j'osais, je leur conseillerais une affiche de campagne...
Ce dimanche soir, Macron s'est parlé dans son miroir: travaillez plus pour le capital et saluez l'héritage clonial