ESCANDALOSO INDULTO EN OLIVENZA!

IL N'Y A PAS D'INDULTO EXCEPTIONNEL!

 INDULTO D'OLIVENZA: INDULTO DE  LA VERGÜENZA!

Les indultos se suivent et se ressemblent: championne de l'indultite, l'Amérique du Sud, suivie par les plages Andalouses et les placitas à bobos françaises. Même si le mal s'est répandu chez nous, à St Gilles, Dax, à St Martin de Crau, à Aignan, etc..., les arènes les plus sérieuses, même très modestes,  résistent avec lucidité à la tricherie ambiante. Parce que il ne s'agit dans 99,99% des cas, que de magouilles et tricheries. Ne parlons pas de Nîmes, qui s'est délibérément placée hors jeu, elle ne fait pas partie de l'UVTF: l'orgueil de son petit napoléon et la complicité de ceux qui, aussi vaniteux et peu aficionados que leur guide suprême, approuvent ou laissent faire. 

Les indultos, c'est bien connu, - le dira-t-on jamais assez-, ne concernent que des bestioles - des animalitos, des gatitos, des perri-toros, des borregos, disent nos voisins ibères - qui n'ont rien à voir avec les taureaux, los TOROS-TOROS, puissants, braves, durs à l'épreuve de la vara, sérieusement armés et sauvages: au contraire de cela, ce sont essentiellement les demi toros évoqués ci-dessus provenant pour la plupart du mono encaste domec-stiqué, caractérisés surtout par leur noblesse extrême, un mental de chiens de cirque, dociles jusqu'à la débilité. Ils sont capables de tenter d'avaler cent fois la muleta, leur langue trainant jusqu'au sol, et les nouveaux publics, trompés par ce qu'ils croient être courage fou face au danger, éprouvent   une émotion jusqu'ici inconnue, effectivement, n'ayant jamais vu ou apprécié de vrais toros, leur aficion est aussi candide que les muchoirs blancs qu'ils agitent avec naïveté, pour accélérer la générosité des palcos: en cédant aux sollicitations du public peu informé et abusé par un spectacle truqué, les présidents et assesseurs se montrent indignes de leur fonction, grâce aux trop nombreux  trophées distribués en dépit du bon sens. 

C'est pour cette raison que l'idée de "corps des présidents" dont j'ai souligné ici il y a peu l'existence, même si l'on peut être circonspect lorsqu'on sait comment et avec qui s'est récemment constituée cette entité nouvelle, peut être saluée et encouragée. Avec beaucoup de réserves, j'insiste. Mais depuis quelques semaines, j'ai pris l'habitude de faire régulièrement " un tour " sur le site de la FSTF, pour connaître la suite donnée à cette initiative, - qui semble déjà exister en Espagne, comme je l'ai lu récemment - , et je me promène sur le forum nouvelle formule, qui devait notablement améliorer son contenu.
Hélas! Plus aucune nouvelle d'Emilio, Paquito II, par contre, si les intervenants ne sont plus les mêmes, si ces noms n'ont pas reparu, ce n'est pas pour cela que la qualité des débats s'est améliorée. Et déjà, les anathèmes du genre de ceux qu'on trouve depuis toujours sur les terres du boucalien refleurissent: les aficionados intègres, partisans d'une corrida propre, et qui ne se laissent pas endormir par les multiples artifices et tricheries de la Juli, sont aimablement traités de "Cassandre sans modestie". Mieux: on y lit que  "JFN" s'adresse à "dudulle" pour affirmer que le "mundillo honni est "LE MAL NÉCESSAIRE" (sic!!) . Et après avoir balancé son coup de puntilla sur, je cite, "le correspondant de ce forum, un certain Lazaro, plus digne de rejoindre les rangs des anti que de prétendre vouloir défendre l'art de Cuchares",  il conclut son commentaire par " Afeitado, combines, tricheries de tous ordres.. on sait tout cela, on le dénonce mais est- ce parce qu'un chanteur fait une fausse note que nous n'allons plus à l'opéra?"

Voilà les nouveaux avocats de la corrida intègre que recrute la FSTF: tout droit sortis de l'officine Viardiste, avec de tels défenseurs, l'onct et la cause taurine qu'il est censé représenter et promouvoir sont dans  de sacrées bonnes mains.

Revenons sur l'indulto, ce canada dry de la corrida édulcorée, la fiesta vidée de son sens, de sa substance, de ce qui en fait un acte qui ne peut-être dénaturé, sous peine de disparition prochaine irrémédiable. Autant dire que l'indulto est contraire à la corrida, qui reste avant tout un sacrifice, un drame, la grâce du toro comme elle se vulgarise à vitesse grand V est donc un cadeau aux anti corridas. L'indulto, s'y opposent farouchement JJ Dhombs, ainsi que " Francis Lazaro" - bizarre, je crois reconnaître le style de Paquito II, qui aurait pris un nouvel apodo ?-  mais un nouveau participant en fait l'apologie, alors que nous sommes sur un blog censé être sérieux, celui de la fstf, du moins du point de vue de la rigueur, dans le respect de l'intégrité inviolable de la corrida.
Ces gens-là, les deux acolytes qui ont investi le forum, continuent, -et pourquoi se gêneraient-ils, la fstf les y autorise, - de justifier l'injustifiable, alors que, si je souhaite personnellement intervenir, comme je tente depuis de longs mois, elle ne reconnait pas mon mot de passe.
Circulez, emmerdeurs, la fstf, comme quelques autres cercles fermés, ne reconnait que les siens. Ils se considéraient sans doute trop tolérants avec quelques aficionados exigeants, ils sont déjà devenus semi clandestins: le filtrage fonctionne à plein, sauf pour le guignol de l'oct et ses complices

Continuons avec les perles du forum:

"Pourtant l'indulto, lorsqu'il reste exceptionnel devient une pièce du rite et un atout majeur pour l'éleveur....sauf que là aussi le mystère taurin existe...un toro fantastique n'aura peut -être pas la descendance escomptée...?" (sic et resic!!!!)

On croit rêver: "l'indulto, un atout majeur pour l'éleveur"... Mais que vient faire là-dedans le point de vue de l'éleveur? Ce n'est pas parce que Hubert YONNET regrette que "Montenegro"   n'ait pas été grâcié il y a 20 ans pour que l'on puisse se croire obligé de faire plaisir à des éleveurs, par déférence ou reconnaissance. "Montenegro" (1) méritait certainement mille fois plus que toutes les chèvres qui l'ont été depuis, d'être indulté, mais ce n'est pas pour cela que l'avis personnel de M. YONNET doit être pris pour parole d'évangile. La grâce n'appartient qu'au public, alors qu'elle prend TOUJOURS naissance dans les combines qui se trament dans les callejons. Par les petits clans mafieux. Tous les exemples le prouvent les indultos honteux - ESCANDALOSOS - de Dax, SGilles, St Martin, Aignan, etc....sont partis des callejons occupés par leurs apprentis sorciers.

Il faut le dire, le redire, le dénoncer sans cesse, sans faiblir, sans complaisance aucune pour les tricheurs: peons, empresas, éleveurs.... A chaque fois qu'un "toro" est  grâcié, aujourd'hui, il ne s'agit que d'un animalito noblissime, dont on parle jamais du comportement pendant l'épreuve de la pique. Et pour cause ! Dans les arènes où l'on indulte un torito, la pique n'est plus qu'une épreuve symbolique. Alors qu'elle doit être le "TEST" qui jugera de la bravoure, de la puissance, de l'embestida, elle ne se résume souvent qu'à la pique unique, carioquée, ou savamment dosée,  une piquette, arrière et meurtrière, ordonnée par la figurita crapuleuse qui regarde le bout de ses zapatillas, pendant que les "spectateurs" s'impatientent. Les aficionados, eux, sont si rares, si las, si écoeurés, qu'ils ne prennent même plus la peine de protester, les autres, les plus nombreux,ceux qui dérangeaient les gogos, ont quitté les tendidos depuis longtemps.

Et quand Francis Lazaro, avec les arguments solides de l'aficionado à qui on ne la fait pas, dénonce les supercheries et le "destoréo" du Juli, nos deux compères, et d'autres, sans doute, - mais ceux-là semblent tellement chez eux et à l'aise sur le site de la fstf , en minuscule, - qui squattent aujourd'hui le forum, ne se gênent pas pour tourner en dérision des convictions d'aficionados sérieux dont pourtant ils devraient s'inspirer. 

A la corrida intègre, ils préfèrent la fiesta cirque. Aux belluaires, ils préfèrent les tricheurs. Aux TOROS, ils préfèrent le medio toro de l'indultite, cette maladie qui tuera la corrida, si nous ne la défendons pas.

Nous, les pisse vinaigre aux yeux des gogos, les amoureux de la lidia intègre, nous continuons de dénoncer les scandaleux indultos d'olivenza - la petite - et d'ailleurs, ainsi que les petites figuritas qui osent cautionner cette supercherie, ou mieux, ces saloperies.