vendredi 15 décembre 2023

La célébration de Hanouka à l'Elysée

Publié le par MS21

Emmanuel Macron a participé à l'Elysée aux célébration de la fête de Hanouka

Emmanuel Macron a participé à l'Elysée aux célébration de la fête de Hanouka

Les faits

Dans la soirée du 7 décembre, à l’Elysée, le chef de l’État recevait le prix annuel Lord Jakobovits de la Conférence des rabbins européens (CER) qui récompense la lutte contre l'antisémitisme et la sauvegarde des libertés religieuses. À cette occasion, le grand rabbin de France, Haïm Korsia, a allumé la première bougie du candélabre pour Hanouka, une fête traditionnelle qui commémore une victoire de l'histoire juive du IIe siècle avant notre ère.  La classe politique dans son ensemble a manifesté son hostilité à cette initiative.

La position du MS21

Le MS21  ne préjuge pas de l’intention du Président Macron dans cette circonstance. Elle visait peut-être à un apaisement de notre société en proie à de multiples tensions  communautaires exacerbées par le conflit israélo-palestinien. Mais dans cette matière, le MS21 tient à rappeler que les autorités de notre pays n’ont qu’un seul outil véritablement efficace, élaboré philosophiquement et politiquement en France et que nous devons revendiquer haut et fort : la laïcité.

C’est elle et seulement elle qui garantit la liberté de conscience si précieuse pour nos concitoyens désireux de pratiquer leur culte en toute quiétude. Rappelons ici que dans de nombreux pays on condamne à la  prison pour incitation à l’athéisme comme en Algérie ou pour délit de blasphème comme au Maroc, en Iran, en Arabie saoudite etc…

C’est elle et seulement elle qui est en mesure de juguler les tentatives  antirépublicaines qui se cachent derrière les religions pour affaiblir notre droit. A ce titre il est évidemment caricatural de se focaliser sur l’Islam même si le contexte international rend cette religion très visible actuellement. Toutes les religions peuvent en réalité se révéler des paravents potentiels pour les tenants du fascisme qui veulent saboter le modèle républicain. Franco, Pinochet, Stroessner n’ont jamais manqué d’invoquer le catholicisme pour instituer leur dictature. En Inde, l’hindouisme radical maltraite la communauté musulmane. En Israël c’est au nom de la religion juive que le gouvernement fascisant de Netanyahou fait torturer de jeunes palestiniens dans les prisons…

Tous les autres moyens de lutter contre le fractionnement de notre société en communautés rivales, qu’ils se nomment le concordat, la tolérance, le vivre ensemble, ou la compassion victimaire communautaire ont largement montré leur inefficacité, et même leur aptitude à produire l’inverse de leur but.

L’initiative de E. Macron est malheureusement à ranger dans cette dernière catégorie. Car, que va-t-il en résulter ? Les pratiquants des autres religions vont y voir une forme de discrimination positive : pourquoi n’y aurait-il pas en effet symétriquement la célébration d’une messe de Noël à l’Elysée, ou de la fête de l’Aïd, ou de la Pâque Orthodoxe  … ? Les antisémites auront une raison supplémentaire pour alimenter leur délire. Et les très nombreux citoyens laïques de notre pays, adeptes d’une religion ou non, n’auront qu’à regretter – spécialement à la date anniversaire de la précieuse loi de 1905 - une occasion perdue de faire valoir un principe de justice et de liberté.

 

 

Capitalisme par Michel Capron

Publié le 15/12/2024 à 17:00 par pcfob Tags : sur afrique vie monde société histoire air
 
Communistes Ouest Biterrois 

 Capitalisme

Il n'est un secret pour personne que le capital a toujours besoin de complaisance.

En pseudo démocratie pour ne pas dire démocrassouille cela porte un nom "l' État".

Margaret Thatcher par exemple clamait haut et fort qu'il n'y avait pas d'autres alternatives à la société capitaliste.

Cela fait déjà longtemps que nous lui avons emboîté le pas et sans doute même précédé tant à droite que dans la gauche dite de gouvernement.

Un des grand tournant se situe dans les années 70 à partir des États-Unis (véritable curie) du capitalisme mondial où siègent les pontifes et sont formés dans les fameuses écoles du " Management and Business Administration", les missionnaires de la "théologie universelle capitaliste" (TUC) le credo capitaliste s'est rapidement répandu à travers le monde.

Comme dans le cas de l'église catholique, l'universalisation de la foi capitaliste a pris des formes et des modalités variées d'après les pays, mais les principes fondamentaux de la foi et ses pratiques, sont les mêmes.

En Europe, on a assisté à une fulgurante ré-évangélisation capitaliste des populations des anciens pays <<communistes>>.

Et, à un rythme plus lent des dirigeants de la social-démocratie et du "peuple de gauche".

En Chine et en Inde les néo- prosélytes se comptent par centaines de millions, si bien que les vieux "croyants" de l'Occident comptent sur la Chine et l'Inde pour assurer le sauvetage du capitalisme de la crise actuelle et asseoir sa nouvelle universalisation sur des bases solides.

En Afrique les classes dirigeantes post-coloniales se sont facilement soumises aux prescriptions du FMI et de la banque mondiale.

Les leaders qui ont essayé de s'opposer ont été éliminés ou mis hors d'état de nuire.

Le seul continent où l'on peut faire état d'une forte résistance à l'évangélisation par la TUC est l'Amérique latine.

Pour arriver à ses fins, le capitalisme n'hésite pas à utiliser les manettes qu'il a en main, la guerre, nous y sommes et sans réserve les procédés de mystification.

Cela peut se décliner en trois étapes essentielles.

La première mystification est d'un cynisme sans borne.

Alors que depuis la fin des années 70 la pauvreté absolue (moins de 2 dollars par jour) n'a fait qu'augmenter pour avoisiner le chiffre de 3 milliards d'êtres humains, qu’un milliard et demi continuent de ne pas avoir d'accès à l'eau potable et donc à la vie. Quand 2 milliards vivent sans électricité et autant sans logement digne de ce nom.

Alors que les dévastations des ressources naturelles de la planète se sont poursuivies selon une logique de destruction dans l'intérêt du  << bien être>> des consommateurs solvables, alors que le chômage a continué de grimper, les dominants n'ont jamais parlé de " crise économique".

Pour eux le PIB reste à un niveau intéressant propice aux profits.

Le monde est en progrès...sic!

Et je dis cela en tenant compte de quelques ratés qui touchant la valeur de leurs avoirs financiers.

Ils ont hurlé à la crise mondiale ( qui ne dépassait pas leur pas de porte).

Pour eux 3 milliards de pauvres ne sont pas un indicateur de crise économique mondiale. L'est le fait d'avoir " brûlé" par spéculation et avidité 24000 milliards de dollars d'avoirs financiers volatiles.

La raison de cette mystification est simple.

Trois milliards de pauvres comptent pour rien pour les groupes sociaux dominants. Ce qui compte c'est la valeur de leurs capitaux financiers. Le capital vaut plus que la vie de milliards d'êtres humains.

La deuxième mystification consiste dans le fait que les dominants ont réussi encore une fois dans l'histoire des sociétés capitalistes, à faire accepter par la population la pleine légitimité des groupes dirigeants qui sont les principaux responsables de la crise à piloter la solution de crise dans le seul objectif de refonder le capitalisme mondial.

La troisième mystification est intolérable, nous sommes à la genèse d'un nouveau capitalisme ou plutôt le même repeint en " vert".

En quoi la mise en circulation dans les villes déjà saturées des pays riches de centaines de millions de nouvelles voitures "vertes" au cours des vingt prochaines années contribuera à créer davantage de richesse au monde destinée à modifier la vie de 2 à 3 milliards d'êtres humains qui d'après les prévisions de l'ONU , habiteront en 2032 dans des bidonvilles ?

Comment nos "dominants" peuvent-ils prétendre qu'un air plus ou moins contaminé dans nos villes, grâce aussi, à nos <<maisons vertes>> signifiera une croissance économique capable de créer les conditions nécessaires pour permettre l'accès à l'eau potable aux milliards de personnes qui en sont privées ?

 

Dans cette campagne européenne qui vient frapper à nos portes, notre parti, le parti communiste français en s'appuyant sur cette réalité destructrice doit être force de propositions.

Mettre fin aux conditions sociétales qui alimentent et permettent la pérennisation d'un tel système aux travers de vastes mensonges et mystifications.

 Voilà à mon sens l'enjeu de Juin prochain et le sens du vote communiste.

        Fraternellement

 

 

Pourquoi la Chine change de position concernant la situation en Ukraine

 Blog Agora Vox

Le représentant officiel de la Chine Wang Lutong a fait une déclaration qui pourrait être interprétée comme un changement clair et significatif de la position de Pékin concernant la situation en Ukraine. Auparavant, la Chine, du moins d'un point de vue de la rhétorique de la politique étrangère, exprimait une neutralité positive, mais désormais elle justifie et soutient clairement l'opération spéciale russe. Pourquoi ? 

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"Le président Poutine prend des décisions basées sur les intérêts nationaux et la sécurité." C'est ainsi que le directeur du département Europe du ministère des Affaires étrangères chinois, Wang Lutong, a commenté les appels des politiciens européens à persuader la Russie de faire des concessions sur le dossier ukrainien lors d'une conférence de presse après le sommet UE-Chine. En d'autres termes, la Chine a poliment refusé de jouer le rôle de médiateur. 

Et il y a plusieurs points importants, voire révolutionnaires dans cette déclaration du représentant chinois. Tout d'abord, le fait en soi de refuser la médiation dans la résolution de la crise ukrainienne. Jusqu'à récemment, les Chinois revendiquaient le rôle de médiateur : ils avaient proposé leur propre plan global en 12 points et le promouvaient activement. 

Désormais, la Chine reconnaît ouvertement que la poursuite des hostilités est un élément des "intérêts nationaux et de la sécurité de la Russie". Autrement dit, elle reconnaît de facto cette décision comme correcte et légitime. Alors quel type de médiation est possible dans ce cas ? 

Auparavant, la Chine s'abstenait d'un soutien aussi évident aux actions russes lors de l'opération spéciale. Du moins parce qu'elle craignait des parallèles et des associations avec Taïwan, qui cherche à transformer son indépendance de facto en de jure. 

Qu'a-t-il poussé la Chine à changer de position ? Apparemment, trois facteurs clés. 

Premièrement, les Chinois ont compris que le rôle de médiateur dans la résolution du conflit russo-ukrainien n'était plus d'actualité. Après une série de défaites militaires de Kiev (et surtout l'échec de la contre-offensive), une fenêtre d'opportunités s'ouvrait en matière de négociations de paix. Cependant, l'Occident n'est pas encore prêt à des discussions sérieuses avec Moscou, basées sur une évaluation réaliste de la situation. Il n'est pas prêt à négocier en reconnaissant les nouveaux territoires russes, à abandonner le régime de Kiev ni à renoncer à sa stratégie d'endiguement. 

Dans le meilleur des cas, l'Occident est prêt à proposer un gel du conflit, chose que Moscou n'acceptera en aucun cas. 

Certes, les Chinois auraient quand même pu discuter en coulisses avec Moscou, préparer le terrain pour certaines concessions dans l'intérêt de l'Union européenne, mais pourquoi ? Car, et c'est le deuxième facteur expliquant la fermeté chinoise, l'UE n'a rien fait pour demander un service poliment. 

La déclaration de Wang Lutong a été faite en marge du sommet UE-Chine, où des responsables européens sont venus à Pékin pour résoudre des problèmes économiques bilatéraux. Et ils sont venus, en fait, non seulement avec un ensemble de propositions, mais aussi avec un ensemble de menaces à l'égard de Pékin. 

Cependant, Bruxelles a oublié qu'il n'est pas Trump et que nous ne sommes plus en 2018, quand on pouvait exercer une pression forte et relativement réussie sur la Chine. 

Aujourd'hui, la Chine perçoit une telle pression comme une agression. Et pas seulement parce que ceux qui font pression sont des fonctionnaires européens sans souveraineté et sans respect, mais aussi parce que ces cinq dernières années, la Chine a vu que la stratégie de l'Occident de contenir la Chine était tout aussi évidente et irréversible que la tendance à la défaite de l'Ukraine. Que l'Occident n'était pas prêt à négocier avec Pékin, qu'il considère la Chine comme une menace à réprimer par tous les moyens. 

Et c'est le troisième facteur qui durcit la position chinoise sur le dossier russe. Sous la pression américaine, Pékin s'éloigne progressivement d'une position neutre pour se ranger non seulement de facto, mais aussi de jure du côté russe dans le conflit ukrainien.

Alexandre Lemoine

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Entre les États-Unis et la Chine « une grande guerre approche », assure un haut gradé de l’armée US

jeudi 14 décembre 2023 par Elodie Descamps blog ANC

Partout, Ukraine, Palestine, Sahel, Taïwan, Syrie ... le camp de la guerre et des blocus s’agite et provoque. (BD-ANC)

Et si la guerre qui fait rage en Ukraine n’était que le prélude d’une guerre bien plus importante entre les États-Unis et la Chine ? C’est en tout cas ce que suggère un haut gradé de l’armée états-unienne. Le monde serait-il à l’aube d’un affrontement entre les deux plus grandes puissances mondiales ? On fait le point.

Et si la guerre en Ukraine n’était que ”l’échauffement” d’une “grande guerre” opposant les États-Unis à la Chine ?
C’est en tous cas ce qu’a affirmé l’amiral Charles A. Richard, l’un des plus hauts gradés de l’armée états-unienne à la tête de "l’United States Strategic Command", lors d’un symposium officiel en novembre. À en croire ce responsable de l’arsenal militaire et la dissuasion nucléaire dont les propos ont été rapportés par Korii, le pire serait à venir.

L’arrivée d’une"grande guerre"entre la Chine et les États-Unis ?

En novembre dernier, Joe Biden réaffirmait l’opposition des États-Unis à toute tentative "unilatérale de changer le statu quo ou de porter atteinte à la paix et à la stabilité dans le détroit de Taïwan" dans un communiqué. Historiquement perçue comme un allié des États-Unis face à la Chine, Taïwan représentait déjà un rempart au développement du communisme durant la guerre froide. L’ennemi véritable des États-Unis n’est pas la Russie mais la Chine, insiste l’amiral Charles A. Richard. Et si “la crise en Ukraine n’est qu’un échauffement”, "la grande guerre arrive", assure le haut gradé, annonçant un conflit bien plus important opposant les États-Unis à la Chine.

”Et il ne faudra pas longtemps avant que nous soyons mis à l’épreuve comme nous ne l’avons pas été depuis longtemps.”, avertit le militaire qui considère que son armée a pris du retard par rapport à celle de son principal rival. S’il est courant que des hauts gradés tiennent des propos particulièrement alarmistes sur l’industrie militaire de leur pays afin de se voir octroyer davantage de financements, le fait que ses déclarations soient reprises par le ministère de la Défense, indique tout de même qu’elles ne sont pas à prendre à la légère.

D’autant que le président chinois Xi Jinping s’est empressé d’y répondre, indirectement, en exhortant ses forces armées à “accélérer l’amélioration de leur capacité à vaincre” le 8 novembre dernier, dans un contexte où “l’incertitude de la situation sécuritaire de la Chine augmente”.

Taïwan-Chine : les tensions s’exacerbent, les États-Unis sur le qui-vive
Pourquoi la Chine est-elle "l’ennemi véritable" des États-Unis ?

Des exercices militaires organisés par l’armée états-unienne en mer de Chine méridionale, (où s’est installée une partie de la flotte marine américaine) à la visite de Nancy Pelosi à Taïwan contre la volonté de la Chine, en passant par le soutien militaire apporté à l’île que Pékin considère comme une province de son territoire, les États-Unis semblent multiplier les provocations à l’égard de leur rival chinois depuis plusieurs mois.
En réponse, le président Xi Jinping n’hésite pas à rappeler que son pays se tient prêt à répondre militairement si nécessaire. Mais pourquoi la tension entre la Chine et les Etats-Unis s’intensifie-t-elle à ce point ces derniers mois, voire ces dernières années ?

Au-delà du cas de Taïwan, la première puissance mondiale n’entend pas perdre son hégémonie économique, culturelle, financière et militaire sur le monde. Or, la Chine n’a jamais caché ses ambitions économiques, et les met à l’ouvre, notamment sur le continent africain. L’ancien président Barack Obama disait déjà à l’époque : "La Chine veut écrire les règles pour la région du monde qui a la croissance la plus rapide (l’Afrique). Pourquoi la laisserait-on faire ? Nous devrions nous-mêmes écrire ces règles."
Les nouvelles route de la soie qui constitue le plus vaste projet industriel mondial reliant la Chine à l’Europe, promettent également de peser sur le commerce mondial. Elles concernent plus de 68 pays et regrouperait près de 40 % du produit intérieur brut (PIB) de la planète. Ainsi, si cette rivalité entre super-puissances n’est pas nouvelle, elle tend à s’accroitre à mesure que la Chine gagne du terrain sur le globe.

Quels sont les pays qui disposent du plus grand arsenal nucléaire ?
Une "menace chinoise" plus économique que militaire ?

Il est vrai que la Chine concurrence la première puissance planétaire, elle-même en perte de vitesse, sur les terrains économiques et financiers. Une concurrence entre puissances qui a déjà bouleversé l’ordre international unipolaire tel qu’il fut construit après la Seconde Guerre mondiale et l’effondrement de l’URSS, et qui n’est pas au goût des Etats-Unis.
À titre d’exemple, la Chine a dégagé un excédent commercial de 690 milliards de dollars sur l’année 2021, tandis que les États-Unis traînent un déficit budgétaire colossal évalué à 668 milliards de dollars.

Une crainte visiblement partagée par l’Union européenne. Selon le Financial Times, une récente note des services en charge de la politique étrangère de l’Union à Bruxelles, enjoint les ministres des Affaires étrangères des 27 pays membres à adopter une ligne plus dure à l’égard de Pékin.
"La Chine est devenue un concurrent encore plus fort pour l’Union européenne, les États-Unis et les autres partenaires, souligne la note. Il est de ce fait essentiel d’étudier la meilleure façon de répondre à ces défis en cours ou à venir. […] En résumé, nous nous dirigeons vers une concurrence totale sur le plan économique mais aussi politique", conclut-elle.

Les dix projets chinois qui pourraient changer la face du monde

D’après les propos du haut gradé, qui s’inquiète que la marine militaire chinoise soit désormais la plus vaste du monde et des progrès de son aviation, les Etats-Unis seraient notamment menacés par la modernisation de l’armée chinoise. Toutefois, que ce soit dans les domaines économique, financier, technologique, culturel, ou militaire, ces derniers conservent une avance indéniable sur la Chine, et le reste du monde.

Pour rappel, le budget alloué au département de la Défense s’élève à environ 688 milliards d’euros, quand celui de la Chine n’est "que" de 227,4 milliards d’euros.
Sur la période de 2015 à 2018, les dépenses militaires des Etats-Unis représentent environ 35 % du total des dépenses militaires mondiales.

Autrement dit, s’il faut observer avec attention la montée des tensions sino-américaines dont Taïwan est devenu l’épicentre, l’armée chinoise ne se glisse pas encore au niveau de la plus grande puissance militaire au monde.[[De tout façon l’arme nucléaire mettra tout le monde d’accord. Hélas...(JP-ANC)]