Recherches sur un dictionnaire.
Taliban: étudiant islamiste militant
et politique en AFGHANISTAN , essentiellement dans les tribus
pachtounes, partisan de la charia, c’est à dire de la répression
brutale des femmes qui oseraient prétendre s’émanciper du joug de
leurs bourreaux islamistes.
Par extension, islamistes intégristes
partisans des mêmes thèses et comportements moyenâgeux,
criminels fascistes manipulés par des religieux ultra
réactionnaires.
Voilà
comment André VIARD, du «haut»
de ses terres taurines, traite les aficionados a los toros. A moins
qu'il ne fasse de l'humour.... Ce dont je doute. Moi, taliban? Quel
c...!!! Quel enfoiré!
L’incurable, l’inénarrable, le
boxeur, écrivain, avocat, photographe, revistero, peintre, empresa,
-pardon, si j’en oublie - le P.P.P.P.D.E., c’est-à-dire le
Petit Pilier du Partido Popular de la Droite Espagnole, n’en finira
donc jamais de provoquer, de mépriser, d’injurier, celles et ceux
qui, avec des arguments imparables, en exigeant des taurinos une
fiesta integra , défendent son gagne-pain à lui, il épingle, par
pure bêtise, ces aficionados qu’il devrait au contraire
remercier, pour le combat qu’ils mènent pour que se perpétue la
lidia authentique, celle qui demeure la seule garante de la survie de
la CORRIDA DE TOROS.
Toute sa vie, même s’ il sait depuis longtemps que nous sommes les défenseurs de la FIESTA BRAVA,
les seuls garants de sa pérennité, le boucalien au service du mundillo et de
ses complices continuera de distribuer, comme il l’a toujours fait,
piques, mensonges, et injures contre nous, aficionados, les empêcheurs de
magouiller en rond, de toréer en rond, nous qui tentons de mettre fin dans les ruedos au sommeil béat des gogos, à qui Viard et ses
semblables ont toujours laissé croire que la lidia se résumait à
une interminable « faena » de 100 passes imposée à des
agneaux domestiqués.
Conclue par un panier d'oreilles, un rabo, et, couronnement imbécile, l'indulto !
Conclue par un panier d'oreilles, un rabo, et, couronnement imbécile, l'indulto !
Mundillo et mundillitos ne se demandent même plus
aujourd’hui pourquoi des milliers d’aficionados, écoeurés par
la fiesta-cirque qui a accéléré la dérive du
toreo moderne, dans les années 80, ont déserté les tendidos.
Il y a le feu à la maison FIESTA
BRAVA, mais ce type ne peut s’empêcher de faire le quéqué, le provocateur, le fanfaron, au
plus profond de la vague, au lieu de prendre clairement et
solidairement le parti de la FIESTA BRAVA Y INTEGRA et de ses
précieux soutiens, les aficionados, ou ce qu'il en reste. Et les guignols qui le laissent à la tête de son
joujou de l’ OCT sont aussi dangereux que lui: honte à eux, à
leur indifférence ou à leur complicité, ce n’est pas en se
réfugiant derrière le leurre du "patrimoine immémorial de l'humanité", ce gadget qui ne pourra cacher indéfiniment les tares de la fiesta cirque, mais en
soutenant les aficionados qui crachent au bassinet et qui exigent une
corrida propre et intègre, qu’ils défendront efficacement ce
qu’ils prétendent vouloir protéger avec leur outil trompe en l'oeil qui ne sert que les intérêts de quelque
margoulin.
Venons en aux faits.
Le 23 avril, sur son édito des
« Tierras Taurinas », le boucalien écrit : «Le
président de la commission culturelle de Congrès ( espagnol ) en
charge du dossier taurin, après une semaine de fiasco quasi intégral
à SÉVILLE, pose la question qui est sur toutes les lèvres :
la fiesta peut-elle continuer ainsi ?» Et A.V.
ajoute :« J.M. ALBENDEA n’est pas, loin de là, un
TALIBAN, ce qui rend son
avis plus crédible encore »
Fin
de citation.
Je ne
vais plus que très rarement sur le blog de cet adversaire de la
corrida authentique, dont la prose est essentiellement destinée à
flatter le médiocre, et caresser dans le sens du poil les gogos qui
l’achètent et le lisent. Mais de lire aujourd’hui sur son blog
cette question aussi stupide que démagogique sur des tricheries
érigées en règle que nous dénonçons depuis des lustres malgré
et contre les insultes de tous les Viard du monde, sur les gradins,
dans les callejones, sur les journaux et partout où nous provoquent
ces ennemis de la fiesta brava, lire sous la plume des menteurs,
tricheurs, démagogues, et complices : »la fiesta
peut-elle continuer ainsi ? », çà a de quoi nous foutre
en boule, non ?
Car
outre le fait que le boucalien ne cache pas ses amitiés politiques
pour le PP, ce qui est un droit mais dont les problèmes liés à la
corrida se passeraient bien, cela signifie surtout et clairement
que : -les aficionados qui dénoncent depuis des lustres la
dérive insupportable de ce que Viard et ses amis s’escrimaient à
désigner sous le vocable de corrida ce qui n’en est qu’une
parodie, avec des animaux faibles, décastés, invalides et souvent
afestés,
-les
courageux, puristes ou un peu moins toristas, qui rament à
contre-courant de la tricherie et des magouilles ambiantes imposées
par les « figuras », les « taurinos »,
épaulés par le petit monde de la presse servile qui grapille au
ratelier des morfales quelques miettes du festin,
eh
bien ! Nous serions des talibans ! Pas moins ! Des
talibans ! Dont le seul tort est d’avoir raison depuis bien
longtemps avant les amis du PP de monsieur Viard.
Les
aficionados, qui payent cher leurs places, qui seuls se battent
contre tous les véreux pour sauver la corrida, sont des TALIBANS.
¡Si señor ! Tandis que l’ami de Viard, parce qu’il
commence à entrouvrir ses yeux sur le désastre annoncé, il n’est
pas un taliban, lui, il est par conséquent crédible pour AV,
notamment de par sa fonction politique, ce qui est autrement plus
crédible que des aficionados qui mettent le souk sur les tendidos,
parce qu’ils refusent de cautionner des pratiques condamnables,
pour ne pas dire pire, qui mettent à mort la corrida.
Qu’on
m’explique, que AV nous explique, honnêtement, mais çà sera
difficile, pourquoi depuis des lustres que nous nous battons pour
exiger une corrida intègre, qui ne puisse ainsi qu’être
respectable et respectée, pourquoi nous n’étions pas crédibles,
et pourquoi tout d’un coup un politicard de ses amis ou qu’il
admire – à moins qu’il ne l’admire que pour sa prise de
position qui pour nous est très ancienne, des années de mise en
garde contre les affairistes cupides de la fiesta- qui commencerait
enfin à prendre UN TOUT PETI PEU conscience, même si c’est tard,
trop tard, sans doute, pourquoi lui, et LUI seul, serait crédible?
Mauvaise
foi et mépris contre ceux qui ont depuis longtemps osé désigner
les coupables de la merde actuelle et leurs complices, c’est-à-dire
parmi eux, AV., pour qui, comme il l’écrit, la feria d’avril
agonise, mais qui ne peut s’empêcher son coup de pied de l’âne,
-le bien nommé, je crois,- aux aficionados, dont il est incapable de
reconnaître la nécessité, la justesse du combat, et la
perspicacité
En
résumé, pour terminer, et en quelques mots clairs, voilà ce que
nous avons relevé sur les nombreux blogs d’ aficionados, depuis
le début de cette temporada 2012, presque à chaque tarde,
concernant notamment les deux ferias de VALENCE et SÉVILLE :
-
Présentation minable des toros, noblesse insipide, caste
inexistante, faiblesse- flojos- défilés d’invalides, medio-toro,
docilité des « toros » ….Mais peut-on appeler ainsides
animaux sans caste, ni force, ni fiereza, ni sauvagerie, aux pitones-
souvent qualifiés de « sospechosos» ?
Voici
enfin pour les élevages concernés, que AV ne manquera certainement
pas d’encenser si l’un d’eux sortait dans les prochains jours
un toutou à 80 ou 100 passes, alors que les éleveurs sont
totalement responsables de la médiocrité des animaux qu’ils
continuent d’élever pour la seule exigence des figuritas, dont
beaucoup auteurs de nombreux petardos :
VICTORIANO
DEL RIO, DOMINGO HERNANDEZ, NUÑEZ DEL CUVILLO, JANDILLA, VENTORILLO,
TORREHANDILLO-TORREHERBEROS,DANIEL RUIZ, MONTEALTO, PARLADÉ,
LAMAZO , FUENTE YMPBRO....
Dans
la bouche de Viard, ce mot injurieux, tellement il est ridicule,
impropre, déplacé, inapproprié, excessif- comme peut l’être le
vocabulaire taurin espagnol- jusqu’à l’injure, je le prendrais,
si j’osais pour un compliment. Mais comme je ne souhaite pas être
complimenté par un suppôt du PP, je rappelle pour conclure au
boucalien que les aficionados ne sont pas motivés par le fric et le
lucre, -leur aficion leur coûte cher-, au contraire de ceux qui ont
fait de notre passion un fonds de commerce.
Nous
sommes AFICIONADOS A LOS TOROS. Seulement cela.
Chose
qu’un incurable ne peut ni ne pourra jamais admettre ni comprendre.
Mais
si vous sentiez, AV, ce que les aficionados que vous appelez
talibans pensent de vous à
la lecture de votre méprisants écrits, vous mettriez un masque.