Depuis l'hommage à ANTOÑETE, puis la corrida par elle-même, jusqu'aux retrouvailles autour de la table, quelques images de la journée des YONNET.
Remarquer le sourire éclatant de ESCRIBANO, la joie de toréer et de transmettre cette alegria au public, après deux paires de banderilles particulièrement risquées dans deux quiebros contre les planches, à voir aussi le célèbre Tito SANDOVAL et son castoreño, muy torero, si señor! L'excellente présentation des toros de YONNET, sans doute très affaiblis par leur longue immobilité avant et pendant le voyage, n'a pas, hélas, comblé les attentes des aficionados comme ils le souhaitaient.
Ils étaient venus, ils étaient tous là, connus ou moins connus, même L.L., le prétentieux censeur de cyr qui fustige sur son blog le gueulard qui porte un pin's: il est interdit pour une certaine catégorie d'intellos prétentieux, je me répète, de protester, de donner de la voix, lorsque le tintamarre "musical" ne cesse pas immédiatement, après qu'un torero vienne de se faire prendre, alors que c'est la règle. Mais il est des gens qui peuvent tout se permettre - pensez, ils ont sorti un livre, "LE livre"- alors, eux peuvent manifester avec arrogance leur mépris d'un trublion qui, de plus, ne fréquente pas leur petit monde. Le tio Pepe, lui, avait le droit de donner de l'organe, et je ne suis pas le tio PEPE, mais il est des gens qui se croient supérieurs, censeurs, prétentieux, pourquoi? eux seuls le savent, et ils ne pardonnent rien à ceux sont différents et qui ne mangent dans la main de personne.
Avec tout mon mépris pour eux!
Heureusement, la journée fut belle.