La lutte de classes a disparu !
Personne n’en parle plus depuis la disparition de l’ex-PCF avec le décès de son dernier dirigeant, dernier représentant de la classe ouvrière française et dernier barrage contre l’immigration (https://www.youtube.com/watch?v=sCfVkATt1vs), qui tue chaque jour avec la régularité d’un métronome ; hier encore Enzo, un adolescent joyeux qui ne demandait qu’à vivre sa vie de jeune Français dans une république censée le protéger et favoriser son éclosion comme citoyen.
Depuis que le PS en 81, aidé des droitiers de l’ex-PCF, a tué politiquement le parti des travailleurs, le dernier barrage contre la sauvagerie du lumpen prolétariat d’origine étrangère a cédé.
Et depuis, c’est l’orgie de crimes quasi quotidiens perpétrés en grande majorité par cette racaille (traduction française de l’Allemand lumpen prolétariat - cf. Marx « les luttes de classes en France ») qui vise essentiellement le Français blanc : jeune, vieux , femme, voire homosexuel ou handicapé.
Les émeutes récentes de ce lumpen prolétariat [que les idiots utiles du pouvoir, qui ignorent ce qu’est un travailleur (immigré ou non) confondent, avec soit lesdits « pauvres », soit avec les « immigrés »] font l’objet d’interrogations sans fin de la part, de commentateurs naïfs (plus ou moins savants, plus ou moins de bonne foi) vivant loin du monde du travail.
Les « idiots utiles », les groupies de Mélenchon, et les comploteurs de l’État profond sont représentés par des multimillardaires tels Waren Buffet : « la lutte des classes existe, c'est ma classe qui a gagné » et par des sociaux démocrates ambitieux jusqu’au délit comme Cahuzac : « je ne crois pas à la lutte des classes ». Soit un multimilliardaire cynique en lutte contre la classe ouvrière et les salariés, et un social démocrate partisan de la collaboration de classe et dont le job est de contenir les revendications des réfractaires à la baisse du pouvoir d’achat des masses salariées.
La stratégie des premiers vise à survivre à la crise de l'impérialisme américain en danger de perdre sa suprématie et donc le niveau de vie de sa population qui vit, grâce au dollar, au-dessus de ses moyens en exploitant une grande partie du monde arrimé à sa monnaie (de singe en partie).
Les sociaux démocrates, par nature sociale, proches des travailleurs, ont pour mission de gagner leur confiance et d’organiser leur soumission aux politiques occidentales de paiement de la dette colossale qui permet de repousser les explosions sociales, avant qu’elle n'atteignent la phase critique du renversement de la société capitaliste en crise (en creusant la dette de milliards supplémentaires pour calmer les gilets jaunes, les opposants au saccage des retraites, etc.).
Faute d’un parti d'avant-garde, la lutte nationale des classes exploitées démarre dans la spontanéité des masses et s’achève dans leur démoralisation, accélérée par la sauvagerie policière, de pervers qui ont carte blanche pour terroriser leurs concitoyens sous les applaudissements voire les encouragements à la tuerie, des bourgeois « versaillais » (cf. les vociférations d’un ex-ministre de l'Éducation nationale : « mais qu’on leur tire dessus » !)
Des commentateurs objectifs voire érudits comme le sociologue Maffesoli se perdent en conjectures sur les causes et donc les remèdes à apporter pour tenter de mettre fin aux tueries de la racaille des cités de non droit, et de la fraction policière sadique qui saccage des vies à coups de matraques et de LBD.
Sans éclairage de la théorie, toute pratique ne peut être qu’aveugle. On est en présence des effets de l’abandon de la lutte des classes organisée selon des principes, portée par un parti communiste qui, ne l’oublions jamais, a créé la Sécurité sociale et remporté tout au long de son histoire de grandes avancées, au profit des masses populaires et de la démocratie. Il nous manque !
C’est pourquoi le pouvoir peut se permettre tous les excès. Il se vautre dans la décadence par plaisir pervers (cf. les exhibitions indécentes à l'Elysée qui miment l’empire romain décadent du 4e siècle et les frasques sexuelles voire criminelles de politiciens débridés, etc.). Volant idéologique : la promotion de l’idéologie américaine des communautarismes et de la guerre de tous contre tous, par besoin de générer des divisions au sein du peuple, que seuls les communistes sont en mesure de réduire.
La lutte des classes existe, comme le déclare avec arrogance Buffet, n’en déplaise au voyou d’en haut Cahuzac qui la nie, et c’est la bourgeoisie qui la conduit pour sauver sa peau et ses exorbitants privilèges d’un autre âge. Le centre de commandement est aux USA. Leur idéologie est portée en France par des commis à l’idéologie, noirs de préférence mais pas seulement. L’UE suit le mouvement y compris quand ses intérêts sont piétinés par le patron (gaz, nucléaire,etc.), car : « s'il tombe, tous tomberont » (A.L Riz).
L'État profond et l'État légal
De même qu’il existe un islam politique ouvert et un islam armé planqué, il existe un État légal « pacifique » et un État profond qui s’exonère des lois pour le règlement d'affaires qui ne doivent pas être exhibées au grand jour. Par exemple, quand il faut faire taire un politicien gênant pour le pouvoir. A l’étranger l’assassinat de Kennedy, en Belgique « les tueurs du Brabant » en Italie l’assassinat d’Aldo Moro et en France Hedern Halier, Beregovoy ou Boulin.
On peut conjecturer que cet État profond déclenche les émeutes en cas de besoin politique. Par exemple en 2005 pour mettre fin aux manifestations des lycéens contre le CPE, agressés par un millier de voyous afro-maghrébins du 93, dont les bandes ne se sont pas organisées par l’opération du saint esprit, sans l’aval du pouvoir profond (qui les a laissé faire !), relayant le pouvoir légal qui ne peut pas se permettre d’arrêter les manifestations de lycéens en les matraquant ou pire au LBD. Ce sale boulot étant dévolu à la racaille qui fait ça avec un plaisir raciste non dissimulé et, pour l’argent ou les passe-droits accordés aux organisateurs délinquants, répertoriés et tenus en laisse par des policiers en charge de leur gestion (que j'ai vu agir de mes propres yeux en 68).
Plus de luttes de la classe ouvrière, c’est tout bénéfice pour le patronat immigrationiste et son allié objectif la NUPES. Le premier prend le fric et le second engrange les votes ! Et vogue la galère !