Sur son édito de ce jour, le zorro de la toile, le boutiquier , du verbe, du chevalet, des ruedos, de l'os serve à toi(c'est-à-dire à lui,A.V.) fustige et assassine une nouvelle fois les aficionados coupables de ne pas lui lécher le c.. ou lui manger dans la main. Le via(nda)rd des terres taurines s'en prend une nouvelle fois avec une rare violence aux "blogs orduriers qui se complaisent dans l'injure et la diffamation gratuite(sic)!!
J'ai rien fait, moi, monsieur, c'est eux, les coupables, qui zarrêtent pas de m'embêter, moi, le pur, l'irréprochable revistero commerçant marchand d'art. Y zarrêtent pas de réclamer des vrais toros, avec des cornes, du poder, de la fiereza, du trapio, des piques règlementaires, toutes ces choses surannées, tombées en désuétude, dont les spectateurs d'aujourd'hui ne veulent entendre parler, guidés en cela par mes copains les magouilleurs des callejons!
Et monsieur le viandard se permet même de nous menacer de devoir un jour rendre des comptes à l'aficion! Quelle aficion ? Celle des margoulins qui vit, comme lui, dédé de Soustons, du commerce généré par les arènes!! Voilà où la déraison conduit ces crapules: à nous menacer, nous, qui crachons au bassinet chaque dimanche, qui les faisons vivre, les salopards, mais qui osons protester contre les truquages et fraudes qui mènent la corrida - dont ne pourraient plus vivre ces margoulins - à sa perte.
M. Viard n'est pas seulement une infâme crapule: il est DANGEREUX ! Il continue de dresser contre les aficionados ses lecteurs dociles, amateurs de belles images et de faenitas gracieuses face à des chèvres et de trophées arrachés à des collaborateurs noblissimes, mais sans force ni sentido.
Qu'attend le monde taurin, les organisateurs, les responsables des peñas, pour ouvrir les yeux, et foutre ce type-là hors de sa chasse gardée, l'observatoire?
Pour le plus grand bien de la corrida, pour la sauver: quittez ce poste usurpé, M.Viard!