mercredi 31 juillet 2013

ORTHEZ, ET LES ZABALLOS: HORS D'OEUVRE MATINAL OU PLAT DE RÉSISTANCE?

Pourtant, l’aventure orthézienne avait bien démarré, avec les Saltillos de ZABALLOS, d’abord, pas des foudres de guerre, mais de belle prestance, bien roulés, fins, bien armés, la plupart applaudis dès leur sortie des chiqueros. Mansos, parfois un peu de caste, parfois imprévisibles, comme le premier qui sort en ruant de la confrontation avec le cheval. Sur quatre embestidas, une pique dans l’épaule, et une autre qui secoue la monture équine, les deux autres sont des piquettes symboliques. Le novillo sort entier de l’épreuve, bouche fermée. Jésus FERNANDEZ profite de sa noblesse sans trop se livrer, ni surtout se croiser. Deux séries de naturelles templées, et le novillero se découvre, obligeant le novillo à apprendre vite le latin. Entière atravesada.
Le quatrième sera longuement carioqué par le charcutier de service, Alberto SANDOVAL ( neveu de Tito, parait-il?). Une pique qui aux dires de plusieurs voisins de tendido en valait 5 ou 6, ce qui nous privera de connaître la véritable bravoure du Saltillo. Deuxième lance dans l’épaule (!!), troisième symbolique, FERNANDEZ restera ensuite fuera de cacho, des passes données avec la main trop haute, il recule sans cesse, ne se croise jamais, déploie son pico à plus d’un mètre, de profil, évidemment. L’animal est noble, et continue de se prêter au leurre des passes profilées. Et meurt en brave près des tablas, après une entière. Oreille minoritaire, ce qui provoque la réaction de quelques aficionados qui demandent la vuelta posthume du novillo : accordée, mais contestée par une partie du conclave.
Le premier opposant d’Ivan ABASOLO prend une demi pique sans pousser. Puis le cavalier prend les commandes, et conseille ou ordonne au novillero la suite des opérations. Après la vuelta inversée du novillo à laquelle nous avons assisté pour la première fois, on découvre les rôles inversés entre piquero et aspirant matador. Innovations orthéziennes ! Deuxième lance trasera. Et troisième ratée. Début de faena où le novillero s’impose le temps de deux séries, puis recule inexorablement. On aura là vu l’essentiel de la faena, pendant 1 minute 35. Jusqu’à la fin, c’est le torito qui mène la danse, et dicte sa loi. Demi épée de travers, multiples descabellos, le novillo garde boca cerrada jusqu’à sa mort. Le cinquième charge 5 fois la cavalerie, après une catastrophique mise en suerte de la cuadrilla et de son chef, quil faudra dorénavant s’abstenir de revoir Les trois premières fois l’animal sort seul, se fait enfermer et carioquée à la quatrième rencontre ; pousse à peine pour la dernière . Marche arrière du novillero dès les premiers muletazos, passes de profil selon la règle immuable en vogue dans la corrida « moderne », pasito detras. La faenita s‘éternise, sans transmission, avant que tombe une entière en arrière et sur le côté. Descabellos multiples qui relèvent plusieurs fois le manso dont ABASOLO n’aura rien su faire. Carrière bien compromise.
Alberto POZO semble jouir auprès de certains aficionados, de la toile du moins, un capital de sympathie et d’admiration. Dont je ne parviens pas à m’expliquer. Pour mener son novillo au cheval, trois fois il « se le  met dessus », et frise la correctionnelle. Puis ne bronche pas lui non plus lorsque le piquero accomplit les basses œuvres : trasera pompée, seconde pique carioquée avec fougue. Il torée ensuite fuera de cacho, il se découvre – il est vrai qu’ils sont trois ou quatre, ses piètres ayudas, à vouloir le conseiller , et tous à la fois-. Quand il se décide à prendre la muleta de la main gauche, il se fait cueillir pour une spectaculaire voltereta, dont il sort groggy durant cinq .minutes. Reviendra ? Reviendra pas ? Nez cassé, il repart au combat, en titubant....Certains autour de nous y voient du cirque...Il traîne sa savate dans le sable, repart administrer quelques muletazos...On dirait du CHAMACO de triste mémoire à la dérive. Puis se jette sur les cornes du torito pour la plus belle entière de la matinée.
Vuelta de cirque que personne ne lui conteste, malgré les très nombreuses imperfections et carencesde ce que nous avons vu.
L’ultime de la matinée prend trois piques, dont deux traseras et carioquées, sans qu’il pousse, et dans l’épaule, la troisième. Reprise du numéro de cirque à la CHAMACO, avant une nouvelle entière en s’engageant avec cran sur le balcon. A elles seules, les deux estocades valaient les palmas. Le reste? Brrr!
Sur l'ensemble de la matinée, novillada intéressante jusqu'au bout, grâce à la présence des saltillos, à leur comportement parfois imprévisibles, à leur résistance.  Quand à la lidia, la brega, no ha pasado nada. Hormis quelques gestes de FERNANDEZ, novilleros bouffés par des novillos, restés maîtres du rond, pourtant mansos, peu de caste, mais se retournant parfois très vite, longs à s’élancer, peu de sentido, sauf peut-être le cinquième, le plus retors. 
Piques comme trop souvent : meurtrières, pour la plupart, empêchant ainsi de juger objectivement de la bravoure. Il ne suffit pas de choisir des encastes variés, qui font honneur aux ganaderos courageux qui s’obstinent à élever des animaux à contre-courant de ceux qu’exigent les figuritas milliardaires, cellesqui font se pâmer les gogos avec des chèvres mollassonnes, à choisir des encastes autres que les Mierdagrandes, gatitos y medio toro doméquisés, il est temps que l’on impose aux piqueros une règle d’honneur dont ils ne doivent pas se dispenser, en se comportant un peu partout et impunément comme des malfrats. Sinon, le résultat est le même que pour la fiesta circo, les étagères sont et seront de plus en plus abandonnées par les aficionados écoeurés. Au vu des dernières corridas auxquelles nous avons assisté, il y a de quoi être inquiets. Ils sont tous, mais TOUS, en train de scier la branche qui les porte, ou de tuer la poule aux œufs d’or. Comme on voudra !!
Le callejón : beaucoup trop de monde, BEAUCOUP TROP ! Plus de 220 personnes au « Pesqué » !
Non seulement des gens qui devraient se montrer discrets, par respect envers les cons qui payent, mais de plus ils participent à la claque des gogos pour récompenser les choses les plus médiocres . Et comme si çà ne suffisait pas, ils apostrophent et insultent, pour tenter de les réduire au silence, les cons de payants qui s’expriment haut et fort pour exiger une corrida intègre. Ce qui est insupportable. Et il est des arènes réputées sérieuses où l’on supporte moins qu’ailleurs ce genre de comportements.
Le geste blâmable du jour : un toro puntillé par un peon posté « en traitre », caché derrière la tête de l’animal qui lutte debout contre la mort. Sur le site de la FSTF, un intervenant approuve le peon et s’insurge contre les protestaires, il qualifie cela de puntilla « à l’ancienne ». Qu’on m’explique ! Pour moi, je croyais que la règle était que le toro doit être puntillé de face, avec l’estoc et par le torero, si l'animal est debout, avec le cachetero, et par le peon, s’il s’est couché.
Intéressante matinée ORTHÉZIENNE, malgré élevage un peu décevant de mansedumbre, et piétons en-dessous.
Les photos suivront sous peu

mardi 30 juillet 2013

PARENTIS EN BORN: ANGEL BRAVO FORFAIT POUR LE DIMANCHE MATIN






ADA FERIA
Salle Jean Pierre Darracq
B.P. 14
40161 PARENTIS EN BORN CEDEX

Tél/Fax 05.58.78.45.34

                     Email : ada-parentis@wanadoo.fr
                      Site Web : www.adaparentis.com






COMMUNIQUE DE PRESSE

Parentis en Born 
Pas d’Encerrona d’Angel Bravo le Dimanche matin


L’ASSOCIATION DES AFICIONADOS DE PARENTIS EN BORN ( ADA FERIA )
vient d’être informée du forfait d’Angel Bravo qui devait initialement affronter 4 novillos de Sanchez Rico le Dimanche 11 Août à 11h00.
Pour des raisons personnelles, le torero a décidé de mettre un terme à sa carrière.

L’ADA PARENTIS a décidé de transformer cette encerrona initiale en un mano a mano entre  Fabio Castañeda et Vicente Soler

Les cartels seront donc les suivants :

Samedi 10 Août à 18h00 :
6 Novillos de RASO DE PORTILLO 
 pour Jesus FERNANDEZ, Imanol SANCHEZ, et Luis GERPE
Dimanche 11 Août à 11h00 :
4 Novillos de SANCHEZ RICO 
pour Fabio CASTAÑEDA et  Vicente SOLER
Dimanche 11 Août à 18h00 
 6 Novillos de PACO MADRAZA

                       pour Mario ALCALDE, L.Miguel CASTRILLON,Cesar VALENCIA

Plus de renseignements sur : www.adaparentis.com

Réservation des billets :
Ecole des Arènes Rue Jules Ferry
A partir du Lundi 5 Août à 9h00
Tel : 05.58.78.55.94.
Bureau ouvert du 5 au 10 Août 10h-12h/15h00-18h30- fermé le Dimanche 11 Août.




COMMUNIQUE DE PRESSE
Nouveaux picadors au Concours de Parentis en Born
 les 10 et 11 Août prochains !
Suite à la défection du novillero Angel Bravo et son remplacement par un mano a mano entre Fabio Castaneda et Vicente Soler le Dimanche matin, l’Association des Aficionados de Parentis en Born (ADA FERIA) communique les noms des nouveaux picadors qui participeront au Concours Parentissois.
Les picadors engagés avec Fabio Castañeda seront Jacques Monnier et  Olivier Riboulet     (Prix Jean Pierre Fabaron 2006).
Ceux de Vicente Soler seront Alfonso Doblado et Gabin Rehabi.

LE SAMEDI :
Cuadrilla de Jesus Fernandez
Miguel Angel Herrero ( Prix JP Fabaron 2009 )
Oscar Bernal
Cuadrilla de Imanol Sanchez
Juan Agudo ( Prix JP Fabaron 2012 )
José Manuel Sanguesa
Cuadrilla de Luis Gerpe
Luis Carlos Pedrosa ( Prix JP Fabaron 2010 )
Juan Carlos Fernandez

LE DIMANCHE MATIN :
Cuadrilla de Fabio Castañeda
Jacques Monnier
Olivier Riboulet ( Prix JP Fabaron 2006
Cuadrilla de Vicente Soler
Alfonso Doblado
Gabin Rehabi

DIMANCHE APRES MIDI :
Cuadrilla de Mario Alcalde
Angel Rivas

Oscar Bernal
( picador présent dans deux cuadrillas qui sera hors concours pour l’une des 2 courses )
Cuadrilla de Luis Miguel Castrillon
J.Manuel Nogales Quinta
L.Manuel Viloria Hoyos
Cuadrilla de Cesar Valencia
Ruben Sanchez Moreno
J Martinez Arana ( Prix JP Fabaron 2007 )

lundi 29 juillet 2013

NOVILLADA DES FÊTES DE GARLIN.



GARLIN 27 JUILLET 2013
NOVILLADA DES FÊTES. GANADERIA « EL TAJO Y  LA REINA »

Entre un tiers et un quart d’arène : et ce mundillo qui s’inquiète si peu de la désertion des arènes qu’il  ne se décide  toujours pas à se remettre en question, hormis quelques rares ganaderos qui ont compris que le monoencaste doméquisé puntilait la « FIESTA BRAVA » !

Tout d’abord le novillos de JOSELITO : nobles, justes de forces, peu ou pas de piquant, ni de vice, toréables sans aucun problème, certains chargeant de loin cheval et muleta : ils ont pris huit piques seulement, sont 6 traseras et carioquées avec délice par les charcutiers à cheval, et deux « piquettes » symboliques. Le sixième sera paralysé au bout de cinq minutes de faena, après avoir pris deux rations de fer dans le dos !!
Vaya vergüenza « torera » !!!

Les cuadrillas à pied :  incompétents, souvent à l’image de leurs petits chefs dépassés, à qui toutefois ils se permettent de donner ordres et conseils parfaitement inadaptés , sans  parler de leurs  attitudes irrespectueuses envers palco et public, hurlant et vociférant pour quémander des oreilles imméritées, roublards et tricheurs , mauvais conseilleurs, ils sont tout sauf  de bons professionnels : rares ceux qui sont invités à saluer après un quite ou un exploit personnel avec les palos.
Les novilleros : on a juste eu un aperçu de la tauromachie de ROMAN, le temps qu’il prenne la flanelle rouge pour imiter Castella et sa sempiternelle passe changée dans le dos. L’ennui, c’est qu’il a exécuté son pendule alors que le novillo était à peine à deux mètres de lui : la muleta plaquée contre la jambe, le garçon est projeté en l’air puis repris et secoué au sol pendant de longues secondes. Groggy, ROMAN aura le pundonor de reprendre les trastos pour mettre à mort d’une entière trasera, après une faenita  sans relief, le torito avait été au préalable affaibli par une pique  dans le dos. Unique, mais meurtrière.
Direction ensuite l’hôpital, dont le garçon ne reviendra pas
Que dire de CLEMENTE ? Il recule dès les premiers muletazos, il se met dessus ses adversaires, il devient leur proie, il ne peut donc toréer en « pesant » sur ses novillos. Il fait des passes, bien sûr, avec courage, car il en faut pour toréer, il prend des risques, trop, même, mais ce sont des passes qui n’ont aucun effet sur les toros, même si çà porte sur les gogos, venus pour l »émotion », applaudir, le bon et le pire. Et pour conclure, comme beaucoup, il tue mal, après être resté fuera de cacho et profilé, comme ses copains issus des écoles taurines où l’on inculque la recette du parallélisme. Où l’on apprend surtout pas à se croiser, mais avant tout et surtout à « componer la figura ». Souvent bousculé, la muleta trop haute, sur le recul en permanence, il se permet quand même un desplante de coquin, ce qui provoque  la réaction bruyante  des aficionados mécontents  en même temps que l’incompréhension des gogos. Entière  crapuleuse dans le cou pour conclure. Peu d’avenir, hélas, c’est du moins mon avis, pour lui et ses aides qui bêlent leurs « bièèènnns » ridicules depuis les planches.
Heureusement, il y avait FILIBERTO, dont on reparlera sans doute, il le mérite, il a relevé l’intérêt et le niveau de la tarde Garlinoise. Il a la planta torera, il a du cran, d’autres aussi possèdent ces qualités, mais il a en plus un certain sens de la lidia, et cet engagement, cette envie qui transmet sur les étagères, et cette technique que d’autres n’ont pas toujours. Point noir : comme les autres, il laisse trucider ses opposants par les piqueros à ses ordres, dans le dos, ce qui devrait être sérieusement réprimandé.
Début par derechazos templés, serrés,- OUI!!!- puis des naturelles aussi douces : hélas, rien ne dure, et la faena retrouve vite le chemin des travers habituels. : usage du pico, sans sitio, par la faute des peones qui lui hurlent de continuer alors qu’il fallait conclure après le meilleur, comme si une faena de 80 ou 100 passes et de 15 minutes était la panacée pour triompher.
A son second novillo, il cite de loin, et de face, pieds joints pour un somptueux derechazo de grande
facture. Puis nouvelle série de la droite : du grand art de toréer. Hélas, la muleta sera ensuite plusieurs fois accrochée, et le toro finit par se figer, victime de la pique assassine. La pique dont il faudra règlementer l’usage avec plus de rigueur et de sérieux.
Auparavant, c’est lui qui avait été chargé de lidier le second novillo de ROMAN. Avec de belles séries des deux mains, là encore il nous a servi les plus beaux gestes taurins de la tarde, avec lenteur et temple, le novillo répétant sa charge noble sans se faire prier. Plusieurs fois, FILIBERTO s’éloigne de lui pour le laisser récupérer et mieux  le mettre ainsi en valeur, la main basse laissant trainer le leurre  que le novillo poursuit sans fadeur. jusqu’aux accrochages qui reprennent et se multiplient : il faudrait conclure, mais là encore les encouragements à continuer fusent depuis les burladeros, et les fautes se multiplient ….jusqu’à l’épée entière que le garçon loge après un pinchazo.
FILIBERTO : retenez ce nom de cartel, on devrait sans doute reparler.
Le palco : bon point au président Miguel TELLERIA, pour avoir tenu tête aux gogos qui réclamaient des oreilles qui n’étaient surtout pas justifiées. Par contre, son goût immodéré pour la « musique », c’est-à-dire le vacarme incessant de la peña qu’il autorise dès les premiers derechazos, c’est insupportable, rien de pire que ce bruit infernal pour apprécier sereinement la toreria.
Le callejon n’est pas fait pour des accueillir des gens qui applaudissent : c’est partout les mêmes squatteurs qui s’autorisent les mêmes excès.
Merci, Thibaut pour ton cadeau.
Et bienvenue en aficion, qui a bien besoin de la fraicheur et de l’authenticité de jeunes tels qu’eux, à Kévin et Émilie, charmant couple Béarnais que j’ai eu la chance de rencontrer à GARLIN, à qui j’ai tenté de faire partager ma passion pour la corrida intègre.
S’appeler ALGUAZIL et ne pas être aficionado, est-ce possible ?
Un abrazo à eux, et à tous ceux que nous rencontrons autour et dans les arènes, avec qui nous lions des liens d’amitié comme seule la corrida peut en créer.

vendredi 26 juillet 2013

L'ÀNE ATI ET TOUS LES PALCOS D'OPÉRETTE, DÉMISSION!

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ACTEUR PRINCIPAL DE LA CORRIDA : LE TORO !
TOUT LE RESTE EST SECONDAIRE.
IL EST POSSIBLE D’ASSISTER À UNE BONNE ET INTÉRESSANTE CORRIDA
AVEC DU BON BÉTAIL ET DES MAUVAIS TOREROS.
MAIS L’INVERSE N’EST PAS POSSIBLE.
CE QU’IL NE FAUT MANIFESTEMENT JAMAIS PERDRE DE VUE
DANS LA CORRIDA, EMBLÊME DE NOTRE FÊTE NATIONALE
C’EST QUE LE TORO EST L’OEUVRE,
ALORS QUE LE TORERO N’EST QUE L’INTERPRÈTE
NE JAMAIS OUBLIER CETTE CHOSE ESSENTIELLE,
AFIN QUE LE TORO NE DEVIENNE PAS L'INSTRUMENT SERVILE DU TORERO

MESSIEURS LES INCOMPÉTENTS, PSEUDO AFICIONADOS
 QUI OCCUPEZ LES PALCOS,
  DANS LE SEUL BUT DE  DISTRIBUER DES PANIERS D'OREILLES DE PACOTILLE
 POUR VOUS FAIRE PLAISIR ET POUR CONTENTER LES FESTAYRES QUI, 
COMME VOUS, SANS AFICION NI RESPECT DE LA LIDIA AUTHENTIQUE, APPLAUDISSENT ET RÉCOMPENSENT LE DESTOREO, 
C'EST-À-DIRE LA FIESTA CIRQUE,
DÉMISSIONNEZ, S'IL VOUS PLAIT: FUERA DE LOS PALCOS!
VOUS RENDREZ À LA CORRIDA LE PLUS GRAND SERVICE,
ALORS QU'AVEC VOS LARGESSES RIDICULES 
 VOUS L'ENVOYEZ DANS LE MUR.
12 OREILLES - DOUZE !!!_-  EN DEUX CORRIDAS À MONT DE MARSAN,
OCTROYÉES PAS LE DANGEREUX 
L'ÂNE ATI: POURQUOI PAS UN AUTRE INDULTO D'UNE CHÈVRE?
QUAND LES RESPONSABLES DE CES ARÈNES 
VONT-ILS SE RENDRE COMPTE  QUE CETTE DÉMAGOGIE SAPE 
LES FONDATIONS DÉJÀ BIEN BRANLANTES DE LA CORRIDA?

¡ FUERA  ! FUERA TODOS !
OUI, MESSIEURAS LES PRÉ

mardi 23 juillet 2013

AFICIONADOS CERETANS PASSIONNÉS

CELA SE PASSAIT SOUS LA MUSIQUE: SANS DOUTE INVITÉS, ET BERCÉS PAR LA SANTA ESPINA....
(Cliquez sur la photo, c'est mieux)