vendredi 22 mars 2024

 

A propos de la Lituanie, ceux qui votent pour Glucksmann doivent savoir de qui ils acceptent d’être les complices… de l’assassinat de mon oncle Raymond Bleitrach.. Il avait 20 ans…

Voilà ceux que monsieur Glucksmann qui a déjà été l’époux du chef de la police du régime pourri de Géorgie, une tortionnaire, veut nous faire accepter comme des héros en reprenant les slogans par lesquels dès 1918 l’entente franco-britannique flanquée déjà des USA nous invitaient aux massacres d’une pseudo guerre civile atroce… sous le slogan : “jamais il n’y aura de paix tant qu’il y aura le bolchevisme” alors qu’il s’agissait simplement de piller et de démanteler comme aujourd’hui… il ne s’agit pas de faire parler les morts de l’extermination nazie dans un sens ou dans un autre, je m’y opposerai toujours… Mais quand on ose soutenir des régimes comme l’ukrainien ou le lituanien, et d’autres qui ne cachent même pas leur filiation on renonce par ailleurs à feindre de représenter le plus “jamais ça!” pour vendre l’ignominie ici et partout. (1)

La nouvelle aujourd’hui au titre de la course aux armements sous l’idée : il faut que Poutine perde autrement il n’y aura pas la paix… Ils ont réussi à faire d’un opportuniste libéral comme Poutine un héros national à cause de ce que la mémoire russe porte et parce que chaque famille a au moins un mort dans la lutte contre le nazisme… Un grand nombre de juifs y compris en Israël reconnaissent cette mémoire commune alors que monsieur Glucksmann tente de nous tromper…

Aujourd’hui le ministère lituanien de la Défense nationale acquiert de nouveaux fusils d’assaut G36 pour l’Union lituanienne des Fusiliers. Également connue sous le nom de Šauliai, il s’agit d’une organisation paramilitaire soutenue par le gouvernement local et qui a un passé particulièrement sulfureux. Ce groupe a été formé 1919 en tant que milice et il a reçu le baptême du feu pendant la guerre sovieto-lituanienne. La guerre soviéto-lituanienne (12 décembre 1918 – 31 août 1919), aussi connue sous le nom de guerre lituano-bolchévique (en lituanien : karas su bolševikais). La Lituanie les intègre à ses troupes officielles comme les Ukrainiens dans leur assaut contre le Donbass l’ont fait avec le régiment Azov… parce que la nouvelle croisade contre la Russie a besoin de ce nationalisme-là..

L’histoire que les Russes n’ont pas oubliée

La guerre sovieto-lituanienne est l’un des multiples conflits qui marque les premières années d’indépendance de la Lituanie. Elle débute le 12 décembre 1918, lorsque l’Armée rouge franchit la frontière lituanienne dans le cadre de son offensive vers l’ouest de 1918-1919. Cette offensive bolchévique suit le retrait des troupes allemandes du front de l’Est après la fin de la Première Guerre mondiale et vise à soutenir l’établissement des républiques des soviets dans différents pays. On sait que ce sont les soldats des armées vaincues fait prisonniers et libérés par les bolcheviques qui les traitent en frères qui vont partout créer des “soviets”, dont les plus connus sont les Hongrois de Bela Kun, et les spartakistes… mais il y en a partout jusqu’en France… Il s’agit d’établir des républiques soviétiques en Ukraine, en Biélorussie, en Lituanie, en Lettonie, en Estonie, en Pologne et à faire le lien avec la révolution allemande, alors en cours. Ne rencontrant d’abord aucune opposition, les forces bolchéviques se rendent maîtresses en un mois et demi des deux tiers de la Lituanie. En février 1919, leur avance est stoppée par des troupes de volontaires lituaniens et allemands (envoyés avec le soutien de la République de Weimar qui a réprimé on le sait les spartakistes, assassiné Rosa Luxembourg), qui les empêchent de s’emparer de Kaunas, la capitale provisoire de la Lituanie. À partir d’avril 1919, le conflit se complexifie sensiblement avec l’entrée en jeu de la Pologne, officiellement celle-ci se bat contre les bolcheviques mais aussi contre les nationalistes de ce qui a été jadis le grand duché de Lituanie et qui comprenait la Pologne… la “hyène de l’Europe” comme l’appelait Churchill revendique également la possession de parties du territoire lituanien. Parallèlement, tous les camps en présence doivent composer avec l’armée occidentale des volontaires, une vaste troupe hétéroclite, anti-bolchévique et germanophile, qui lutte à la fois contre les indépendances lettones et lituaniennes et contre les Bolchéviques dans les pays baltes.

Les Impérialistes de l’Entente (le groupe franco-britannique) avec déjà à leur côté les Etats-Unis ayant fait la paix avec les Allemands et les Autrichiens ont les mais libres pour écraser le “bolchevisme mondial” avec son principal foyer la République des soviets dont ils organisent le blocus sous le slogan : jamais il n’y aura de paix tant qu’il y aura le bolchevisme.

Les 24-27 novembre 1918, les troupes anglo-françaises débarquent à Sébastopol et à Odessa. Un des plans de l’époque en date du 12 novembre 1918 stipule :
“Il est indispensable d’anéantir le bolchevisme… dans ce plan et le suivant en date du 18 janvier 1919 sont exposés en détail les principaux axes de l’intervention en Russie et évalués les forces armées dont disposait l’entente pour atteindre ces objectifs. Dans toutes les déclarations est réaffirmé la nécessité “vitale” d’en finir avec le régime soviétique “incompatible avec une paix durable” tout doit être subordonné pour le supprimer le plus vite possible pour ériger un mur avec le centre de l’Europe.. Les lieux d’intervention sont répartis : l’Angleterre a en charge l’opération dans le Nord de la Russie et participation avec la France en Pologne, opération dans le Sud-est afin de faire jonction avec les forces armées qui interviennent en Sibérie. États-Unis : Pologne. France : Sibérie, Pologne et Ukraine aidée de l’Italie. Il s’agit partout d’organiser des armées nationalistes anti-bolcheviques alors que nul ne peut ignorer que ces nationalistes sont non seulement anti-russes mais surtout anti-juives et formées de volontaires pour tous les pogromes.

Le gouvernement soviétique, Lénine en particulier, a dénoncé le sens de cet assaut et ils avaient fait irruption en Russie sans déclaration de guerre malgré les sept propositions de paix de 1918, ces proclamations s’adressaient à l’ennemi mais aussi aux internationalistes du monde entier qui proclamaient “paix aux soviets”. Je ne reviendrai pas sur la conférence de Paris, mais je voudrais faire comprendre pour revenir à mon propos initial sur la Lituanie quelques faits : La Lituanie faisait comme une bonne partie de la Lettonie partie de l’aire polonaise et elle était dominée par une féodalité qui est restée tardive avec une paysannerie soumise avec l’aide de l’Eglise. Les juifs formaient l’artisanat urbain, et dans une ville comme Vilnius on parlait plus yiddish que Polonais ou allemand. Ce qui a été utilisé et a servi de base ultérieure à tous les crimes a été ce nationalisme anticommuniste et antisémite contre le judéo-bolchevisme.

Ce sont ces groupements que partout les Allemands ont trouvé comme collaborateurs pour mener l’assaut contre l’URSS et pour inaugurer l’extermination à grande échelle… Il n’y a pas eu que Bandera en Ukraine..

Le frère de mon père qui avait 20 ans Raymond Bleitrach a été pris dans le célèbre train qui a conduit un maximum de juifs de Marseille à Vilnius, quand ils sont sortis du train, les “nationalistes”, ceux de l’Union lituanienne des fusiliers en faisaient partie les ont achevé de rafales et enterrés dans la chaux vive..

Voilà ceux que défend cette ordure (je pèse mes mots) de Glucksmann ceux des juifs qui voteront pour lui et pour ses pareils assassineront un peu plus mon oncle de 20 ans … dans ce train, et qui a connu le même sort il y avait aussi un certain Anave… A vous de faire votre choix !

Danielle Bleitrach

(1) une biographie qui correspond en gros à mes propres informations sur cepersonnage …


https://lvsl.fr/raphael-glucksmann-nouvel-enfant-prodige-de-la-bourgeoisie-de-gauche/?fbclid=IwAR19Ppj1SFJFV07u3u6dGN5Ua8M_pRl4W5hjA3YGBL9iYKVMGdUZ0y1YNbg

 

Daniel Arias Histoire et Société

“Selon Brzezinski, ce système (°) présente les caractéristiques suivantes : une idéologie globale ; un État à parti unique, généralement dirigé par une seule personne ; une police terroriste ; un monopole sur les moyens de communication ; le contrôle du trafic d’armes ; et une gestion économique centralisée.”

Ceci est une bonne description de nos sociétés capitalistes si ce n’est que l’État n’est pas à parti unique mais bien à pensée unique. La direction par une personne seule reste d’une stupidité incroyable qu’il faut remplacer par le concept de classe.

Chacun de nous pourra remarquer que depuis que le vote est possible, hier limité à la classe dominante suite à la reprise en main de la Révolution Française par la bourgeoisie, il n’y a aucun changement structurel de la société ni idéologique en France. Le suffrage est certes devenu presque universel, les travailleurs étrangers n’ayant pas le droit de choisir la politique du pays auquel ils contribuent par leur travail, la liberté d’organisation politique et syndicale sont inscrites dans le papier.

Ce qui n’empêche en rien la même classe de contrôler la totalité du processus politique y compris en infiltrant les organisations ouvrières ce qui n’est pas nouveau.

Le libéralisme comme idéologie, une police au service de la propriété privée, un monopole de classe des media, le contrôle total sur le trafic d’arme par l’État des États-Unis et de la Défense Européenne en cours de construction, contrôle qui d’ailleurs n’échappe à aucun État dans le monde, une gestion économique centralisée, au profit de la classe dominante, dans les banques centrales de chaque État coordonnées au seins de la Banque des Règlements Internationaux à Bâle et dans les institutions financières née des accords de Bretton Woods dans lesquels la domination des États-Unis et totale en plus de l’imposition du Dollar comme monnaie unique du commerce international. La centralisation économique se matérialisant dans une pognée de banques et de fonds de pension disposants d’avoirs énormes et d’une liberté d’acquérir la propriété des capitaux des nations colonisées par l’imposition “d’accords” dont ceux qui nous concernent sont le plan Marshall autrement connu sous le nom d’UE.

À la lecture des écrits de Lénine et de Staline comme de Mao, ou Deng Xiaoping nous pouvons facilement prendre connaissance des débats intenses au sein de l’assemblée
politique qu’était le Parti Unique Communiste (ce qui est faux dans bien des pays socialistes y compris en Chine actuelle où d’autres partis minoritaires s’expriment).
La crise politique de l’URSS dans les années 30 est bien la démonstration d’un pluralisme au sein de l’État soviétique où ce qui était débattu n’était pas simplement cosmétique mais bien les rapports profonds entre la bourgeoisie encore présent en URSS après la Révolution d’Octobre et la marche vers le socialisme.

Pour la Chine que dit la constitution ?

La constitution chinoise est disponible via la mission de la République Populaire de Chine auprès de l’UE

http://eu.china-mission.gov.cn/fra/hylzg/200403/t20040315_8198150.htm

“La Constitution stipule que la République populaire de Chine est un Etat socialiste de dictature démocratique populaire, dirigé par la classe ouvrière et basé sur l’alliance des ouvriers et des paysans;”

“La Constitution assure les droits fondamentaux de tous les citoyens. Ce sont le droit d’élire et d’être élu; la liberté de parole, la liberté de la presse, la liberté de réunion, d’association, de cortège et de manifestation; la liberté de croyance religieuse; la liberté individuelle, la dignité personnelle, et l’inviolabilité du domicile; la liberté et l’inviolabilité de la correspondance; le droit de formuler des critiques et des suggestions à l’adresse de tous les organismes et travailleurs de l’Etat et le droit d’exercer un contrôle sur leurs activités; le droit au travail et au repos, et le droit à l’assistance matérielle de l’Etat et de la société dans la vieillesse, en cas de maladie ou de perte de la capacité de travail; le droit à l’instruction et la liberté de se consacrer à la recherche scientifique, à la création littéraire et artistique, ou à d’autres activités culturelles, etc. La Constitution précise encore la gestion démocratique dans les unités de travail de base et l’autonomie des masses, permettant au peuple de gérer directement les affaires économiques, culturelles et sociales. Par exemple, la gestion démocratique est pratiquée dans les entreprises d’Etat et les organisations économiques collectives par l’intermédiaire de l’assemblée des ouvriers et des employés ou de l’assemblée des représentants des ouvriers et des employés; l’autonomie des masses est appliquée dans les comités de citadins et les comité de villageois, chargés de régler les affaires publiques ou d’intérêt public dans leur agglomération, de transmettre au gouvernement les opinions et les revendications des masses et de présenter des propositions.”

Parti unique en Chine ? Faux, mais le PCC assure la direction.

http://fr.china-embassy.gov.cn/fra/gzzg/201106/t20110609_2573299.htm

“Coopération multipartite

Différent des systèmes multipartites ou bipartites de l’Occident, et du régime de parti unique de certains pays, le système de parti de Chine se caractérise par la direction du PCC, la coopération entre de multiples partis, le PCC au pouvoir et la participation au pouvoir de multiples partis. Au lieu de former une opposition, les partis démocratiques sont des partis amis du PCC et qui participent aux affaires politiques en union et en coopération avec le PCC. « Coexistence à long terme, contrôle mutuel, collaboration franche et partage des honneurs et déshonneurs » sont les principes fondamentaux qui guident la coopération du PCC avec les partis démocratiques. Le PCC et les partis démocratiques considèrent la Constitution comme norme fondamentale de leurs activités. Les divers partis démocratiques jouissent de la liberté politique, de l’autonomie d’organisation et ont un statut juridique égal selon les limites constitutionnelles prescrites. La Constitution stipule : « La coopération multipartite et le système de consultation politique sous la direction du PCC se poursuivent et se développent constamment. »”

Voyons ce qu’il en était de la Dictature en RDA.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chambre_du_peuple_(Allemagne_de_l%27Est)

En 1990 12 Partis siégeaient au Volkskammer, la Chambre du Peuple, dont la CDU d’Angela Merkel, les Verts et déjà la Vereinigte Linke (Union de la Gauche [anticommuniste]) ainsi que plusieurs mouvements de droite et libéraux.

Dans nos assemblées démocratiques multi partisanes à pensée unique l’abstention des électeurs est croissante face à l’impuissance ressentie, à l’absence de reconnaissance en ces organisations et au mépris des élus pour l’affrontement des problèmes réels des populations, les débats qui en ressortent dans le système médiatique du Monde Libre sont pour la plupart du temps stérile et n’offre aucune avancée significative ni corrections des politiques dans un système où il n’existe aucune surveillance populaire des politiques menées pas plus que de possibilités de sanctions de ceux qui vont contre l’intérêt général.

  

 (°) Le totalitarisme, les régimes "totalitaires" , tels que les écoles l'enseignent pour dénigrer le socialisme et tout ce qui a trait à l'après socialisme soviétique dont Poutine serait le porteur . Alors que le socialisme vrai a débuté à peine il y a quelques décennies et qu'il évolue dans les pays qui l'ont adopté et qu'il évoluera toujours en fonction des besoins de l'humain et de la nature débarrassée du capitalisme 

DONC C'EST BIEN CE QUE CLAMENT UNE GRANDE MAJORITÉ DE FRANÇAIS !

L'ENNEMI DE LA FRANCE , CE N'EST PAS POUTINE.

ET J'AJOUTE: CELUI QUI N'AIME NI LA FRANCE , NI LES FRANÇAIS, C'EST MACRON !!!PAR CONTRE, QU'EST-CE QU'IL TRAINE DANS LE BOCAL COMME FOLIE FURIEUSE !!!

 

Macron, cet homo-sapiens qui se surkiffe !

Et si E. Macron était un homme dangereux ?
Lui qui n'a joué aux petits soldats, au mieux, que lorsqu'il était un enfant, qui n'a pas connu le service militaire et encore moins ce qu'est la guerre et ce que sont les horreurs de celle-ci, n'a pourtant exprimé, en temps de paix, qu'un langage belliqueux sitôt confronté à des dossiers difficiles.
E. Macron s'est dit en guerre contre les Gilets Jaunes (ces factieux), contre le Covid (ces antivax idiots complotistes), le terrorisme, la drogue...
Alors, imaginez sa "satisfaction" de pouvoir justifier de tels discours quand la perspective d'entrer en guerre se profile !.

Mon beau miroir..., dis-moi... 

Mis à part ceux ("experts" des médias) qui ne voient des défauts que chez les dirigeant(e)s des oppositions et ceux (h/f politiques) qui dépendent, par intérêt personnel, du président en exercice, soit pour l'instant d'E. Macron, rien dans son attitude, dans ses discours n'est surprenant pour qui sait, objectivement, observer le parcours autocentré d'un ex enfant gâté devenu un (sur)homme de pouvoir.
Sa récente "prestation" de boxeur défiant un sac de frappe... en est une énième démonstration.

Notez la servilité des médias "politiquement corrects" qui se précipitent pour saluer la démonstration du président Macron, les mêmes qui n'avaient pas assez de mots pour se moquer d'un V. Poutine à cheval ou de D. Trump au golf et dont on ne doute pas qu'ils qualifieraient, pour tout opposant, par exemple du RN, qui se livrerait à ce genre de communication d'homme "fort" de populiste, de démagogique mais surtout de ridicule !

La seule obsession de Macron/Narcisse étant celle d'apparaître comme le centre de tout, de ne pas tolérer de concurrent pouvant lui prendre la (sa) lumière.

En guise de boutade, force est de reconnaître que le parcours privé et professionnel d'E. Macron aura suivi une trajectoire assimilable à celle d'un robot d'assez bonne facture tant il aura fallu un certain temps pour qu'apparaissent les premiers bugs et défauts communs à la plupart des objets à l'obsolescence programmée.
Plus sérieusement on se doit d'observer et de regretter que ce qui préoccupe la majorité du public chez E. Macron est moins lié aux réels dangers que ses décisions et postures risquent d'entraîner pour tout citoyen qu'à de petits détails concernant sa potentielle inclinaison sexuelle et/ou à celle de son épouse.

Résumons en quelques mots car cet aspect privé n'en mérite pas plus au regard de ce qui motive son action publique mais qu'également la sexualité de qui que ce soit n'a aucune importance pour autant que celle-ci n'en soit pas, à l'instar des religions, l'alpha et l'oméga de toute mesure à imposer aux autres, le pourquoi de ces doutes et rumeurs persistantes concernant la sexualité d'Emmanuel Macron.

Depuis sa première décision d'enfant de quatorze ans qui déterminera son futur d'adulte et qui sera celle d'épouser plus tard sa professeure Brigitte qui fut la première à le magnifier jusqu'à celui de ses choix d'hommes promus membres de gouvernement ou faisant partie de son cercle le plus proche, il est envisageable pour certains qu'officialiser son union avec B. Trogneux, certes d'une autre génération et ayant eu des enfants d'une précédente union, lui permet de masquer une éventuelle homosexualité (contrariée) et d'afficher l'image d'un couple "classique", sans histoire et donc, en principe, sans angle d'attaque pour les oppositions politiques ou pour une partie de gens et donc d'électeurs affichant des valeurs d'un autre temps ou d'une autre culture...

En somme, un plan de carrière élaboré dès l'adolescence qu'il aura eu le mérite de façonner obstinément et avec succès !.

La case état civil ayant été cochée, il ne lui restait plus qu'à remplir méthodiquement celle de sa carrière professionnelle, de saisir toutes les opportunités pour gravir, discrètement tout en s'assurant de ne jamais passer inaperçu, d'abord quelques échelons de la finance avant de toucher au but, lui aussi probablement fixé dès l'adolescence, à savoir graviter au sein du milieu de la politique.

Encore quelques années à œuvrer sans trop dévoiler son ambition démesurée, ce qui lui a valu quelques frustrations en tant que ministre du gouvernement de F. Hollande et nous voilà arrivés au tournant de sa carrière, celui qui lui permettra de déployer ses ailes, de régler, enfin, ses comptes avec ceux qui ont cru pouvoir le priver de son graal tels les F. Hollande qui l'a sous-estimé, l'ex premier ministre M. Valls qui osa le contredire en séance publique, F. Bayrou qui le fit roi de France mais qui eut le malheur de trop s'en vanter ou encore d'un P. De Villiers, général des armées qui s'était permis de se croire militaire de carrière plus au fait de la chose militaire qu'un citoyen politicien lambda entre-temps devenu président.
Notez que cette particularité à évincer toute personne qui, d'après lui ou en lien avec un quelconque complexe personnel, se poursuivra tout le long de ses deux mandats à l'image, parmi les nombreux exemples, de la mise à l'écart d'E. Philippe trop populaire dans les sondages ou plus récemment, sa reprise en main du dossier de la colère agricole dont son nouveau premier ministre G. Attal s'était saisi, un peu trop brillamment, semble-t-il aux yeux du président qui lui a ainsi fait comprendre que la lumière ne se partageait pas.

Jamais avare de compliments adressés à... lui-même (Jupiter, esprit complexe...), le voilà donc devenu président de la France sans que cette suffisance habilement masquée en empathie ne dérange grand monde, du moins lors de son premier mandat.

Pour le grand public ou du moins pour ceux dont la réflexion se limite à "Vu à la TV donc c'est vrai !", une succession de crises aurait dû pourtant permettre de savoir à qui on avait affaire.

La crise des Gilets Jaunes le voit, dans un premier temps, déstabilisé voire un peu surpris, lui qui, jusque là naviguait doucement sur un fleuve tranquille et il aura fallu que le gouvernement d'E. Philippe finisse par délier les cordons de la bourse pour éviter que la situation ne dérape sérieusement d'autant plus si on se rappelle l'épisode plutôt "particulier" lié à A. Benalla qui a donné lieu à cette mise en scène assez ridicule d'un E. Macron qui s'est cru fort (cloîtré sous bonne garde à l'Elysée) de lancer au public sa célèbre invitation à ce qu'on vienne le chercher !

La crise Covid, elle marque un net durcissement dans l'attitude autoritaire et dans les mots blessants, méprisants d'un E. Macron dont l'arrogance, jusqu'alors, réfrénée, se dévoile enfin.

On le vit plus qu'agacé de constater que des citoyens, cette masse de gens de peu qualifiés par ces "élites" autoproclamées de "peuple", puissent douter, se poser des questions quant aux effets indésirables, au sérieux des études ou à l'historique quant à l'efficacité d'un "vaccin ARN", se défier de ses promesses sur lesquelles il revient au nom d'un "en même temps" version technocratique du "tout mais surtout n'importe quoi".
Et alors que dire de ces gens qui remettent en cause toutes ces contraintes et mesures liberticides en termes de comportements tant en public qu'en... privé jusqu'à intervenir dans la sphère familiale de chacun.
Le pire de tous ces récalcitrants qui, en démocratie, pensaient avoir encore le droit de disposer de leur propre corps, sans pour autant mettre quiconque en danger, furent donc ces fameux idiots complotistes qualifiés, avec tout le mépris qui caractérise ceux qui sont au pouvoir mais dont les intérêts sont en jeu, de factieux voire de criminels aux idées extrémistes probablement fascistes qui osaient refuser de se rendre gentiment, sagement en suivant les flèches dans les centres de vaccinations !

Pour ces "élites", douter de la science à ce point ne pouvait être, ne peut toujours être que l'attitude d'idiots complotistes.
Oui mais, au fait, de quelle science douter ?
Celle d'éminents professeurs spécialistes mondialement reconnus dont la vie fut consacrée à la virologie tels les Raoult et Montagnier ou celle de simples médecins de la sphère politique tel les A. Buzyn et surtout O. Véran ou celle de la sphère médiatique tels les M. Cymes ou L. Alexandre ?

Visiblement se sera celle des dirigeants du "Machin UE" (merci U. VdL & Co) associée à celle des pharmas (merci Pfizer & Co) qui aura le dernier mot.
Pour rappel : Conflit d'intérêt : les activités dérangeantes du couple von der Leyen !.
Les activités commerciales de Heiko von der Leyen dans l'industrie pharmaceutique sont-elles compatibles avec le rôle institutionnel de sa femme, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne ? (M. Rivasi/Mediapart).

Mais là où E. Macron réussit à montrer, sauf pour les éternels aveugles décrits plus haut, toute sa volonté de briller, d'apparaître comme le soleil de la galaxie, c'est dans le déroulement de ce conflit en Ukraine.

La progression de son aura va de pair avec l'enlisement de ce conflit qui, maintenant et en grande partie du fait de la montée en puissance... verbale... du roi de France, consul du "Machin UE", lui permet de se projeter comme le leader minimo d'un monde "libre" déconnecté du monde réel quitte à ce que cela dégénère en guerre mondiale épisode 3.

Pour l'anecdote, E. Macron aura du attendre un certain temps pour ravir la place de vedette du film made in USA/OTAN à l'acteur Zelensky qui, jusque là, lui faisait de l'ombre au point d'éviter de trop le rencontrer.

Maintenant qu'E. Macron a perçu tout l'intérêt (pour lui) de s'attaquer à V. Poutine plutôt qu'à défendre V. Zelensky, ce qui, de facto, lui confère un statut supérieur et ainsi d'accéder au cercle restreint des dirigeants mondiaux, on ne peut que constater que cette stature lui procure une véritable jouissance qui, espérons-le, se limitera à quelques harangues agressives et autres déclarations matamoresques.

Mais que voulez-vous quand on a un ego surdimensionné, il faut bien pouvoir choisir la taille de son écrin...afin de lui trouver une place à sa mesure.

En cela, la France étant pour le roi Macron bien trop petite, chacun a constaté que, depuis son premier mandat, il préfère s'adresser aux pays européens en tant que consul du "Machin UE" et qu'assez logiquement, si cette guerre Ukraine-Russie lui permet de s'imaginer jouer le rôle de petit maître du monde sans être passé par un quelconque casting, il s'y investira corps et âme !

Tout ceci ne pourrait être que propos de chroniqueurs indépendants non soumis à la propagande "politiquement correcte", élucubrations d'un quidam adepte des discussions de comptoirs ou encore d'un anonyme envieux et jaloux de la réussite des autres qui poste sur les réseaux sociaux un condensé de ses propres frustrations et donc, dans les trois cas, sans aucune importance pour la vie des citoyens..., ce qui serait finalement plutôt rassurant.

Sauf qu'ici, un nauséabond parfum de guerre semble affoler les narines de nombre de ces dirigeants du "Machin UE" aux intérêts multiples quoique potentiellement assez fréquemment personnels qui paniquent à l'idée de perdre leur (cher) pouvoir avec à sa tête un "Narcisse" et qui tous, semblent prêts à jouer avec la vie des militaires et des citoyens, tous pays et tous âges confondus
Au mieux, il reste à espérer que ce jeu malsain ne vise qu'à canaliser l'information des médias, fidèles complices du pouvoir politique actuel et donc à vouloir détourner l'attention des électeurs largement insatisfaits qui, au vu des sondages, se préparaient à infliger une cuisante débâcle au pouvoir en place et que, par conséquent, ce scénario catastrophe se limitera à la période des élections européennes.

Ce qui est certain, c'est que ne pas se préoccuper de cette dramatisation à outrance jusqu'à ne pas se saisir des prochaines élections pour clairement déposer dans les urnes des bulletins confirmant le rejet total de ce scénario catastrophe ne peut que, tous collectivement, nous entraîner dans une guerre au motif injustifié avancé par E. Macron qui prétend, comme tout dirigeant européen, que l'Ukraine défend...notre démocratie !

Et ici, comme dans tous autres dossiers dont se saisit E. Macron, de nous sortir une de ces formules sorties de son catalogue personnel "Le Redouté", toutes destinées à se montrer fort dans les mots pour cacher la faiblesse dans les actes... du type :<je ne reculerai pas - je ne lâcherai ou ne cèderai rien- j'assume tout...mais aussi rien>.
Et dans le cas précis de ce conflit, le plus binaire d'entre tous ses raccourcis simplistes qui voudrait que toute remise en question d'un soutien inconditionnel à l'Ukraine, à Zelensky, y compris celui qui, de facto, finirait par détruire une partie de notre économie, de notre agriculture, ne parlons même pas des morts..., ne serait qu'une preuve manifeste de complicité avec V. Poutine !.


Ne nous leurrons pas, tout ce déferlement de provocations verbales ne peut que nous conduire à subir les affres d'une guerre qui ne tuera plus, comme depuis 1945, les seuls citoyens et militaires de pays suffisamment éloignés que l'Occident a parfois défendu mais qu'il a, la plupart du temps, attaqué mais qu'au contraire, cette fois, il s'agira de blessés et de morts, de militaires et de citoyens de tous âges qui se pensaient à l'abri, confortablement assis devant la télévision ou surfant sur leur smartphone à regarder les spectacles offerts par les chaînes en continu de nos guerres chirurgicales destructrices et meurtrières dites d'ingérence démocratique conduites par les occidentaux ou celles qui, quoique discontinues dans toutes les régions du monde, sont moins diffusées par nos médias "politiquement corrects" et dont les dirigeants occidentaux ne daigneront s'en préoccuper que s'il y va de leurs seuls intérêts.
Oui mais... à chacun ses "valeurs" !

De Bredevan Marc    L'Infotox

HEP !!!! LES LIQUIDATEURS ......

 ....Anti Communistes!  Prenez de la graine.

 
 
Daniel Arias

Ils sont très forts pour faire croire que le multipartisme et la démocratie permettent l’expression du pluralisme des idées et la défense du bien commun.

Les documents historiques sont pourtant de plus en plus nombreux à décrire ce que déjà observaient les communistes d’avant la liquidation et en particulier ceux qui avaient fondé le PCF en rupture avec la Social Démocratie de la SFIO comme ceux qui avaient participé à la résistance, le texte de Croizat publié ici même montre qu’ils avaient une pleine conscience de ce qu’allait devenir l’UE comme concrétisation du plan Marshall lui même le produit de la collaboration plus ou moins acceptée entre les bourgeoisies États-uniennes, Allemandes, Britanniques et Françaises.

Un point commun réunit tous ces acteurs leur classe sociale bourgeoise grande comme petite tant que leur talent permet de soumettre le travailleur, les petits bourgeois des petites entreprises comme les cadres et les classes moyennes servant de caution à cette “démocratie” pour soumettre la grande masse des travailleurs divisés et trompés à tour de rôle par ceux qui assurent le spectacle et garantissent la pérennité des profits.

Ces mêmes classes moyennes qui réécrivent l’Histoire et organisent l’ignorance et le dégoût parmi les couches populaires.

Combien de temps encore va-t-on nous faire croire que nous allons nous libérer avec cette classe qui a maté la Révolution Française en 3 ans pour porter partout la guerre impérialiste et toujours faire payer les travailleurs ?

Le peuple ne croit plus en rien et ceux qui votent encore se trompent de colère ou s’imaginent encore vivre dans un pays puissant.

Ça fait bien les affaires des plus riches qui nous disent maintenant “c’est fini la gratuité”, fini l’école, la santé “gratuite” ? Fini les services publics financés déjà par notre travail il faudra encore payer des profits supplémentaires ?

Même sur la lutte pour la défense des services publics du bien du peuple la gauche est minable et nous raconte des conneries.

L’UE n’est qu’une organisation mafieuse, anti démocratique et irréformable n’est ce pas ce que nous portions lors de la campagne de 2005 contre le TCE ?

La seule solution est la sortie du capitalisme ce qui passera inévitablement par la fin de l’UE, de l’OTAN et de la classe bourgeoise dans son ensemble.

 
 
Bravo Daniel ARIAS de remettre  sur le métier le recadrage communiste dont les liquidateurs ont perdu le sens du véritable engagement historique, et son vrai fil conducteur, pour parvenir à faire du PC un parti croupion réformiste. Jusqu'à tenir le même discours que les atlantistes de l'OTAN et des  pro fascistes qu'il abrite aux USA et en Europe.
Bien sûr il reste quelques camarades qui s'emploient à  rendre utile ce qui reste. Mais les liquidateurs trostkistes n'ont  de cesse d' achever la destruction de l'outil révolutionnaire qui fait aujourd'hui tant défaut à la FRANCE,  et à ses masses populaires qui ont perdu espoir. Mais pourraient sans doute le retrouver si une majorité consciente décide de redresser la barre et de faire le ménage pour remettre sur ses rails le grand PARTI COMMUNISTE FRANÇAIS.