Nicolas
 Hulot, le businessman devenu ministre de l'écologie dans un 
gouvernement de droite et de droite, est donc retourné à ses affaires. 
Si je n'avais pas le cuir endurci sous les coups que m'inflige le capitalisme, son départ de chez Manu 1er me
 tirerait des larmes de chagrin à entendre les éloges pleuvant sur 
Nicolas Hulot de  la part des médias de la pensée unique, de la droite, 
de son extrême, de la gôche. Et même venus du camp des écolos bobos.
Il
 faut dire que les chevaux sont sous les ordres, comme on dit du côté 
des courses hippiques. Et on se bouscule en attendant la voix de son 
maître qui en adoubera un ou une pour  le remplacer afin de gérer 
loyalement les affaires du capitalisme.
Et m'en voudriez-vous beaucoup si je vous délivre ce que l'ex-députée EELV Isabelle Attard dit de Nicolas Hulot? "Il n'est pas "une
 petite chose sincère malmenée par le gouvernement et les lobbies. Il a 
toujours eu le choix d'y aller ou pas, de se battre ou pas, d'accepter 
l'argent des multinationales pas écolos dans sa fondation ou pas." 
Pas mieux!