lundi 2 septembre 2013

FAIRE CESSER LES ACTIONS ILLÉGALES ET VIOLENTES DES ANTICORRIDA



APRÈS LA MANIP  DES « ANIMALISTES »  A RION DES LANDES
LES ENTITÉS TAURINES – FSTF, UVTF, MUNICIPALITÉS, CLUBS TAURINS, ETC…-
DOIVENT RÉAGIR FERMEMENT
.

Ne pas se tromper, ne pas se laisser manipuler, ne pas minimiser ce qui est beaucoup plus qu’un incident, mais un acte ILLÉGAL   DANGEREUX, ne pas non plus laisser les auteurs des violences contre nous, aficionados, inverser les rôles et se poser – LE COMBLE!!- en victimes.

On a tout dit, tout vu, tout lu, sur les forfaits perpétrés par le commando « animaliste », le même jour, samedi 24 Août, à MIMIZAN et à RION DES LANDES : les vidéos, les articles de presse, les déclarations de la FSTF, etc...Ce qui est présenté comme une manifestation contre les corridas et plus grave, contre les spectateurs, est en fait une opération coup de poing organisée par quelques énergumènes au comportement totalement hystérico-névrosé, parfaitement entraînés pour casser, taguer, dégrader les biens publics et insulter impunément des citoyens qui se rendent tranquillement aux arènes, sous le prétexte que la corrida- spectacle LÉGAL-  est un acte de barbarie. Et ces casseurs venus spécialement en bus de PARIS et de BELGIQUE pour casser, dégrader, provoquer, insulter, injurier, s’arrogent le droit de prétendre interdire la corrida, et interdire aux aficionados le droit pourtant LÉGAL d’y assister.

Des millions enfants qui chaque jour dans le monde meurent de malnutrition, de maladie, de violence, de prostitution ? Un détail ! C’est la corrida qu’il est urgent d’interdire, le combat public de quelques taureaux sauvages étant  bien plus inhumain pour ces nouveaux croisés de la cause animaliste que le calvaire de millions d’enfants. La mise à mort de taureaux dans les arènes, c’est cruel, soit ! Mais la mort quotidienne de ces enfants dans l’indifférence des peuples occidentaux, çà n’est pas plus cruel? Et ce problème ne serait pas plus urgent à régler ?

Où est la logique !!! 

Pour être bref, les compte rendus de presse reviennent plusieurs fois sur cette affirmation que nous sommes dans un état de droit, et que le droit de manifester s’applique pour tout citoyen.
Donc pour les gens qui refusent la corrida….
Ils auraient le droit de faire n’importe quoi ?

Soit ! Manifester est un droit. Mais agresser des gens, insulter, troubler un spectacle légal, hurler, contre quiconque n’a pas les mêmes goûts, faire traiter de putes par des enfants les femmes qui se rendent aux arènes, s’entendre appeler assassins, criminels, tarés, dégénérés, est-ce cela, le droit démocratique ? Et pourquoi les services de police ou de gendarmerie n’utilisent-ils pas, pour ramener à la raison une centaine d’excités les mêmes moyens qu’ils firent pour réprimer des revendications sociales de milliers de salariés pourtant pacifiques?

Aujourd’hui, au nom de la démocratie et du droit, on ne peut plus tolérer cette montée dangereuse, liberticide: on doit réagir. Se regrouper, par-delà villes, villages et régions.  Dès lors que le public se rend aux arènes, il y va individuellement, sans être préparé à affronter une bande d’activistes liberticides, à des gens organisés en commandos, avec à leur tête des éléments fascisants parfaitement identifiés, des hors la loi qui  s’opposent violemment à une tradition parfaitement légale, c’est-à-dire inscrite justement dans la LOI, comme faisant partie de traditions méridionales, du patrimoine immatériel français de l’UNESCO. Ces gens rompus à la guérilla et à la médiatisation de leurs actions, doivent être interdits de provocation, et donc empêchés de semer le trouble et la haine- près ou loin des arènes -  sous le prétexte de manifester une opposition contre quelque chose qui les dépasse. Aujourd’hui, c’est la corrida. Demain, ce sera le combat contre la viande, le bœuf, le veau, le canard…. Parfaitement ! Végétariens et végétaliens et autres inconditionnels de la « cause animale » attendent leur heure, cachés derrière les anti-corrida, ce que nombre d’aficionados se refusent à admettre!!
La loi est la loi ! Nul besoin de débat au parlement ou ailleurs.
UVTF, FSTF, municipalités et autres entités taurines, clubs taurins fédérés ou non : intervenez auprès de l’État de droit pour que cessent ces insupportables atteintes à la LOI et à ceux qui la respectent.
Et nous, aficionados, qu’attendons-nous ?  ANDA : réveille-toi ! Réveille-nous !

L'ADA PARENTIS N'A PAS DÉCERNÉ DE PRIX AU MEILLEUR TERCIO DE PIQUES





ADA FERIA
Salle Jean Pierre Darracq
B.P. 14
40161 PARENTIS EN BORN CEDEX


Parentis le 31 Août 2013


COMMUNIQUE DE PRESSE

Le Prix Jean Pierre Fabaron au meilleur tercio de Varas
 est déclaré »desierto »

Le prix de 1500€ attribué au meilleur tercio de varas de la Feria 2013 de Parentis en Born a été déclaré « desierto ». Le jury du concours a souhaité transmettre le communiqué suivant :

Le jury constitué par l’ADA PARENTIS pour élire le meilleur picador de la féria de Sen Bertomiu 2013 a décidé à l’unanimité de déclarer le concours « desierto » du fait du peu de jeu des novillos combattus et notamment de leur manque de bravoure qui n’a pas permis aux piqueros de s’exprimer.
Il convient néanmoins de signaler que deux picadors auraient pu remporter ce prix :
                   - Miguel Angel HERRERO, de la cuadrilla de Jesús Fernández, qui a piqué le quatrième novillo du Raso de Portillo le samedi 10 août, et qui a obtenu les meilleures notes attribuées ; mais ce picador avait monté sa puya à l’envers (arête vers le haut) et a été immédiatement disqualifié.
                   - Juan AGUDO, de la cuadrilla d’Imanol Sánchez, qui a piqué le second novillo du Raso de Portillo lors de la même course, et qui a également eu de très bonnes notes, en particulier pour l’emplacement de la puya à la base du morrillo ; mais il n’a malheureusement pu être jugé que sur une seule pique par la faute de son adversaire, ce qui a semblé insuffisant au jury pour qui le prix mis en jeu ne saurait être un prix « par défaut ».