A VOUS
QUATRE, MES TRÈS CHERS PAULETTE, YVETTE, MICHEL, ET TOI ,
ADORABLE SANDRINE, ET JE PENSE AUSSI A VOTRE CLAUDE BIEN AIMÉ....
Je suis
heureux d’être dans votre cœur, vous êtes tellement dans le
mien, votre soutien me réconforte, tes mots, jolie Sandrine, m’ont
tellement ému. Je pense souvent à vous, aux beaux souvenirs communs,
votre papa était un frère, que j’aimais beaucoup. Aujourd’hui,
c’est une meurtrissure profonde qui m’affecte, qui n’est pas
près de guérir, qui ne guérira même jamais, mais vous êtes près
de moi, cela réconforte, je vous aime, tous les quatre, je vous remercie de votre
soutien,de votre compassion, j’espère que vous serez longtemps,
longtemps, ensemble, heureux....Soigne toi bien Paulette, tu es bien
entourée, heureusement, j’espère que tous les trois tes chers enfants seront
longtemps encore auprès de toi
Merci mille
fois de votre affection et de votre soutien.
A MIREILLE
ET SERGE.....
Vous êtes
venus de loin, pour honorer mon trésor de perle qui m’a quitté,
qui m’a laissé seul, vous êtes venus, et votre présence m’est
d’un grand réconfort. Mille fois merci à vous deux pour ce
témoignage d’amitié et de fraternité, de compassion: dans
le malheur qui fait de moi un écorché, par la souffrance
insupportable de la perte de ma petite femme adorée, votre geste
magnifique a embaumé mon cœur, m’a apporté un réconfort que je
ne pourrai oublier. Mille mercis à vous, comme à tous, mes chers
amis. Je vous embrasse, j’’espère pouvoir peut-être vous
revoir, si mon cœur meurtri ne me joue pas un sale tour. A vous
aussi, je vous aime, comme à tous ceux et toutes celles qui
éprouvent pour ma Gisèle l’intérêt et l’amour qu’elle
pouvait inspirer, et qu’elle méritait, tellement elle était
foncièrement bonne, adorable. Qu'elle me manque! Quel vide !
A ISABELLE
ET PAUL.....
On ne se
connait pas non plus depuis très longtemps, suffisamment toutefois
pour ma part pour avoir apprécié votre gentillesse, vos qualités
humaines, tout ce qui me touche personnellement au plus haut point,
ce que je recherche et décèle chez autrui. Vos mots, votre soutien,
m’ont été précieux, et resteront pour moi un signal fort, pour
me permettre toute raison d’espérer encore de connaître d’autres
levers de soleil, ce qui n’était pas si évident. De plus, la
présence de ma fille auprès de moi dans le drame que je vis
m’encourage plus encore à croire en quelques lendemains ….
Mille
mercis. Je vous embrasse, et vous souhaite à tous les deux un long
long chemin de bonheur ensemble. Encore merci pour votre précieuse amitié.
A MON CHER
CLAUDE.....
Plus de 25
ans que tu m’accompagnais contre les monstres qui dépeçaient le
service public de la Poste, alors que nous le portions à bout de
bras. Aujourd’hui, tu me secours encore, avec le même humanisme,
la même compassion, la même fraternité, avec tes mots qui m’ont
bouleversé. C’est tellement vrai, ce que tu écris, qu’elle
aurait aimé continuer ce chemin accompli ensemble depuis près de 29
ans. Souviens toi : les connards de D.D., du Gers et des H.P.,
avaient même épluché ses comptes personnels, un comptable
« émérite »
était considéré comme un truand, par des cadres cupides et
incompétents. Aujourd’hui, tout va à veau l’eau. Même plus de
D.D. Pauvres types ! Les voyous, c’était eux !!!
Mon trésor
d’épouse, de femme adorée, est parti, et tu lui rends hommage,
avec ton cœur d’homme libre et courageux. Qui n’a pas dévié
d’un pouce, de son combat au service de meilleur pour l’homme.
Merci, cher, très cher Claude, pour ton message qui m’est allé
droit au cœur. Pour ce que tu m’as donné, appris, partagé....Je
t’embrasse de tout mon cœur reconnaissant.
A YVONNE, DE
CÉPET....
Chère
Yvonne, on s’est peu connu, suffisamment aussi pour t’apprécier.
Je pense souvent à notre ami commun, le cher LOUIS, que tu
paraissais aussi beaucoup aimer, disparu beaucoup trop tôt, il y a
bien longtemps....Devinez de quoi ? De cette saloperie de merde
de cancer !!! Ton message m’a aussi touché, ému, et je te
porterai toujours dans mon cœur. Mille mercis, je te souhaite
beaucoup beaucoup de beaux jours, protège toi, pour profiter au
mieux de ces beaux jours qui t’attendent, comme on les espère...
A
DENIS, DE PARIS......Mille mercis pour ton amitié, ton message de soutien. Un
abrazo fuerte
A SERGE
…...Mon cher ami, tu ne peux savoir le chagrin qui m’envahit déjà
à la pensée que désormais le chemin du Born me paraîtra un chemin
de croix : elle était si heureuse chaque année en février de
réserver notre chambre « AU P’TIT CREUX ».... J’ai
déjà de la peine à imaginer ce trajet, ces heures, cette feria
sans elle. Et pourtant : ma petite perle chérie n’est plus
qu’une poignée de cendres.... Et j’ai si mal, tellement
mal....Merci de ton soutien, de tes mots qui me touchent, me
réconfortent. Il faudra sans doute beaucoup de temps, pour que la
plaie se cicatrise. Même si elle ne se refermera jamais. Gisèle est
tellement unique. Elle vous aimait tous, les Parentissois. Les
retrouvailles annuelles la comblaient de joie et de bonheur, et elle
partageait cette passion avec moi sans mégoter, totalement...
Merci,
Serge, je t’embrasse, continue longtemps ce que vous réussissez si
bien même si les bobos landais ou autres vous boudent : ils
n’ont rien compris, c’est VOUS qui êtes dans le vrai
A JACQUES.
J’aime tes
mots qui parlent de sale vautour, de sale bête, de sale besogne, de
tout ce qui caractérise cette saloperie de mal pour lequel je
considère qu’on ne consacre pas les moyens nécessaires mais
toujours insuffisants, au regard de ses ravages, qui continuent de
progresser à la vitesse grand V sur la planète. Mille mercis pour
ta compassion, pour partager mon immense chagrin avec une telle
profondeur de sentiments.
Avec toute
ma gratitude