mercredi 21 octobre 2020

INSOLITE ! UN FOOTBALLEUR A L'IDENTITÉ HORS DU COMMUN....

Espace post-soviétique (URSS) 

blog Perspective communiste le blog de Nicolas Maury


En général il n'y a pas de brèves sportives sur ce blog, mais une exception peut arriver et elle se nomme : Marx Lênin dos Santos Gonçalves.

L'arrivé au FK Akron Togliatti (basé à Togliatti, ville russe nommée en l'honneur de Palmiro Togliatti, fondateur et ancien dirigeant légendaire du Parti Communiste Italien) d'un jeune joueur de soccer brésilien a fait sensation auprès des communistes russes.

Il se nomme Marx Lênin dos Santos Gonçalves.

Traduction d'un article du journal communiste russe "Russie Soviétique".

Traduction Nico Maury


Marx Lênin dos Santos Gonçalves, le joueur du FC Akron Togliatti devenu l'idole des communistes
Viva Marx Lénine!

Étonnamment, au dernier jour du mercato en Russie, le 17 octobre, le jeune du club de Togliatti de la FNL (Ligue nationale de football) "Akron" a immédiatement signé un contrat de 3 ans avec un joueur brésilien, un milieu de terrain de 20 ans issue du club des Regatas do Flamengo.

Et, semble-t-il, ce qui est surprenant, les Brésiliens en Russie jouent depuis plus d'un an, et en nombre considérable. Le nom de ce footballeur, qui a même joué pour l'équipe nationale brésilienne des moins de 15 ans, n'est pas autre que Marx Lénine. Son nom complet est Marx Lênin dos Santos Gonçalves. Le «Révolutionnaire» a joué trois saisons dans l'équipe de jeunes brésiliens, et maintenant il est appelé à sauver le début de saison infructueuse du «Akron» et sa relégation en ligue inférieure.

Il est arrivé, et gratuitement, en tant qu'agent libre, on pourrait dire, pour «sauver la Russie» - une personne portant ce nom ne peut tout simplement pas exister autrement. Et la seule chose qui déroute un peu, c'est que l'Akron est un club privé au main de l'une des plus grandes exploitations métallurgiques de Russie.

Cependant, qui sait, peut-être que Marx Lénine organisera une «révolution» au nom de la sauvegarde du football, ou du moins une grève? Qui sait. Et donc vive, Marx Lénine!

Succès, victoires! Et pas seulement sur le terrain de football.

 

Douce France (bis): l’heure du commandant.

Publié le par Boyer Jakline  Blog Bordeaux- Moscou

Couvre-feu  en russe cela se dit комендантский час, soit l’heure du commandant

Cela a le mérite de la clarté. Des amis de Russie m’interrogent. Toi aussi ? Je détaille. Moi non,  mais 20 millions de mes compatriotes oui.

Tandis que le "débat", sorte de foire d’empoigne, pour ou contre le couvre-feu, se déploie dans le pays, la question ne sera pas posée au président : comment en sommes-nous arrivés là ? Pourtant c'est la seule qui compte. Pour envisager la suite.  

Toujours la gestion par la pénurie hospitalière, et un cynisme absolu, il faudra un autre mot, du président qui nous appelle à respecter les consignes pour soutenir les soignants. Car les flux restent  tendus dans l’hôpital public.  Aucune place en réanimation promise n’est créée.  Les fermetures de lit se poursuivent.  Mieux : rencontrant le personnel d’un grand hôpital parisien,  Macron  justifie sa politique de casse. On ne peut pas changer la stratégie dans ce domaine à  cause d’une épidémie...

Donc, le couvre-feu.  L’artillerie lourde des contrôles policiers,  les amendes... On rêve ! Des milliers de postes de policiers vont être créés.  Pourquoi pas de soignants ?

Difficile de ne pas voir dans ce nouveau tour de vis sur nos vies des intentions autres que  sanitaires. 

A l’approche du deuxième anniversaire des Gilets Jaunes,  17 novembre 2018, il faut encore une fois leur rendre hommage,  d’avoir, seuls, mis le pied dans la porte. Durement payé. 

À peine cette décision prise par Macron, qu’un enseignant est assassiné pour avoir... enseigné.  Aucune Légion d'honneur ne viendra remplir le vide laissé.

Nous en sommes là,  collectivement.

A ce propos,  "lutte contre le  terrorisme" comme ils disent,  j’ai compris  définitivement l’incurie au sommet de l’état avec l’attentat à l’intérieur de la Préfecture de police de Paris.  La Préfecture de police de Paris... un épisode à  la Homeland ...Et notez que la plupart des derniers attentats sont le fait de personnes non fichés S.

Bref, comme aurait dit un président français,  le premier,  "c'est la chienlit"

L’assassin, jeune homme" né à Moscou, est réfugié politique tchétchène". Né à  Moscou,  ça tourne en boucle.

 

La lecture de la situation internationale par les Occidentaux démunit nos sociétés. Leur compromission aussi,  ces liens affichés avec l’Arabie Saoudite ou autres.

Les intégristes tchétchènes ont frappé  très fort sur le territoire de la Fédération de Russie. Se souvenir de Beslan, 1er septembre 2004, une école frappée, des centaines de morts dont beaucoup d’enfants. Voir en lien le récapitulatif dans le journal 20'. En 2010. 

Or, les commentaires ici ont avant tout souligné la brutalité de la riposte du pouvoir,  Poutine en l’occurrence. Et brutale, elle le fut. 

Je me souviens très bien de la prise d’otages au théâtre moscovite na Doubrovkié en 2002, et l’école de Beslan,  le jour de la  rentrée 1er septembre  2004. Déjà  ciblés des lieux de culture et d’éducation. J’étais sous le choc,  comme mes amis russes. Et déjà,  dans nos élites politiques et éditoriales, la réaction brutale du pouvoir choquait  d’abord.  Ce qui surprenait mes amis. 

Je me souviens qu’après Charlie, Vladimir Poutine avait proposé une collaboration sur la  lutte antiterroriste. Irrecevable pour nos dirigeants.  Les Tchétchènes luttent contre cette horrible Russie.  Or, la Tchétchènie a été un des premiers foyers "radicaux", je préfère le mot assassin,  aux marges du  continent européen.  Les Tchétchènes? Encore une fois  bien  cibler : DES Tchétchènes  ou aussi  des djihadistes sur le sol tchétchène.  Lors de l’intervention russe en Syrie,  2015, Vladimir Poutine répétait : je préfère les combattre ici qu’à nos frontières.

Avec le conflit entre Arméniens et Azéris,  les voilà à nouveau à 30 km de la Fédération de Russie, puisque  Erdogan a rapatrié ses djihadistes d’Idlib, Syrie,  en Azerbaïdjan.

La Tchétchènie est une république autonome de la Fédération de Russie. 

Le Caucase et la Russie,  impériale ou poutinienne, c’est une longue histoire tumultueuse. Dans ce domaine également,  l’URSS avait apporté sa pierre constructive. En particulier,  le b-a ba comme partout sur le territoire soviétique,  une alphabétisation de masse et la reconnaissance de leurs langues. De 1934 à 1940, la population alphabétisée est passée de 3% à  80%. Histoire plus chaotique au cours de la deuxième guerre mondiale, avec un mouvement pro-Hitler très actif.

 Combien d’acteurs politiques  chez nous ont pleuré,  pleurent sur la Tchétchènie.  Ils ont nié,  ils nient toujours l’activité terroriste violente, pléonasme,  des islamistes radicaux dans ce coin du Caucase. 

Évidemment tous les tchétchènes ne sont pas  des islamistes radicaux. Et le peuple tchétchène a été aux premières loges. Comme les Algériens ou les Pakistanais le furent ou le sont. Entre autres.

Le mot  Tchétchènie  provoque le plus souvent  des réflexes pavloviens dans une grande partie  des intellectuels,  gauche et droite  confondues. 

Les "islamistes  modérés" sont une plaie que les Occidentaux entretiennent soigneusement.

Je vous recommande le film de Nikita Mikhalkov, 12, pour un voyage dans la  Tchétchènie des années 2000.

Le 17 octobre,  le porte-parole de l’ambassade russe à Paris dans une déclaration officielle a précisé que Abdullah Abzorov, l’assassin,   vivait en France depuis 12 ans, arrivé à l’age de six ans avec toute sa famille.  Elle avait reçu les papiers lui permettant  de s’installer en France.  Lui-même avait reçu son autorisation d’installation en mars dernier lors de sa majorité.

 Julian Assange,  Edward Snowden ne parviennent pas à  obtenir  ce statut.

La Russie n’a rien à voir avec cet acte, a tenu à préciser l’ambassade de Russie en France. Abdullah Abzorov a été éduqué en France,  a rencontré l’islamisme radical en France. La Russie, durement touchée par des attentats depuis le milieu des années 90, interdit toute association se revendiquant de près ou de loin de cette mouvance.

 

Petite leçon de russe :

"J’ira les buter jusque dans les chiottes". Vladimir Poutine venait d’être adoubé et il prononça cette phrase qui lui colle à la peau. Elle le faisait entrer dans notre monde et imaginaire comme un personnage dangereux et grossier.

Cette traduction, chiottes, m’a immédiatement déplu et gêné. Son parti pris était éminemment tendancieux.  Le mot employé par Vladimir Poutine n’est pas un mot vulgaire. Sortir, c'est le mot russe, soit le verbe français  adopté  tel quel, avec prononciation russe, pour désigner ces toilettes  très  rudimentaires au fond du jardin ou du potager à la datcha.  Quand  mes hôtes m’indiquent le "sortir", ils me désignent dans une langue convenable un lieu indispensable. En mai 2019, j’ai utilisé encore  un "sortir".

L’emploi de ce mot donne plutôt une indication sur l’endroit où pourrait  se cacher un terroriste.  A la campagne,  dans un coin perdu. Il indique une détermination de la part de Vladimir Poutine. Mais ce président ne se laisse jamais aller à la vulgarité dans ses propos.  Qu’on l’apprécie ou pas, il faut reconnaître cette réalité. 

 

Source : Le Nouvel Obs, 15/01/1998

Le Nouvel Observateur : L’ancien directeur de la CIA Robert Gates l’affirme dans ses Mémoires : les services secrets américains ont commencé à aider les moudjahidine Afghans six mois avant l’intervention soviétique. A l’époque, vous étiez le conseiller du président Carter pour les affaires de sécurité. Vous avez donc joué un rôle clé dans cette affaire ? Vous confirmez ?

Zbigniew Brzezinski : Oui. Selon la version officielle de l’histoire, l’aide de la CIA aux moudjahidine a débuté courant 1980, c’est-à-dire après que l’armée soviétique eut envahi l’Afghanistan, le 24 décembre 1979.

Mais la réalité gardée secrète est tout autre : c’est en effet le 3 juillet 1979 que le président Carter a signé la première directive sur l’assistance clandestine aux opposants du régime prosoviétique de Kaboul. Et ce jour-là j’ai écrit une note au président dans laquelle je lui expliquais qu’à mon avis cette aide allait entraîner une intervention militaire des Soviétiques.

Le Nouvel Observateur : Malgré ce risque vous étiez partisan de cette « covert action » (opération clandestine). Mais peut-être même souhaitiez-vous cette entrée en guerre des Soviétiques et cherchiez-vous à la provoquer ?

Zbigniew Brzezinski : Ce n’est pas tout à-fait cela. Nous n’avons pas poussé les Russes à intervenir, mais nous avons sciemment augmenté la probabilité qu’ils le fassent.

Le Nouvel Observateur : Lorsque les Soviétiques ont justifié leur intervention en affirmant qu’ils entendaient lutter contre une ingérence secrète des Etats-Unis en Afghanistan, personne ne les a crus. Pourtant il y avait un fond de vérité. Vous ne regrettez rien aujourd’hui ?

Zbigniew Brzezinski : Regretter quoi ? Cette opération secrète était une excellente idée. Elle a eu pour effet d’attirer les Russes dans le piège Afghan et vous voulez que je le regrette ? Le jour où les Soviétiques ont officiellement franchi la frontière, j’ai écrit au président Carter, en substance : « Nous avons maintenant l’occasion de donner à l’URSS sa guerre du Vietnam. » De fait, Moscou a dû mener pendant presque dix ans une guerre insupportable pour le régime, un conflit qui a entraîné la démoralisation et finalement l’éclatement de l’empire soviétique.

Le Nouvel Observateur : Vous ne regrettez pas non plus d’avoir favorisé l’intégrisme islamiste, d’avoir donné des armes, des conseils à de futurs terroristes ?

Zbigniew Brzezinski : Qu’est-ce qui est le plus important au regard de l’histoire du monde ? Les talibans ou la chute de l’empire soviétique ?Quelques excités islamistes où la libération de l’Europe centrale et la fin de la guerre froide ?

Le Nouvel Observateur : Quelques excités ? Mais on le dit et on le répète : le fondamentalisme islamique représente aujourd’hui une menace mondiale.

Zbigniew Brzezinski : Sottises. Il faudrait, dit-on, que l’Occident ait une politique globale à l’égard de l’islamisme. C’est stupide : il n’y a pas d’islamisme global. Regardons l’islam de manière rationnelle et non démagogique ou émotionnelle. C’est la première religion du monde avec 1,5 milliard de fidèles. Mais qu’y a-t-il de commun entre l’Arabie Saoudite fondamentaliste, le Maroc modéré, le Pakistan militariste, l’Egypte pro-occidentale ou l’Asie centrale sécularisée ? Rien de plus que ce qui unit les pays de la chrétienté.

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LA LEÇON TCHÉTCHÈNE

La leçon tchétchène... 

de Jean-Pierre Garnier  

En 2017 Macron accueille Poutine à Versailles pour lui enseigner "nos valeurs"

,

C’est quand même incroyable de découvrir que la très réactionnaire et antirusse Pologne prend bien garde de ne pas donner asile à un soutien des "combattants tchétchènes", mais que la France les accueille en toute connaissance de cause... 10 ans après les terribles attentats tchétchènes de Moscou. Il faudrait chercher qui est intervenu pour faire annuler la première décision négative du directeur général de l’OFPRA !

Décapitations : les bonnes têtes et les mauvaises.


Jean-Pierre Garnier

« Al Nosra fait du bon boulot », opinait Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères sous le règne (misérable) de François Hollande. En Syrie, les djihadistes décapitaient alors à tour de bras et exhibaient les têtes coupées de militaires et civils syriens à la solde de l’odieux « régime de Bachar » qui « ne mérite pas d’être sur terre », décrétait le même Fabius. Aucune image des exploits de ces « rebelles modérés » dans nos médias.

Idem, deux décennies plus tôt, quand d’autres « combattants de la liberté » islamistes, à la demande du Premier ministre bosniaque Aliya Itzebegovich et cornaqués par Oussama Ben Laden, faisaient la même chose en Bosnie aux dépens de soldats et civils serbes pour aider, au profit de « l’Occident » impérialiste, au démembrement de la Yougoslavie de l’infâme « Hitler des Balkans », Slobodan Milosevich. Une partie de ces héros de la « croisade démocratique » pour un « changement de régime » sera ensuite transférée en Tchétchénie ou en Syrie pour se livrer aux mêmes atrocités en vue du même objectif avec, encore, l’appui de « l’Occident ».

Mais voilà que des illuminés inspirés aussi par Allah se sont mis à semer la mort d’une manière aussi peu civilisée sur les terres de ce même « Occident », notamment dans notre « patrie des droits de l’homme ».

Le dernier en date, d’origine tchétchène, faisait partie d’une famille de réfugiés soi-disant politiques établie en France depuis pas mal de temps (2008). Mais il était né à Moscou. Il n’en fallut pas plus pour nos médias "mainstream" pour insister sur sa nationalité russe. Encore un coup de Poutine ? Indirectement. Le père du tueur avait activement soutenu des terroristes tchétchènes alors que Poutine s’était promis en 1999 d’aller « les buter jusque dans les chiottes ». D’où l’exil forcé de la famille, accueillie en France en 2009, bien qu’elle aurait du être fichée S à en juger par l’avis de la Cour nationale du droit d’asile, mais rejeté par l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (voir fichier joint).

Futé, cependant, le secrétaire de presse de l’ambassade de Russie à Paris a immédiatement riposté sitôt connue l’identité de l’auteur de la décapitation : « L’individu habitait en France depuis 12 ans à titre officiel ». Et l’insolent d’ajouter : « Il importe plus de savoir où la personne s’est radicalisée et a emprunté la voie du terrorisme, condamné par la Russie dans toutes ses manifestations, que son lieu de naissance ». Mais, qu’il se rassure : Macron, qui s’est précipité à Conflans-Saint-Honorine sitôt le meurtre connu pour condamner « l’obscurantisme et la violence », a solennellement promis à propos des coupeurs de têtes potentiels : « ils ne passeront pas ! ». Ira t-il jusqu’à les buter dans les chiottes ?

Jean-Pierre Garnier
Sur le site de la Librairie des Tropiques

Le fichier joint en PDF concerne le droit d’asile finalement accepté de Monsieur Anzorof qui avait soutenu des terroristes tchétchènes

 


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Les Chinois mangent tous à leur faim,,,Ce n'est plus le cas chez nous !

La reprise économique s’accélère en Chine

 

 L’activité chinoise retrouve son niveau d’avant le Covid-19. l La deuxième puissance économique mondiale enregistre une croissance de 4,9 % de son PIB au troisième trimestre

 

 

La croissance chinoise ces derniers trimestres

4ème T  2019      + 6%

1er     T  2020     -   6,8%

2ème  T 2020      + 3,2%

3 ème T 2020      + 4,9%

L’activité chinoise retrouve son niveau d’avant le Covid-19. l La deuxième puissance économique mondiale enregistre une croissance de 4,9 % de son PIB au troisième trimestre.* 

 

Et ce sont Les Echos qui en font l'annonce...

Et en France,

selon l"INSEE:

 

Au deuxième trimestre 2020, le PIB se contracte de 13,8 %

Au deuxième trimestre 2020, le produit intérieur brut (PIB) en volume baisse fortement : –13,8 %, après –5,9 % au premier trimestre 2020. Il est ainsi 19,0 % plus bas qu’au deuxième trimestre 2019. 

Ça n'empêche pas Nicolas                           Ça n'empêche pas Nicolas

 

Si le fait que la Chine fait mieux, beaucoup mieux que la France c'était une question de système politique ?

Basé sur le taux de profit pour une classe dominante  et un gouvernement à son service dans notre pays - où la pauvreté est devenue un phénomène de masse - alors qu'en Chine, le pouvoir politique, détenu par le Parti Communiste, vise à satisfaire les besoins sociaux et culturels de la population, après avoir éliminé la pauvreté pour plus de 600 millions de Chinois...

Le socialisme, décrié par le capitalisme,  est peut-être la solution, non ?

Tag(s) : #Chine France
 
Note de Pedrito.
 
Donc , ce n'est pas comme chez nous, où la situation s'aggrave dans de nombreux domaines: de plus en plus pauvres, mais par contre de plus en plus de milliardaires.
D'accord, c'est la Chine, et c'est le Socialisme à la Chinoise, avec aussi ses riches, et ses classes moyennes nouvelles, plus opulentes que les plus pauvres, sinon plus aisées que d'autres, nous dit-on çà et là: mais pourra-t-on encore longtemps nier les résultats de cette nouvelle puissance économique mondiale, sans doute la première, aux dires d'économistes de plus en plus nombreux, et de son système socialiste, qui a éradiqué ces dernières années la pauvreté et la faim chez 600 millions de Chinois, comparés à ceux du  déclin américain annoncé et confirmé, où la faim et la pauvreté avancent à pas de géant? 
Et pourquoi pas enfin le Socialisme à la Française, ce socialisme qui prouve sa supériorité évidente dans de très nombreux domaines, dont l'éducation, la santé, la recherche.... dans d'autres pays que la Chine: Viet-Nam, Cuba, etc....?   
Je sais, il manque chez nous un vrai, un puissant Parti communiste, presque dissous ces dernières décennies dans la lutte des places, les tendances, les groupuscules, les magouilles dans beaucoup de fédérations....Tout cela à la mode social-démocrate. Mais qui sait si le réveil ne viendra pas bientôt?
Un autre parti, celui-là, ne se trompe pas d'amis mais nous trompera toujours, à nous, Français, sous ses oripeaux "patriotiques". La délégation du RN ex FN  qui se rend ces jours-ci aux USA pour soutenir le milliardaire de droite extrême TRUMP, les délégués donc, de madame Le Pen, ce parti qui se prétend populaire, ni de droite ni de gauche( !! ),  eux ni leur parti ne pourront plus longtemps encore cacher leur vrai camp, ni faire oublier qui sont leurs amis: les très riches! 
Comment avec de tels soutiens au dangereux clown de là-bas prétendre ici défendre le sort des humbles, des travailleurs, des classes populaires? Et se présenter à une élection pour prétendre remettre ce monde d'injustices, de misères, de violences, à l'endroit?
Ce sera difficile, comme le fut mon combat depuis plus de cinquante ans, mais la vérité finira-t-elle bientôt par triompher....