lundi 6 janvier 2020

PARCE QUE "JE" LE VEUX !!!

Emmanuel Macron durant sa campagne électorale, le 10 décembre 2016.<br />
<sub>(AP Photo/Kamil Zihnioglu) </sub>





PARCE QUE "JE" LE VEUX  !!!!!!
Sur la photo, c'est le moment où le petit banquier prétendument démocrate, en pleine campagne pour accéder au trône de l'Élysée, où il pourra donner libre cours à ses ambitions, à ses prétentions à peine cachées, à sa gigantesque soif du pouvoir, bref, à ses crimes sociaux, prononce ces mots qui choquent encore nos oreilles. 
Parce que " JE " le veux, hurle "l'enfant" de Hollande le socialiste, devant un public qui parait conquis, parce qu'il faut que "çà change", tellement on l'a pris pour des glands, pendant des décennies de régression sociale, un public incrédule, qui sourit et applaudit, parce qu'il ne lui reste plus qu'à croire à ce nouveau roi mage, et qui ne comprend pas encore  ce que cache un tel comportement, une telle violence verbale déchainée, un tel accès d'orgueil, au seul service des banques, de la finance, dont il est le représentant malfaisant.
Sa soif irraisonnée du pouvoir va-t-elle le conduire à réussir à réduire en miettes les conquêtes sociales obtenues par les salariés à la Libération?
Quand l'Europe s'est libérée du joug nazi et ses alliés financiers.....
Il faut mettre à nu le mensonge macronien, tant qu'il encore temps, le dénoncer sans relâche, pour préserver le fruit des luttes gagnées par les travailleurs: les générations à venir doivent en connaître le prix et les bienfaits. Il est plus que jamais nécessaire de dire, faire savoir, le répéter, que la sécurité sociale est l'oeuvre d'un ministre communiste.
Il s'appelait Ambroise CROIZAT.
La sécu: c'est pas rien,  non?
Et si on laisse faire les rapaces financiers et leurs valets, tout suivra: les retraites, les allocs, les congés, le smic.....Ils pourront tout dépecer.
A moins que......
 

CRIMES DE GUERRE : QUI NE DIT MOT CONSENT.



CRIMES DE GUERRE : QUI NE DIT MOT CONSENT.

lundi 6 janvier 2020 par Francis Arzalier
Le silence du Monarque français a l’égard de son peuple en révolte ne doit pas nous faire oublier son mutisme au sujet des criminels états-uniens qui ont organisé l’assassinat sur le sol de l’Irak, pays théoriquement indépendant et théoriquement allié, du Général iranien Sualaimani, et d’un combattant irakien, d’importants acteurs de la lutte dans la région contre les fanatiques d’Al Qaïda et contre l’Impérialisme. Ce type de décisions méprisant toute loi internationale est pratiqué par deux Etats du Monde seulement, les États Unis d’Amérique et leur filiale coloniale d’Israël. Que leurs dirigeants actuels, Trump et Netanyahou soient prêts à risquer une guerre mondiale pour se maintenir au pouvoir ne change rien à l’affaire :
L’ASSASSINAT DE BAGDAD EST UN CRIME DE GUERRE, COMME CEUX QUE SURENT ACCOMPLIR LES NAZIS EUROPÉENS IL Y A 80 ANS, A GUERNICA OU EN RUSSIE, ET RIEN N’ATTÉNUE LA RESPONSABILITÉ DE LEURS AUTEURS DEVANT LES CONSÉQUENCES INÉLUCTABLES.
Et le silence de dirigeants comme Macron et leurs porte-paroles médiatiques, qui se contentent de gloser sur " l’imprudence du maladroit de la Maison Blanche " relève de la non-assistance à un Monde en danger de guerre. Une complicité de fait, comme celle pratiquée en 1938-41 A l’égard des agressions d’Hitler. Qui ne dit mot consent, que ce soit par antisoviétisme autrefois, ou par haine de l’indépendance nationale aujourd’hui. Normal : pourquoi défendraient ils les droits des Nations Iraniennes ou irakiennes, quand ils ne savent plus défendre ceux de la Nation française contre les diktats de l’UE ou des USA ?
Francis Arzalier Blog ANC