Comme je l'ai appris et écrit avant-hier, Nadine n'est plus, et ceci depuis déjà plusieurs années. Et les sourires des deux adorables créatures qui illuminent cette photo, ma Gisèle adorée et Nadine, épouse de Christian et mère de Christophe, "Pelayo", témoignent des délicieux moments passés ensemble, dans ce village perché au-dessus de Castelnaudary, lorsque tout était prétexte à des retrouvailles chaleureuses, conviviales à souhait, sans compter la feria de Carcassonne, dont certains amis aficionados doivent se souvenir.
C'est en voulant faire prévenir du malheur qui vient tout juste de me frapper les parents de Christophe et lui-même, leur fils, qui nous avaient laissé tant de délicieux souvenirs, les informer de la disparition de ma Gisèle tant et tant aimée, que j'ai appris l'impensable, par une tante de Christophe: la fin brutale de Nadine, sa maman, au début des années 2010. L'horreur, incroyable, inhumaine, notamment pour son cher fils, qui a vu le ciel s'écrouler sur la tête.
Ceux des amis qui ont connu ces deux visages familiers et si sympathiques de la feria de Carcassonne des années 2008 / 2010 auront sans doute une pensée émue pour eux, surtout pour Nadine, généreuse, agréable, pleine de sa joie de vivre, au sourire printanier, trop prématurément enlevée à l'affection et l'amour des siens. Pour ma part, à l'annonce de cette horrible nouvelle, je n'ai pas pu retenir mes pleurs, associés à celle que j'ai tant aimée, et que je continue d'aimer à la folie, a la locura.
Christophe, très cher ami Pelayo, je souffre avec toi. Et ceux qui l'ont connu et vous ont connu doivent souffrir de la perte de ta chère maman. Un peu tard, mais avec beaucoup d'émotion, et un gros chagrin, une immense tristesse, comme elle le méritait, comme vous le méritez, je te prie de croire à ma plus profonde compassion.
Je t'embrasse très affectueusement. De tout mon cœur. Je pense à vous.
Je t'embrasse très affectueusement. De tout mon cœur. Je pense à vous.
P.