mardi 14 août 2018

LE VIADUC S'EFFONDRE....LE COURS DE LA BOURSE RÉSISTE !!!

Le pont suspendu tombe ; la cote du concessionnaire reste suspendue.

Publié le 14 Août 2018
Des morts, des blessés
vite des sauveteurs...
pour l’actionnariat d'Atlantia
Le pont suspendu tombe ; la cote du concessionnaire reste suspendue.
Une longue portion d’un pont sur une autoroute s’est effondrée mardi 14 août à Gênes, dans le nord de l’Italie.
Selon les pompiers, l’accident s’est produit vers midi. Dans sa chute, le viaduc, haut d’une cinquantaine de mètres, a emporté plusieurs voitures et des camions.
Bilan à 17h 00 La catastrophe a fait au moins 30 morts et des blessés graves, selon le ministère de l’intérieur italien.
Construit dans les années 1960, l’édifice avait connu d’importants travaux de rénovation en 2016. On ne connaît pas encore les causes de l’accident.
"Propriété" de  Autostrade per l'Italia (une entreprise italienne, privatisée en 1999), chargée notamment de la gestion de 2 855 km d'autostrada en Italie, l'équivalent des autoroutes en France.
Côté bourse, la société d'autoroutes Atlantia à plus de chance que son pont : elle reste suspendue même avec -10% à la Bourse de Milan.
Atlantia  fait partie du groupe italien Benetton. (les mêmes qui exploitent à travers le monde les ouvrières et ouvriers du textile) via son actionnaire principal, la société d'investissement Sintonia, basée à Luxembourg.). 
Elle  possède 65,01 % du consortium Azzurra qui gère l'Aéroport de Nice-Côte d'Azur.
Donc, dans cet espace de concurrence libre et non faussé, le pont s'est effondré mais le cours de bourse de Benetton à tenu le coup.
L'effondrement du viaduc a fait des «dizaines de victimes», selon le directeur du centre d'appel des urgences de Gênes, sans préciser s'il s'agissait de morts ou de blessés. «Je confirme malheureusement qu'il y a 22 morts, et ce bilan risque de s'alourdir» a annoncé à la télé Eduardo Rixi, vice-ministre italien des Infrastructures.
Comme le signale de façon cynique la presse helvétique (24h00 en suisse) :
" Le titre d'Atlantia, maison mère d'Autostrade, a perdu jusqu'à 10% à la Bourse de Milan après l'accident, avant d'effacer une partie de ses pertes. "

Note de Pedrito.
Bizarre, cette catastrophe, si peu de temps après les "travaux de rénovation" du viaduc, qui auraient théoriquement dû le rendre plus sûr, plus solide.
Pour toujours plus engraisser les actionnaires, les entreprises capitalistes font le choix d'économiser sur la qualité de l'ouvrage et sur l'humain:pots de vin, corruption, profits et pertes....
Résultat? Le malheur pour des centaines de familles, qui vient alimenter la rubrique des "faits divers".
Comme si le capitalisme, cette tare qui mine  la société mondiale, pouvait être désigné de fait divers. 

Les plus grands chefs cuisiniers français appellent au boycott du géant Bayer-Monsanto

Publié le par Front de Gauche Pierre Bénite
Les plus grands chefs cuisiniers français appellent au boycott du géant Bayer-Monsanto
Suite au rachat du groupe américain Monsanto par Bayer, plus de 200 grands chefs de cuisine française se sont rassemblés pour montrer leur mécontentement. Tous ensemble, ils ont signé une lettre ouverte pour lutter contre la présence de l’agrochimie dans notre nourriture.
Yannick Alléno, Cyril Lignac, Yves Camdeborde, Yannick Alléno ou encore  Christophe Michalak, sont des grands personnages de la gastronomie française, et sont reconnus également à l’international. Et ce n’est pas pour cuisiner que ces maitres de la restauration se sont rassemblés, mais bien pour dénoncer les conséquences terribles de la fusion entre les deux plus grandes multinationales de biotechnologie, Bayer et Monsanto.
C’est dans une Lettre ouverte contre l’invasion de l‘agrochimie dans nos assiettes (voir ci-dessous) qu’ils lancent un appel à la responsabilité collective et à la prise de conscience générale.
L’alimentation est en grand danger
Publiée le 20 septembre 2016 sur le site spécialisé de l’actualité de la cuisine et de la gastronomique Atabula, les grands chefs de la restauration française se sont regroupés avec la même volonté de communiquer leur Lettre ouverte contre l’invasion de l’agrochimie dans nos assiettes.
Ardents défenseurs du mieux et du bien manger, de la qualité du produit et des producteurs locaux, nos grands chefs de cuisine étoilés veulent aussi rappeler leur soutien à la biodiversité, le respect de l’environnement ainsi que la santé des consommateurs mais également à leur profession :
Sans un produit sain et de qualité, sans diversité des cultures, le cuisinier ne peut plus exprimer son talent créatif. Il n’est plus en mesure de faire son métier comme il l’aime et de le transmettre avec passion.
L’instrumentalisation de l’environnement
Avec beaucoup de sincérité, ils expriment leur inquiétude face à cette alliance entre les géants des pesticides et des semences ainsi que son terrible enjeu : contrôler toute la chaîne alimentaire, de la terre où pousse la semence jusqu’à l’assiette du consommateur. Ils dénoncent le risque pour les paysans et agriculteurs de se voir restreints à la fonction de simples exploitants au service d’une machine infernale.
Les terres cultivables risquent, quant à elles, de perdre leur diversité de culture et d’être réduites à un “produit marketé”.
Ce rapprochement agrochimique constitue un réel danger pour nos assiettes. Selon un rapport des Nations Unies, la détérioration rapide des sols de la planète due à l’érosion, à la perte de nutriments et de carbone organique, à l’imperméabilisation et autres menaces peut être inversée, pour autant que les pays prennent l’initiative de promouvoir des pratiques de gestion durable et l’utilisation de technologies appropriées.
Le Rapport sur l’Etat des ressources en sols du monde du Groupe technique intergouvernemental sur les sols de la FAO réunit les travaux de quelque 200 scientifiques de 60 pays. Sa publication coïncide avec la célébration de la Journée mondiale des sols, le 4 décembre, et la conclusion de l’Année internationale des sols 2015 qui a servi à renforcer la prise de conscience sur ce qui a été décrit comme «l’allié silencieux de l’humanité».
L’agriculture intensive et l’urbanisation détruisent toujours plus de surfaces écologiquement précieuses. En France, une surface supérieure à mille terrains de football est recouverte par des constructions chaque jour. Un quart des champs est touché par l’érosion des sols qui les rend stériles. Or, la préservation des sols est la préoccupation première de la permaculture. A l’occasion de la « Global Soil Week » -la semaine globale du sol- l’Institute for Advanced Sustainability Studies Potsdam a créé une animation de sensibilisation à ce sujet.
Une partie des sols s’érode et finit sa course dans les rivières et les océans. La faute principalement à l’agriculture intensive qui laboure et laisse les sols nus et donc sans défense une bonne partie de l’année.
Lettre ouverte contre l’invasion de l’agrochimie dans nos assiettes
Le rachat du groupe américain Monsanto par l’allemand Bayer, en septembre 2016, ne peut pas laisser les professionnels de la restauration indifférents. Avec cette acquisition, ce nouveau mastodonte des semences et des pesticides a une ambition : contrôler toute la chaine alimentaire, de la terre où pousse la semence jusqu’à l’assiette du consommateur. Une telle entreprise n’a qu’une ambition : accroitre ses activités, donc ses bénéfices, sur tous les continents, au mépris de la biodiversité et de la santé des populations. Si l’Union européenne s’est montrée inquiète suite à ce rapprochement, les citoyens ne peuvent se contenter de regarder la chimie remplir leurs assiettes.
Ardents défenseurs du bien manger, engagés quotidiennement dans la valorisation du bon produit et des petits producteurs, les professionnels de la restauration veulent rappeler leur attachement à quelques valeurs fondamentales : le soutien à la biodiversité, le respect de l’environnement et la santé des consommateurs. Ce rapprochement agrochimique constitue un danger pour nos assiettes, mais il est également une source d’inquiétude pour les paysans et les agriculteurs qui voient se limiter leur liberté de planter et cultiver telle ou telle semence. Demain, à cause des OGM, du Roundup et des différents produits chimiques sortis des usines, les diversités culturale et culturelle n’existeront plus. La nature vivante ne sera plus qu’un produit marketé, transformé, muté au service d’un Léviathan.
Il est nécessaire que les chefs et tous les acteurs de la restauration prennent la parole et expriment publiquement leurs inquiétudes : sans un produit sain et de qualité, sans diversité des cultures, le cuisinier ne peut plus exprimer son talent créatif. Il n’est plus en mesure de faire son métier comme il l’aime et de le transmettre avec passion. Quant au paysan et à l’agriculteur, ils se transforment en simples exécutants d’un grand tout agrochimique qui les dépasse : des ouvriers à la solde d’une entreprise apatride, hors sol.
Cette Lettre ouverte contre l’invasion de l‘agrochimie dans nos assiettes est un appel à la responsabilité et à la prise de conscience collective. Des enjeux majeurs pour notre alimentation se jouent actuellement. Non, la nature, la diversité et la qualité de notre alimentation ne doivent pas passer sous le rouleau compresseur liberticide du groupe Bayer-Monsanto.
Note de Pedrito: suit une liste de plusieurs centaines de grands noms de la cuisine Française et de professionnels du monde de l'assiette saine et de la bonne bouffe


La faute de Benalla n'est pas qu'une défaillance individuelle, elle est le symbole du système macronien

Publié le par Front de Gauche Pierre Bénite

La faute de Benalla n'est pas qu'une défaillance individuelle, elle est le symbole du système macronien
Le journaliste François Bazin dresse le bilan de l'affaire Benalla et analyse la communication d'Emmanuel Macron durant ces dernières semaines. Il y voit la faillite d'une gouvernance fondée sur la promesse d'une «République exemplaire».

Ancien rédacteur en chef du service politique du Nouvel Observateur, François Bazin est l'auteur d'une biographie de Jacques Pilhan intitulée Le sorcier de l'Élysée, l'histoire secrète de Jacques Pilhan (Plon, 2009). Son dernier ouvrage, Rien ne s'est passé comme prévu. Les cinq années qui ont fait Macron est paru le 1er juin chez Laffont. Il tient le blog Lirelasuite.fr.

L'affaire Benalla est-elle désormais close ou, pour le moins sous contrôle, comme le suggèrent les porte-parole d'Emmanuel Macron?
François BAZIN.- Si tel était le cas, encore faudrait-il expliquer comment un pouvoir qui se prétend jupitérien a failli se noyer «dans un verre d'eau». Ceux qui prétendent par ailleurs qu'une «affaire d'été», par définition, doit s'éteindre à la rentrée confondent la fin de l'acte et la fin de la pièce. Cette affaire est à tiroirs, tout comme celui qui en est le héros. Chaque jour qui passe apporte de nouveaux rebondissements. C'est un vrai feuilleton, passionnant à ce titre. Les premiers épisodes ont été détonnant. La suite, ce sont des mèches mal éteintes qui, à tout instant, peuvent relancer l'incendie.
Avec une meilleure communication, cet incendie aurait-il pu être circonscrit d'emblée?
La communication ne peut pas tout. Ça ne sera jamais le coup de baguette d'un prestidigitateur. Dans ce genre d'affaire, une bonne communication doit proposer un récit qui soit à la fois crédible et honorable pour ceux qui sont mis en cause.
Cela suppose de la rapidité, de la franchise et de la netteté, y compris dans le sacrifice de quelques positions trop évidemment indéfendables. L'objectif, ce n'est pas la recherche du fusible mais l'installation d'un pare-feu ou d'un dérivatif pour que la lecture de l'événement s'en trouve modifiée. Or dans l'affaire Benalla, tout a été fait à l'inverse et à contretemps.

Si Benalla a été sanctionné, c'est qu'il n'était pas innocent mais alors pourquoi a-t-il été ménagé à ce point, en catimini ?

Pourquoi?
Si l'on refait le film des premiers jours, on voit d'abord qu'à l'Élysée, on n'imaginait pas que deux mois et demi après les dérapages du 1er mai, la responsabilité de Benalla puisse être soudain établie dans la presse. Pas vu pas pris! Rien n'avait été préparé pour le cas contraire.
Quand le directeur de cabinet du Président est interrogé par Le Monde, il ne peut que reconnaître la faute, agrémentée d'une sanction a minima. Ce qui est évidemment trop court pour qu'on en reste là. Si Benalla a été sanctionné, c'est qu'il n'était pas innocent mais alors pourquoi a-t-il été ménagé à ce point, en catimini? Il y a là dès le départ une grande contradiction.
Alors que la mèche du soupçon vient d'être ainsi allumée, intervient alors le porte-parole de l'Élysée. Sa déclaration solennelle est proprement extravagante puisqu'elle repose sur une contre-vérité évidente: le caractère inédit de la mise à pied provisoire de Benalla. Pour éteindre le feu, on vient ainsi de l'arroser d'essence. Chapeau!
Pour compléter le tout, ce jour-là, manque de chance, le Président est sur le terrain et ne peut échapper aux questions des journalistes. On le cherche mais il se dérobe sous l'œil des caméras, ce qui n'est pas glorieux et montre surtout une gêne qui, dès lors, signale une forme de complicité.
Pour vous, à partir de là, la messe est donc dite?
Elle l'est en tout cas suffisamment pour qu'enquêteurs, commentateurs et autres procureurs s'engouffrent dans la brèche avec les effets que l'on sait. L'accusation, à ce stade, repose sur des pièces reconnues et vérifiables tandis que la défense n'a pas le début d'un argumentaire élaboré.
J'en tire deux conclusions. La première est qu'une fois encore dans ce genre affaire - Fillon pourrait en témoigner - vouloir gagner du temps en improvisant ou en biaisant, c'est prendre le risque d'être emporté par la vague. La seconde, propre au système Macron, est que son hyper-centralisation le rend terriblement fragile, dès lors que le Président montre dans la tourmente, une étonnante absence de réactivité. À quoi bon se vanter d'être maître des horloges quand on est, dans les faits, constamment en retard sur l'événement?
Macron aurait dû selon vous s'expliquer beaucoup plus vite en public?
Je pense surtout qu'il n'a pas fallu longtemps avant que les Français comprennent tout seul les ressorts principaux de cette affaire. En ce sens, ils n'avaient guère besoin d'explications. Ils attendaient plutôt des mots et des actes qui prouvent une reconnaissance immédiate de la faute.
Si celle-ci découle d'un sentiment d'impunité au sommet de l'État, par manque de contrôle, si le système élyséen tel qu'il s'est mis en place depuis un an sécrète l'excès de pouvoir, alors n'est-ce pas tromper son monde que de se proclamer «responsable de tout» tout en sachant très bien que, constitutionnellement, on ne l'est en fait de rien. Responsable mais pas coupable: cette ligne de défense a déjà servi, sans grande efficacité, me semble-t-il.
Une République exemplaire n'est pas une République infaillible, dit-on à l'Élysée…
J'entends bien. Le Code de la route n'a jamais empêché les chauffards. Mais une République qui, au sommet, faillit, masque la vérité et tarde à ce point à prendre les sanctions qui s'imposent, a-t-elle encore un caractère d'exemplarité?

Une République qui, au sommet, faillit, masque la vérité et tarde à ce point à prendre les sanctions qui s'imposent, a-t-elle encore un caractère d'exemplarité ?

Une défaillance individuelle, fut-ce d'un collaborateur du chef de l'État, permet-elle de condamner l'ensemble d'un système?
Plutôt que de se contenter d'un JT sur TF1 où il apparaissait comme un gentil garçon, poli et mesuré, Benalla a choisi de raconter par le détail, dans deux autres interviews de presse écrite, son action et son rôle. Le faire, soit dit en passant, sous la houlette d'un homme aussi controversé que Marc Francelet, c'était comme aller chercher un brevet de virginité chez Madame Claude.
La caque, on le sait bien, sent toujours le hareng. Au-delà, ce qu'a dessiné cette volée d'entretiens, c'est le portrait rêvé, non pas d'un simple fantassin mais d'un jeune colonel de la macronie, sorte de Julien Sorel bodybuildé, monté de sa province à force d'énergie et d'hypocrisie, et qui aurait préféré au rouge et au noir le bleu de la police en revoyant sans cesse Kevin Costner dans Bodyguard plutôt que de relire le Mémorial de Sainte Hélène.
Macron aime Stendhal au point d'avoir posé un volume de son œuvre sur le bureau de sa photo officielle. Benalla est plus qu'une pièce dans le système présidentiel. C'est un personnage central dans le roman du quinquennat.
Sa faute, sur aucun plan, ne peut donc avoir le caractère d'une défaillance individuelle. A mon sens, elle dit tout: le système, son imaginaire, sa folie aussi.
Publié dans Libertés Démocratie



Publié par Le Mantois et Partout ailleurs


Les médias libres et non faussés de la pensée unique ont passé en boucle cette déclaration tonitruante du businessman passé ministre de l'écologie dans un gouvernement de droite et de droite.
Qui débarquerait par hasard d'une autre galaxie pour goûter aux plaisirs de la France régentée par Manu 1er,  pourrait croire que le grand soir est arrivé. Et qu'on allait enfin laver plus blanc que blanc dans une société vouée au capitalisme.
Si vous ne le saviez pas, la Justice américaine a condamné Monsanto-Bayer d'avoir inoculé le cancer à un petit jardinier qui avait bossé dur en utilisant son pesticide à profusions. L'Organisation mondiale de la santé avait, elle depuis belle lurette, dit que le glyphosate était cancérogène probable.
Mais l'UE du capital, qui s'occupe du capital et pas du genre humain, notamment des travailleurs, vient d'autoriser à nouveau la vente de l’herbicide pour les 5 ans à venir, et de rejeter les demandes de fixer des objectifs de réduction. 
En France, les députés macronistes ont rejeté l'inscription dans la Loi de l’interdiction du glyphosate, dans la loi dite Agriculture et Alimentation. Sans rire.
Et la FNSEA, le syndicat patronat dans l'agriculture, qui fait la pluie et le beau temps dans les ministères de l'Agriculture à gôche comme à droite, est contre l'interdiction du pesticide. Avec plus de 9 000 tonnes de glyphosate vaporisées dans les champs chaque année, la France est le premier utilisateur de pesticides en Europe.
Et c'est ainsi, qu'entre deux plongeons dans sa piscine perso en son fort perso de Brégançon, un ex-banquier d'affaires laisse son ministre de l'écologie enfumer l'été 2018.
Bon, les députés ex-écolos, passés dans le camp des forces de l'argent, sont toujours bien dans leurs semelles plombées. Et le premier d'entre eux, François de Rugy, ex-patron des députés écolos sous François Hollande, n'échangerait surtout pas son fauteuil de patron de l'Assemblée nationale contre un plat de lentilles bio.
Mais dormez bien braves gens. Comme l'a claironné Nicolas Hulot urbi et orbi:"A un moment donné, on doit se révolter".
 Nicolas Hulot, ministre de l'écologie des riches: "A un moment donné, on doit se révolter" ou l'enfumage du gouvernement dans le scandale Monsanto-Bayer

Allez, comme c'est les vacances, une petite carte postale...