Comme il l'avait annoncé récemment, José Joaquin MORENO SILVA envoie à l'abattoir son fer de MORENO DE LA COVA, encaste "Urcolas", pour ne conserver que les "Saltillos" . Le ganadero précise que 20 vaches de cet encaste sont déjà parties au matadero.
Après ce douloureux sacrifice qui l'oblige à se séparer de toutes les mères de sang "Urcola", il ne lui restera que trois portées de toros dont il garde une corrida pour la France, et peut-être une novillada, dernières bêtes disponibles de l'encaste.
MORENO SILVA affirme ne pas pouvoir lutter avec le monoencaste, c'est pourquoi il compte dès maintenant ne se consacrer qu'à l'élevage des "Saltillos". " Je ne vends même pas une vache. Je souhaite que personne ne puisse se vanter de posséder une de mes vaches, nous avons fait nous-mêmes cet élevage, qui disparaitra avecc nous. Ma lutte n'a rencontré aucun écho, et tout s'achève ainsi et maintenant", a ajouté l'éleveur.
Ainsi continue le suicide des encastes dits minoritaires, dans l'indifférence générale, ou plutôt avec la complicité des "taurinos" borregueros, de la "presse taurine" invitée au banquet, des prétendues figuras qui "affrontent" et indultent sans la moindre vergogne ces chèvres, et des prétendus aficionados qui se repaissent de cette tauromachie minable: où cela s' arrêtera-t- il?
Après ce douloureux sacrifice qui l'oblige à se séparer de toutes les mères de sang "Urcola", il ne lui restera que trois portées de toros dont il garde une corrida pour la France, et peut-être une novillada, dernières bêtes disponibles de l'encaste.
MORENO SILVA affirme ne pas pouvoir lutter avec le monoencaste, c'est pourquoi il compte dès maintenant ne se consacrer qu'à l'élevage des "Saltillos". " Je ne vends même pas une vache. Je souhaite que personne ne puisse se vanter de posséder une de mes vaches, nous avons fait nous-mêmes cet élevage, qui disparaitra avecc nous. Ma lutte n'a rencontré aucun écho, et tout s'achève ainsi et maintenant", a ajouté l'éleveur.
Ainsi continue le suicide des encastes dits minoritaires, dans l'indifférence générale, ou plutôt avec la complicité des "taurinos" borregueros, de la "presse taurine" invitée au banquet, des prétendues figuras qui "affrontent" et indultent sans la moindre vergogne ces chèvres, et des prétendus aficionados qui se repaissent de cette tauromachie minable: où cela s' arrêtera-t- il?