Titre relevé sur le blog "COURRIER INTERNATIONAL":
Titre relevé sur le blog "COURRIER INTERNATIONAL":
"Combien de temps Biden de plus en plus impopulaire chez lui et confronté à des frictions avec la Chine à propos de Taiwan portera-t-il de plus en plus seul la guerre en Ukraine?"
Publié par El Diablo
«Du jamais-vu» : Macron minoritaire dans toutes les catégories de population, selon un sondage IFOP.
Dans toutes les catégories de population, le jugement positif du bilan de Macron est devenu minoritaire, selon un récent sondage. Avec en point noir son bilan en matière de sécurité, jugé négativement par 75% des Français.
Si la cote de popularité d'Emmanuel Macron est quasiment stable par rapport à juillet, avec une baisse de 1 point (37%) du «total satisfaits» et une hausse de 1 point (63%) du «total mécontents», «pour la première fois depuis le début de la crise sanitaire, le chef de l’Etat est minoritaire dans toutes les catégories de la population», écrit le Journal du Dimanche (JDD) ce 21 août, s'appuyant sur un sondage Ifop.
«C'est du jamais-vu pour un président réélu», souligne dans les colonnes du journal le directeur général du département opinion de l'Ifop, Frédéric Dabi. Depuis le mois de mai, après sa réélection, le chef de l’État a perdu 4 points de satisfaction.
Dans le détail, les Français jugent particulièrement négatif le bilan d’Emmanuel Macron en matière de sécurité, les trois-quarts des sondés se disant insatisfaits. «En 2018, 41% des Français jugent positif le bilan sécurité d’Emmanuel Macron. En 2022, ils sont 31% avant la campagne présidentielle. Ce mois d’août, on descend à 25%. C’est un score plancher!», soutient Frédéric Dabi dans un second article du JDD.
Les Français ne voient du positif dans le bilan d'Emmanuel Macron qu’en matière de terrorisme. Sur la lutte contre les rodéos urbains (21%), la délinquance et la criminalité (25%), le maintien de l’ordre au quotidien (30%), seule une minorité des Français approuvent le chef de l’Etat. «La sécurité reste un sujet talon d’Achille pour le président et le gouvernement», conclut Frédéric Dabi.
L'enquête a été menée auprès d'un échantillon de 986 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, avec une marge d'erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points, précise le JDD.
Vu sur l’application RT News
23 Août 2022 , Rédigé par Réveil Communiste Publié dans #GQ, #classe ouvrière, #Qu'est-ce que la "gauche", #Economie, #Théorie immédiate, #Mille raisons de regretter l'URSS
En relisant les textes originaux publié sur Réveil Communiste, on constate que leur cohérence repose presque intégralement sur le fait qu’ils entendent exprimer l’intérêt et les revendications fondamentales du prolétariat.
Or le prolétariat est rendu invisible dans notre société par plusieurs facteurs, concordants, qui le dissimulent presque au point de le faire disparaître de la conscience commune. Ainsi un lecteur sous l’influence de la pensée dominante aura l’impression que les analyses de RC sont sans objet réel. Sauf s’il fait lui-même partie du prolétariat, mais il ne faut pas se faire trop d’illusion à ce sujet : les ouvriers d’aujourd’hui ne sont pas, ou plus, des lecteurs de textes militants marxistes.
Le but de ces réflexions est d’ailleurs de proposer des idées pour y remédier, sachant que l’organisation prolétarienne type de notre pays, le PCF, n’accomplit plus son rôle historique d’éducation populaire, et qu'il a même tourné le dos aux ouvriers (au congrès de 2006, le premier auquel j’ai participé, dans la très longue « base commune » laborieusement rédigée soumise aux délégués, le mot « ouvrier » n’apparaissait qu’une seule fois, dans l’expression « vote FN ouvrier »!).
D’une manière générale, le prolétariat et les prolétaires disparaissent du langage des forces progressistes, « anticapitalistes » ou supposées telles.
C’est le cas des théories gauchistes de l’unité de tout le peuple contre le 1 % des plus riches. Que le 1 % prend beaucoup ses aises, ça ne fait pas de doute, mais il n'en reste pas moins qu'il est défendu et rembourré par une couche nombreuse d’une nouvelle moyenne bourgeoisie adhérant à l’idéologie dominante pour laquelle nous vivons dans le meilleur des mondes possibles, qui selon le critère choisi pour la définir va regrouper entre 20 et 40 % de la population dans notre pays , qui s'étale pour occuper de vastes espaces géographiques et qui surtout représente une part nettement plus importante du corps électoral actif (moins dans les pays émergents mais quantité non négligeable non plus comme le montrent les hauts et les bas électoraux de la gauche latino-américaine anti-impérialiste depuis une dizaine d'année), et ce n'est pas rien. Une couche sociale à l’abri du besoin qui s’imagine comme un modèle d'éthique et de civilisation, qu’il faudra mettre à contribution dans tout programme de changement social, et qui ne va pas être d’accord .
Le critère géographique qui place 60 % des Français dans la périphérie et le restant dans les « centres » (où se trouvent aussi les « cités » c’est à dire les ghettos, dont il faut alors décompter les habitants, environ 10 % de la population française), donne une idée où il faut chercher les prolétaires si on veut vraiment les rencontrer. Les habitants ne sont pas tous prolétaires dans la périphérie mais leur proportion est nettement plus importante dans cette zone, où il n’y a pratiquement plus de municipalité PCF (sauf dans le nord de la France).
De même le salaire net médian qui est de 1750 euros, ce qui signifie que 40 % des Français (sur 80 % de salariés) gagnent moins que cela, peut nous éclairer la lanterne quant à savoir qui chercher. Ceux qui perçoivent un faible salaire n’étant pas tous des prolétaires, car ils peuvent relever du budget global d’une famille de la bourgeoisie, et ils servent alors d’appoint. Et ceux qui perçoivent jusqu’au double ou triple de ce montant peuvent par contre faire partie des salariés les plus exploités, notamment dans le secteur des nouvelles technologies. Il y a aussi un nombre important d’indépendants artificiellement créés, par exemple par l’ubérisation, qui forment un nouveau prolétariat informel, extrêmement précaire et mal rémunéré, sur le modèle prévalant dans le Tiers Monde.
Ceux qui appartiennent à la CSP « ouvrier », totalisant autour de 20 % des actifs, sont délibérément minimisés par les statistiques : une bonne partie des employés, des professions intermédiaires et même de plus plus en plus de cadres sont en fait des travailleurs exploités. La forte proportion de cadres parmi les militants syndicaux signifie simplement que les cadres et techniciens actuels sont équivalents à l’ouvrier qualifié de la période fordiste qui représentait déjà la majorité des syndiqués ; les salariés qui se sont suicidés à France Télécom après la privatisation étaient, pour la plupart, des cadres.
Les travailleurs hors de France et hors de l’Occident en général sont particulièrement exploités et les nombreux emplois improductifs - ou peu productifs - qu’il y a chez nous recyclent la plus-value produite et extorquée dans le Sud. Mais cela ne change pas grand-chose à la base de l’analyse. Pour un prolétaire, ça ne change pas grand-chose d’être exploité pour une activité de production matérielle ou pour une activité de service. Une politique socialiste appliquée en France devrait de toute manière réorganiser fondamentalement l'économie et rapatrier la production industrielle, et une partie des travailleurs des services seraient alors réaffectés à l’industrie ou à l’agriculture, où ils seraient sans doute bien mieux payés.
Aujourd’hui, il est rarissime qu’un prolétaire revendique explicitement son identité à partir de sa position dans la lutte des classes, du coté des exploités, ou à partir de son mode de vie de « travailleur », ce qui ne signifie pas que la conscience de l’être ait disparu, mais que cet être n’est pas valorisant dans un monde où l’image narcissique est une valeur fondamentale, et que les prolétaires actuels sont plus isolés que leurs prédécesseurs et probablement moins solidaires entre-eux. Ou bien qu’ils recherchent cette solidarité dans la communauté culturelle, réelle ou imaginaire, dont ils relèvent et non plus dans la classe à laquelle ils appartiennent.
Il est probable qu’il faut une transition psychologique profondément vécue, et du coup assez longue entre les études secondaires et supérieures sans substance qui sont maintenant le lot généralisé à quasi toute la classe d’âge, et l’installation définitive dans la vie sociale pour la prise de conscience à l’appartenance à la classe exploitée, et plus encore pour l'apparition de la réaction d'orgueil des damnés de la terre qui faisait dire aux communards "c'est la canaille ? et bien, j'en suis"!
Les prolétaires veulent et peinent à obtenir, leur logement, leur emploi, et un conjoint stable, bref une sécurité dans l'existence, c’est à dire tout ce qui est considéré dans le discours culturel dominant de classe moyenne comme acquis, commun, et parfaitement méprisable.
Cette conscience prolétarienne embarrassante reste donc en sommeil tant qu'il n'y a pas d'usage concret pour elle, tant que ne réapparaissent pas les conditions de la lutte qui soudent la fraternité du collectif ; or la lutte prolétarienne consciente et déterminée ne se produit souvent que trop tard au moment du plan social ou de la fermeture de l’usine qui réunissait concrètement les travailleurs.
On peut en dire autant du prolétariat immigré : il lui faut une transition pour accéder à la conscience de classe, il doit faire le deuil de l’illusion d’être parvenu à une forme de réussite sociale en intégrant le premier monde. En ce sens, si l’immigration de main d’œuvre est évidemment une arme contre la classe ouvrière et contre le développement du Tiers Monde, le regroupement familial au contraire favorise l’intégration de classe des ouvriers immigrés en banalisant leur condition sociale.
D’après certains calculs (Voir John Smith, L’Impérialisme au XXIème siècle, New York, 2016) les prolétaires immigrés représenteraient environ 10 ou 12 % du total de la classe dans les pays d’Occident, ce qui signifie à peu près le double si on y compte les enfants d'immigrés actifs. C’est beaucoup trop pour les négliger et c’est trop peu pour en faire le sujet politique central.
Les plus jeunes, immigrés ou autochtones, ne vont pas se reconnaître spontanément comme prolétaires, car cette prise de conscience est une remise en cause de l’image de soi dans l’univers moral formaté par les valeurs capitalistes, qui sont fort bien relayées par le rap commercial qu’ils écoutent presque tous.
La condition prolétarienne n’apparaît vraiment clairement à ceux qui ont la malchance de la partager qu’au moment où ils perdent le travail qui la fonde. S’il n’y a pas d’organisation politique populaire pour la défendre et l’illustrer.
Une organisation prolétarienne, ça va sans dire mais mieux en le disant, doit être accueillante pour les prolétaires et communiquer avec ceux qui ne sont pas organisés.
Sur le lieu de travail et dans les quartiers, dans les cages d’escalier et sur les marchés, à l’occasion des manifestations culturelles et sportives, elle doit prendre la parole et diffuser ses documents, rédigés et illustrés en style concis, clair, et attrayant, mais sans vulgarité ni démagogie (et en évitant l'écriture inclusive, marqueur bourgeois), elle doit aussi écouter les doléances (comme en 1789) et s’en servir pour nourrir sa propre propagande ; cette littérature politique aura deux inspirateurs : les concepts de la théorie marxiste originale, et les ouvriers eux-mêmes. Ce sont les attentes concrètes des classes populaires qui avant tout doivent conditionner la propagande diffusée dans leur direction, non de manière superficielle et verbale, mais intégrées dès leur conception.
Elle doit aussi toujours avoir un but : conduire à une initiative utile, à une action, populariser un exemple, et cette action ne doit pas se limiter à un discours aux fins électorales.
Autrefois, dans des conditions historiques différentes et non reproductibles, le Parti communiste français dans ce qu’il avait de meilleur se rapprochait de cette organisation.
Publié par Le Mantois et Partout ailleurs
Et cette image n'existe pas. Le premier à gauche n'est plus en taule et le second plus son avocat, mais ministre de la Justice.
Pour sûr qu'il n'était pas au courant d'une émission de télé tournée dans la plus grande prison de France, Fresnes, à quelques encablures de son ministère. Et les services du renseignement français étaient aussi en vacances, peut-être avec Macron bis. Non?.
En tout cas, la droite et l'extrême droite donnent de la voix, oubliant pour leur sainte cause que la France est régulièrement condamnée pour l'état de ses prisons. Le Conseil de l'Europe, qui ne fait pas dans la subversion révolutionnaire, loin de là, le soulignait encore dernièrement.
Bref, ouf, Macron est revenu. Il dîne avec sa première ministre. Autant dire qu'il mange tout seul. En effet, selon la Constitution, le premier ministre ne sert qu'à passer les plats au monarque élu par le suffrage universel. Et le 24 avril 2022, c'était la peste ou le choléra. Non?
Au menu du dîner de Macron bis, son programme présidentiel pour lequel il a été réélu : Pouvoir d’achat du capital, vote du budget à la sauce des marchés, réforme de l’allocation-chômage et des retraites pour les gueux sur proposition du patronat. Et peut-être de la Cfdt.
Dites, c'est quand qu'on se bouge, nous d'en bas?
Accueil > ANC en direct > Philippe Martinez à Mélenchon : "chacun son créneau" sur la contestation de la (...)
mardi 23 août 2022 par Alain Chancogne (ANC)
Non.
Pas de propriété de "créneau" !
Alors qu’approche ce qu’on appelle la rentrée sociale que certains
s’avancent à dire "explosive "et que d’autres espèrent n’être qu’une une
sorte de petit baroud d’honneur avec de journée" politique" (marche
contre la vie chère de la Nupes) et "syndicale avec le 29 septembre
intersyndical,
.....on ne m’en voudra pas un rabâchage qui me semble d’actualité.
Philippe Martinez sur dailymotion : https://www.dailymotion.com/video/x5yhony
Une certitude pour moi
Si la classe ouvrière n’était pas en capacité de construire dans les jours et les mois à venir, le solide rempart au tsunami antisocial que prépare le Medef et son gouvernement aux ordres,attention !
Non seulement au dégâts immédiats mais aux conséquences que pourrait avoir dans la lutte des classes une défaite du mouvement ouvrier à ce stade de la violence du capitalisme englué dans sa crise systémique.
Question fondamentale pour moi
Tout ce qui ne sera pas de véritables construction à partir de chaque entreprise faculté ou localité impliquant les acteurs du mouvement social ...et non pas en considérant qu’ils se doivent d’exécuter au mieux les ordres venus " d’en haut" , et que souvent d’ailleurs" les consignes d’état-major" cela NE MARCHERA PAS !
Sans vouloir faire de procès d’intention tout ce qui serait volonté de "tirer la couverture à soi" au prétexte de je ne sais quel "partage des tâches " entre le "revendicatif" et le "politique"... ou bien avec une volonté de vouloir confirmer un statut de Tribun du Peuple entraînant les masses ,TOUT CELA SERAIT objectivement le meilleur cadeau à faire à l’adversaire de classe selon moi.
Pour conclure un conseil de vieux camarade
Évitons de stigmatiser les arrières pensées des uns ou des autres.
Des initiatives sont annoncées, des dates aussi.
Il faut subvertir l’existant pour tenter de le transformer en atout dans un rapport de force.
S’il faut "faire plaisir" par les mots je dirai qu’il faut construire une Union Populaire de lutte de classes tous terrains.
Chacun apportant son expérience et son vécu militant, son intelligence, sa détermination et son courage.
Selon moi,la victoire est à ce prix.
Même si je n’ignore pas tout ce que cela va supposer de patience qui reste une vertu révolutionnaire...
....Extraite de l'article publié ce jour sur le blog "Histoire et Société", relatif aux conséquences néfastes de la "boboïsation" qui sévit aujourd'hui en France
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Parce que c’est sensé NOUS RASSURER ? Ou nous inviter à un remake de la destruction de la Yougoslavie…
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais moi ça me fout les jetons,j’ai l’impression que ces fous furieux sont en train de nous prendre pour l’Irak, la Libye et la Syrie… avec les mêmes résultats escomptés : en plus ils sont tout juste capables de larguer des bombes à haute altitude, ils sont trop trouillards pour le corps à corps qu’ils laissent à leurs “alliés”…
Ces bons vieux B 52, ça ne nous rajeunit pas, déjà au Vietnam… Chaque heure de vol d’un B52 nécessite plus de 12000$ de maintenance, la facture c’est pour nous. Apocalypse Now grand spectacle à nos frais financiers et bientôt les vies, c’est gourmand le capitalisme et plus encore quand il est à l’agonie…
Les Serbes et autres rétifs sont visés par cet appareil vétéran : les américains adorent les remake, ils nous refont le coup de la Yougoslavie et de sa partition…
On se console comme on peut mais désormais nous bénéficions d’un statut de démocratie assistée comme tous ceux qui ont subi la protection des USA… notre avenir est un champ de ruine… irradiées… JE vais vous faire une confidence: je crois que je vais renoncer à faire le tri sélectif et à m’enquiquiner à multiplier les poubelles. Vu que les Verts soutiennent les USA qui soutiennent l’Ukraine et que tous ces gens prétendent me faire sentir leur sollicitude en me balançant une bombe sur la gueule pour ME RASSURER… Je me dis qu’au point ils en sont plus la peine de me pourrir la vie avec le tri sélectif…
A propos est-ce que quelqu’un vous a demandé votre avis? Non Macron nous a promis du sang et des larmes, le prix de la liberté. La liberté de qui ?
Vlodomyr Zelensky et ses dons de voyance… Vlodomy zelensky annonce que la Russie va faire quelque chose de “dégoutant”… reconnaissons qu’il se trompe rarement puisqu’il ne laisse personne d’autres que lui le soin d’exécuter ce boulot dégoutant… En attendant dans ce foutoir qu’est l’ubuesque régime ukrainien, on assassine à tour de bras aujourd’hui c’est le responsable des services secrets du centre de l’Ukraine que l’on retrouve suicidé (de deux balles dont la première était mortelle, un grand classique là aussi)… Je me demande pourquoi personne n’a songé à relever l’assassinat par les Ukrainiens de leurs propres négociateurs? Tout cela est puéril et effrayant.
danielle Bleitrach
Voilà ce que dit le Parisien:
Que cela puisse être dit sans provoquer la moindre manifestation est le
signe de notre aliénation, de la désorganisation de notre simple
réflexe de survie..
Deux avions de l’armée américaine vont survoler lundi plusieurs
pays en Europe du Sud-Est. Une nouvelle démonstration de force pour
souligner « l’engagement » des États-Unis aux côtés des membres de
l’Otan
Les avions, des bombardiers du type B-52 Stratofortress vont passer au-dessus de la Macédoine du Nord, de l’Albanie, du Monténégro et de la Croatie. Les avions, des bombardiers du type B-52 Stratofortress vont passer au-dessus de la Macédoine du Nord, de l’Albanie, du Monténégro et de la Croatie. sur fond de guerre en Ukraine, a annoncé le commandement américain. Lundi après-midi, les bombardiers du type B-52 Stratofortress basés au Royaume-Uni « effectueront des survols à basse altitude du sud-est de l’Europe », explique l’armée dans un communiqué. Les avions passeront à partir de 12h35 GMT au-dessus de la capitale de Macédoine du Nord, Skopje, puis de la place Skanderbeg au cœur de la capitale de l’Albanie, Tirana. Ils longeront ensuite la côte du Monténégro et survoleront finalement vers 13h10 GMT la ville croate Dubrovnik.
Adhésion prochaine de la Suède et de la Finlande
« Le but de chaque survol est de démontrer l’engagement et
l’assurance des États-Unis envers les alliés et partenaires de l’Otan
situés en Europe du sud-est », selon la « Air Force », alors que la
guerre en Ukraine entre dans son septième mois avec peu d’espoir de
paix.
Pour l’Otan, l’invasion par la Russie de son voisin fin février a entraîné un élargissement avec l’adhésion prochaine de la Suède et de la Finlande, qui ont renoncé à leur traditionnelle neutralité.
Leur candidature au processus d’adhésion à l’Otan a été déjà ratifiée par les États-Unis et plus de la moitié des 30 membres de l’Otan. Un premier survol en juin Le président américain Joe Biden a fait du rétablissement des relations transatlantiques, malmenées par son prédécesseur Donald Trump, une priorité de sa politique étrangère. L’Otan fait partie des « fondations de la sécurité » des États-Unis, a-t-il déclaré récemment. En juin, deux avions de chasse F 35 ont déjà survolé les pays baltes, où l’Otan a également renforcé sa présence sur le terrain.
L’AFFAIRE DOGUINE ET LEUR LIBERTE
AUTRE QUESTION : EST-il vraiment sur que Douguine soit si “important?”, son assassinat est pure provocation …
Voici un extrait d’un de ses derniers discours …
soyons honnête ce gars-là est à peu près aussi crédible sur le plan militaire et géostratégique que nos grands idéologues type Bernard Henry levy, l’aspect nébuleux de son propos, voir esotérique est un rideau de fumée par rapport aux propositions concrètes de communistes, un attrape couillon, j’imagine mal Poutine s’en inspirant.Mais si le personnage n’est pas plus que Rushedie d’ailleurs un enjeu quelconque, dans le cadre de la colère face à l’injustice qui est celle des peuples russes (déjà Poutine est accusé de ne pas avoir riposté au bombardements de la Crimée, terre russe). Et comme les dirigeants fascistes ukrainiens sont en plein délire et ne voient plus que l’apocalypse pour les sauver d’une débâcle tout cela est malsain. son assassinat et plus encore celui de sa fille dans le panier à crabe des services secrets est une pure provocation de ceux qui cherchent à intensifier la guerre… dans ce domaine incontestablement les pires sont les Ukrainiens, mais aussi les Britanniques. Certains américains ne sont pas loin non plus, il y a des excités du bocal partout. Aller de surcroit envoyer des B52 survoler la Serbie et autres lieux “pro-russes” relève de la même provocation médiatique que les visites répétées à TaiwanNous la rejouer comme lors de l’invasion et du démantélement de la Yougoslavie (pourquoi ne pas bombarder l’ambassade de Chine au passage?) c’est forcer ceux qui avancent à reculons à entrer dans la mobilistation.
“Le texte du discours d’Alexandre Douguine au festival “Tradition” dans le domaine de Zakharovo près de Moscou, consacré au dualisme métaphysique de la pensée historique, quelques heures avant l’attaque terroriste – le meurtre de sa fille (Daria Douguine) par des terroristes ukrainiens.
“Je crois que le régime du statu quo en Russie ne peut théoriquement pas durer plus de 6 mois. La résistance désespérée du régime atlanto-nazi de Kiev nécessite des transformations internes importantes – cardinales – de la part de la Russie. Structurelles, idéologiques, personnelles, institutionnelles, stratégiques. Ce qui est acceptable sans une Opération Militaire Spéciale (OMS), dans les conditions d’une Opération Militaire Spéciale – et surtout une longue Opération Militaire Spéciale qui ne va pas s’arrêter – n’est pas acceptable.
Les attaques fréquentes contre la Crimée, les tentatives d’organiser une explosion nucléaire à Zaporozhye, les déclarations de contre-offensive sur Kherson, le refus dur de Zelensky de faire des compromis, la persistance de l’Occident à couper tous les liens avec la Russie – tous ces éléments sont des signes qu’ils ont décidé de rester à l’autre bout jusqu’à la fin.
Ils peuvent être compris : La Russie a réellement (et ce n’est pas une propagande) défié l’Occident en tant que civilisation. Donc, nous devrons aller jusqu’au bout. Le commandant en chef suprême a dit : “nous n’avons encore rien commencé.” Maintenant, nous devons commencer. Que ça vous plaise ou non, vous devez le faire. Pendant les 6 premiers mois, nous avons été capables – & c’est un fait – de mener notre propre action, sans rien changer fondamentalement en Russie même.
Jusqu’à présent, les changements sont cosmétiques, & même des élections complètement inappropriées & inutiles ont été décidées pour être tenues à la date prévue. C’est comme si rien ne se passait. Mais en réalité, il se passe quelque chose. Le mode confort maximal (ajusté pour les conditions d’urgence) & la préservation de l’ancien système – “les guerres par le sommeil” – devront être annulés à un moment donné.
Il me semble qu’avec le début de l’automne, cette prise de conscience de la nécessité de mettre le pays sur une nouvelle voie sera assez claire.
Il faudra encore 6 mois pour réaliser “l’irréversibilité de l’irréversible” & la continuation inertielle de l’ancien. Et il n’y a pas loin du 24 février 2023. Je peux comprendre que les autorités soient habituées à gouverner comme elles le font – plus ou moins efficacement – depuis 22 ans mais cette période appartient au passé. L’OMU a déjà tout changé.
Maintenant, la question n’est pas de savoir si le gouvernement veut ou ne veut pas de changements & c’est patriotique – conservateur-révolutionnaire, si vous voulez. Ces changements sont tout simplement inévitables – même si vous vous opposez jusqu’à la mort à leur début, il sera possible de les retarder de 6 mois au maximum & ensuite ils viendront de toute façon. Le SMO est désormais plus important que le pouvoir – dans sa dimension subjective.
Avec le début d’un SMO, le régime de l’histoire elle-même a changé de manière irréversible : un nouveau vecteur ontologique est apparu, qui ne peut être dissous par l’arbitraire ou le décret. Les forces puissantes de l’histoire sont entrées en action, les plaques tectoniques se sont déplacées. Laissons l’ancien régime enterrer ses morts. Un nouveau temps russe est en train d’arriver & il arrive inexorablement d’ailleurs”.
(Alexandre Douguine, 18:00, 21/08/2022
Note de Pedrito
Alors ? Qu'est-ce qu'attend le Parti Communiste pour remuer ciel et terre, afin de faire prendre conscience à ce pays dramatiquement dépolitisé que les USA continuent de semer la guerre par polichinelle criminel interposé, j'ai évidemment nommé Zelenski, que seuls les chiens de garde de la presse asservie aux milliardaires persistent à qualifier de " héros de la liberté"?
Que font les dirigeants du PC, à se taire devant la menace d'embrasement planétaire, sinon baisser leurs yeux sur la pointe de leurs pompes, pour ne pas prendre leurs responsabilités de militants historiques de la PAIX ?
FORMALITÉSDESTINATIONSPar Emilie Vignon Le Août 22, 2022ShareFacebookTwitterLinkedinLes voyageurs concernés doivent de ce fait obligatoirement effectuer une demande de visa.
Mieux vaut le savoir pour éviter toute déconvenue : les voyageurs qui se sont rendus à Cuba depuis le 12 janvier 2021 ou qui souhaitent y voyager avant un séjour aux Etats-Unis ne sont plus éligibles à l’Esta.
Ainsi que le souligne le Quai d’Orsay dans ses Conseils aux voyageurs, les voyageurs doivent de ce fait obligatoirement effectuer une demande de visa auprès d’un consulat américain avant d’entreprendre un voyage aux Etats-Unis.
Cette démarche est indispensable même s’ils bénéficient d’un Esta précédemment approuvé, sous peine de voir celui-ci annulé par les agents de police aux frontières (Customs and Border Protection) à lors de l’entrée sur le sol américain, ou de faire l’objet d’une décision de refus d’embarquement.
Depuis janvier 2021, Cuba est en effet classé par le Département d’Etat américain comme « State Sponsor of Terrorism », une décision prise lors des derniers jours de l’administration Trump. Outre Cuba, la Syrie, la Corée du Nord et l’Iran figurent actuellement sur cette liste.
Les voyageurs ou les professionnels qui souhaitent davantage d’informations peuvent se référer à la FAQ publiée sur le site de l’agence fédérale Customs and Border Protection.
UN AUTRE TEMPS, UNE AUTRE EPOQUE QUE CELLE OU LES COMMUNISTES FAISAIENT PARTAGER LE SENS DE LA DIGNITE CUBAINE A TOUT UN PEUPLE, AVEC DES ARTISTES ET DES INTELLETUELS CAPABLES DE COMPRENDRE CUBA, LE SENS DE SA LUTTE…
Que diraient aujourd’hui tous ceux qui à gauche et à la direction du PCF incitent de fait à ne pas mener la lutte anti-impérialiste non seulement en Ukraine mais au Venezuela, exigent des brevets de démocratie de ceux qui subissent une agression intolérable faite de menaces de bases armées, de terrorisme financé par eux, de sanctions et blocus illégaux, devant ceux qui comme Orson Welles dénonçaient Elia Kazan pour sa traitrise face au Maccarthysme ? Ceux qui en dévoyant Aragon et le comité central d’Argenteuil l’utilisent pour leur sale besogne de “tolérance” de tous les reniements ?
C’était une autre époque que celle ou des artistes, intellectuels de la taille d’Aragon voyait leur vie et leur œuvre sacrifiées parce qu’ils refusaient de trahir, de se trahir… A cette époque-là il y avait un parti communiste digne de ce nom qui créait ce véritable espace de liberté.