mardi 28 mai 2019

DÉCOUVERTE !

Vietnam
352
France
307
Italie
223
Égypte
155
États-Unis
154
Brésil
135
région indéterminée
127
Russie
62
Népal
48
Inde
44


Pourquoi j'ai affiché ces chiffres? 
Parce que je les découvre dans ma page "STATS" de ce jour, 28 Mai 2019. Il est 17H00.  Et j'apprends avec un sacré étonnement, comme on peut se l'imaginer, que 352 pages de ce modeste blog ont été lues ce jour au Viet-Nâm, 155 pages en Égypte, 48  au Népal.....En tout: 1786 pages!!! Mille sept cernt quatre vingt six pages!!!  Ils - ces lointains lecteurs -  se sont donné le mot, sans doute, mais pourquoi, pour lire quoi, savoir quoi? Pour lire sur les toros? Ou bien lire un blog d'"Insoumis" ? Savent-ils que je ne fais surtout pas parti de la cour de monsieur l'important Mélenchon, celui qui hurlait en toute modestie à un flic venu le perquisitionner : "JE " suis la France? Je suis insoumis, évidemment, je le proclame et le revendique depuis ma jeunesse militante, et insoumis même et surtout devant les prétentions d'un aventurier populiste. Et j'ai l'outrecuidance de critiquer ceux ou celles qui se soumettent par pur intérêt, par opportunité, pour paraître, pour ronger un os, parfois être vus dans un callejon....Ce qui m'a d'ailleurs valu quelques inimitiés. 
Mais que ces chiffres sont surprenants!

lundi 27 mai 2019

dimanche 26 mai 2019

CANCIÒN DE JEAN FERRAT......





 ....SOBRE LA GUERRA CIVIL EN EL PAIS HERMANO

Maria tenia dos chicos 
Dos hijos de los que estaba orgullosa,
Era la misma carne, 
Era la misma sangre,
Crecieron sobre esta tierra
Cerca del Mediteraneo, 
Crecieren en la luz
Entre el lirio y el naranjo
Al dia de sus veinte años,
Empezo la guerra civil,
Vimos a España roja de sangre,
Gritar en un mundo inmòvil
Los dos niños de Maria, 
No estaban del mismo campo, 
No estaban de la misma pelea
Uno era rojo, el otro blanco.
Quièn de los dos disparò en primero
El dia donde hablaran las escopetas
Y quièn se suicidò
Sobre el cuerpo caliente de su hermano
No sabemos : lo que pasò
Fueron descubridos juntos
El blanco y el rojo unidos
Sobre la misma piedra, la misma ceniza
Si hablas con elle de la guerra
Si le dices « Libertad »
Le indicara la piedra
Donde sus hijos son enterrados
Maria tenia dos chicos, 
Deux niños de los que estaba orgullosa,
Y eran la misma carne, 
Eran la misma sangre

samedi 25 mai 2019

FERIA DE PARENTIS EN BORN
10 et 11 AOÛT 2019 (°)
Parentis dévoile ses cartels et fête le Centenaire de ses corridas les 10 et 11 Août prochains.

L’Association des Aficionados ADA FERIA et la Commission taurine vous présentent les cartels de la prochaine feria de Parentis en Born qui se déroulera les 10 et 11 Août 2019.
Deux novilladas piquées seront au menu de la prochaine feria de Parentis.

Samedi 10 Août en matinée à 10 h 30

Tienta de vaches commentée par Richard Milian avec l’Ecole Taurine Adour Aficion et 4 vaches de la Ganaderia de « la Espera » de Jean François MAJESTE

Samedi 10 Août à 18h00

Novillada Piquée avec 
Aquilino GIRON, Emilio SILVERA et Hector GUTTIEREZ 
qui seront chargés d’affronter les novillos d’origine Carlos Nuñez de Aguadulce et José Maria Aristrain de la Cruz

Dimanche 11 Août à 11h00

A l’occasion du centenaire des corridas parentissoises, l’Association des Aficionados de Parentis a souhaité rendre hommage aux ganaderias de :
Raso de Portillo, Prieto de la Cal, Valdellan, Pablo Mayoral, Los Maños, Diego Tabernero de Vilvis et Guardiola Fantoni
lors d’une réception qui se déroulera dans le Patio de Caballos des Arènes Roland Portalier le Dimanche matin à 11h00.

Dimanche 11 Août à 18h00

Novillada Hommage du Centenaire avec les Ganaderias de Raso de Portillo, Prieto de la Cal, Valdellan, Pablo Mayoral, Los Maños et Diego Tabernero de Vilvis 
pour  
Juan Carlos CARBALLO, José CABRERA et Cristobal REYES


(°) Note de P.:
Feria torista qui honore ses organisateurs et qu'on ne saurait trop recommander à tous les aficionados en quête d'intégrité et d'authenticité, dans tous les domaines: recherche d'encastes variés, hors des sentiers battus doméquisés, respect de la lidia dans ses fondamentaux les plus exigeants, notamment l'épreuve de la pique, la suerte de matar, éducation et respect du public en quête de vérité et de pureté.....etc.
Parentis en Born, une des plazas les plus attachées à la Fiesta Brava, avec la corrida, drame et combat, épreuve de courage à nulle autre pareille que les "anti" se déshonorent de vouloir abolir, - des gens qui refusent à  d'autres le droit d'être différents - la seule arène où il nous ait été donné de voir une image unique, quasiment historique dans le domaine de la corrida: il y a quelques années, à la fin d'une novillada de vrais novillos- toros, tous les piqueros, castoreño en main, ont été appelés au centre de l'arène pour recevoir l'ovation du public debout. Et il n'est pas rare de voir et d'entendre encore tous les ans ce public applaudir les picadors, les "mal aimés" de la corrida qui font souvent ici ce qui leur est demandé: accomplir correctement leur métier.  "Mal aimés" souvent parce que beaucoup d'entre eux obéissent aux ordres du matador qui regarde ses zapatillas plutôt que d'ordonner de lever la pique mal placée, ils ne respectent pas les règles de la suerte, - ne jamais oublier: toujours aux ordres du matador qui fait semblant de ne pas voir  - et s'acharnent plutôt à affaiblir excessivement l'animal, et parce que le public de moins en moins connaisseur, de moins en moins aficionado et exigeant comme il devrait l'être, préfère voir abréger l'épreuve de la pique et applaudir ensuite une séance de vraie tromperie avec la muleta sur un fauve mutilé.
Ce que nos amis aficionados espagnols qualifient fort justement de "fiesta circo".
Suerte à la  ADA -Association Des Aficionados- de  PARENTIS, qui mériterait que l'aficion régionale lui apporte un peu plus de soutien, et de présence, surtout, pour son vrai travail pédagogique et son engagement sans faille pour la défense de la corrida.   

Para los amigos aficionados del pais hermano vecino, España, de Perù, y tambièn del mundo entero de los toros, en busca de autenticidad
Nota de Pedrito

Feria torista toda a la honra da la peña aficionada organizadora, que no se puede demasiado recomendar a los aficionados que buscan sobre todo integritad y autenticidad, en todos los aspectos : busqueda de encastos variados, fuera de los caminos trillados « domequisados », respecto de la lidia en sus fundamentales los mas puros, particularmente la suerte de picar, la suerte de matar, educación y respecto del publico nuevo en busca de verdad y de pureza,etc….
PARENTIS EN BORN, a una hora o dos de la frontera, una de las plazas màs atadas a la Fiesta Brava en su pureza, cultivando la corrida como debe ser : drama y pelea entre el hombre y un toro fiero, no un borrego, prueba de valentia a ninguna otra semejante, que los « antis » se deshonran querer su aboliciòn, - GENTE QUE NIEGAN A LOS DEMÀS SER DIFERENTES- la unica plaza donde hubimos el privilegio ser testigos de ver una cosa ùnica, quasi historica : hay pocos años, al fin de una novillada de novillos -toros, como es aqui la tradiciòn, -extraordinaria de emociòn, para el recuerdo, los seis piqueros, castoreño en la mano, fueron invitados en el centro de la plaza a saludar, frente al pùblico en pie !!! Y ahora tambièn  no es raro ver y oir ese pùblico aplaudir a los varilargueros,-los llamados « mal queridos » de la corrida - sobre todo en las plazas pocas serias, pero de moda, donde se aplauden las figuras y figuritas frente al medio toro, - "mal queridos" porque hacen mal- picar- lo que los mandan los matadores, quienes ellos miran sus zapatillos mientràs que sus piqueros asesinan el torito, figuras y figuritas sin vergüenza quienes no piden levantar la pica. Tambien porque los nuevos espectadores, de menos a menos conocedores, de menos a menos aficionados y poco exigentes de autenticidad, prefieren borrar de la lidia la suerte de picar, la màs importante, para aplaudir en seguida una firma de engaño, una « faenita » de ochenta « pases » a un animalito noblisimo mutilado, antes de implorar su ridiculo indulto.
Aqui, en Parentis, exigen a todos los actores que hacen correctamento su trabajo : respectar la lidia, de principio a fin. Respectar el toro y el pùblico. La unica y mejora manera defender la Fiesta Brava, al contrario de la "Fiesta circo" denunciada por muchos aficionados de verdad españoles, peruanos, galos, frente a los abolicionistos que no saben que insultar, prohibir, sin respectar nada, sin saber ni entender de nada.  
Enhorabuena y suerte a la ADA PARENTIS



jeudi 23 mai 2019

LA LIBERTÉ D'INFORMER....MUSELÉE



Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

La journaliste du Monde Ariane Chemin est convoquée le 29 mai par les policiers de la section des atteintes au secret de la défense nationale de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).  C'est hélas un bis repetita, puisque auparavant Geoffrey Livolsi et Mathias Destal de Disclose et Benoît Collombat de Radio France ont déjà été entendus par la DGSI   pour "compromission du secret de la défense nationale".
Il est reproché à la journaliste du Monde d’avoir révélé des informations sur le profil et le parcours d’un sous-officier de l’armée de l’air, Chokri Wakrim, compagnon de l’ex-cheffe de la sécurité de Matignon, Marie-Élodie Poitout. M. Wakrim était lié par un contrat de protection rapprochée avec un homme d’affaires russe, ce qui a conduit à l’ouverture d’une enquête pour "corruption".  Les articles avaient un lien certain avec l'affaire Benalla dont Manu 1er tente d'éteindre l'incendie.
Les journalistes de Disclose et de Radio France ont eu eux le crime de lèse-majesté de dire que la France était mouillée jusqu'au cou dans la vente d'armes à nos amis l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, lesquelles démocraties exemplaires assassinent au Yémen avec les dites armes achetées à la patrie des Droits universels de l'homme et du citoyen. Les 3 journalistes avaient publié une note "confidentiel défense" détaillant l’utilisation dans la guerre meurtrière au Yémen des armes vendues par la France à l’Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis.
Si ces convocations ne sont pas des tentatives de museler le journalisme d'enquêtes et d'investigations nécessaire au débat public, comment dès lors dénommer ces convocations par la Direction Générale de la sécurité intérieure?
Du coup cette capture d'écran sur l'affaire Benalla en tout petit pour ne rien risquer du tout:
La DGSI, le palais de l'Elysée et la liberté d'informer

Note de Pedrito

Et dire que beaucoup de démocrates ont voté Jupiter pour barrer la route à la droite extrême.....Mais où sommes nous tombés? Le changement promis s'avère pire encore que le règne précédent des requins, copains et coquins! Sa majesté le petit  monarque mal élu ne saurait tolérer la moindre enquête, surtout pas la moindre critique, à ses méthodes de gouvernance pour le moins aussi inquiétantes que "celle", la fille du tortionnaire, dont il agitait l'épouvantail il y a à peine deux ans, pour nous faire gober sa différence.

Voilà l'héritage économico-politique qui nous est légué par cinquante années de gestion de la droite et de la pseudo gauche, -malgré quelques mesurettes sociales arrachées çà et là au terme de longues luttes et de grèves-, au profit des plus riches

 Votez pour eux, ils font le reste

 

 

LEÇON D'HISTOIRE: ODETTE NILÈS ÉVOQUE GUY MOQUET, SON AMOUR DE JEUNESSE






LETTRE OUVERTE D’ODETTE NILÈS
à DANIEL RIOLO(°)

Le 21 Mai 2019
Monsieur,

À bientôt 96 ans, j'écoute encore la radio, c'est un compagnon fidèle de mes journées. Ces jours-ci, je l’écoute d’autant plus qu’elle me permet de suivre les émissions de mon candidat, le candidat du Parti communiste, mon cher Ian Brossat.
Je vous écoutais donc ce matin, je ne connaissais pas vos opinions, j’ignorais jusqu’à votre nom. Et je vous ai entendu parler de la résistance. En vous entendant rire, ce matin, j’ai eu un haut le cœur. Comment avons-nous pu en arriver à cela aujourd’hui, comment certains peuvent-ils parler d'un temps qu'ils n'ont pas vécu avec autant de mépris ou de raccourcis ?

Il y a quelques mois encore, je me rendais dans les écoles pour que vive la mémoire de la résistance, pour que les générations qui nous survivront ne puissent jamais oublier l’histoire.

En vous écoutant tout à l'heure, je me suis dit combien j’aurais aimé pouvoir vous rencontrer, vous rencontrer enfant, vous rencontrer dans votre école pour partager avec vous ce que fut la réalité.

J’aurais aimé pouvoir vous parler de ces femmes et de ces hommes communistes que j'ai rencontrés, que j’ai aimés, qui ont donné leur jeunesse ou pour certains, versé leur sang pour notre pays. J’aurais aimé pouvoir vous dire ce qu’était leur vie, leur joie, leur espoir. Parmi eux, il y avait un être qui me fut cher : Guy Môquet. Le connaissez-vous seulement ?

Mes jambes me manquent aujourd’hui pour aller d’école en école, il ne me reste plus que l’écrit et mes souvenirs encore clairs de cette période de ma jeunesse.

Jusqu’à mon dernier souffle, j’aurais à cœur de me battre pour que notre mémoire vive et qu’elle ne soit ni trahie ni salie.

C’est l’inculture qui conduit à l’ignorance, l’ignorance qui conduit à l’oubli. Le négationnisme commence toujours ainsi : par un rire, par une moquerie. On explique alors qu’il ne s’agit que d’un détail de l’histoire.

Je ne peux plus me déplacer mais je peux encore témoigner et donc vous rencontrer : si vous l'acceptiez, je vous invite à venir chez moi afin que nous puissions échanger et parler et que je puisse vous dire les yeux dans les yeux ce que furent ma vie et mes engagements. Guy Môquet, à 17 ans, a su écrire, "vous qui restez soyez dignes de nous les 27 qui allons mourir", je serai toujours digne et je vous enjoins de respecter cette dignité de ce jeune qui nous laisse un message porteur pour l'avenir et non un message de peur face à la mort. Auriez-vous eu cette dignité à 17 ans ? L'histoire avant d'être écrite, doit être vécue !

Je vous prie de croire en l’expression de mes salutations distinguées.

Odette Nilès,
Ancienne internée du camp de Choisel à Chateaubriant
Officier de la Légion d'honneur

Daniel RIOLO est "journaliste" à RMC. Il ne doit pas être un respectable "journaliste d'investigations" de profession, mais bien un minable colporteur du négationnisme, du révisionnisme, du fascisme ordinaire.
"Auriez-vous eu cette DIGNITÉ à 17 ans?"
Que cela est magnifiquement dit!
Quelle leçon ! Chapeau à cette ancienne résistante, mais toujours citoyenne exemplaire.

mercredi 22 mai 2019

LA PALESTINE POURRAIT ELLE SE LIBÉRER DE L'OCCUPANT JUIF?

D'APRÈS ISRAËL,
GAZA PEUT TIRER 1000 MISSILES PAR JOUR


Tue May 21, 2019 2:24PM

Les combattants du mouvement de résistance palestinien, le Hamas, lors d’un défilé militaire à Gaza. (Photo d’archives)

Les combattants du mouvement de résistance palestinien, le Hamas, lors d’un défilé militaire à Gaza. (Photo d’archives)

Les sources israéliennes ont fait état de la promotion des capacités de l’aile militaire du mouvement de la Résistance palestinienne Hamas face aux avions de combat du régime israélien.
Le site d’information Al-Ahed, citant la Corporation de radiodiffusion publique (connue sous son acronyme hébreu « Kan »), a rapporté que l’aviation israélienne se rendait compte de l’amélioration des capacités du Hamas face aux chasseurs de l’armée israélienne.
« Israël est conscient du danger et suit depuis un an des ordres pour éviter ses chasseurs au-dessus de la bande de Gaza », a déclaré la chaîne israélienne Kan ajoutant que pendant le récent affrontement entre les groupes de Résistance palestinienne et l’armée israélienne, les Brigades al-Qassam avaient lancé en direction d’un hélicoptère Apache un missile antiaérien tiré à l’épaule, qui a été intercepté et détruit par un drone de l’armée israélienne.
Selon un nouveau rapport publié par le site israélien Walla, les groupes de Résistance dans la bande de Gaza assiégée ont réalisé en matière de missiles des prouesses similaires à celles de leur homologue libanais, le Hezbollah.
Des experts militaires israéliens cités par Walla ont confirmé, après de nombreuses recherches, que le Hamas et le Jihad islamique pouvaient faire s’abattre sur Israël un déluge de 1 000 missiles par jour en cas de futurs conflits.
C’est nettement plus élevé que le nombre déjà impressionnant de missiles que les groupes de Résistance ont tirés sur des cibles israéliennes au cours d’une confrontation de deux jours plus tôt ce mois-ci (environ 700 roquettes et missiles).
Ce nombre de roquettes a suffi à submerger les systèmes de missiles israéliens et à forcer le Premier ministre Benjamin Netanyahu à accepter un autre accord de trêve afin d’éviter une nouvelle escalade.
Mais la menace ne se limite pas aux missiles et aux roquettes. Le général Herzi Halevi, chef du commandement sud de l’armée israélienne, a admis que ses forces se préparaient à faire face à une grande variété d’armes, notamment des missiles antichars guidés de type Kornet, des drones et des ballons incendiaires.
Le Hamas a lancé sa première attaque au drone contre Israël au cours du récent affrontement. Les médias israéliens ont déclaré qu’un drone du Hamas avait tiré un missile sur un convoi militaire israélien, mais l’ampleur des dégâts et des pertes éventuelles n’était pas claire.
Les médias israéliens avaient annoncé précédemment que le régime envisageait de construire un mur près de la barrière de Gaza pour empêcher les tirs de missiles Kornet, comme celui qui a détruit un véhicule armé israélien lors des récents combats.

dimanche 19 mai 2019



CUBA: VOUS AVEZ DIT PERFORMANCE?



LES NOUVEAUX ENTREPRENEURS
(FIN)
Tous les moyens sont bons pour faire un peu d’argent.
Près de la Place du Christ, rue Villegas, la devanture de la boutique Clandestina détonne des autres de La Havane.
Des formes géométriques, des couleurs vives.
À l’intérieur, rien à voir avec les étals habituels des boutiques de touristes et leurs sempiternels cendriers de terre cuite et leurs maracas multicolores. Fondée en 2015, cette boutique nouveau genre incarne la nouvelle génération d’entrepreneurs qui ont choisi de profiter des nouvelles possibilités qui s’offrent à eux.
La boutique offre même du commerce en ligne.
Fondée par deux jeunes femmes, Idania del Rió et Leire Fernández, la boutique Clandestina offre des créations vestimentaires et artistiques, « fabriquées 99 % à Cuba », comme le résume leur slogan. Elles passent aussi leurs messages par des phrases imprimées sur les objets et les vêtements qu’elles vendent, « rien n’est parfait », « pays en construction », « résister, vaincre ».
Une douce révolution.
Un article de l’Associated Press publié en novembre dernier raconte que la nouvelle griffe cubaine a organisé un premier défilé de mode en plein air à La Havane en partenariat avec… la multinationale Google, qui a profité du rapprochement entre Obama et Raul Castro pour s’implanter sur l’île.
Elle y a installé des serveurs pour faciliter, entre autres, l’accès à YouTube.
Au monde extérieur.
Pour contrer la rareté de matière première, les jeunes designers se sont tournées vers le upcycling, en donnant une deuxième vie à des matériaux au lieu de les jeter. Environ 80 % de la production est ainsi fait de produits réutilisés.
« Nous n’aimons pas que des choses soient jetées, nous sommes en faveur du recyclage, dans le sens large du terme », expliquait Idiana au Havana Times en janvier. « L’idée est d’insuffler une nouvelle vie aux choses, un nouveau souffle. »
Voilà qui vaut aussi pour leur pays.

**Ce reportage a été réalisé grâce à une bourse du Fonds québécois en journalisme international.

samedi 18 mai 2019

LA DECADENCIA ( BLOG EL RETOÑAL )





jueves, 16 de mayo de 2019

LA DECADENCIA (Francesc Delcastillo Gómez)




Todo empezó con el toro. Puesto que todo lo que sucede aquí empieza con el toro. Sin el toro no hay nada y de la nada poco se puede hacer.

Lamento de nuevo hablar del sistema, pero no puedo obviar o ignorar a ese gigante que cada tarde me sacude. Hablar del sistema del toro supone hablar de un sistema global, más allá del toro. Un sistema que se extiende a nivel mundial. Son muchos y muy buenos los sociólogos que se han parado a analizarlo, yo tan solo quisiera apuntar un par de cosas.

Vivimos en el momento en donde más información a nuestro abasto tenemos, libros online, blogs, grupos, foros, páginas, de todo. Pero claro, por otra parte, vivimos en la era del Twitter, de 280 caráctetes, vivimos en la época de la Wikipedia, del wikihow y del fast food. Lo queremos todo ya, ahora, lo queremos rápido y barato. No nos paramos a filtrar, a estudiar o a contrastar, nos fiamos de cualquier gurú que oculta su identidad real en una cuenta de Twitter. Pudiendo ser los ciudadanos más formados de la historia somos quizás los más vagos y los más crédulos. No cuestionamos nada, aceptamos y acatamos. Pudiendo ser más lobos somos más ovejas.

Pues bien, los toros son un reflejo de la sociedad. El sistema que impera en nuestra fiesta es exactamente el mismo que el que impera en el resto de la sociedad. Somos la generación de aficionados que más fácil lo tenemos, en cambio somos los menos estudiosos. El sistema tiene un gran aparato de comunicación que repite y reitera y repite y reitera los dogmas de su poder. Lo minoritario es minoritario pq no embiste, se torea mejor que nunca... El nuevo y no tan nuevo a base de machacar y machacar y machacar estos dogmas los cree a pies juntillas y los defiende como si con ello le fuese la vida. La falta de espiritu crítico y de necesidad de aprender y conocer se extrapola a los tendidos de cualquier plaza.

Todo empezó con el toro y ahora se reproduce en el tendido. Un público que entra en la plaza y sale sin enterarse de lo que allí sucede, un público predispuesto al triunfo, un público que lo aplaude todo y no percibe absolutamente nada. Dar la enhorabuena al sistema, puesto que si, lo han conseguido. En el ruedo está el toro bobo, con la muleta el neo toreo y en el tendido y hasta en el palco el neo borrego.

LA DÉCADENCE 


Tout a commencé avec le toro. Puisque tout ce qui va suivre commence ici avec le toro. Sans toro, il n'y a rien, et avec rien on ne peut pas faire grand chose.


Je regrette de devoir à nouveau parler de ce système, mais il m'est impossible de  taire ou ignorer cette évidence qui m'indispose à chaque tarde de corrida. Parler du système en tauromachie conduit à parler du système dans son ensemble, bien au-delà des toros. Un système qui affecte le niveau mondial. Ils sont nombreux et compétents les sociologues qui se sont lassés de l'analyser, je voudrais seulement essayer d'en aborder quelques aspects.


Nous vivons une époque où nous disposons de plus de moyens de nous informer qu'il ne faut, des livres sur la toile, des blogs, des groupes, des forums, des pages, de tout. Mais d'autre part, nous vivons l'époque du twitter, des 280 caractetes(?), nous vivons l'ère du wikipedia et du fast food. On veut tout obtenir de suite, maintenant, très vite, et sans payer, ou le moins cher possible. On ne prend pas le temps de filtrer, d'analyser, de comparer, on se fie à n'importe quel gourou qui "sait tout" , qui dicte comme vérités les dogmes du système, anonyme à l'abri derrière son compte twitter. On pourrait être des citoyens les mieux au courant de tout, nous sommes peut-être les plus paresseux et les plus crédules. On ne se pose aucune question, on accepte, et on abdique. On pourrait être plus loup, on est au contraire plus agneau.


Et bien, le monde du toro est le reflet de la société. Le système qui commande notre fête est exactement le même que celui qui dirige la société qui nous entoure. Nous sommes la génération d'aficionados  qui possède tout pour apprendre, mais nous sommes les moins assidus pour étudier et comprendre. Le système possède son immense réseau pour communiquer, pour répéter, réitérer, répéter encore et réitérer les dogmes de son pouvoir de persuasion. Quand on est minoritaire, on le reste, parce qu'on refuse de lutter, de résister à ce pouvoir, et on finit par répéter ce qu'on entend partout pour nous obliger à l'apprendre: "on torée mieux aujourd'hui que jamais". A force d'entendre rabâcher encore et encore ces dogmes trompeurs, le jeune et le moins jeune spectateurs finissent par les croire pieds joints, comme parole divine, et  les répètent eux-mêmes  comme si leur vie en dépendait. Ce manque d'esprit critique et de besoin d'apprendre et de savoir, se transmettent jusqu'au sommet des gradins de n'importe quelle arène.
Tout ce qui a commencé avec le toro, aujourd'hui se reproduit en totalité jusque  dans le public. Un public qui entre dans la plaza et en ressort sans avoir analysé ce qu'il a vu, un public qui ne rêve que de triomphe, qui applaudit tout sans rien comprendre à ce qu'il a assisté. Lui faire encourager et adorer le système, çà, oui, c'est une réussite. Dans le ruedo, il y a toujours le toro bonbon, sur le sable le toreo new look avec la seule muleta, et sur les gradins, jusqu'en haut du palco même, c'est la bergerie avec ses moutons.

Note de Pedrito: traduction avec la permission de l'auteur. 
Pour corroborer cet article, au-delà de l'estocade tronquée qui l'illustre, les derniers non évènements de Séville ne manquent pas  de saveur. (°) Un nouveau prophète est sorti du chapeau des magiciens - je dirais aussi bien des maquignons, ces marchands de bestiaux domestiqués  - de la fiesta circo. Il s'appelle  Pablo Aguado, et Séville s'est pâmée, rendez-vous compte?, devant des toritos faibles, nooooobles.....¡ Enloquesada ! Vuelto loca ! Et tant pis si la "Fiesta brava" mourra du système. Séville est aaaart, aaaaarrte, le reste n'est que balivernes, billevesées, tout au plus exigences d'ayathollas intégristes suffisent pour ravir les gogos, pas  besoin de toros braves et fieros pour la survie de la corrida, des partenaires noblissimes suffisent. Comme ceux de Mierdandilla, à Séville. Et qui parle de piques? Y en a-t-il eu seulement , une vraie, sur la vingtaine que l'on devrait attendre?
Soit ! Ici, on se satisfait du medio toro: Mais jusqu'à quand?
(°) Extrait:  
Pablo Aguado enloquece - enloquecer: rendre fou !! (sic) - a Sevilla, corta cuatro orejas y abre la Puerta del Príncipe, en una tarde memorable posibilitada por los toros de Jandilla. Destacan la torería de Morante y el valor seco de Roca Rey, que cortan una oreja por coleta.

POLITICIEN? DUR MÉTIER, ET SI MAL PAYÉ....!




PAUVRES DE NOUS !!!!!