lundi 28 janvier 2013

LE BOURBIER AFRICAIN: UN RÉFLEXE COLONIAL A RISQUES

C’est finalement le 10 janvier 2013 que la France est entrée en guerre au Mali. La communication du gouvernement français, reprise sans questionnement par les principaux médias, tend aujourd’hui à légitimer par tous les moyens et tous les arguments cette nouvelle intervention militaire française sur le sol africain et son rôle de « gendarme de l’Afrique ». Pour Survie, association qui dénonce depuis longtemps l’ingérence et la domination de la France envers ses anciennes colonies africaines, il est important de rappeler quelques éléments de contexte et d’analyse critique sur cette intervention française, sans minimiser l’ampleur de la crise que connait le Mali.
 
La menace que font peser ces groupes armés sur la population et l’intégrité du Mali est indéniable. Leurs exactions sont connues et ont provoqué la fuite de centaines de milliers de personnes. Après le calvaire vécu par les populations dans le Nord, le soulagement des Maliens en ce moment est compréhensible. Si l’intervention française semble effectivement avoir mis un coup d’arrêt à l’offensive vers le sud du pays de mouvements armés qui se revendiquent d’un islam radical, il existe cependant d’autres motifs, militaires et politiques, à l’opération Serval rendant la conduite française des opérations critiquable. 
  
LE CAMOUFLAGE MULTILATÉRAL D'UNE OPÉRATION FRANÇAISE
 
Cette intervention ne s’inscrit pas dans le cadre des résolutions de l’ONU. Des mois de négociations ont permis de faire voter trois résolutions du Conseil de Sécurité, ouvrant la voie à une intervention internationale sous responsabilité africaine et pouvant faire usage de la force, mais officiellement sans implication directe des militaires français. En informant simplement le Conseil de Sécurité sur le fait que son intervention urgente "s’inscrit dans le cadre de la légalité internationale" eu égard aux dispositions de la Charte de l’ONU, elle a finalement pu justifier une décision bilatérale. Ce changement majeur, qui met ses « partenaires » devant le fait accompli, est complaisamment occulté afin de laisser à nouveau croire que la France met en œuvre une volonté multilatérale actée au sein de l’ONU. Il est donc nécessaire qu’elle respecte au plus vite les résolutions de l’ONU.
 
Une fois de plus, la France joue le rôle de gendarme de l’Afrique, en appuyant sa stratégie sur ses relations bilatérales avec des "régimes amis" africains, sur la présence permanente de son armée dans la région et sur sa capacité de projection de forces. Ainsi, les hélicoptères utilisés pour stopper l’offensive adverse sont ceux des forces spéciales françaises de l’opération Sabre, présentes au Burkina Faso voisin (et en Mauritanie) depuis deux ans et renforcées au mois de septembre. C’est surtout le dispositif Epervier, en place au Tchad depuis 1986 alors qu’il était supposé provisoire, qui est mobilisé. À travers l’opération baptisée Serval, ce sont donc les liens que Paris entretient avec des régimes totalement infréquentables, ceux d’Idriss Déby et de Blaise Compaoré, qui se trouvent une nouvelle fois renforcés. Le rôle phare de la France est reconnu par la plupart de ses partenaires occidentaux qui lui emboitent le pas timidement dans cette intervention (Royaume-Uni, Etats-Unis, Allemagne) sans pour autant engager de troupes combattantes, tandis que d’autres restent en retrait. 
 
 UNE INTERVENTION DIRECTE DÉCIDÉE DANS L'OMBRE
 
Ce scénario rentre dans la logique développée par le nouvel exécutif français, prônant l’intervention militaire comme un "préalable" à la restauration de la paix dans le pays (également en proie à une crise institutionnelle grave). Ces derniers mois, la France n’avait en rien contribué à l’émergence d’une solution collective discutée par l’ensemble des Maliens et de nature à favoriser un consensus politique, préalable à une réorganisation rapide des forces de sécurité. Aujourd’hui, la présence de soldats français jusque dans Bamako - sous couvert de protection des ressortissants - représente une pression importante sur les autorités maliennes en état de grande faiblesse.
 
L’option d’une intervention directe et rapide des forces françaises était déjà prévue, au vu de la rapidité de mise en œuvre, et ce bien avant que l’offensive ne se rapproche de Sévaré-Mopti. L’aval du Parlement n’est pas nécessaire à l’Élysée pour déclencher une opération extérieure, ce qui marque l’insuffisance de la modification constitutionnelle de juillet 2008 relative au contrôle parlementaire des opérations extérieures. De rares réactions critiques dans la classe politique soulignent cette absence de concertation. La nature préméditée de cette intervention armée aurait indiscutablement dû susciter une prise de décision parlementaire.
 
Dans l’immédiat, l’opération Serval a déjà basculé dans une phase offensive et semble devoir se prolonger dans la durée. Cette logique occulte délibérément les risques pour la population malienne et les Etats de la région, de même que les perspectives politiques et la période post-conflit. Le bilan accablant des récents antécédents français en Afrique montre pourtant que ces risques sont bien réels. Les interventions de 2011 en Côte d’Ivoire et en Libye ont en effet débouché sur des situations internes explosives, passées sous silence.
 
En conclusion, la crise malienne et cette nouvelle intervention militaire française en Afrique révèlent l’échec de 50 années de "coopération" avec l’Afrique : armées incapables de protéger leurs populations, chefs d’Etat médiateurs de crises eux-mêmes putschistes, accords de défense et bases militaires qui ont perpétué le rôle de gendarme de l’Afrique que la France s’est historiquement octroyé. On ne peut que constater l’incapacité des institutions africaines et multilatérales à organiser la moindre opération de sécurisation dans la région sans avoir recours au poids lourd français, qui a tout fait pour se rendre incontournable. Ces événements appellent une fois de plus à une remise en cause de l’ensemble du cadre des relations franco-africaines.

dimanche 27 janvier 2013

ADA PARENTIS: ENQUÊTE D'OPINION





 ADA FERIA
Salle Jean Pierre Darracq
B.P. 14
40161 PARENTIS EN BORN CEDEX

Tél/Fax 05.58.78.45.34

                     Email : ada-parentis@wanadoo.fr
                      Site Web : www.adaparentis.com



COMMUNIQUE DE PRESSE
ENQUETE D’OPINION DE L’ASSOCIATION DES AFICIONADOS DE PARENTIS EN BORN

L’Association des Aficionados de Parentis en Born (ADA FERIA) vient de lancer une enquête d’opinion et de satisfaction concernant la Feria et les novilladas parentissoises sur son site internet www.adaparentis.com
 Ce questionnaire destiné à mieux connaître les attentes des aficionados  souhaite recueillir leurs avis et leurs suggestions. Il sera en ligne jusqu’au 15 Avril 2013.
Les résultats de cette enquête feront l’objet d’une communication courant Juin.
L’ADA tient à remercier tous ceux qui prendront le temps de répondre à sa consultation et  leur donne rendez vous les 10 et 11 Août prochains lors de la prochaine Feria de la Sen Bertomiu.
Rendez-vous sur le site de l'ADA PARENTIS EN BORN, et souhaitons leur plein succès, notre bonheur d'aficionado a los toros en dépend.... un peu


vendredi 25 janvier 2013

LES SALTILLOS RESTERONT DANS LA FAMILLE.



 


Il venait de se débarasser de ces toros marqués du fer de MORENO de la  COVA.

José Joaquin MORENO de SILVA vient d'acheter à ses cousins Enrique et Félix MORENO de la COVA leur petit troupeau de mâles et reproducteurs  marqués du fer SALTILLO.  Cet acte marque simplement le regroupement en un seul élevage de la ganaderia que créa en 1918 Félix MORENO ARDANUY. Ainsi, un siècle plus tard, de séparé qu'il fut au sein de la même famille, l'élevage est reconstitué, probablement avec dans ses veines un apport de sang "BUENDIA", ce qui, aux dires de certains, pourrait créer beaucoup d'espoir chez les "aficionados al toro".
Ce fer semble être un des plus anciens - le neuvième - du cheptel constituant  l'élevage brave espagnol, son ancienneté remonte à 1845, et l'achat garantit que depuis l'origine, le sang SALTILLO n'a jamais quitté les héritiers de Don MORENO ARDANUY..
D'après ses déclarations recueillies sur son compte tweeter, Joaquin MORENO de SILVA avoue être très satisfait, plus que quiconque, car l'encaste est ainsi conservé par la famille. D'autant que des gens au MEXIQUE, s'intéressaient fortement à ce fer,  très côté, là-bas, où le sang SALTILLO se retrouve dans la quasi totalité des élevages Mexicains. "Avec ce lot nous arrivent 70 vaches mères environ et quelques génisses, nous verrons ce qu'il ressortira des toros que nous allons faire combattre", précise le ganadero. Cette année, il va marquer les bêtes avec le fer du "cercle et deux barres parallèles", et laissera ses deux autres fers aux deux fils Alvaro et Joaquin, bien que quelques une de leurs bêtes pourront être marquées du fer de MORENO de SILVA. Il souhaite continuer à lutter jusqu'au bout pour conserver cet encaste unique, bien qu'il sache d'expérience que la période est très difficile.  
"Lutter:  c'est ce qui m'a toujours été inculqué depuis mon plus jeune âge, conclut José Joaquin MORENO de SILVA.
En ces temps où l'on déplore très souvent l'envoi aux abattoirs et par troupeaux entiers de ce qui constitue les élevages "minoritaires", les encastes qui font honneur à la fiesta brava, et dont l'unique et immense tort  justement est de ne pas obéir aux honteux critères de la "fiesta circo", - noblesse, faiblesse, débilité, par la domec-stication-,  les "aficionados a los toros" ne pourront sans doute que se réjouir de cette nouvelle.
Enhorabuena al señor Joaquin.

mercredi 23 janvier 2013

MELON GONFLÉ, PLUS DURE SERA LA CHUTE.

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 KIKE : AUX MAINS DES DANGEREUX MARCHANDS D'ILLUSIONS!


Voici ce que l'on peut lire sur certain blog, exclusivement préoccupé à disserter sur les ors et paillettes qui font rêver ces gosses qui ont choisi de toréer: le malheur est qu'on on leur laisse croire que la gloire se résumera à affronter les borregos de JPD et de toutes les merdasses doméquisées par le mundillo véreux.
Faire des passes, user et abuser du pico et du clinquant sans effet sur les toros, sauf sur les gogos, reculer ou tricher sans jamais se croiser, conclure par des épées approximatives avant le bajonazo final, fêté par les mêmes ignares  qui applaudissaient une lidia catastrophique: c'est aujourd'hui dans beaucoup de cas ce que l'on subit dans les plazas "de toros" qui n'en sont pas.
Que de déchets! Que de rêves brisés! Par la faute des petits mentors qui dans leurs écoles taurines leur concoctent une carrière sur mesure, au moindre risque, et fustigent ceux qui osent une remarque depuis les tendidos, et par celle des vieux briscards de plata qui leur enseignent juste à tricher sans honte, par tous les moyens.
Dans ce texte, que je vous livre, on remarquera que l'auteur, un justicier du callejon, ne craint pas de prendre les désirs des gosses pour des réalités, et de les asséner à son poulain au-delà du raisonnable, citant par exemple - il faut le faire! - Thomas Dufau parmi les "matadors de renom"(!). Et c'est grâce -dixit- aux ganaderias " de prestige", -Algarra, JPD,- que Kike obtient des résultats "très positifs" dans son apprentissage en terre andalouse. Enfin, cerise sur le gâteau concocté par l'auteur, El Cid est venu "longuement féliciter" notre Kike régional. Si avec cela sa carrière ne s'annonce pas sous les meilleurs auspices, c'est à désespérer de la foi et des efforts de notre apprenti sorcier. Enfin, le clou, c'est cet "appel aux organisateurs français" (!!)  lancé par le jeune novillero et relayé par son samaritain, car le garçon " aimerait débuter sur ses terres (!) devant l'aficion du S.O., qui l'a soutenu depuis ses débuts et durant les nombreuses NSP auxquelles il a participé: nous pourrions observer sa progression, car le garçon avoue(!) que le novillo de trois ans lui permettra sans aucun doute de mieux exprimer son toreo. Suerte torero"!
Ainsi, c'est confirmé par l'auteur, "le toro de prestige" de JPD  favorise l'éclosion des figuras.
KIKE sera-t-il un nom de torero, puis de matador?
Voici le texte à sa gloire, qui devrait bientôt inspirer le Cossio.



"Kike, le novillero du Sud Ouest, a décidé de mettre toutes les chances de son
côté pour parfaire sa préparation en allant s'installer seul près de Seville. Le
torero de Linxe, ayant pour objectif un début en piquée le plus tôt possible
cette temporada, s'entraîne désormais tous les jours a l'école taurine de
Sevilla-Amate sous les conseils précieux de Curro Camacho, ancien matador de
toros. En plus de ces entrainements, il a la chance de pouvoir aller tienter au
campo quasiment un jour sur deux (les opportunités de tientas etant plus
nombreuses qu'en France ) dans des ganaderias de prestige (Juan Pedro Domecq,
Luis Algarra,...) pour passer de second derrière plusieurs matadors de renom (El
Cid, Victor Puerto, Thomas Dufau, Juan Del Alamo,...). Les resultats s'avèrent
très positifs notamment lors de la tienta avec El Cid où le maestro est venu
longuement féliciter le novillero à l'issue de la tienta. Suite à cela Kike a
déja programmé plusieurs dates afin de tuer des novillos en privé (notamment
chez Juan Pedro Domecq) pour être fin prêt à passer à l'échelon superieur et en
profite pour lancer un appel aux organisateurs francais car il aimerait debuter
sur ses terres devant l'aficion du Sud Ouest qui l'a soutenu depuis ses debuts
et durant les nombreuses novilladas sans picadors auxquelles il a participé.
Nous espérons avoir l'occasion de le voir au paseo des novilladas piquées du Sud
Ouest cette année afin d'observer sa progression, kike avouant lui meme que le
novillo de trois ans lui permettra sans aucun doutes de mieux exprimer son
toreo. Suerte torero"


samedi 19 janvier 2013

NOTICIAS de Asociaciòn De Aficionados de PARENTIS.




ADA FERIA
40161 PARENTIS EN BORN CEDEX

                     Email : ada-parentis@wanadoo.fr
                      Site Web : www.adaparentis.com


COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Raso de Portillo, Sanchez Rico de Terrones  et Paco Madrazo à l’affiche de la Feria de Parentis en Born les 10 et 11 Août 2013

L’Association des Aficionados de Parentis en Born ( ADA FERIA) et la Commission taurine viennent de rendre publics les noms des ganaderias retenues pour la prochaine feria de la Sen Bertomiu qui se déroulera les 10 et 11 Août 2013.

Le retour des Raso de Portillo le Samedi 10 Août
Le Samedi 10 Août à 18h, l’ADA  a programmé le retour de l’élevage légendaire des Raso de Portillo . Cette devise, familière de Parentis n’avait pu lidier son encierro en 2012 compte tenu des intempéries.  Elle fera son grand retour en 2013.

Journée Campo Charro le Dimanche 11 Août
-Les Sanchez Rico de Terrones le Dimanche matin
Le rendez vous matinal du dimanche 11 Août verra la présentation des novillos de la ganaderia de Paloma Sanchez Rico de Terrones d’origine Lamamié de Clairac. Cet élevage mythique issu du Campo Charro viendra faire sa présentation en France à Parentis en Born.

-Les Santa Coloma de Paco Madrazo  à l’affiche de l’après midi
Venant également du Campo Charro ( Ledesma), la ganaderia de Paco Madrazo de la Vadima d’origine Santa Coloma reviendra de nouveau à Parentis après l’excellent lot lidié en 2011 le dimanche matin.

Les photos des novillos sont visibles sur www.adaparentis.com

 A PARENTIS, SE RESPETA LO MAS IMPORTANTE DE LA LIDIA:  EL PRIMER TERCIO! 

NUESTRO ORGULLO. PARA EL RECUERDO: SALIDA DE LOS SEIS PIQUEROS OVACIONADOS POR EL PÙBLICO EN PIÉ, Y TODOS PREMIADOS POR LA ADA, EL DOMINGO 10 DE AGOSTO 2008, NOVILLOS-TOROS DE RASO DE PORTILLO.
 ¿ AMIGOS PERUANOS, COLOMBIANOS, MEXICANOS, ESPAÑOLES, - ET FRANÇAIS, BIEN SUR - CONOCEIS MUCHOS RUEDOS COMO ESTE, DONDE LOS AFICIONADOS PUEDEN HOY DIA DIFRUTAR DE SEMEJANTES IMAGENES A LA GLORIA DE VARILARGUEROS ?

FERIA DE PARENTIS EN BORN: 10 et 11 AOÛT 2013
(N.B. Pour agrandir les photos: un seul click )

LA CASTE? PAS SEULEMENT CHEZ LES TOROS!



Interview que Ségolène Royal a accordé à un journaliste canadien.

Le journaliste:
Madame Ségolène Royal, que pensez-vous du fait que Madame Valérie Trierweiler devienne la nouvelle première Dame de France?

Réponse de Ségolène Royal:
Grâce à l'éducation que j'ai reçue, voir mon ex-compagnon avec une autre ne me rend absolument pas jalouse.
" Mes parents m'ont en effet appris, dès l'enfance, qu'il fallait savoir partager les jouets usagés avec les plus démunis."




vendredi 18 janvier 2013

Y'A BON COLONISATION!




http://www.anticolonial.net/IMG/jpg/Affiche_2013-2.jpg
MAIS Y A PAS BON LES DÉGÂTS COLLATÉRAUX QUI SURVIENNENT PLUS TARD ET PARTOUT....NOS CHEFS DE GUERRE FERAIENT BIEN DE S'EN SOUVENIR, ET DE RETENIR LA LECON. EN DÉCLARANT LA GUERRE AUX FOUS DE DIEU, ILS CROIENT SANS DOUTE NOUS PRÉPARER DES LENDEMAINS QUI CHANTENT? POURQUOI NE PAS S' ÊTRE INSPIRÉ PLUTÔT DU MOUVEMENT DE LA PAIX? LE PETIT CAPORAL FLAMBY 1° A CHAUSSÉ LES RANGERS ET  ARMÉ LA KACHNIKOV!

MAIS SAIT-IL VRAIMENT OÙ SON "AUDACE" VA NOUS CONDUIRE, ET COMBIEN DE MORTS CELA VA-T-IL COÛTER, LUI QUI N'A JAMAIS MIS UN TREILLIS?


jeudi 17 janvier 2013

LES TRICHEURS TRIOMPHENT, LES GOGOS APPLAUDISSENT

Sobre la tan loada tarde de Manizales




"Bien, adjunto algunas fotos de lo sucedido en Manizales. Alguien cercano a la plaza contó que un español  está detrás de la manipulación en las astas de los toritos, que llegaron en puntas como puede verse en la foto "día de la llegada". La corrida iba a salir así pero....
He buscado fotos pero no he hallado nada más que estas que adjunto, que son de un aficionado . Quisiera que investigaran más a fondo. Por favor también reserven mi nombre, por desgracia los que detentan el poder taurino en Colombia no están acostumbrados a las voces disonantes; curiosamente ni siquiera ellos mismos pueden contra las figuras, en cierto sentido, si pudieran también presindir de ellas, lo harían sin duda. Si publican estas fotos, sería bueno que aclararan además que el autor de las fotos no tiene nada que ver con la denuncia, apenas se toma su material. En la foto día de llegada sale el toro número 250 en segundo lugar de arriba a abajo. Luce sus astas íntegras. Luego, se toma detalles de cómo quedaron sus pitones tras la manipulación. También el albardado, del que hay una toma cenital que da cuenta de lo cubero que quedó. Por favor investiguen, ya estamos aburridos de tanto fraude bajo el chantaje "la figura es quien llena la plaza". Gracias


3 comentarios:

  1. Sin duda alguna es un verdadero escándalo (como decía el titulo de la canción de Raphael) Escándalo! La tauromaquia es un expectaculo totalmente reglamentado, ¿porque no se aplica con rigurosidad esa reglamentación?

    Enhorabuena por la entrada.

    Un saludo
    Responder
  2. Es vergonzoso... se les debería caer la cara al suelo tanto al ganadero, como a los toreros, como al empresario... a TODOS.
    Responder

  3. Mas que un indulto en Manizales se le dio un infame bajonazo a la fiesta de los toros.

     TOROS EN AMÉRICAS: 
    TRAMPAS Y MEDIOCRIDAD!
    (Sur la fameuse tarde de MANIZALES)

    Voici encore un élément sur l'état lamentable de la corrida colombienne, ou plutôt ce qu'il en reste, et nos "figuras" européennes, le juli, castella, et d'autres, n'éprouvent aucune honte à "triompher" devant ces pseudos toros, ces perri-toros, ces chiens de cirque apprivoisés, ces agneaux inoffensifs, minables partenaires des minables "maestros" dans leurs interminables ballets baptisées "faenas" - de la fiesta cirque -, même si une malencontreuse voltereta subie par le biterrois a pu faire illusion, le temps qu'il rajuste sa cravate. Rappelons que ce jour-là, la julie a indulté une chèvre dont il avait quelques heures auparavant fait scier les cornes.
    Regardez, examinez ces terrifiantes "armures", qui ont été sciées, limées, râpées, arrondies, par la petite maffia de margoulins aux ordres de la grande confrérie du mundillo qui organise la tricherie, les magouilles, les pires saloperies, celles qui depuis des lustres vident les tendidos de leurs aficionados et précipitent le déclin de la fiesta brava. Incapables de réaliser qu'ils sont en train de scier la branche sur laquelle est assise leur soif insatiable de lucre, ces ignares ne comprendront jamais qu'approche l'heure où ils vont se casser la gueule.
    Sans que les droits de retransmission des pseudos corridas par les chaines de télé puissent changer le cour des choses.

    Ces pratiques sont interdites, elles sont le déshonneur de la fiesta brava, elles sont l'illustration de la complicité qui lie les uns aux autres les acteurs de ce petit monde pourri: toreros, apoderados et éleveurs à leurs ordres, empresas, tous préoccupés uniquement par le fric, qu'il vienne de la poche des spectateurs gogos, des subventions publiques, de la tva à 5% mais que l'aficionado acquitte toujours à 19,6%....Ceux qui sont autorisés à squatter les callejons se taisent et tentent de faire taire les tendidos, pour mériter le droit d'être là, grâce à un ami de l'organisation, leur présence derrière la talenquère leur renvoie cette image de privilégiés dont raffolent les m'as-tu-vu, alors que bien souvent leur aficion ne se résume qu'à une seule règle, dans une arène: d'applaudir le moindre non évènement et agiter un mouchoir alors qu'il faudrait justement au pire, rester de marbre, au mieux, siffler les tricheurs. Même certains fieffés crétins de placiers veulent parfois nous imposer silence, - n'est-ce pas, Michel?- alors que leurs connaissances de la lidia et de la corrida est restée accrochée au porte manteau du bureau de la région administrative et politique où ils sont employés: avec leur carte en poche, aux couleurs de leur petit patron, on les a priés de rendre service en filtrant les entrées, et ils s'autorisent de faire taire  ceux qui, non seulement passent à la taquilla, et payent cash à chaque tarde, mais en plus ont l'outrecuidance de critiquer ce qui doit l'être.

    Voici donc quelques clichés qui donnent une idée de la dégénérescence de la corrida aux Amériques, la même ou pire que celle que nous combattons en Europe taurine. Il y a peu, un ami Gardois au demeurant sympathique comme il y en a peu, - je suis régulièrement invité dans son mas de Sommières-  me reprochait gentiment,  que nous, aficionados opposés à la corrida "moderne", nous sommes TROP exigeants sur le plan de l'intégrité de la corrida. Comme s'il fallait fermer les yeux sur les actes crapuleux dont se rend coupable le mundillo, pardonner ses méprisables tricheries et saloperies en tout genre,  comme s'il fallait regarder et laisser faire, sans réagir, face à l'hémorragie irréversible qui touche les publics d'aficionados, écoeurés par les magouilles qu'ils refusent de cautionner, préférant pour cela tourner définitivement le dos à leur passion. Les spectateurs encore trop nombreux tels que lui persistent à tolérer l'inacceptable comportement des Casas de ce monde et de leurs semblables., Ils continuent de penser que la fiesta  se résume à quelques bonnes heures de convivialité passées entre amis fêtards, sourds, borgnes, ou aveugles, mais "amateurs d'art", sans réaction aucune devant l'évolution scandaleuse de cette corrida moderne dont ils ne devinent même pas les limites à ne pas la laisser franchir, pour qu'elle puisse conserver sa légitimité.... Les voyous  qui en vivent grassement et sans aucune honte sur le plan de l'éthique et de l'authenticité peuvent se frotter les mains: les bêlements des gogos friands de "faenas" de merde à 100 passes avec des toutous sur roulettes ne sont pas prêts d'arrêter leurs trafics maffieux, et le scandale des corridas truquées devrait encore durer quelques temps.
    Il n'est pire sourd que celui qui....etc...etc...
    Voici en tout cas résumé le cri d'alarme - un de plus - de cet aficionado du continent sud-américain, après le lamentable spectacle dont ont ont été témoins les colombiens présents aux arènes de MANIZALES, qui a vu nos figuritas européennes se pavaner devant des bovidés n'ayant des toros que l'apparence trompeuse:

    " Voici quelques photos de ce qui vient de se passer dans le ruedo de MANIZALES, qui m'ont été données par un témoin qui a assisté à la corrida. Je vous demande de ne pas citer mon nom, car ceux qui règnent sur la corrida en COLOMBIE ne supportent pas les avis discordants. Le torero espagnol - le juli, - ndlr,- est vraiment au-dessous de tout, de s'être présenté devant de tels animaux dont les armures étaient absentes- Le problème, c'est que ce sont les toreros qui dictent leur loi aux éleveurs  qui n'osent même pas protester, s'ils en avaient la possibilité, ils n'accepteraient pas que l'on mutile ainsi les animaux qu'ils ont élevés. Également, surtout, que celui qui m'a offert ces photos ne soit pas ennuyé, il n'a rien à voir avec ma démarche. Sur la photo prise le jour de l'arrivée du lot de toros, on voit les cornes intactes du numéro 250, second cliché en partant du haut. Ensuite, sur une autre photo prise plus tard, on voit nettement les détails de la mutilation qui lui a été infligée. Pour ce qui concerne le toro "albardado" -dont le dos est de couleur plus claire,- on distingue aussi nettement comme il a été afeité grossièrement.
    S'il vous plait: dénoncez ces pratiques honteuses qui ne provoquent qu'écoeurement: il nous est interdit de protester, sous le prétexte honteux que ce sont les figuras qui remplissent l'arène.
    Merci."

    Que dire de plus? Si ce n'est à ceux qui, chez nous, et plus particulièrement parmi ceux qui ont encore quelques doutes sur la crapulerie de ces figuritas et de leurs complices: Comment et quand comprendront-ils que les petits milliardaires apprentis sorciers qu'ils continuent d'aduler font certainement à la corrida plus de mal  encore que les antis? Quand je lis sur ma boite le mail que m'envoie le taure roge, de Béziers, où il me traite de sectaire parce que je récuse cette tauromachie moderne, qu'elle soit juliesque, tomasienne, ou castellienne, qui consiste à faire tourner en bourrique des bestioles mutilées et droguées, çà commence à bien faire! Sectaire? Laissez nous rire! Ni traitre, comme le clown embourgeoisé Gayssot, ni sectaire, simplement lucide, ce que vous refusez d'être, anesthésiés par le ballet trompeur des tricheurs collés aux animaux qu'ils ont CHOISIS ou IMPOSÉS, le scandale que vous vous refusez d'admettre.
    Les aficionados colombiens, péruviens, sont sous l'étouffoir de la dictature du mundillo! Soit ! Mais les Français, qui approuvent ou se taisent: qu'attendent-ils pour ouvrir les yeux, et nous venir en aide pour exiger une corrida intègre?
    A commencer par bouder les arènes qui accueillent ces tricheurs à coups de centaines de  millions?
    Pour qu'il soit mis fin au TRIOMPHE DU DÉSHONNEUR DE LA FIESTA BRAVA

    Note: j'ai laissé les sous-titres et commentaires originaux

mardi 8 janvier 2013

MERCI À LA BELLE ET VAILLANTE ÉQUIPE DE L'A.D.A. PARENTIS!

Cette photo empruntée à un blog ami est un tout petit hommage, mais combien mérité, à l'ADA.

A.D.A.: ASSOCIATION DES AFICIONADOS DE PARENTIS EN BORN

Une équipe d'aficionados qui fait certainement pour la défense de la Fiesta Brava, de l'avis de tous ses fidèles,  - au contraire de tous les CASAS du monde qui s'acharnent à la dénaturer en la ridiculisant, en la méprisant, en la vidant de toute sa respectueuse authenticité, avec la complicité de pseudo aficionados chamallows  et de sbires aux ordres du réseau corrompu-  un travail considérable.
Grâce à eux, à leur dévouement, à l' acharnement des "chevilles ouvrières"  à exiger des ganaderos des animaux irréprochables de présentation, de puissance, de sauvagerie, pour leur très célèbre feria annuelle des novilladas d' Août, la corrida, la FIESTA BRAVA,  peuvent encore compter sur un bel avenir. Car ce n'est pas un hasard si chaque année, à chaque été, des quatre points de la planète taurine, par centaines, par milliers,  les aficionados accourent à  ce rendez-vous incontournable de la temporada pour se régaler des rites de cette "grand messe" de l'aficion.
 Amis de l'ADA, merci mille fois, de nous offrir chaque année ces heures inoubliables d'émotion rarement égalée

jeudi 3 janvier 2013

GRACIAS A TI, COMPAÑERO, QUE ME HIZO CONOCER ESTO






















































VENEZ VOIR LE SANG DANS LES RUES

























































Generales 
traidores : 
mirad mi casa muerta 
mirad España rota. 
pero de cada casa muerta sale metal ardiendo 
en vez de flores, 
pero de cada hueco de España 
sale España, 
pero de cada niño muerto sale un fusil con ojos, 
pero de cada crimen nacen balas 
que os hallarán un día el sitio 
del corazón. 
Preguntaréis ¿ por qué su poesía 
no nos habla del sueño, de las hojas, 
de los grandes volcanes de su país natal ?
¡ Venid a ver la sangre por las calles, 
venid a ver 
la sangre por las calles, 
venid a ver la sangre 
por las calles !
Généraux 
Traîtres : 
Regardez ma maison morte 
Regardez l'Espagne blessée. 
Mais de chaque maison sort un métal ardent 
En guise de fleurs, 
Mais de chaque blessure de l'Espagne 
Sort l'Espagne, 
Mais de chaque enfant mort sort un fusil avec des yeux, 
Mais de chaque crime naissent des balles 
Qui trouveront un jour la place 
de votre coeur. 
Vous demandez pourquoi ma poésie 
Ne parle pas du songe, des feuilles, 
Des grands volcans de mon pays natal ?
Venez voir le sang dans les rues, 
Venez voir 
Le sang dans les rues, 
Venez voir le sang 
Dans les rues !
---
Pablo Neruda, extrait de "Expliquons-nous" 
España en el corazón 
1936



mercredi 2 janvier 2013

LA ROSE BLANCHE DE José MARTI

Cultivo una rosa blanca
en junio como enero
para el amigo sincero
que me da su mano franca.

Y para el cruel que me arranca
el corazón con que vivo,
cardo ni ortiga cultivo;
cultivo la rosa blanca.

 
Cultivo Una Rosa Blanca

por José Martí

Je cultive une rose blanche
En juin aussi bien qu'en janvier
pour l'ami sincère
qui me tend une main franche
 
Et pour le cruel qui m'arrache
le coeur avec lequel je vis
je ne cultive ni carde ni ortie:
                                                                                     je cultive la rose blanche   

José Julian MARTI y PÉREZ

  ( 28 janvier 1853 La Havane- 19 Mai 1895 Dos Rios ) 

 Homme politique, journaliste, philosophe, penseur, et poète cubain.

Fondateur du Parti Révolutionnaire Cubain, il est certainement l'homme le plus 

glorifié par le peuple cubain, qui le vénère comme un héros national,  le plus 

grand martyr, et l'apôtre de la lutte pour l'indépendance

« La grandeur des chefs n'est pas dans leur per­sonne, 

mais dans la mesure où ils servent la grandeur de leur peuple. » (José MARTI)