André VIARD a le droit de penser ce qu’il veut de la revue « TOROS » qui le qualifia il y a peu de « TOUT PETIT », il devrait pourtant lui reconnaître une certaine fidélité dans sa ligne éditoriale, depuis 85 ans au service exclusif de la corrida de verdad, de la reconnaissance du toro sauvage et limpio, élément prépondérant de la toreria, l’importance essentielle de la suerte de piques, tous ces éléments sans lesquels la corrida ne devient petit à petit, jour après jour, qu’un spectacle dénaturé, qui confine à la cruauté insupportable envers des animaux affaiblis et anoblis jusqu’à la débilité, ces manquements et ces fraudes que les « terres taurines » passent honteusement sous silence.
Les photos au campo, sur papier glacé, çà flatte l’œil de l’abonné et çà fait vendre, puisque c’est le but recherché, çà donne peut-être au lecteur l’illusion de participer depuis son canapé à la défense de la fiesta brava en danger. Le pire, c’est de vouloir faire croire à tous les aficionados, surtout aux spectateurs lambda, que la meilleure ou l’unique ou la plus efficace manière de défendre la corrida, ce serait son inscription au patrimoine immatériel de l’UNESCO, grâce à l’action de l’OCT, et surtout de son président, qui se prend pour le sauveur suprême, et sous la pression conjuguée du mundillo et des politiciens de tout bord, uniquement préoccupés, les premiers d’assouvir leur cupidité, les seconds de préserver leur capital électoral.
M. BARTOLOTTI n’a certes pas besoin de moi pour moucher le tout petit : mais le tout petit et ses amis, même ceux qui le soutiennent comme la corde soutient le pendu, doivent savoir que les aficionados en ont plus qu’assez d’être pris pour des jambons ou des oisons de trois jours. Et je suis d’autant plus à l’aise pour le dire que je ne suis plus abonné à TOROS (j’ai abandonné après 25 ans de fidélité), ni à T.T.
Les faits sont têtus, ironise VIARD. Effectivement, ils sont têtus : et ce n’est pas d’aligner Madrid, Murcia, Valence, la Catalogne, comme des victoires Napoléoniennes, qui fait que l’on vous prendra pour le libérateur. Drapé dans votre étendard emprunté à l’OCT, tel Don Quichotte en lutte contre les moulins de la Mancha, on retient justement de vous les effets de manche qui ne servent qu’à camoufler vos vrais buts, l’OCT est le leurre comme la muleta est celui de la figurita, derrière lequel vous camouflez vos vrais desseins : sauver le lucre qui seul motive les affairistes,les empresas, les ganaderos véreux, -ils ne le sont pas tous, heureusement-, sans vous préoccuper de l’état lamentable où, les uns et les autres, vous laissez la corrida que vous deviez défendre.
Voilà pour les faits !
De quel droit d’abord parlez-vous là-bas en Espagne, au nom du « monde taurin français » ? Qui remplit les arènes ? Ceux qui nous emm…..dans les callejons, qui essaient de nous empêcher de dénoncer la fraude, qui font leur loi, sans passer au guichet ? Ou bien les tendidos, qui crachent au bassinet ? Evidemment, vous ne respectez plus rien, même et surtout le repectable, exclusivement préoccupé que vous êtes de soigner votre image, votre titre ronflant, vos intérêts, à vous et à vos amis. Votre monde est ainsi fait : nous sommes bons pour payer, et nous taire.
Basta !
Vous vous gaussez d’avoir initié auprès des espagnols la dimension culturelle du spectacle taurin, d’avoir convaincu le sénat espagnol qu’ils allaient bâtir grâce à vous un « mur infranchissable autour de la fiesta », laissez nous rire, vous pouvez semer quelques illusions, mais à qui, à quel aficionado, ferez vous croire que le massacre de bovidés esquintés, faiblissimes, noblissimes jusqu’à la débilité, puisse être toléré, et plus, protégé, par une prétendue inscription au patrimoine de l’Unesco ? Si vous croyez que les aficionados vont avaler cettemonstrueuse connerie, c’est que vous les prenez pour des blaireaux ! Vous devriez plutôt comprendre, avec un peu de bon sens, que si çà rue dans les brancards, en Catalogne, et ailleurs, et partout, c’est simplement de votre faute à vous tous, c’est parce que votre spectacle taurin n’a plus rien à voir avec la corrida, la lidia, les fondamentaux qui forment le socle de la corrida. La triche, la fraude, les magouilles, tout çà, répété sans cesse, est devenu insupportable, tout çà est indéfendable, et tout çà conduit à la mort prochaine de la fiesta brava dont vous ne voulez pas.
L’observatoire pouvait être un outil formidable, pour fédérer l’aficion, promouvoir la fiesta brava, éduquer les nouveaux publics, faire pression sur le mundillo, hors de tout intérêt cupide : au lieu de cela, grâce à lui, vous assurez la promotion de vos produits commerciaux, de votre personne avide d’égo, vous divisez et méprisez les aficionados…. Vous ne défendez pas la corrida, vous vous en battez les flancs. Il ne nous reste qu’à vous combattre, vous dénoncer, pour tout le mal que vous faites à ce que nous aimons par-dessus tout.
Intégrité du spectacle, toros limpios, sans manipulation frauduleuse : nous sommes évidemment écoeurés de devoir le répéter et l’exiger sans cesse, ce ne sont pas vos manèges, vos rodomontades et effets de manche, votre goût de la médiatisation à outrance, qui règleront ce problème.
Ce qui sauvera la corrida, c’est le respect, seul, de ses règles fondamentales.
TORO, LIDIA AUTENTICA, SIN FRAUDE !..... Y sin fundas de mierda !
Je viens de lire à nouveau une réponse mille fois exprimée sur les blogs d’ici et de nos voisins : « Casta, edad, poder y trapio ! » Voilà les quatre exigences sur lesquelles personne qui aime la corrida, ne peut transiger, alors que vous ne cessez de tenter de nous endormir avec votre dada de l’Unesco. Quatre exigences, de la seule responsabilité des ganaderos, en vertu de quoi l’absence de l’une d’elles condamne la corrida à disparaître.
Les photos au campo, sur papier glacé, çà flatte l’œil de l’abonné et çà fait vendre, puisque c’est le but recherché, çà donne peut-être au lecteur l’illusion de participer depuis son canapé à la défense de la fiesta brava en danger. Le pire, c’est de vouloir faire croire à tous les aficionados, surtout aux spectateurs lambda, que la meilleure ou l’unique ou la plus efficace manière de défendre la corrida, ce serait son inscription au patrimoine immatériel de l’UNESCO, grâce à l’action de l’OCT, et surtout de son président, qui se prend pour le sauveur suprême, et sous la pression conjuguée du mundillo et des politiciens de tout bord, uniquement préoccupés, les premiers d’assouvir leur cupidité, les seconds de préserver leur capital électoral.
M. BARTOLOTTI n’a certes pas besoin de moi pour moucher le tout petit : mais le tout petit et ses amis, même ceux qui le soutiennent comme la corde soutient le pendu, doivent savoir que les aficionados en ont plus qu’assez d’être pris pour des jambons ou des oisons de trois jours. Et je suis d’autant plus à l’aise pour le dire que je ne suis plus abonné à TOROS (j’ai abandonné après 25 ans de fidélité), ni à T.T.
Les faits sont têtus, ironise VIARD. Effectivement, ils sont têtus : et ce n’est pas d’aligner Madrid, Murcia, Valence, la Catalogne, comme des victoires Napoléoniennes, qui fait que l’on vous prendra pour le libérateur. Drapé dans votre étendard emprunté à l’OCT, tel Don Quichotte en lutte contre les moulins de la Mancha, on retient justement de vous les effets de manche qui ne servent qu’à camoufler vos vrais buts, l’OCT est le leurre comme la muleta est celui de la figurita, derrière lequel vous camouflez vos vrais desseins : sauver le lucre qui seul motive les affairistes,les empresas, les ganaderos véreux, -ils ne le sont pas tous, heureusement-, sans vous préoccuper de l’état lamentable où, les uns et les autres, vous laissez la corrida que vous deviez défendre.
Voilà pour les faits !
De quel droit d’abord parlez-vous là-bas en Espagne, au nom du « monde taurin français » ? Qui remplit les arènes ? Ceux qui nous emm…..dans les callejons, qui essaient de nous empêcher de dénoncer la fraude, qui font leur loi, sans passer au guichet ? Ou bien les tendidos, qui crachent au bassinet ? Evidemment, vous ne respectez plus rien, même et surtout le repectable, exclusivement préoccupé que vous êtes de soigner votre image, votre titre ronflant, vos intérêts, à vous et à vos amis. Votre monde est ainsi fait : nous sommes bons pour payer, et nous taire.
Basta !
Vous vous gaussez d’avoir initié auprès des espagnols la dimension culturelle du spectacle taurin, d’avoir convaincu le sénat espagnol qu’ils allaient bâtir grâce à vous un « mur infranchissable autour de la fiesta », laissez nous rire, vous pouvez semer quelques illusions, mais à qui, à quel aficionado, ferez vous croire que le massacre de bovidés esquintés, faiblissimes, noblissimes jusqu’à la débilité, puisse être toléré, et plus, protégé, par une prétendue inscription au patrimoine de l’Unesco ? Si vous croyez que les aficionados vont avaler cettemonstrueuse connerie, c’est que vous les prenez pour des blaireaux ! Vous devriez plutôt comprendre, avec un peu de bon sens, que si çà rue dans les brancards, en Catalogne, et ailleurs, et partout, c’est simplement de votre faute à vous tous, c’est parce que votre spectacle taurin n’a plus rien à voir avec la corrida, la lidia, les fondamentaux qui forment le socle de la corrida. La triche, la fraude, les magouilles, tout çà, répété sans cesse, est devenu insupportable, tout çà est indéfendable, et tout çà conduit à la mort prochaine de la fiesta brava dont vous ne voulez pas.
L’observatoire pouvait être un outil formidable, pour fédérer l’aficion, promouvoir la fiesta brava, éduquer les nouveaux publics, faire pression sur le mundillo, hors de tout intérêt cupide : au lieu de cela, grâce à lui, vous assurez la promotion de vos produits commerciaux, de votre personne avide d’égo, vous divisez et méprisez les aficionados…. Vous ne défendez pas la corrida, vous vous en battez les flancs. Il ne nous reste qu’à vous combattre, vous dénoncer, pour tout le mal que vous faites à ce que nous aimons par-dessus tout.
Intégrité du spectacle, toros limpios, sans manipulation frauduleuse : nous sommes évidemment écoeurés de devoir le répéter et l’exiger sans cesse, ce ne sont pas vos manèges, vos rodomontades et effets de manche, votre goût de la médiatisation à outrance, qui règleront ce problème.
Ce qui sauvera la corrida, c’est le respect, seul, de ses règles fondamentales.
TORO, LIDIA AUTENTICA, SIN FRAUDE !..... Y sin fundas de mierda !
Je viens de lire à nouveau une réponse mille fois exprimée sur les blogs d’ici et de nos voisins : « Casta, edad, poder y trapio ! » Voilà les quatre exigences sur lesquelles personne qui aime la corrida, ne peut transiger, alors que vous ne cessez de tenter de nous endormir avec votre dada de l’Unesco. Quatre exigences, de la seule responsabilité des ganaderos, en vertu de quoi l’absence de l’une d’elles condamne la corrida à disparaître.