vendredi 25 septembre 2015

LA RELIGION ANIMALISTE: CELLE DES INTERDITS

 SOUS COUVERT D'ANIMALISME: UN MONDE D'INTERDITS

En 1952, les mots  animaliste, animalisme, ne figurent pas dans le petit Larousse Illustré
Définitions Web: L'animalisme est une éthologie étude des moeurs qui défend le droit des animaux d'une façon qui dépasse une simple considération écologique, c'est-à-dire considérer les animaux en tant qu'individus. Comme des être humains. ..http://fr.wikipedia.org/wiki/Animalis
Aujourd'hui, le terme animaliste s'est répandu à une vitesse grand V . Propagé par des écolos plus préoccupés de ratissage électoral que d'écologie. Il figure dans tous les écrits et discours de l'homme écolo  "moderne" plus prompt à défendre insensément l'animal que de se préoccuper des salades et des fruits empoisonnés par les pesticides. Et les adeptes de cette nouvelle mode sont d'autant plus actifs, organisés en véritables commandos, qu'ils sont peu nombreux. Comme pour mieux affirmer leur combat  de piètres Don Quichotte contre les moulins de La Mancha, les moulins ici étant les traditions humaines que d'obscurs lobbies veulent interdire, parce que nous vivons un monde d'interdits, décidés par des politiciens et des terrorristes.

Les animalistes campent autour des arènes pour agresser, insulter, vilipender, les aficionados, avec une violence inouïe, pour ensuite se poser en victimes, lorsqu'ils récoltent un peu de la violence qu'ils ont semé. Ces gens-là sont sûrs de leur bon droit, celui de mener un pauvre combat  au  service de la cause animale: interdire la corrida, interdire la chasse, - tiens, tiens, on ne les voit jamais autour des chasses à courre ...!!!- , interdire de manger de  la viande, du poisson, interdire de gaver les oies, les canards. Les musulmans et les juifs interdisent le porc.....Les animalistes végétariens et végétaliens interdisent, eux, de consommer tout ce qui a trait à l'animal, toute sorte de viande, poisson, oeuf, ils sont par conséquent plus intolérants encore que les premiers nommés, les intégristes musulmans qui veulent assujettir à leur folie criminelle le monde libre, et qui lapident les femmes, les voleurs, les impies, les non musulmans, les homos, ils emprisonnent, ils torturent, ils massacrent, pour obéir à leur imbuvable dieu, les autres, les animalistes, jettent de semblables interdits, tout aussi répugnants, sous le prétexte primaire de s'opposer à la souffrance des animaux, qu'ils comparent aux humains, et à qui ils attribuent des sentiments et   des "droits", et qu'ils mettent donc sur le même pied d'égalité que l'humain.
Que savent-ils de la nature, ces prétendus défenseurs des animaux? De ses lois millénaires, dont l'humain depuis toujours s'est inspiré et s'inspire, dont il s'est  depuis toujours nourri, physiquement et intellectuellement, depuis que la vie habite notre planète? De ces lois naturelles comprises entre la naissance et la mort, dont les animaux n'ont que faire, eux qui naissent, croissent et meurent, dans le seul cadre fixé par la terre mère, en n'obéissant pendant leur existence, qu'elle soit brève ou longue, selon leur espèce, qu'à leur instinct naturel.

Seul l'homme est humain, doué de raison, de sa propre raison, même si chaque humain ne partage pas la même raison que son semblable, le reste, l'amour immodéré, déplacé, malsain, la préférence même de certains êtres pour des animaux, comme il cela se répand dans nos sociétés dites avancées, modernes, occidentales ou autres, la dévotion due notamment à certains animaux de compagnie mieux traités que des enfants, et qui confine à l'idolâtrie n'est que discours ou philosophie sur de faux problèmes, des discours qui évacuent la vérité naturelle: on nait pour mourir, humains et animaux, sans que  nul ne puisse l'oublier et inverser les rôles, par exemple professer le prétexte fallacieux que l'on peut se passer de viande pour vivre, ou celui ridicule que "mon chien est mon semblable", donc il a des droits, comme l'être humain, alors que des  milliards d'humains dans le monde n'ont aucun droit que celui de subir, souffrir, de la malnutrition, de la maladie, du despotisme sanguinaire des dictateurs politiques ou religieux.

Lorsque j'étais enfant, en période de guerre, et même plus tard, dans les années 50/60, chez nous, comme dans de nombreux foyers pauvres comme  le nôtre, nourrir quatre enfants avec un salaire de misère était pour les parents une gageure chaque jour renouvelée. Pour acheter de temps en temps un peu de viande, notre mère vendait le gibier que notre père chasseur ramenait de sa chasse: perdreaux, cailles, bécasses, lièvres, nous permettaient de goûter de temps en temps aux coustellous du boucher voisin. Ceci est notre culture, tout au moins la mienne, et rien ni personne ne m'en changera.

Aujourd'hui, l'animalisme est en passe de devenir une nouvelle religion. Pour certains extrémistes, le pas a été  franchi. Depuis longtemps ! La raison n'est plus, ce sont les émotions exacerbées par ce fanatisme nouveau, cet animalisme quasiment religieux, qui tiennent lieu de raison. Et celui qui est habité par sa foi animaliste suit aveuglément son combat  qu'il croit évidemment juste pour ne se consacrer qu'à l'animal jugé  martyre. Ni autocritique, ni début de réflexion, ni remise en cause de ses certitudes, ni essai de comprendre celui qui ne partage pas son aveuglement. Nous sommes au coeur d'une croisade des temps modernes, attisée et financée par des intérêts médiatiques, relayée par des politiciens de tout bord en quête de suffrages, affairistes cupides et politiciens manipulant dangereusement des ignorants fanatisés, qui veulent donner un sens à leur vie, sans se poser de questions autres que la vie et la mort des taureaux, des veaux, des truites et des crabes, ou le destin des canards gras. Depuis longtemps, les politiciens ont tué leur idéal, s'ils en avaient un, les animalistes se raccrochent donc à ceux qui gueulent le plus fort: les  populistes qui n'ont de la mort qu'une vision recroquevillée.

Et ces êtres dangereux entrainent avec eux leurs propres enfants, jusqu'à les enchainer au milieu des arènes, les mettre carrément en grand danger, en faire surtout dès leur plus jeune âge des hors la loi, pour, du moins le croient ils, culpabiliser les publics venus pacifiquement assister à un spectacle totalement reconnu et autorisé par la loi.

J'emprunte ici à un texte relevé sur un blog espagnol : quelques lignes qui me semblent traduire ce que revendiquent et éprouvent  les animalistes qui s'expriment sur ces réseaux dits sociaux, où la lapidation- virtuelle, (en attendant mieux, car ailleurs, chez les intégristes islamistes, c'est avec des pierres, que l'on tue,  mais ici, avec des mots, la folie haineuse est la même,)  est chose courante contre les humains coupables de n'être pas animalistes,  réseaux dits sociaux où la sagesse m'interdit de pénétrer, je laisse cela à plus jeune. Ou plus motivé.

"L' exhibitionnisme pathologique de sa  propre bonté envers son animal caractérise la propension de se tourner vers la violence aveugle des prosélytismes religieux contre ceux qui réfutent leurs dogmes. Comme par hasard, c'est aujourd'hui le langage des islamistes les plus sanguinaires. .....Les animalistes végétariens et végétaliens, convertis à leur nouvelle religion, ne recherchent que la compagnie de leurs semblables, pour avoir sans cesse leur appui, et partager leurs recettes et conseils divers, également partager et réciter leur credo: faire souffrir un animal c'est très mal, nous n'avons- C'EST LEUR DISCOURS -  aucun droit de domination, ni sur un humain, ni sur un animal, respecter le code de conduite selon lequel n'utiliser que du linge synthétique, refuser des invitations à des grillades, des images ou videos sur des animaux maltraités....Sur les commentaires des réseaux sociaux, ivresse compassionnelle pour les animaux, chats et toutous, monologue où l'on se complait dans une douleur morbide, les plaintes incessantes évoquent surtout un moteur qui tourne à vide."
Curieusement, les animalistes prétendent entr'autres règles morales, cest ce qui est dit ci-dessus-  n'avoir aucun droit de domination, ni sur les humains, ni sur les animaux. Pourtant ils s'arrogent le droit de venir jusqu'aux portes des arènes pour insulter les aficionados, les abreuver de leurs menaces et invectives imbéciles, telles "La mort n'est pas un spectacle", alors que la corrida est un spectacle légal, autorisé par la LOI FRANÇAISE, y vient qui veut, celui à qui çà déplait n'est surtout pas obligé d'y venir, qui plus est, seulement pour troubler l'ordre public. On ne le répètera jamais assez: manifester, chacun en a le droit. Provoquer des citoyens qui vivent dans la légalité, dans le respect des lois, contrairement aux voyous qui veulent les en empêcher: NON!!!
Mille fois NON!!!