mardi 27 septembre 2022

La mondialisation : le processus qui décrédibilise l’écologie gauchiste

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Rendez-vous à un dîner chez vos amis et observez. Prêtez attention à chaque objet, chaque ustensile, chaque jouet qui vous entoure et qui remplit la pièce : vous les reconnaîtrez.

Les tracteurs en plastique, les meubles IKEA brinquebalants provenant de Chine, les consoles japonaises devenues inutilisables, les chaises de jardin blanches en résine : tout s’empile, se superpose, s’accumule à en avoir un mal de tête et une pointe de déprime.

Notre goût pour la surconsommation couplé à l’incapacité française de produire à moindre coût nous contraint aujourd’hui à payer pour des produits venant de pays dont nous ne connaissons parfois même pas la culture. Une raison à tout cela : pouvoir finir le mois.

Grâce à une main d'œuvre moins chère, certaines entreprises implantées 8 000 kilomètres sont capables de produire, d'exporter et de vendre leurs produits à des prix ultra-compétitifs.

Une spirale infernale qui est devenue la principale cause du réchauffement climatique : en 2020, l’empreinte carbone est constituée pour moitié (49 %) d’émissions associées aux importations (France + DROM, Insee, Citepa).

Cette vérité reflète à quel point notre pays s’est désindustrialisé : les compétences de notre population active se sont affaiblies, ce qui explique, selon Patrick Artus, "les difficultés de recrutement et les difficultés de modernisation des entreprises" (Des économistes répondent aux populistes, Odile Jacob). 

Nos entreprises ne sont donc plus capables de produire pour leur propre peuple.

Là sont les conséquences d'une mondialisation mal anticipée : “Sur l’ensemble de la période 1995-2001, les présomptions de délocalisation s’élèvent au total à 2,4 % des effectifs de l’industrie hors énergie, c’est-à-dire environ 3,9 millions de salariés” (Insee).

Or, s’affichant comme les défenseurs du pouvoir d’achat des Français, les partis politiques de gauche ne peuvent boycotter ces entreprises étrangères puisque leurs produits sont plébiscités par leurs électeurs. Ce sont grâce à ces entreprises qu'une grande partie des Français peuvent consommer suffisamment. Seulement, ce sont ces mêmes entreprises implantées au bout du monde qui dégradent notre planète. 

Comment certains partis de gauche peuvent se déclarer "verts" sans condamner cette surconsommation à l'origine du dérèglement climatique ? Faut-il réprimer le consommateur ou le producteur ?

La gauche a fait le choix de ne réprimer personne : de rester dans une sorte de compromis.

Un compromis rempli de mesures qui ont le don d’insupporter et de paralyser notre peuple : roulez à l'électrique, chauffez à 19 °C, rationalisez vos kilomètres… 

Tout cela nous montre à quel point l'écologie menée par la gauche reste un sujet tierce, un sujet qui apporte tellement de conséquences qu'aucun des candidats n'ose vraiment le prendre au sérieux car le prendre au sérieux ce serait réduire massivement les importations et donc empêcher les ménages de surconsommer. 

Voilà la raison pour laquelle l’écologie de gauche est malsaine, mensongère et dangereuse, voilà la raison pour laquelle Bruno Retailleau (Président des Républicains au Sénat) disait dans son discours du 19 septembre 2022 : "l'écologie est de droite”.

 

La gauche, parti des travailleurs ?

La gauche est au bord de la crise de nerfs. Comme dans un film d’Almodovar, la moindre étincelle peut provoquer une explosion. L’ennui est que ces explosions restent verbales. Quelques dizaines de tweets vengeurs, quelques numéros de vierge offensée à la télévision, et puis on passe à autre chose… jusqu’à la prochaine crise. Ces affrontements aboutissent rarement à un débat de fond, à une remise en question. Au mieux, on obtient une rétractation, un « on a mal interprété mes paroles », un « je n’ai jamais voulu dire que ».

Exemple, la sortie de Fabien Roussel à la fête de l’Humanité. Je rapporte la citation originale, parce que les mots ont leur importance : « La gauche doit défendre le travail et le salaire et ne pas être la gauche des allocations, minima sociaux et revenus de substitution ». On notera la prudence de la déclaration. Il ne s’agit pas d’opposer les titulaires d’allocation aux travailleurs, mais d’opposer deux « gauches », l’une qui se concentrerait sur la défense du travail et du salaire, l’autre dont le combat serait centré sur les allocations et autres revenus de substitution. Autrement dit, Roussel n’oppose pas deux catégories de Français, il oppose deux catégories de militants politiques « de gauche ».

La meilleure preuve que cette « gauche des allocations » existe bien est la réaction quasi unanime de la NUPES à cette déclaration, réaction comparable à celle d’un chat dont on a marché sur la queue. Il serait amusant mais certainement ennuyeux de lister ici ces réactions. La plupart de leurs auteurs ont entendu ce qu’ils voulaient entendre, quitte à déformer la formule originale. Olivier Faure, dans sa réponse, prend la défense de ceux qui touchent des allocations (« Les gens qui cherchent à utiliser les mécanismes de solidarité collectives sont minoritaires et celles et ceux qui fraudent le plus ne sont pas ceux qui touchent le RSA ou le chômage ») alors qu’ils ne sont nullement attaqués. François Ruffin se sent obligé d’écrire que « opposer « la France qui bosse » à « la France des allocs », ce n’est pas le combat de la gauche, ce ne sont pas mes mots », alors que personne n’a, je le répète, opposé une « France » à une autre, mais bien une « gauche » à une autre, ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Sandrine Rousseau, devenue l’idéologue publique de la gauche radicale – ce qui vous donne une idée de l’état intellectuel de la gauche en question – décrète sur ce ton professoral n’admettant aucune contradiction qui la caractérise que « la valeur travail est une valeur de droite » – étiquette qui, dans la mentalité « gauche radicale », la disqualifie définitivement et sans qu’il soit besoin de l’examiner plus loin – et que « On a un droit à la paresse, on a un droit à la transition des métiers, on a le droit aussi de faire des pauses dans sa vie ».

Ce que cette éruption démontre, c’est qu’il y a une ligne de partage dans la gauche qui ne s’efface pas, et dont le déterminant est le rapport au travail. C’est celle qui divise la gauche sociale de la gauche sociétale, celle qui porte les intérêts des couches populaires et celle qui se consacre plutôt aux intérêts des classes intermédiaires. Et il est important de comprendre le pourquoi et comment de cette division.

Commençons par la « valeur travail ». Avant d’être une « valeur », le travail est une nécessité. Et c’est une nécessité parce que l’immense majorité des êtres humains vit entourée par une nature qui, n’en déplaise aux romantiques, n’est guère généreuse et souvent hostile. Les fruits et les poulets rôtis ne tombent pas des arbres dans notre assiette, le toit qui nous protège des intempéries et le feu qui nous réchauffe ne se construisent et ne s’alimentent pas tous seuls. Nos ancêtres ont bien compris que s’ils voulaient se nourrir, se protéger du froid et des bêtes sauvages, et bien, il fallait bosser. C’est le travail qui nous a permis de nous nourrir, de nous protéger, et puis, le temps aidant, de jouir de toutes sortes de biens qui non seulement nous rendent la vie plus agréable, mais nous permettent de moins travailler et donc d’avoir plus de temps pour penser, pour imaginer, pour créer. Car l’histoire humaine, c’est l’histoire d’une bestiole qui a appris à libérer du temps en augmentant sa productivité. Les chasseurs-cueilleurs passent le plus clair de leur temps à chercher la nourriture tous les jours de leur vie, et malgré cette masse de travail fourni ont une vie misérable. Nous, hommes modernes, travaillons moins de 10% du temps que nous passons sur cette terre… avec une qualité de vie incomparablement meilleure !

Oui, il faut du temps et de l’effort pour arracher à mère nature – qui plus qu’une mère aurait plutôt le caractère d’une marâtre de conte de fées – de quoi subsister, de quoi nous épanouir. C’est ce temps d’effort obligatoire qui définit le travail. Et on comprend donc bien qu’il n’y a pour un être humain que deux moyens de se procurer les biens nécessaires à sa vie et survie : soit de travailler pour les produire, soit prélever sur le produit du travail des autres.

Que deviendrait une société qui n’invoquerait pas le travail comme valeur sociale, qui aurait autant de considération pour le travailleur productif que pour l’oisif parasitaire, pour celui qui produit la valeur qu’il consomme que pour celui qui la consomme sans la produire ? Un tel système de valeurs ne peut conduire qu’à une société où tout le monde consomme et personne ne travaille. Ce n’est pas là une organisation sociale réaliste. C’est pourquoi le travail n’est pas une valeur « de gauche » ou « de droite », mais une valeur anthropologique des sociétés humaines, tout simplement parce la valorisation du travail est la condition nécessaire de leur existence, de la même manière que le travail est la condition nécessaire de la survie des individus.

L’oisiveté, la paresse ne peuvent être les valeurs de l’ensemble de la société. Elles peuvent être – et l’ont été historiquement – les valeurs pour un groupe social déterminé, un groupe privilégié dont le caractère dominant lui permet de prélever de la valeur sur le travail des autres. A l’inverse, la « valeur travail » est souvent revendiquée par les classes exploitées, celles sur qui la valeur est prélevée, parce qu’elle souligne l’injustice qui leur est faite. Paul écrit, à une période où l’église chrétienne était celle des opprimés, que « si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus » (deuxième épitre aux Thessaloniciens 3 :10), et que les révoltes des « travailleurs » contre les « oisifs » sont chose courante dans l’histoire, révolte toujours légitimée par le fait que c’est le travail qui nourrit les hommes, qui est seule source de valeur.

Cela ne conduit pas bien entendu à refuser l’idée même d’allocation. Pour reprendre la formule paulienne, il ne s’agit pas de priver de nourriture ceux qui ne travaillent pas, mais bien ceux qui ne veulent pas travailler. La nuance est tout à fait essentielle. Toutes les sociétés admettent plus ou moins le besoin d’assurer un revenu suffisant à ceux qui veulent travailler et ne le peuvent pas ou plus, soit parce qu’un handicap, une maladie ou l’âge les en empêchent, soit parce que l’état de l’économie ne leur permet pas de trouver un emploi. Mais en aucun cas un allocataire n’est, au plan symbolique, l’égal d’un travailleur. Le travailleur vit de son travail, l’allocataire vit du travail des autres (1). C’est pour cela que le travailleur a une légitimité politique que l’allocataire ne peut avoir.

On comprend bien mieux à cette lumière pourquoi une gauche dominée par les classes intermédiaires tire à boulets rouges sur la « valeur travail ». Parce que la « valeur travail » est l’outil de légitimation politique de la classe ouvrière, cette classe avec laquelle les classes intermédiaires ont rompu et dont elles ne veulent pas entendre parler. C’est pourquoi dans le discours de la gauche le « pauvre » a remplacé progressivement le « travailleur ». L’avantage étant que contrairement au travailleur, qui a une légitimité politique et donc une voix propre, le « pauvre » ne plaide que par l’intermédiaire de ses avocats… c’est-à-dire, des classes intermédiaires qui ont toute liberté pour plaquer sur lui leurs propres revendications. Et cela a eu une traduction au plan de la tactique politique : depuis quarante ans, la gauche a compensé ses pertes dans le monde du travail en se constituant une « clientèle » par la distribution d’allocations de toutes sortes.  Ce sont ces clientèles qui votent à gauche de peur de perdre ces bénéfices. Or, c’est à ce type de clientélisme que Roussel s’attaque lorsqu’il écrit que « La France pour laquelle je me bats, c’est une France du travail dans laquelle nous arrivons à éradiquer le chômage. Cela veut dire que nous avons tellement de défis à relever, d’emplois à pourvoir, que, dans ma France, il n’y a plus d’allocation-chômage. C’est de ces allocations-là que je parle. Il n’y a plus de RSA, plus de revenu de substitution qui permettent de nourrir le chômage. Je veux nourrir le travail ». Parce que si demain « il n’y a plus de RSA », il n’y aura pas non plus de gens qui voteront pour cette gauche de peur de perdre le RSA.

Certains ont le culot d’invoquer le nom de Marx pour placer à droite la « valeur travail ». Mais Marx n’a jamais dit pareille chose. Marx critique le travail aliéné, c’est-à-dire, le fait de travailler pour un patron qui prélève une partie de la valeur produite sans avoir contribué à la produire. Car Marx, n’en déplaise à certains de ses prétendus disciples, était d’abord un matérialiste, ce qu’ils ne sont pas. C’est d’ailleurs lui qui expliquait que l’homme n’arrive au royaume de la liberté qu’en passant par le royaume de la nécessité. C’est ce qu’oublient ceux qui invoquent un « droit à la paresse ». Bien sur, on a le « droit » de s’arrêter de travailler quand on veut. Ce qu’on n’a pas, c’est le droit à s’arrêter tout en continuant à être payé. Une nuance que certains semblent avoir du mal à comprendre…

Sandrine Rousseau, avec son « droit à la paresse », est un peu Marie-Antoinette avec son « qu’ils mangent de la brioche ». Appartenant à une classe qui a tout, Rousseau invoque le « droit » de ne pas travailler – droit qui n’a comme contrepartie aucun devoir, même pas celui de réduire sa consommation. Alors qu’à l’autre bout de l’échelle, des gens condamnés à la paresse forcée clament au contraire à cor et à cri leur désir de travailler…

Descartes

(1) Je parle ici bien entendu des allocations non-assurantielles. Pour les allocations assurancielles, c’est un peu différent : tout le monde cotise pour couvrir un risque qui ne se réalisera que dans un nombre limité de cas. Celui qui est désigné par le hasard souffre du risque et bénéficie de l’assurance. Il n’y a donc pas véritablement de « prélèvement », mais plutôt une mutualisation.

 


Les Européens et les factures d’énergie et de nourriture

La propagande qui prétend gouverner nos vies en nous gorgeant hypothétiques victoires de la marionnette des USA, le très corrompu Zelensky flanqué de la folle non moins corrompue et incompétente Ursula von Leyden prétendent entrainer l’UE comme chair à canon du fascisme étatsunien. Les premières victimes ne sont pas celles de la guerre mais bien de la politique qui a besoin de la guerre, celle du capitalisme occidental en crise profonde. Partout les victimes protestent mais faute de partis communistes, faute de perspective politique, le socialisme, un autre pouvoir de classe, le risque du dévoiement fasciste grandit en Europe et aux Etats-Unis. La planète contemple avec inquiétude nos convulsions (note et traduction de Danielle Bleitrach pour histoire et société)



Les Bulgares considèrent les prix élevés comme plus dangereux que la guerre en Ukraine

Septembre 22, 2022
Les Bulgares estiment que l’augmentation excessive des prix est un danger plus tangible que l’escalade de la guerre en Ukraine, selon un sondage international Gallup publié mardi.
Quelque 87,9 % des personnes interrogées ont répondu qu’il existe un risque réel d’augmentation excessive des prix en Bulgarie. La deuxième crainte (78,3%) est qu’il n’y ait pas assez de gaz, tandis que 77,9% pensent qu’il y a un réel danger que le pays tombe dans une instabilité politique permanente. Viennent ensuite les réponses « il y aura une nouvelle vague de migrants » avec 72,3 %, et « il y aura une pénurie d’électricité » avec 69,4 %.
Au total, 56,3% pensent qu’il y a un risque que la guerre en Ukraine s’aggrave. La question a été posée avant la dernière intensification du conflit.
Continuer la lecture surwww.euractiv.com

Des manifestations éclatent dans toute l’Autriche pour exiger une solution à la crise du coût de la vie

Septembre 19, 2022
Le samedi 17 septembre, des syndicats et d’autres sections de la classe ouvrière sont descendus dans les rues à travers l’Autriche pour protester contre l’inefficacité du gouvernement à s’attaquer à la crise actuelle du coût de la vie. Les manifestations appelées par la Fédération syndicale autrichienne (OGB) ont vu la participation de divers groupes, notamment le Parti du travail d’Autriche (PdA), le Front de la jeunesse, la Jeunesse communiste d’Autriche (KJO), le Parti communiste d’Autriche (KPO) et Links, entre autres. Des marches ont eu lieu dans des villes de tous les Länder, notamment Vienne, Eisenstadt, Bruck an der Mur, Salzbourg, Innsbruck, Bregenz, basse-Autriche et Haute-Autriche. Selon les organisateurs, plus de 30 000 personnes ont participé aux manifestations, dont 20 000 ont défilé rien qu’à Vienne. Les manifestants ont appelé les politiciens à prendre des mesures concrètes pour faire face à la crise actuelle.
Continuer la lecture sur peoplesdispatch.org

Bruxelles, théâtre d’une manifestation de masse sur la crise du coût de la vie

Sep 21, 2022
Mercredi, la capitale belge a été le théâtre d’un rassemblement massif de plus de 10 000 manifestants qui sont descendus dans la rue pour protester contre les hausses de prix.
Les syndicats belges, organisateurs de la manifestation, ont lancé un appel aux politiciens nationaux, leur imposant la responsabilité d’atténuer la crise financière, d’assurer des augmentations de salaires et de réduire les prix de l’énergie.
Selon les syndicats, le pays a connu une augmentation écrasante des prix des factures d’énergie. Ils affirment que la facture énergétique moyenne des ménages a triplé, dépassant 700 euros.
Le président de la Fédération générale belge du travail, Thierry Bodson, a déclaré : « Ce n’est pas que nous ne voulons pas payer, mais que nous ne pouvons pas payer. » Bien que la plupart des Belges aient fait tous les efforts possibles pour réduire la consommation d’énergie, il n’y a pas de résultats positifs, a déclaré Bodson.
Continuer la lecture surwww.telesurenglish.net


Note de Pedrito

A part laisser partir les militants écoeurés par les magouilles ou les même les chasser, que fait le P "C "? Qu'est-ce qu'on attend ?


Signée 

 

https://vz.ru/opinions/2022/9/10/1145259.html

Ivan Ivanyushkin
PhD, chercheur sur l’histoire de l’internet

La télévision d’aujourd’hui ne cherche qu’à choquer, et les personnages des séries télévisées ne sont souvent pas différents des personnes droguées et cliniquement folles. À la fin de ce film de l’ère antipsychiatrique, tout le public de l’émission est mis en camisole de force et enfermé dans une cage – la majorité des fous (la société schizophrène) est envoyée à l’asile. Les émissions de télévision modernes continuent d’exploiter les passions primitives et transforment leurs téléspectateurs en marionnettes sans entrailles – un homme sans identité, comme le disait justement McLuhan. Mais un jour, l’homme enlèvera ces chaînes virtuelles de son cerveau ! Keith Richards, qui a jeté un poste de télévision par la fenêtre du Riot Hyatt à Los Angeles en 1972, a fait une véritable percée existentielle.

L’antipsychiatrie a fait voler en éclats l’asile de fous