dimanche 26 avril 2020

LE SAVIEZ-VOUS ?
C'EST LE MON
NNA FERMETURE DE ONZE M EN FRANCE, DONT LET
LE BRICO DÉPÔT DE CALAIS.

10.000 - (DIX MILLE)

1 425
milliards
1 425
milliards
C'est le nombre de respirateurs que le groupe gazier Air Liquide s'engage à fournir d'ici le 15 mai. Ce matériel devrait être produit en une cinquantaine de jours. Pour ce faire, Air Liquide s'est allié avec PSA, Valéo et Scheider. Cette coopération industrielle mobilise 140 sous-traitants. 700 salariés se sont portés volontaires.
320 ont été retenus et formés en deux semaines

QUE DEVIENNENT NOS LIBERTÉS CONFISQUÉES?



Moment surréaliste et pourtant bien réel alors que nous sommes sous la grêle, ces fous sont indélicats

Publié le 26 Avril 2020

ce dimanche 26 avril
au JT de 13h00
sur France2
Moment surréaliste et pourtant bien réel alors que nous sommes sous la grêle, ces fous sont indéliquats
Au milieu d'une crise sanitaire qui n'a pas de trace équivalente depuis au moins un demi siècle (grippe de Hong Kong) la journaliste  présente devant l'Elysée nous apprend que : " après avoir suivi le corps médical pour la phase aiguë de la pandémie, le pouvoir politique "reprend la main " (sic) pour "remettre le pays en marche"(resic)
Donc, en France, pour organiser la sortie d'une crise sanitaire majeure (si tant est que la notion de sortie soit médicalement à l'ordre du jour), le pouvoir politique au lieu d'organiser la mise en oeuvre des préconisations du corps médical, dont l'académie de médecine, fait des choix qui relèvent d'un arbitrage, décrétant de ce qui selon lui est bon pour le pays  le MEDEF et sa population  les actionnaires et rentiers.

Les choix du gouvernement  s'opposant aux préconisations des représentants des autorités de santé publique sont constitutives de pratiques homicides de masse relevant de la Haute cour de justice de la République pour assistance à crime contre l’humanité, et, si l'état de guerre annoncé par le président était retenu, de complicité de crimes de guerre accompagné pour tous les cas et à minima de non assistance délibérée à personnes en danger.
D'un point de vue purement citoyen (et donc politique) de façon à ne pas interférer sur ce que le corps médical peut et va certainement engager es qualité pour que les responsabilités devant notre peuple et devant l'histoire soit bien établies, face à cette forfaiture institutionnelle, Canaille le Rouge appelle depuis son confinatorium à harceler par tous les moyens de droit et pratiques constitutionnelles tout ceux des élus et parlementaires se constituant rempart des méthodes assassines du pouvoir, tous les représentant es qualité du pouvoir 'préfets,  sous-préfets recteurs et autres autorités régionales et départementales représentant l'Etat .

Il est bien évident que si ce texte correspondait à vos analyses et votre colère il est à votre libre disposition sans besoin de faire référence à cette publication ni même à son auteur.

PS : il est à noter que dans l'argumentation déployée sur les ondes et écrans par le pouvoir, tout tourne autour de la remise de "la France au travail" mais pas un mot venant d'un quelconque membre du gouvernement ou des parlementaires de sa majorité pour en finir avec les entraves aux libertés constitutionnelles. Sur ce point particulier le silence ou du moins l'extrême discrétion des partis politiques garants de la constitutions est plus qu'alarmant et relèvent d'une forme de complicité.

POURQUOI L'HYSTÉRIE NE RETOMBE-T-ELLE PAS?


dimanche 26 avril 2020, par Comité Valmy

Coronavirus – Pourquoi l’hystérie ne retombe-t-elle pas ?

La diminution du nombre de morts, le désengorgement des hôpitaux et l’annonce de la fin du confinement devraient normalement avoir atténué la peur du virus. On peut donc se demander pourquoi on continue, sur les plateaux de télévision, à entretenir l’hystérie, à grand coups de propagande anxiogène. Comme les médias dominants sont la voix de leurs maîtres, c’est sans doute que l’oligarchie a intérêt à maintenir un certain niveau d’hystérisation.
A mon avis, il y a deux raisons, à cela. D’une part il ne faut pas perdre le contrôle de la population et d’autre part il faut la préparer à de plus grandes souffrances. Noémie Klein a expliqué tout ça dans la Stratégie du choc. Une population submergée par des émotions fortes ne peut plus penser logiquement. Ses défenses tombent et elle accepte de se soumettre à des mesures restrictives et/ou abusives qu’elle n’aurait jamais acceptées autrement. Tétanisée, elle se laisse dépouiller de ses libertés, de ses droits, de ses biens collectifs ou personnels, en échange de vagues promesses de sécurité.
Le gouvernement par la peur et la haine, dans sa version hystérique, a commencé, pour l’Occident, après les attentats du 11 septembre 2001 avec la guerre de Georges W. Bush contre le terrorisme, une guerre sans fin, puisque l’ennemi est à la fois partout et nulle part. Les Etats-Unis peinaient à maintenir sur le monde une hégémonie remise en cause par la Chine, la Russie, et les Républiques bolivariennes. La guerre contre le terrorisme a permis aux Etats-Unis d’entraîner la nation et ses satellites dans des guerres de pillage tous azimut. Cerise sur le gâteau, les dirigeants étasuniens ont pu imposer le Patriot Act, et les dirigeants français l’Etat d’urgence à leurs populations. A l’époque, on nous a répété sur tous les tons qu’il fallait nous habituer à vivre avec le terrorisme et, aujourd’hui, on nous rabâche qu’il faut s’habituer à vivre avec le coronavirus. Nos dirigeants ne cessent de nous désigner des ennemis, au dehors et au-dedans, qui changent tout le temps. On ne peut s’empêcher de penser à 1984 de Georges Orwell :
« Au sixième jour de la Semaine de la Haine … Alors que « la haine générale contre l’Eurasia avait atteint son point culminant … juste à ce moment, on annonça qu’après tout l’Océania n’était pas en guerre contre l’Eurasia. L’Océania était en guerre contre l’Estasia … Il n’y eut naturellement aucune déclaration d’un changement quelconque. On apprit simplement, partout à la fois, avec une extrême soudaineté, que l’ennemi c’était l’Estasia et non l’Eurasia … L’orateur, qui étreignait encore le tube du microphone, les épaules courbées en avant, la main libre déchirant l’air, avait sans interruption continué son discours. Une minute après, les sauvages hurlements de rage éclataient de nouveau dans la foule. La Haine continuait exactement comme auparavant, sauf que la cible avait été changée. »
La Macronie veut que nous comprenions bien qu’il n’y aura pas de « retour à la vie normale » Nous serons en liberté surveillée, un peu comme des prisonniers qui viennent de finir leur peine. Et la réinsertion ne sera pas facile. Car le monde que nous allons retrouver dehors n’a rien de réjouissant !
Pendant que nous étions en prison, les Ehpad ont été décimés. Cela a beaucoup choqué à l’étranger. “Sacrifiées”, “abandonnées”, “stigmatisées” : le drame des personnes âgées en France a titré le journal québécois, le Devoir : « L’un des exemples les plus flagrants de ce que l’on pourrait qualifier de mépris à l’égard des aînés est le fait que les autorités françaises, notamment, n’ont pas comptabilisé le nombre de décès résultant du Covid-19 dans les maisons de retraite [au début de la crise]. Faut-il en conclure que leurs décès étaient insignifiants par rapport à ceux des jeunes adultes  ? »
En France on est habitué. Depuis que les maisons de retraites ont été bradées au privé par des gouvernements aux ordres de la finance, les scandales succèdent aux scandales dans l’indifférence générale. L’essentiel étant que les profits des actionnaires augmentent sans cesse. Il y a un an, on lisait sur France Inter :
« Personnel insuffisant et désemparé, tarifs élevés, seniors livrés à eux-mêmes et rationnés… Le groupe Korian, qui affiche des bénéfices record, est à nouveau pointé du doigt depuis la mort de cinq personnes dans une de ses maisons de retraite, des suites d’une probable intoxication alimentaire … En 2016, il avait déjà doublé les dividendes versés à ses actionnaires, en l’espace de cinq ans »
Et on vient d’apprendre, dans un article titré : Dépistage : les salariés de Korian payent leur protection que « Le groupe Korian instaure une campagne de dépistage de ses salariés, conformément aux instructions et annonces gouvernementales pour les EHPAD. Mais il impose à tous ses salariés de régler la facture du dépistage à travers leur carte Vitale et leur mutuelle, donc au frais de la princesse et de la Sécurité sociale. » Et le journaliste de s’indigner naïvement : « Le traitement et la pilule sont durs à avaler mais jusqu’où la marchandisation de la santé va-t-elle aller ? » Eh bien, je peux lui répondre sans difficulté : jusqu’où nous les laisserons aller !
La médecine libérale, elle aussi, a été abandonnée. Le président de la fédération des médecins des Bouches-du-Rhône, dans un article intitulé : Il y a de quoi se jeter d’un pont » la détresse des médecins libéraux, alerte sur la détresse et l’angoisse des généralistes et médecins libéraux face au manque de moyens pour lutter contre le coronavirus.
Le tourisme est en perdition. Cette activité, non essentielle, est actuellement généreusement renflouée par le contribuable. Elle était pourtant la fierté de nos dirigeants, tous acharnés à transformer la France en un gigantesque Disney Land, où nous serions tous réduits à vendre des souvenirs fabriqués en Chine à des touristes chinois.
A vrai dire, il n’y a quasiment plus rien qui marche en France. Les petites entreprises sont en train de faire faillite en cascade, les salariés et indépendants vont se retrouver au chômage sans indemnités puisque Macron les a supprimées, et les Français vont glisser toujours plus dans la précarité, la pauvreté, la morosité, la dépression.
La crise sanitaire a, bien sûr, fait quelques gagnants, les mêmes que d’habitude, les multinationales et les mafias :
Les multinationales, parce que la situation leur profite (nouvelles technologies, surveillance, formation, armement, big pharma, etc.) ou que, « too big to fall », elles bénéficient de la « solidarité nationale ». C’est le capitalisme socialiste à usage exclusif des multinationales que nous connaissons bien puisque nous en faisons les frais : privatisation des profits et socialisation des pertes.
Les mafias, parce qu’elles remplacent des gouvernements défaillants, en distribuant nourriture et matériel médical, pour redorer leur image et laver leur argent.
Au plan politique, un événement capital s’est produit, selon Politis, pendant que nous étions en prison :
« L’abandon des contre-pouvoirs ». Politis s’en prends naïvement au Conseil d’État : « Ultime recours administratif vanté comme le garant des libertés fondamentales, le Conseil d’État, assailli de requêtes contre l’action du gouvernement, agit tel un soutien indéfectible du pouvoir et rejette à tour de bras. Son échec traduit celui des contre-pouvoirs français … Au 15 avril : 41 rejets avaient été prononcés sur 46 requêtes, soit 90% ».
Nous, ça fait longtemps qu’on le sait que « l’ensemble des contre-pouvoirs vacillent » dans les régimes dits démocratiques et tout particulièrement en France. Nous écoutons assidûment les Pinçon-Charlot et la corruption et la collusion des soi-disant « élites » n’ont plus de secret pour nous. Nous savons parfaitement que l’élite médiatique fricote avec l’élite entrepreneuriale qui fricote avec l’élite de la fonction publique, qui fricote avec l’élite judiciaire, qui fricote avec l’élite politique. Tout ce joli monde se tient par la barbichette et s’entend comme larrons en foire pour nous esclavagiser et nous dépouiller à qui mieux mieux. La seule question qu’on se pose encore, c’est jusques à quand ? Jusques à quand les gens vont-ils supporter ça ?
Il y a quand même quelque chose qui m’a fait plaisir, aujourd’hui, en dehors de prendre un peu le soleil à la fenêtre. La côte de popularité de la Macronie a encore dégringolée, selon un sondage que même Macron ne peut pas contester car il vient d’un institut de Sciences Po : « Méfiance et peur sont au maximum dans le pays et les Français ont du ressentiment envers leur gouvernement qu’ils jugent inefficace ». Tiens donc ! « Seulement 32% des français ont confiance dans le gouvernement contre 60% des Allemands et des Britanniques ». Voilà ce qui arrive quand on érige en doctrine l’incohérence et l’amateurisme !
Nous savions déjà que nous entretenions le plus grand nombre d’élus du monde (618 384 soit 1/108 hab) mais, pendant que nous étions enfermés, le Conseil d’Etat nous a appris que tous ces élus ne servent absolument à rien, que ce sont des incapables, et que seule la Macronie sait ce qu’il faut faire. Les maires ne sont pas d’accord et franchement, moi non plus je ne vois pas comment on pourrait être plus incapable que la Macronie.
D’ailleurs, nos élus, infatigables et imaginatifs, ne ménagent pas leurs efforts pour résoudre les problèmes de transport et de pollution. « La présidente de la région Valérie Pécresse, travaille « avec le RER-vélo », un collectif d’associations qui a imaginé neuf lignes cyclables, jusqu’à Mantes-la-Jolie ou Melun ». Vous voyez, on est sauvé !
Pour finir, je ne saurais trop vous conseiller de regarder Ruy Blas, une merveilleuse pièce de Victor Hugo, le grand pourfendeur de « Napoléon le petit », qui n’a pas pris une ride, et dont la tirade contre les ministres vous rappellera sûrement quelque chose :
« Ô ministres intègres !
Conseillers vertueux ! Voilà votre façon
De servir, serviteurs qui pillez la maison !
Donc vous n’avez pas honte et vous choisissez l’heure,
L’heure sombre où l’Espagne agonisante pleure !
Donc vous n’avez ici pas d’autres intérêts
Que remplir votre poche et vous enfuir après !
Soyez flétris, devant votre pays qui tombe,
Fossoyeurs qui venez le voler dans sa tombe !
Tout se fait par intrigue et rien par loyauté.
L’Espagne est un égout où vient l’impureté
De toute nation. – tout seigneur à ses gages
L’alguazil, dur au pauvre, au riche s’attendrit.
La nuit on assassine, et chacun crie : à l’aide !
– Hier on m’a volé, moi, près du pont de Tolède ! –
La moitié de Madrid pille l’autre moitié.
Tous les juges vendus. Pas un soldat payé.
Dominique Muselet
22 avril 2020

MACRON CONTINUE DE NOUS MENTIR: POURQUOI?(°)

Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

Mais les commis du capital, qui sont à l'Elysée et au gouvernement, ont préféré entendre les prescriptions du Medef en la matière. Il fallait faire garder les gosses pour que leurs parents aillent turbiner sous des dérogations au droit du travail qui va les faire bosser plus.
Du coup, ledit Conseil scientifique prend "acte de la décision politique de réouverture prudente et progressive des établissements scolaires", prenant en compte "les enjeux sanitaires mais aussi sociétaux et économiques."  C'est à dire en clair que les grands manitous, qui conseillent le gouvernement de leurs majestés les riches et le patronat, admettent que les "enjeux sanitaires mais aussi sociétaux et économiques" sont plus importants que la santé publique devant le covid-19.
Du coup, fort de tout cela, Edouard Chambellan de l'Elysée, présentera mardi prochain le plan de déconfinement ordonné par le CAC 40 et consorts. Ben oui, il faut dire que ça va mieux en France. Depuis le début du covid-19, il n'y a au moins que 22 614 morts, soit au moins 369 nouveaux décès enregistrés en 24 heures. Soit au moins 15 décès à l'heure.
Bon, la Direction générale de la santé souligne cependant "le nombre très important de patients en réanimation, toutes causes confondues (7 525), est supérieur de 50 % aux capacités initiales de réanimation en France", établies à 5 000 lits.  Mais pourquoi nous enquiquiner avec cette déclaration? Le marché est libre et non faussé en France. Il doit le rester et ce n'est pas l'UE du capital qui dira le contraire, non mais!
Voilà, le jour d'Après sera comme le jour d'Avant. Et qui l'eut cru Lustucru?
Pour ma part, j'ai une autre ordonnance pour ce mois de mai qui débute justement le 1er.
Le conseil scientifique, organisme médico-scientifique conseilleur du gouvernement, avait préconisé la fermeture des crèches, écoles, collèges, lycées, universités jusquau mois de septembre
(°) Titre dePedrito

IL FAUT DÉCONFINER NOS CERVEAUX: D'ABORD, FAIRE TAIRE SALOMON!


COLÈRE DU Dr MARTY:
SALOMON, ÇÀ SUFFIT !
Les journaux allemands révèlent qu'on euthanasie  les personnes âgées dans les hôpitaux français.
Courrier international

Non seulement ils n’ intubent pas les vieux mais en plus ils leur refusent la bi-thérapie de Raoult. 
Ce n’ est plus un choix thérapeutique c' est carrément de l’ assassinat!

> > A force de vouloir faire de l’hôpital une entreprise rentable, de fermer des lits, de demander aux hospitaliers d’en faire plus mais avec moins de moyens,de devenir dépendants d’approvisionnements « moins chers », mais que nous ne maitrisons pas…
> >
> >
on en est venu à ça !

> > Il faut lire la presse étrangère pour connaître (un peu) la vérité en France (lien vers l'article du Courrier international plus bas)...
> >
> > "Honte de mon pays. Honte de mon pays en lisant cet article de Courrier international

> >

> >
se faisant l’écho de multiples articles inquiets outre-Rhin, après un rapport publié par des spécialistes allemands sur Strasbourg :
> >
> > l’Allemagne s’alarme du « triage des patients dans les hôpitaux alsaciens ». « Par manque de matériel, les patients âgés n’y seraient plus ventilés » : « Toute personne de plus de 75 ans n’est plus intubée » (Frankfurter Allgemeine Zeitung), « Les personnes de 80 ans ne sont plus ventilées […] elles sont placées en soins intensifs et des somnifères leur sont fournis » (Tagesspiegel). « En France, on n’aide désormais plus les patients plus âgés qu’à mourir » (Die Welt).
> >
> > Interrogée à ce sujet par Die Welt, la présidente du conseil départemental du Haut-Rhin, Brigitte Klinkert, ne dément pas : « Les patients de plus de 80 ans, de plus de 75, certains jours de plus de 70 ans ne peuvent plus être intubés car nous manquons tout simplement de respirateurs. On ne le dit pas assez souvent, car non seulement nos voisins allemands, mais aussi les Français en dehors de l’Alsace n’ont pas encore conscience de la situation ici. »
> >
> > Ils sont nés pendant la guerre, parfois un peu avant, parfois un peu après, ont travaillé à la reconstruction de la France telles de petites fourmis industrieuses, ont assisté leurs parents, aidé leurs enfants – qu’ils ont parfois outrageusement gâtés, peut-être pour compenser -, ont toujours payé docilement leurs impôts et cotisé sans moufter, jusqu’à ces temps derniers où leurs pensions ont été gelées et leur CSG augmentée, il ont toujours répété avec ingénuité les incantations qu’ils entendaient à la télé, comme un mantra rassurant, une méthode Coué – notre système de santé français est le meilleur qui puisse exister ! – et, à présent, on leur refuserait d’être ventilés au motif qu’ils sont trop âgés, trop usés, qu’il faut laisser la place fissa à d’autres, plus jeunes, ayant la priorité ?
> >
> > Sans doute, nul ne pouvait prédire l’ampleur de cette épidémie, mais l’Allemagne, qui aujourd’hui s’épouvante de nos méthodes darwinistes et vient à la rescousse récupérer nos malades, n’avait pas plus de boule de cristal, de Pythie ni de Frau Irma. Pourtant, elle compte deux fois plus de lits en soins intensifs par habitant qu’en France et son nombre de décès, dans cette pandémie, bien plus modeste que le nôtre n’est pourtant pas imputable, loin s’en faut, à la « jeunesse » de sa population…

> > « Rends-moi mes impôts ! » pourraient entendre murmurer, la nuit, durant de longues années, nos gouvernants inconséquents qui ont dilapidé, dépensé n’importe comment, subventionné n’importe qui, arrosé n’importe quoi, redistribué à tout va et surtout à ce qui ne va pas, forçant aujourd’hui un personnel soignant débordé à hâtivement – quel horrible mot ! – trier.
> >
> >
TRISTE RÉALITÉ HONTEUSE !