jeudi 19 juillet 2018


Publié par El Diablo

photo d'illustration
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L'info qui nous est donnée par les médias :

Face à "la méthode Macron",
syndicats et patronat tentent un front uni
Les chefs des huit principales organisations patronales et syndicales se sont retrouvés mercredi matin autour de la table pour tenter de trouver des priorités communes et montrer un front uni au chef de l'État, qui doit les recevoir le 17 juillet à l'Élysée.
De mémoire de syndicalistes et d'entrepreneurs, c'est la première fois que les leaders syndicaux et patronaux des organisations représentatives arrivent à prendre langue tous ensemble

Telle est l'information stupéfiante donnée par la presse.
L'unité contre Macron ? Non, contre la méthode jupitérienne du Président. On peut être surpris de ce "front unique" évoqué entre les représentants des salariés et ceux qui les exploitent, comme s'ils avaient des intérêts communs à défendre. 

Chacun peut le constater : le capital financier - et son homme-lige, choisi par lui pour appliquer au plus vite ses objectifs,   Emmanuel Macron - exige sans retard le détricotage de  ce que l'on nomme "l'Etat-providence", en clair, non seulement les acquis sociaux issus des combats de la Résistance, mais l'ensemble des droits du travail, conquis durant un siècle de luttes, des années1880 aux années 1970. 

L'oeuvre de dynamitage du Code du Travail et des lois de protection sociale , objectif permanent du Medef, est déjà bien avancé, et les centrales syndicales, dont la CGT, veulent faire front commun avec l'organisation patronale   ...contre le seul calendrier mis en place par le Roi des Riches !

Pour exiger du bourreau une minute supplémentaire avant l'exécution ?

De telles attitudes prises par les syndicats, y compris par la CGT, ne peuvent que jeter le trouble parmi les salariés.

Il ne suffisait pas à  Martinez d'avoir appelé implicitement à voter Macron avant le second tour de la présidentielle, et d'avoir ainsi contribuer à la victoire de l'ex- associé gérant de la Banque Rothschild, il s'affiche aujourd'hui en partenaire du patronat pour de simples causes de conflit de méthode avec ce même Macron. 

Certes, ce ne sont là que détails dans le cadre de l'affontement brutal de classe qui se développe aujourd'hui. Mais ils sont révélateurs du climat qui l'entoure. 

La préparation du Congrès confédéral de mars 2019 sera l'occasion de poser les vrais problèmes touchant l'orientation de la CGT et l'équipe qui, aujourd'hui, la dirige.

Jean Lévy

EN FRANCE LA SANTÉ MALADE DU PROFIT


Début 2018 dans les hôpitaux, plus de 19 000 postes de médecins étaient "statutairement vacants". (MAXPPP)
Début 2018 dans les hôpitaux, plus de 19 000 postes de médecins étaient "statutairement vacants". (MAXPPP)
franceinfo
Plus de 19 000 postes de médecins étaient "statutairement vacants" en début d'année dans les hôpitaux, où les contractuels compensent en grande partie ce manque de titulaires, selon le rapport annuel du Centre national de gestion des praticiens hospitaliers (CNG), dévoilé jeudi 12 juillet.
Le taux de "vacance statutaire" pour les postes à temps plein s'établissait au 1er janvier à 27,4%, indique le CNG dans son rapport annuel publié sur son site internet. Cela correspond à 15 052 postes "budgétés" ,mais pas "occupés statutairement" par des praticiens hospitaliers (PH).

Des postes provisoirement occupés par des contractuels

Une grande partie de ces postes à temps plein sont toutefois "provisoirement occupés" par des praticiens contractuels : une étude du CNG réalisée en janvier 2017 estimait leur nombre à plus de 12 000. Pour les postes de praticiens hospitaliers à temps partiel, la vacance statutaire culminait à 47% début 2018, soit 4 039 titulaires manquants.
Le taux de "vacance statutaire" varie selon les régions : dans les deux catégories (temps plein et temps partiel), il est supérieur à la moyenne en Bourgogne-Franche-Comté, Centre-Val-de-Loire et Normatif, mais inférieur en Bretagne, Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte-d'Azur. Les disparités dépendent aussi des spécialités médicales : l'anesthésie-réanimation, l'ophtalmologie et la radiologie font partie des moins pourvues, au contraire de la pédiatrie, la chirurgie infantile et la dermatologie

LE VER FASCISTE EST DANS LE FRUIT



En rappelant que le chef est responsable de ses subordonnés en service

Publié le 19 Juillet 2018

Cela s'applique-t-il
à l'adjoint de son chef de cabinet ?
En rappelant que le chef est responsable de ses subordonnés en service
Une mise à pied de quinze jours mais garde son bureau à l’Elysée…
Mieux vaut jouer au cow-boy façon SAC avec la bénédiction de manu El Monarc que de défendre son emploi ou son statut.
Il aura purgé sa "sanction" d'ici la rentrée. Môssieur Alexandre,  adjoint du chef de cabinet de Macron, identifié en train de frapper un manifestant le 1er mai à Paris avec les CRSva continuer de pouvoir faire ses gammes à coup de tonfa sur la tête des lycéens.
Qu'il choisisse bien ses prochaines cibles pour la prochaine fois. Les français n'ont pas la mémoire si courte que cela 
A y bien réfléchir , les 15 jours de mise à pied ce n'est pas pour l'usurpation de fonction et le coups et blessures volontaires, c'est certainement pour s'être fait prendre par les photographes, puisque le reste relève du tribunal correctionnel.

Canaille le rouge est sûr d'une seule chose : en visionnant la vidéo si un de ses enfants était sous la matraque de Môssieur l'adjoint du chef cab du fringant princident de la monarblique, le dépôt de plainte auprès du doyen des juges d'instruction ne ferait pas un pli. 

Que vont dire les syndicats de policiers devant ce travail au noir des supplétifs du pouvoir ? 
Des gens de SAC et de cordes :
En rappelant que le chef est responsable de ses subordonnés en service
Rédigé par Canaille Lerouge


Selon une information du Monde confirmée par France Info, un des proches conseillers d’Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, a frappé un jeune homme en marge de la manifestation du 1er mai 2018, place de la Contrescarpe, dans le Ve arrondissement de Paris. S’appuyant sur plusieurs vidéos, le journal affirme qu’il portait au moment des faits, «un casque à visière des forces de l’ordre, alors qu’il n’est pas policier». Peur d’être reconnu, il aurait quitté les lieux précipitamment après cette action.

Question de Pedrito:
Est-ce bien cet huluberlu  casqué de CRS qui est adjoint du chef de cabinet du Versaillais élu -mal élu - Président de la République?
A-t-il frappé un manifestant du 1° Mai avec les CRS? 
Si oui, de quel droit?  Qu'est-ce qu'attend son patron pour le licencier et le poursuivre devant la Justice de la République?
Est-ce que les gens de gôche qui ont voté Macron le Versaillais voient-ils une différence entre ce Jupiter à l'appétit féroce qu'ils ont choisi comme "démocrate"et un-e- quelconque candidat-e- fasciste qui lui était opposée et lui servait de repoussoir?
Où va la République?