samedi 13 juin 2020



Publié par Le Mantois et Partout ailleurs


Capture d'écran blog de Canaille le Rouge
Capture d'écran blog de Canaille le Rouge
Mais beaucoup plus sérieusement
Après les promesses, dans les faits rien ne change !
Qu’il semble loin ce temps où le président Macron assurait, la larme au coin de l’œil, avoir pris conscience du changement de cap qu’il lui fallait opérer.
Dans les faits, rien ne change
Au prétexte de sauver notre économie, le gouvernement distribue des milliards aux grands groupes sans exiger de réelles contreparties, sans garantie sur le maintien de l’emploi – si ce n’est quelques vagues promesses médiatiques dont nous savons ce qu’elles deviennent.
Dans le même temps, Medef et gouvernement appellent les salariés à sacrifier leurs congés, leur treizième mois, à accepter des baisses de salaire et de travailler plus pour relancer l’économie.
Toujours les mêmes recettes : des milliards pour les grands groupes, pas pour la santé, les services publics. Pas non plus pour les salariés, les chômeurs et les plus précaires. À l'image des primes, un peu vite promises, devenues médailles en chocolat.
Pas étonnant alors que le mécontentement gronde et que bravant les interdits, la colère s’exprime dans les entreprises et dans les rues. De ce point de vue le 16 juin s’annonce déjà comme une journée de mobilisation marquante
À n’en pas douter, ils seront des milliers partout en France à manifester leur désir d’un autre quotidien.
Dans le secteur de la santé d’abord – le gouvernement persiste à rester sourd à leur réalité – mais bien plus largement aussi. Comme si le couvercle du confinement, en se soulevant, avait libéré cette envie d’une autre société.
Il faudra, assurément faire preuve d’un engagement sans faille pour les militants de la CGT afin de soutenir tous les salariés qui subissent ou vont subir les choix irresponsables de certaines entreprises.

Ce sont eux les responsables !


Ce sont eux les responsables !

Publié le par Front de Gauche Pierre Bénite

Passassion de pouvoir entre Touraine et Buzyn pour mener la même politique destructrice de notre système de santé
Passassion de pouvoir entre Touraine et Buzyn pour mener la même politique destructrice de notre système de santé
Marisol Touraine, Jérôme Salomon, Olivier Véran : la liste des responsables s’allonge…
Chaque jour apporte son lot de révélations. Certains ont beau tenter de cacher la vérité, elle revient à la surface. Et ce que l’on apprend en dit long sur l’incompétence des élites qui tiennent les rênes du pouvoir. Une étude publiée dans le JDD, sous le titre « Pénurie de masques : enquête sur une faillite d’État », explique comment les choix budgétaires effectués sous le mandat de François Hollande ont entraîné cette pénurie et souligne notamment la responsabilité de Marisol Touraine, ministre de la Santé de l’époque. Macron était au secrétariat de l'Elysée et ensuite ministre de l'économie.
En 2006, Xavier Bertrand avait placé les masques au cœur du dispositif de prévention. Au même moment, le gouvernement avait suscité la création d’une filière nationale de fabrication pour ne pas dépendre des usines asiatiques. Quand Marisol Touraine, en mai 2012, devient ministre, les stocks stratégiques d’État sont pleins : 1,4 milliard de masques au total. Mais on change alors de cap : le masque cesse d’être une priorité politique.
Un ancien conseiller explique : « L’idée, ce n’était plus d’avoir des stocks gigantesques mais de pouvoir rapidement en faire fabriquer en Asie en cas de besoin. » Désormais, chaque employeur est censé constituer son propre stock, chaque hôpital doit acquérir des masques en fonction de ses besoins.
Le JDD rappelle qu’entre 2013 et 2015, Jérôme Salomon, l’actuel directeur général de la Santé, occupait, auprès de Marisol Touraine, le poste de conseiller chargé de la sécurité sanitaire. Dans ces conditions, on comprend l’embarras de l’intéressé quand on l’interroge sur le virage effectué en 2013.
Le résultat est là : en février 2020, plus de réserves !
Apparemment, Jérôme Salomon, malgré ses avertissements, pendant la campagne présidentielle, sur l’impréparation de notre système de santé face à une épidémie d’ampleur, n’a pas été entendu. Quant à Agnès Buzyn, elle ne semble pas avoir pris ce dossier au sérieux. Mais le pire, c’est que les autorités, depuis l’alerte lancée par l’OMS en janvier, sont restées inactives pendant deux mois.
Jeudi dernier, Olivier Véran a courageusement rejeté la responsabilité de la situation sur « une autre mandature », tandis que, vendredi, Jérôme Salomon convenait, devant l’évidence, que le masque était devenu une « denrée rare ».
On pourrait, si la situation n’était pas si grave, s’amuser de trouver aujourd’hui aux manettes des socialistes passés au macronisme, qui ont trempé dans ce changement de stratégie. Olivier Véran a oublié de rappeler qu’il était déjà aux affaires en 2016, chargé du pilotage du comité de réforme du financement des établissements de santé. Quand on pense que ces proches de Macron ont pour mission d’informer l’opinion sur l’évolution de l’épidémie… Si l’on osait cette comparaison, c’est comme si on demandait à des pyromanes par imprévoyance d’expliquer comment maîtriser l’incendie. Ils ne sont guère les plus crédibles !
Autre leçon de cette histoire, c’est la confirmation qu’Emmanuel Macron, l’homme du « nouveau monde », a recyclé le « vieux monde » des cabinets ministériels socialistes.
Faut-il s’étonner qu’un sondage IFOP révèle que les Français sont de plus en plus sévères sur la gestion de cette crise ?
Selon cette enquête, « quel que soient leur bord politique, leur profession ou leur âge, et y compris les plus jeunes, ils sont inquiets à 84 % […].La défiance s’installe. » Pour 64 % d’entre eux, « le gouvernement a caché ­certaines informations ».
Macron et ses proches voudraient apparaître sous les habits de sauveurs de la nation. Mais la vérité est implacable et les montre tels qu’ils sont, dans leur pitoyable nudité.

LA MACRONIE, CE FATRAS INFORME DE POST-SOCIALISTES ET....

samedi 13 juin 2020, par Comité Valmy

France : un État en phase de décomposition avancée.



Après des mois de contestation sociale réprimée dans la brutalité, le mépris et l’aveuglement (voire l’éborgnage), après une pandémie mondiale gérée chez nous par des amateurs fiers de l’être et des menteurs incompétents auxquels certaines victimes commencent à présenter, à juste titre, l’addition de leurs responsabilités, voici que s’est abattue sur nous une seconde vague pandémique mondiale, celle de l’hystérie collective de repentance racialiste, indigéniste et décoloniale, fondée sur les délires hallucinés du gauchisme culturel à la fois moribond et furibard (comme le sont toutes les armées en déroute) dont nous ne cessons de subir la bêtise depuis 40 ans, depuis, chez nous, que Mitterrand et le PS en ont fait le socle idéologique de remplacement de la cause de la dignité du peuple.

Le logiciel unique de l’antiracisme (qui n’est pas le contraire du racisme mais bien au contraire son indispensable jumeau symétrique), tenant lieu délibérément d’alpha et d’omega de toute pensée sociale, cette conception victimaire, à la fois geignarde et vindicative, communautarisée, racialisée, paresseuse, qui a besoin du racisme comme une moule est accrochée à son bouchot, a supplanté toutes les autres dans bon nombre d’esprits subissant ainsi à la fois l’abêtissement de masse, le gavage et lavage de cerveau, mais aussi la démocratisation de l’inculture et l’enseignement de l’ignorance (pour reprendre l’expression de Michéa, plus que jamais d’actualité). A ce sujet d’ailleurs, les propos, justes, d’Emmanuel Macron hier au sujet du rôle néfaste de trop nombreux universitaires en matière de propagation de la folie stupide des théories indigénistes, décoloniales et autres salmigondis intersectionnels, n’ont fait, comme le souligne remarquablement Isabelle Barbéris, que flatter le narcissisme et les fantasmes pseudo-transgressifs de gens qui ne se sentaient plus très à l’aise d’être aussi ouvertement du côté du pouvoir, soutiers idéologiques du néo-libéralisme aux manettes, qu’ils ont du reste largement contribué à faire élire (souvenons-nous de la lettre des Présidents d’Université adressée, par les moyens de communication institutionnels à leur disposition, aux étudiants, entre les deux tours, appelant à voter Macron, au mépris donc de toutes les règles les plus évidentes de l’obligation de réserve).

Cette brusque prise de conscience de Macron n’est, comme d’habitude, qu’un leurre, comme le fut sa subite révélation en mode Bernadette Soubirous quant aux bienfaits du souverainisme : on a pu voir que, concrètement, il n’en était rien, tout n’est que leurre dans la société du Spectacle où se meut cet artifex 2.0. Macron dit, comme un comédien, ou un logiciel plus ou moins intelligent, ce qu’il croit qu’il faut dire à un moment donné.

Le paradigme communautariste, violemment anti-patriote et populicide, la comédie d’un prétendu progressisme mondialiste qui n’est que la violente soumission des plus fragiles, la stigmatisation des adversaires souverainistes en ennemis, c’est très exactement sur ce programme qu’il s’est fait élire, car, redisons-le, le logiciel idéologique du macronisme est le gauchisme culturel dont il est issu : le fantasme du libre marché et les donneurs d’ordre de Macron auprès desquels il est allé prendre conseil, dit-on, ces derniers jours, ont besoin de cette idéologie qui fabrique des marchés de niche et atomise les peuples tant méprisés et les nations tant honnies.

A propos d’atomisation, j’avais, très tôt dans mon soutien aux gilets jaunes qui étaient, avant leur phagocytage (voulu par le pouvoir) par les mouvements violents et stupides d’ultra-gauche et autres blacks blocs exécutant les basses besognes du pouvoir, insisté sur l’immondice que constituait, de la part de la Macronie, le fait d’avoir monté la police, à la base républicaine, contre son propre peuple. Cette police découvre, certes un peu tard mais il n’est jamais trop tard, qu’elle s’est fait cocufier, instrumentaliser pour servir les intérêts d’un pouvoir sans scrupules, et que, lorsqu’elle a cru « sauver la République » qui était soi-disant attaquée par un transpalette (pendant que son représentant du moment se transpaluchait dignement), elle ne faisait que préparer son propre tombeau.

La police est là pour protéger le peuple français de la délinquance, pour protéger les faibles, non pas pour protéger les intérêts des forts. A ce titre, elle fait rempart contre la loi du plus fort et de la jungle qui règne dans les territoires perdus de la République lorsque, précisément, la loi s’en retire, par lâcheté, par électoralisme (comme ce LREM de Vénissieux qui s’allie avec l’islamisme erdoganien avec l’onction de la majorité macroniste…), par esprit de soumission, par haine de soi. La police et la polis ont partie liée, comme ne l’ont pas compris les mutants (de tous bords) de Minneapolis la mal nommée. Qu’elle se réveille enfin en réalisant et se souvenant qu’elle fait partie du peuple sur lequel elle a tapé est une excellente chose : qu’elle rejoigne les infirmières, pompiers, ouvriers, retraités sur lesquels elle s’est déchaînée pendant des mois en appliquant les ordres d’une hiérarchie définitivement décrédibilisée dans sa course aux prébendes et aux officines qui permettent de faire progresser sa petite carrière.

Quant à la Macronie, ce fatras informe de post-socialistes mélés de droitards gamellards et opportunistes qui n’ont JAMAIS pris la défense du peuple, sous la houlette des deux têtes de l’exécutif, nos Heckel et Jekel de l’Inrépublique, elle est en train de parvenir à ce qu’elle a tant contribué à produire : l’atomisation généralisée du pays, la division des Français, et, surtout, elle commence à tâter, un peu tard, les limites de son propre discours coupablement soumis aux minorités agissantes : la Macronie est bien cette République mise à genoux devant le communautarisme, qui, à l’image des Belloubet, Castaner et autres figurines pathétiques qui nous font honte, se sont empressées de taper sur le peuple français et de s’incliner devant la racaille dont le peuple ne veut plus entendre parler et dont il subit, pour le moment silencieusement, les derniers assauts hystériques.

Ce monde délirant, racialisé, complaisant envers la délinquance, a largement été co-produit par la Macronie qui en a besoin pour régner, quand bien même celle-ci s’apercevrait, mais un peu tard, que sa créature lui a désormais échappé.

On ne se débarrassera pas de l’une sans se débarrasser de l’autre, quelles que soient les manipulations et le mauvais jeu d’acteur qui nous seront encore servis dimanche.

Cela prendra le temps qu’il faut mais le peuple français sera au rendez-vous pour préserver, son patrimoine attaqué, son histoire, et son avenir.
Anne-Sophie Chazaud
12 juin 2020

IL Y A 150 ANS: NAISSANCE DE LÉNINE.

PEUT-ÊTRE BON À SAVOIR ....

LES PRODUITS LAITIERS SERAIENT..... DANGEREUX !