mardi 18 janvier 2022

Le Koweit tire sa "richesse" du pétrodollar et donc de l'automobile qui pollue. À l’horizon 2100, la température de l’air au Koweït risque de grimper au point de rendre le territoire du pays impropre à la vie, relate Bloomberg qui pointe l’inaction des autorités face au réchauffement climatique.

 Mais arrêter de vendre du pétrole les tue aussi, étant donnée la voie choisie. Il n'y a donc aucune marge de manœuvre pour ce Sahara en devenir ( si les prévisions sont justes mais peut-on en douter  même si on peut critiquer la date choisie?).  Cette caricature de l'occident devrait faire réfléchir.

"Le Venezuela a montré qu’une voie différente du néolibéralisme est possible"

La résistance du Venezuela aux assauts impériaux de Washington a déclenché une nouvelle vague progressiste en Amérique latine. Cuba donne des leçons au monde avec ses vaccins malgré le blocus. La présence croissante en Amérique latine, la Chine représente un défi majeur pour les États-Unis... Ce sont les sujets que nous avons abordés avec Hernando Calvo Ospina.

- Même au Chili, patrie du néolibéralisme, un candidat progressiste a remporté la victoire. Quelle importance a eu la résistance du Venezuela bolivarien dans l’arrivée de cette nouvelle vague progressiste en Amérique latine ?

- Tout comme Cuba, avec sa révolution de 1959, a donné au continent une secousse aux conséquences inimaginables et durables, au point d’obliger les États-Unis à repenser leurs stratégies dans tous les sens du terme, l’arrivée du président Chavez au gouvernement vénézuélien et la décision de mener à bien la révolution bolivarienne ont à nouveau secoué le continent et beaucoup de choses n’ont plus jamais été les mêmes.

De la même manière que Washington a réagi pour stopper l’expansion de l’exemple cubain, en parsemant l’Amérique latine de dictatures, avant que l’exemple de Chavez ne conduise de nombreuses nations à des gouvernements progressistes et révolutionnaires, il a également réagi en utilisant les organes de l’État, comme le pouvoir judiciaire ou le pouvoir législatif, pour se débarrasser d’eux et installer ses sbires au pouvoir.

Dans les deux cas, la propagande des médias dominants, pleine de faussetés, a tenté de faire apparaître ces deux projets politiques comme les pires pour l’avenir des autres peuples. Menacer avec « castrochavisme » s’est transformé en une sorte de virus si un candidat progressiste était élu.

La plupart des gouvernements progressistes ayant été acculés ou vaincus, les États-Unis ont concentré leurs efforts sur la chute du Venezuela, surtout après la mort du président Chávez. Ils pensaient que le président Maduro serait renversé en peu de temps. De plus, comme Cuba est le joyau de la couronne, et le Venezuela la couronne, s’ils renversaient le Venezuela, Cuba sombrerait dans les Caraïbes pour toujours.

Mais non, le Venezuela a résisté et résiste. Maduro et son gouvernement ont fait preuve d’une incroyable sagacité politique en résistant et en finissant par battre Washington, démontrant son incapacité politique lorsqu’il ne peut agir par des bombes et des invasions, de mèche avec ses complices.

Cet exemple de résistance bolivarienne a servi à montrer aux gens qu’une autre voie que celle du néolibéralisme est possible : même Cuba, avec ses ressources limitées, est un exemple à bien des égards, comme son système de santé.

- Cette année, des élections présidentielles sont prévues dans deux pays, le Brésil et la Colombie, où les candidats progressistes ont de bonnes chances d’être élus. La chute de ces deux bastions néolibéraux pourrait-elle marquer la défaite définitive du néolibéralisme dans la région et le début d’un nouveau cycle intégrationniste ?

- C’est tout à fait possible. Et ce serait un coup terrible pour Washington. Mais attention, car l’enjeu pour Washington n’est pas mince. Le fait est que la Colombie est son principal allié stratégique, au point d’avoir été inclus dans l’OTAN ! La Colombie est un pays envahi par les troupes étasuniennes et alliées. Il est leur principal complice dans la déstabilisation du Venezuela, qui est crucial pour Washington. L’importance de la Colombie peut être mesurée par l’aveuglement de Washington face à un État narco-paramilitaire. Le candidat de l’opposition, Petro, serait-il capable d’inverser ne serait-ce qu’une fraction de ce que cet État représente pour Washington et le commerce international de la drogue ? Il devra faire face à un État, avec son establishment militaire, qui est organisé et entraîné selon le concept anticommuniste de l’ennemi intérieur, la doctrine de sécurité nationale et le narco-paramilitarisme comme parties essentielles de son être.

Et le Brésil. N’oublions pas qu’il s’agit de la principale puissance d’Amérique latine. N’oublions pas que Lula et Dilma ont à peine pu toucher quelques cheveux de la tête du système. Malgré cela, ils sont parvenus à réaliser de grands progrès sociaux et ont fortement encouragé l’intégration latino-américaine. Avec Bolsonaro, le système de droite corrompu et anti-populaire s’est terriblement ancré. Avec Bolsonaro, le Brésil est redevenu un allié stratégique de Washington.

Si Petro et Lula arrivaient au gouvernement, ce qui n’est pas la même chose qu’avoir le pouvoir, ils seraient confrontés à des pouvoirs qui, sans mobilisation, ne pourraient rien faire ou presque, sans exclure un coup d’État.

Ah, mais seule l’arrivée de ces deux leaders au gouvernement favoriserait l’intégration latino-américaine. Et les gouvernements progressistes et révolutionnaires seront renforcés, de l’Argentine au Chili, au Pérou, au Honduras, et aux principales cibles que Washington veut détruire : le Nicaragua, le Venezuela et Cuba. N’oublions pas le soutien important qui sera apporté au Mexique, autre puissance latine, qui avec Lopez Obrador mise beaucoup sur le respect de la souveraineté. Je répète : seulement avec leurs triomphes.

- Malgré un blocus criminel en place depuis plus de soixante ans, Cuba a réussi à mettre au point ses propres vaccins contre le Covid, à faire face à la pandémie bien mieux que de nombreux pays occidentaux et à envoyer ses propres médecins dans les pays qui en avaient besoin, comme l’Italie. Quelle est, selon vous, la leçon que les pays riches pourraient tirer de Cuba ?

- Les riches pays européens pensent qu’ils sont nos parents et les États-Unis pensent qu’ils sont nos propriétaires, et ils agissent comme tels. Ni les « parents » ni les « propriétaires » pensent qu’ils n’ont rien à apprendre, si ce n’est les erreurs qu’ils commettent et pour lesquelles nous devrions nous échapper de leurs griffes. Ce n’est pas seulement leur arrogance qui les rend aveugles au développement scientifique de Cuba, ce sont les milliards que gagnent leurs entreprises pharmaceutiques. N’oubliez pas que beaucoup de ceux qui dirigent ces gouvernements ont des relations étroites avec ces entreprises.

Je pense qu’avec cette attitude consistant à ne considérer que l’aspect financier, une partie importante de leur population souffre également du manque de vaccins, tandis que nombreux sont ceux qui descendent dans la rue pour protester en raison de leur méfiance à l’égard des vaccins proposés, et parce qu’ils ne sont pas autorisés à choisir d’autres vaccins produits à Cuba, en Russie ou en Chine, dont on sait qu’ils sont beaucoup plus efficaces.

Mais le plus important dans cette façon purement financière de gérer les soins de santé, c’est que la plupart des êtres humains dans le monde n’ont pas accès aux vaccins et aux soins de santé, y compris aux États-Unis et dans la riche Europe. C’est l’une des raisons pour lesquelles le virus ne peut être contrôlé.

- Même le Venezuela bolivarien, frappé par des sanctions impériales brutales et la déstabilisation continue de Washington, est sur la voie du redressement. Est-ce l’année de la reprise complète pour Caracas ?

- C’est ce que nous attendons. C’est ce que montrent les indicateurs. Mais pour cela, comme l’a répété le président Maduro, il est essentiel que les infiltrés dans les hautes sphères de l’État soient démasqués et remplacés par ceux qui croient vraiment en la Révolution. Ce qui est certain, c’est qu’ils sont en train d’émerger de l’abîme dans lequel Washington voulait enterrer la Révolution. Mais nous ne pouvons pas dormir sur nos deux oreilles : Washington ne dort pas, et le Venezuela reste une cible stratégique à détruire.

- Le Nicaragua a rompu ses relations avec Taïwan et rétabli ses relations diplomatiques avec la République populaire de Chine, et s’est dit prêt à participer activement à la construction de la nouvelle route de la soie. La même chose pourrait se produire au Honduras avec l’installation de la nouvelle présidente Xiomara Castro. Cuba a officiellement adhéré, et il y a ensuite d’autres pays, comme le Venezuela, avec lesquels la Chine entretient des relations importantes et établies. Quels sont les avantages pour les pays et les peuples de la région de cette relation de plus en plus forte avec le géant asiatique ? Peut-on considérer que l’époque où l’Amérique latine était l’"arrière-cour" des États-Unis est révolue ?

- Je pense qu’il est trop tôt pour dire que l’Amérique latine cessera bientôt d’être l’arrière-cour de Washington. Il y a beaucoup de travail à faire, et les bourgeoisies de ces nations sont attirées par le Nord.

Ce qui est certain, c’est que la Chine est déjà très présente en Amérique latine. Il est possible que, sur le plan économique, elle dépasse les États-Unis. Et cela peut être constaté à l’aide d’exemples simples : dans de nombreux endroits éloignés des grandes villes, vous pouvez trouver un petit magasin tenu par des Chinois ou rempli de produits chinois (il est rare de trouver aujourd’hui un produit dans le monde qui ne contienne pas quelque chose de chinois). Sans parler de l’Afrique !

Un autre exemple concret : J’ai appris directement d’un fonctionnaire du département d’État en 2012 que les États-Unis avaient trois raisons de promouvoir les négociations et le désarmement des guérilleros des FARC. L’une d’entre elles était de pouvoir entrer dans les territoires contrôlés par la guérilla : il n’y avait que des entreprises chinoises sur place. Parce que les États-Unis n’ont jamais respecté la population. Avant l’arrivée de leurs entreprises, il y avait la répression et la mort. Puis ils volent tout et ne laissent rien.

Au contraire, le gouvernement chinois n’a jamais envoyé de conseillers militaires pour enseigner la torture et le meurtre. Il n’a jamais essayé de renverser un gouvernement démocratiquement élu. Il respecte les lois des pays et les contrats qu’il signe (très différent de la pratique des entreprises étasuniennes). Ils arrivent en souriant dans les territoires, ils construisent des écoles et des centres de santé, ils construisent des routes. C’est la réalité !



Fabrizio VERDE

 

 FAITES VOTRE B.A. : ACHETEZ CHEZ MONOPRIX

 

Mon amie et camarade Danielle recherchait un magasin bio  : mais lisez la suite, qu'elle écrit sur son blog.

 

"JE NE SUPPORTE PLUS le pétainisme écologique, la haine des êtres humains qui a pris la place de la défense de l’unité des êtres humains avec la nature… j’ai du renoncer à tous les magasins bio de mon quartier parce que les jeunes vendeurs étaient des malades antivaccins qui affichaient des tracts mensongers sur les risques que faisaient courir le vaccin. 

J’ai fini par atterrir chez “NATURALIA” en me disant "ils sont du groupe monoprix il ne m’enquiquineront pas avec leurs sermons criminels"… 

Et là j’ai appris qu’ils préféraient détruire à l’acide leurs produits périmés, légumes compris, plutôt que de les donner au secours populaire. "

Voilà! Vous avez bien lu ! Sachez, lecteurs de ce modeste blog, que si vous achetez chez NATURALIA, filiale  bio de MONOPRIX, vous portez votre fric à des milliardaires qui se prétendent bio, donc en principe  respectueux de mère nature, celle qui nous nourrit et qu'il faut impérativement protéger, respecter, mais qui préfèrent sous leurs apparences trompeuses progressistes, détruire leurs invendus que de les donner à des organismes caritatifs.

Et si l'on me disait que les patrons de MONOPRIX sont de fervents chrétiens, je n'aurais aucune peine à le croire. Par contre, ce dont je suis sûr, c'est qu'ils ne voteront pas pour un "partageux", comme le petit ch'ti qui avec son parler vrai, représente un vrai coup de barre à gauche. Pour le peuple.

 


"Monsieur Montebourg, ne vous ralliez pas à Madame Taubira !" 

 L'humeur de David Desgouilles Par David Desgouilles Blog de Marianne

 

 IL y aurait un certain panache de la part d'Arnaud Montebourg à endosser à nouveau la combinaison d’apiculteur, prenant acte de l’échec de sa candidature, estime notre chroniqueur David Desgouilles. Qui prévient : un ralliement à Christiane Taubira serait en revanche impardonnable à ses yeux. 

 

Cher Arnaud Montebourg, Si je me permets de prendre la plume et de vous interpeller ainsi, publiquement, c’est parce que des articles de presse font écho de la tentation que vous auriez de vous ranger derrière Christiane Taubira. J’ai bien vérifié : il ne s’agit pas du Gorafi et je ne saurais mettre en doute les informations sourcées de nos confrères. Dissipons tout malentendu. Loin de moi l’idée de vous reprocher de prendre acte de l’échec de votre candidature. Ce n’est pas moi qui ai la pression d’une candidature présidentielle, qui ai eu le courage de me lancer dans cette aventure. Ce n’est pas moi qui supporte cette pression. Ce n’est pas moi qui dois chercher les financements. Ce n’est pas moi qui dois recueillir les parrainages. Les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Et le fait est que votre candidature n’a pas rencontré l’écho que vous auriez voulu. Il faut dire aussi que ni votre entrée en campagne avec un slogan footballistico-barcelonais, ni vos tergiversations autour des versements Western Union n’ont aidé au décollage. Nul ne peut savoir ce qui serait advenu avec un meilleur départ, mais reconnaissons que la forme de votre candidature n’a jamais été à la hauteur du sérieux de vos orientations, lesquelles pouvaient attirer le suffrage d’un républicain venu de l’autre rive, prêt à fermer les yeux sur l’écriture inclusive qui polluait parfois vos différents supports numériques.

 Dire que votre personnalité fantasque est à la fois ce qui fait votre charme mais peut aussi être la pire ennemie de l’homme politique que vous êtes, c’est devenu un lieu commun. N’est-ce pas vous, finalement, qui avez créé le candidat Emmanuel Macron un dimanche d’août peu avant l’apéro, du côté de Frangy-en-Bresse, invitant le président de la République à déguster une cuvée du redressement ? En qualifiant le chef de l’État d’impuissant (politique) devant la France entière, non seulement vous laissiez ce dernier choisir de la date de votre départ, faisant passer sous silence le fond de votre discours, excellent, sur l’alignement du gouvernement sur les desiderata de la droite allemande, mais vous déclenchiez le retour d’Emmanuel Macron en politique, lui qui se voyait à ce moment-là en créateur de start-up à Londres. 

 Mais après tout, ce côté mousquetaire avait aussi quelques atouts séduisants. On comprenait que la quête des postes, la « carrière, ce n’était pas votre priorité », et ça, c’était très rafraîchissant. On comprenait que vous vous battiez pour des idées, vous qui, dès votre première candidature à la députation en 1997, alertiez sur les méfaits du libre-échange débridé. De même, votre retrait de la politique pour créer des entreprises, le miel, la glace de mémé, forçaient le respect. Ils ne sont pas si nombreux, dans le monde politique et en particulier à gauche, à avoir fait le pari de la création d’entreprises, en pleine cohérence avec leurs idées politiques. « Quelles sont les idées de la passionaria de la gauche sociétale, en matière économique et sociale, ou en matière européenne ? Sont-ce celles d’Édouard Balladur, dont elle a voté le budget en 1993 ? » On vous pardonnerait donc largement de jeter l’éponge pour retourner à vos entreprises. Il y aurait un certain panache à endosser à nouveau votre combinaison d’apiculteur, prenant acte de l’échec de votre candidature.

 On comprendrait même qu’avant de reprendre le chemin de Montret (71), vous apportiez un soutien fraternel à Fabien Roussel ou à Georges Kuzmanovic. Mais un ralliement à Christiane Taubira, comment vous dire à quel point ce serait impardonnable à mes yeux ? Quelles sont les idées de la passionaria de la gauche sociétale, en matière économique et sociale, ou en matière européenne ? Sont-ce celles d’Édouard Balladur, dont elle a voté le budget en 1993 ? Sont-ce celles de Bernard Tapie et d’« Énergie Radicale » qui proposaient l’Europe fédérale ? Sont-ce celles de François Hollande, puisqu’elle n'a pas quitté le gouvernement sur un désaccord économique, mais sur la question de la déchéance de nationalité, à peu près au moment où Flamby (est-ce bien vous qui lui aviez trouvé ce formidable surnom ?) décidait de l’abandonner. Un article de presse explique que vous tenteriez de monnayer votre ralliement contre la reprise d’une à deux propositions de votre programme. Les idées avant tout, m’objecteriez-vous ! Qui peut croire que cette éventuelle concession serait sincère, quand on connaît l’itinéraire politique de madame Taubira ? D’autre part, j’ai été un lecteur attentif de L’engagement (Grasset, 2020) et ce que j’y ai lu de votre compréhension des problématiques sur les sujets régaliens se situe aux antipodes de tout ce que représente celle qui fut une bien médiocre ministre de la Justice. Par pitié, Arnaud Montebourg, n’en faites rien ! Vous vous voyez, assis sur scène, derrière madame Taubira déclamant du René Char ? Par pitié, pas vous, pas ça ! Si vous m’écoutez, je m’engage à me rendre à Montret à bicyclette. Je vous achèterai du miel, peut-être bien de la glace de mémé. Et nous boirons pourquoi pas un peu de cuvée du redressement.

Note de Pedrito

D'où peut-être  ce bruit qui court sur la toile ici et là: MONTEBOURG apporterait son soutien à Fabien ROUSSEL.... Si c'était vrai, je n'irais pas à Montret à bicyclette, mais je ferais un petit stock de miel à distribuer aux amis. en leur expliquant le pourquoi de mon cadeau, et même à ceux qui n'auraient pas voté ROUSSEL.

COMME BABEUF, JE VAIS VOTER


Je vais voter pour le candidat PCF, Fabien ROUSSEL, car outre qu'il n'a pas peur de faire l'éloge de la gastronomie française, du bien-vivre, comme un vrai épicurien, amateur de bonne bouffe, de la bonne viande, pas  forcément végétarien comme certains écolos qui font mine de s'effaroucher de ses choix pourtant louables, - à chacun sa conception de la table ! - , ce qui ne l'empêche pas de promettre d'appliquer une politique qui se préoccupe d'environnement et de respect primordial de la nature escagassée par le capitalisme, sans oublier le bien boire, bière ou bon vin, il est pour, entre autres choix politiques:

- renationaliser EDF/GDF et les Télecoms, 

- relancer massivement la Recherche et la production de nouvelles centrales nucléaires électriques,

 - renationaliser la SNCF, la RATP et tous les transports collectifs en ré-ouvrant massivement des gares et des lignes fermées depuis 60 ans, pour limiter fortement la circulation automobile en la tournant vers l’électrique en limitant la vitesse maxi, 

et of course  augmenter les salaires les plus modestes et développer l’Hôpital public comme l’école et l’université par des recrutements massifs de fonctionnaires.

Mais il y a tant et tant d'autres raisons trop longues à énumérer, il suffit de vouloir l'écouter pour comprendre que son programme est en totale rupture avec le capitalisme oppresseur et destructeur pour que le monde du travail, les citoyens de toutes conditions épris de justice sociale, lui accordent la confiance qu'il mérite.....