jeudi 21 octobre 2021

 

Socialisme et communisme en Amérique Latine

 
       Un rapport parlementaire accuse Jair Bolsonaro  de 11 crimes, dont celui de génocide
 
 
 
Mercredi 20 Octobre 2021

Une commission d’enquête parlementaire (CPI) du Sénat brésilien va demander, mercredi 20 octobre, l’inculpation du président, Jair Bolsonaro, pour une série de crimes "intentionnels", dont celui de génocide.

Le rapport accuse le président d'extrême droite et 69 autres personnes de meurtres, crimes contre l'humanité, génocide des peuples autochtones, corruption, fraude, malversations et usages de faux pendant la pandémie de Covid-19, qui a fait plus de 600 000 morts dans le pays.

Article et traduction Nico Maury


Un rapport parlementaire accuse Jair Bolsonaro de 11 crimes, dont celui de génocide
Une Commission d'enquête parlementaire, chargée d'étudier les manquements liés à la pandémie de Covid-19, qui a fait plus de 600.000 morts au Brésil, accuse Jair Bolsonaro de 11 crimes, dont celui de génocide.

Le rapport final qui sera présenté ce mercredi lors de la réunion de la commission compte plus de 1100 pages. Ce document recense 24 crimes différents commis, dont ceux de meurtres, de crimes contre l'humanité, de génocide des peuples autochtones, de corruption, de fraude aux enchères, de malversations et de falsification de documents.

69 personnes sont ciblés, et deux sociétés (Need Medicines pour soupçons de corruption et VTCLog).

Le rapporteur du CPI devrait demander l'inculpation des 69 personnes incriminées, liste parmi laquelle se trouve le président d'extrême droite Jair Bolsonaro & ses fils. Il est accusé de 11 crimes, dont celui de génocide des peuples autochtones.

Une fois le rapport approuvé par la commission d'enquête parlementaire, il sera transmis à diverses instances - telles que le ministère public, le ministère public de l'État et la Cour fédérale des comptes - pour qu'elles engagent les mesures appropriées.

 


Publié par Le Mantois et Partout ailleurs

apture d'écran mais peut-être pas à l'Hôtel Mantignon


Et pour le reste, alors qu'il devait parler du pouvoir d'achat, pas le sien, mais celui du peuple de France: une usine à gaz pour nous enfumer:

On ne saurait incriminer le soutien de Jean Castex à son ancien patron à l'Elysée, Nicolas Sarkozy. Ils étaient tous deux du même parti de droite et le reconnu coupable était aussi le président des riches et du patronat. Tout comme l'est d'ailleurs Emmanuel Macron. Comme quoi à droite, rien de nouveau. Sauf à s'ingérer carrément dans les délibérations des magistrats jugeant "au nom du peuple français" et à ignorer carrément la séparation des pouvoirs dans la Constitution de la 5e République.

En revanche, concernant l'augmentation des carburants, circulez il n'y a rien à voir! Sur la hausse de l'alimentation, le premier chambellan de Manu 1er n'a rien remarqué non plus, ses yeux rivés sur les 1 800 suppressions de lits à l'hôpital en plein covid. Car peut-être n'est-ce pas suffisant...

Rien sur l'augmentation exponentielle du tarif du gaz depuis le début de l'année: + 57% tout de même! Quant à l'électricité, une "petite" augmentation de 4% aux calendes grecques, pardon au 1er février 2022. Et qu'on ne parle pas à Jean Castex d'une quelconque augmentation des salaires, des minima sociaux et des retraites! Néanmoins, la contre réforme de l'assurance chômage est en place dès ce 1er octobre.

Mais bien le bonjour à l'ancien président de la République reconnu coupable de financement illégal  de sa campagne présidentielle de 2022.

Pour autant:

Jean Castex, hier, au 20h de Tf1: salut affectueux à Nicolas Sarkozy reconnu coupable du financement illégal de sa campagne présidentielle de 2012

COMAGUER : USQUE NON DESCENDET ? POURQUOI EST-IL TOMBÉ .....  

....SI BAS ?

Après le camouflet des sous-marins australiens certains ont, dans la précipitation, annoncé un refroidissement des relations franco-étasuniennes. Il n’en fut rien et un simple appel de « Uncle Jo » * à sa suffisance élyséenne apaisa la tempête à peine levée dans le verre d’eau du Quai d’Orsay.

Mais ce que confirme l’article qui suit c’est que le Chef Des Armées fait tout ce qu’il peut pour prendre sa place dans la grande offensive politico-médiatique lancée par Washington contre la Chine. Envoyer un navire espion marauder en Mer de Chine au moment où la Maison Blanche met en place une provocation en envoyant des forces spéciales à Taïwan c’est participer, avec les petits moyens disponibles, à cette provocation.

En effet malgré l’affirmation que cette action fait partie de la « stratégie Pacifique décidée par le président de la République » (cf. article ci-après) la « zone maritime de la France » pour vaste qu’elle soit ne s’étend pas jusqu’aux côtes chinoises ni jusqu’aux côtes coréennes.

La Chine a très bien compris la manœuvre qui viole l’engagement pris par des Etats-Unis en 1972 de respecter sa souveraineté sur l’ile et le président chinois a clairement énoncé qu’elle ne laisserait pas se développer l’occupation militaire de Taïwan par l’armée étasunienne, occupation dont les forces spéciales sans uniforme ne sont que le premier échelon.

En s’alignant sur la Maison Blanche, l’Élysée commandé par un indéfectible Young American Leader aura sa part dans l’échec de l’opération.

·       (Référence ironique au titre donné par Churchill à Staline son allié de l’époque avant qu’il ne lui déclarât la guerre froide)

***

Le navire d’écoute électronique « Dupuy de Lôme » en mer de Chine

(Le Marin 14/10/2021)

Le navire-espion de la direction du renseignement militaire (DRM) Dupuy de Lôme opère actuellement en mer de Chine, a dévoilé la ministre des Armées Florence Parly, répondant à une question d’un député de la commission de la défense.

Le bâtiment d’expérimentation et de mesures (BEM), dont les capteurs électromagnétiques permettent de dresser l’ordre de bataille électronique depuis la mer (c’est à dire établir le nombre et le positionnement des radars dans la zone), avait été aperçu il y a quelques jours en escale au Japon, après un passage cet été à Guam.

Cette nouvelle expédition du Dupuy de Lôme en mer de Chine s’inscrit dans une stratégie d’occupation de la zone maritime par la France qui, régulièrement, envoie des navires et des aéronefs sur place, en application de la stratégie Pacifique décidée par le président de la République. C’est ce qu’avait expliqué il y a quelques mois le contre-amiral Jean-Mathieu Rey, commandant interarmées de la zone Asie-Pacifique (Alpaci).

Lors d’une présentation de l’état-major des armées le 11 octobre, des moyens plus modernes ont été annoncés, notamment les patrouilleurs ultramarins, mais aussi des avions de surveillance Falcon 50M, en provenance de Lann-Bihoué, à partir de 2023, afin de remplacer les cinq Gardian plus anciens. Ces appareils participent régulièrement à des missions en mer de Corée afin de faire respecter l’embargo sur la Corée du Nord.

Jean-Marc TANGUY

 

UN VRAI HÉROS.


UN VRAI HÉROS : C’est l’archéologue syrien Dr. Khaled al-Asaad

Pour ne pas oublier les vrais héros de ce monde: 18 août 2015.

A genoux, il attend sa décapitation.

C’est l’archéologue syrien Dr. Khaled al-Asaad, chef des fouilles de Palmyre. Khaled al-Asaad a refusé de révéler l’emplacement des trésors et des antiquités de Tadmur (l’actuelle Palmyre) qu’il avait cachés avant l’arrivée de l’État islamique. Al-Asaad a été décapité sur la place devant le musée où il a travaillé pendant plus de 50 ans. Son corps mutilé a ensuite été pendu à un feu de circulation. Khaled al-Asaad était le principal gardien des antiquités de Palmyre et, en juillet 2015, il a été capturé par des combattants de l’État islamique. Malgré de nombreuses tortures, il n’a pas révélé l’emplacement des trésors du musée et a été exécuté sur la place centrale de Palmyre. Lorsqu’il est devenu clair que les combattants allaient capturer Palmyre, les scientifiques dirigés par Al Asaad ont tout fait pour cacher les antiquités uniques et inestimables de Palmyre. C’est lui qui a joué un rôle de premier plan dans le salut de centaines d’artefacts, en les transportant de Palmyre vers un endroit sûr. Khaled al-Asaad parlait cinq langues en plus de six anciennes langues idiomatiques, dont certaines sont aujourd’hui éteintes. Plusieurs pays européens lui ont offert la résidence et la citoyenneté, mais il a refusé de quitter la Syrie. Il s’est battu jusqu’à la mort pour sauver le patrimoine de l’humanité.

 

Note   de Pedrito.

Un vrai héros, un vrai de vrai, de  ceux que les "journalistes" qui nous rabattent quotidiennement les oreilles avec forces balivernes et autres enfumages, chiens de garde au service des prétendus grands de ce monde devraient montrer en exemple aux citoyens en quête de vraies valeurs.